The Dwarf from The Giant Planete

[Bigbonn]

[mallox]

oui, ça me fait penser à mon voisin cinéphile...
"Visconti c'est un gros pédé" que je lui dis (toute en finesse,comme je sais le faire).
"Ah comme moi", qu'il me répond.....



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[pascalum]

quelle finesse ce Mallox !
Et ce Western avec uniquement des nains ? vous le connaissez.
Quand a Dwarf, film des années 70, ce ne pouvait pas être le mec de Austin powers...pas de voyage dans le temps possible pour les nains.
non, je pensais au type qui jouait dans Ratman

c'était bien du regretté Nelson de la Rosa qu'il s'agissait...mais là encore, il était trop jeune a l'époque de Dwarf
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[mallox]

[Kidam]

C'est quoi ce film?
(et je parle même pas du topic...)

[princesse.rosebonbon]

[mallox]

[Kidam]

Qui connait ce film? oui je sais ce n'est pas le bon topic (quoique si c'est le topic des dwarf...), désolé, mais je en savais pas où en causer. :timide:

[Throma]

Un vieux papier (assez sévère en y resongeant) qui trainait sur mon disque dur :

Un couple, Mary et Peter (Anne Sparrow et Tony Eades), loue une piaule dans la pension tenue par un nain pour le moins inquiétant Olaf (Torben Bille) et sa mère. Un établissement qui fait également office de bordel clandestin. S'opère en effet dans le grenier un odieux trafic de blanches où les filles, droguées et enchaînées (et dont on devine qu'il s'agit là d'anciennes pensionnaires des lieux), sont livrées en pâture à une clientèle triée sur le volet de queutards désireux d'assouvir leurs bas instincts. Mary, soupçonnant que quelque chose ne tourne pas rond au dessus de sa tête, sera châtiée par un trop plein de curiosité quand, découvrant l'inconcevable au dernier étage de l'immeuble, elle rejoindra à son tour la poignée d'esclaves...

Exhumé par les bons soins du "sexploitationologue" fou Frank Henenlotter une dizaine d'années de cela, puis évoqué récemment dans le documentaire de Christophe Bier sur les nains au cinéma, il serait judicieux d'entacher comme il se doit la réputation de ce prétendu monument de "shocker" trash qui n'a que de répulsif la façade. S'agit-il là du jugement plein d'aigreur d'un spectateur endurci que plus rien ne choque ? Je ne saurais vous répondre. Toujours est-il que le film risque de laisser quelque peu dubitatif les amateurs d'oeuvrettes bien gratinées. Point de nain lubrique et violeur dedans ou d'humiliations pouilleuses, Olaf se contentant de fouetter timidement ses détenues sans tomber la salopette une seule fois. Juste des frangines dévêtues à gogo, ce qui n'est déjà pas si mal mais ce qui laisse aussi à dire que "The sinful dwarf" ne vise guère plus haut que les autres sexploitations de l'époque. Question de taille certainement. Supra-malsain apparait en revanche le cadre de l'action, cette pension insalubre, à l'intérieur exempt de couleurs accortes. Des murs froids comme la mort, une économie de mobilier et des sources de lumière en rade. A choisir, on en viendrait presque à préférer se rabattre sur n'importe quel Formule 1 miteux de Province. Contrat parfaitement rempli sur ce plan là pour Vidal Raski, le réalisateur : ses décors nous filent la gerbe. Si le spectacle est finalement plus inoffensif que prévu, cela n'empiète en rien sur le plaisir qu'il est permis d'éprouver devant cette curiosité danoise (déclamée néanmoins en anglais), à condition de ne pas trop faire la fine bouche. Car il est vrai que l'oeuvrette s'avère joliment tordue, le ton étant d'ailleurs déjà donné dès le générique de départ, où des jouets mécaniques de toutes sortes gigotent dans le vide, pendant que la musique infantilo-sinistre de Ole Orsted défile en fond sonore. Et, bien sûr, le nain Torben Bille se charge du reste. A force d'afficher un rictus malsain, la bave prête à dégoûter sur le plancher et le regard vicelard en coin, on en arrive presque à se demander si il s'agit bien d'un rôle de composition. Dans le cas contraire, on parlera juste d'une belle performance. Dans le tablier du vendeur de jouets Santa Claus, fournissant régulièrement Olaf en nouveaux joujoux que le "garnement" au cerveau définitivement bloqué à 7 ans affectionne tant, on retrouve le touche-à-tout Werner Hedman, futur auteur du diptyque porno introduisant (le mot est lâché) le personnage de l'Agent 69, dont "Les filles du Scorpion / Les dames de Copenhague" chez Alpha Video est le premier volet. Y figure dans les abysses du casting Torben Bille. Le monde est petit, et Olaf aussi...Sorry.
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http://www.vhs-survivors.com/myvhs.php?alias=Throma

[princesse.rosebonbon]

en effet c'est une exploitation bien fade largement survendue
on s'y ennuie sec, malgre quelques bonnes idees comme ce santa claus deprave et une tentative d'atmosphere malsaine, plutot ratee pour ma part. 3 filles nues et un nain au sourire force ne font pas un film.

[Valor]

http://www.sinart.asso.fr/index.php?recherche=SINFUL+dwarf&submit=Rechercher&genre=&support=&zone=

[John Pipo]

Je tenais à remercier Mallox de m'avoir permis en mp d'utiliser et sa jaquette et son texte.
A des fins de farce pour bisseux curieux ou collectionneurs, il est vrai...
Ces trucs là, surtout bien faits, comme c'est ici le cas, me font toujours bien marrer.
C'est vrai que le E de "planetE", même volontaire, aurait peut-être mérité d'être ôté. ça aiguille, ça aiguille...
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[RuggeroPark]

Ah, parce qu'il n'existe pas le film ? Damned, je suis vraiment à côté de la plaque... remarquez, des fautes d'orthographes aussi énormes sont plutôt légion dans le monde des éditions vhs. C'est bien fichu en tout cas.