[M] [Critique] Knights/Les chevaliers du futur - 1993
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Bastien
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MessagePosté le: Mer Mar 16, 2011 5:28 pm    Sujet du message: [M] [Critique] Knights/Les chevaliers du futur - 1993 Répondre en citant



Les chevaliers du futur

Titre original : Knights

Genre : Post-apocalypse

Année : 1993

Pays d’origine : Etats-Unis

Réalisateur : Albert Pyun

Casting : Kathy Long, Kris Kristofferson, Lance Henriksen, Scott Paulin, Gary Daniels, Nicholas Guest

Aka : Cyborg Warriors


Albert Pyun est un cinéaste qui tourne beaucoup, trop probablement, et dans tous les genres.
Ce réalisateur américain a pourtant du talent, un sens de l’image particulier, mais il n’a jamais bénéficié de réels moyens, ce qui a relégué sa carrière au second, voire au troisième plan, malgré une certaine volonté de porter à l’écran des histoires auxquelles il semble pourtant tenir.



Peut-être avez vous vu « Cyborg » qu’il a réalisé pour Jean-Claude Van Damme et la Cannon en 1989 ? Il s’agit d’une relecture de « New-York ne répond plus » mâtinée de « Il était une fois dans l’ouest ». Un film solidement réalisé, qui cherche avant tout l’efficacité et qui y arrive parfaitement. L’excellent site français Forgotten Silver a dévoilé il y a peu que Pyun s’était fait dépossédé du final cut, plus sombre, plus introspectif et plus mature…
Pourtant, il avait fallu à Albert Pyun beaucoup d’énergie afin de porter à l’écran cette histoire post-apocalyptique peuplée de gros balèzes cannibales, face à un seul héros.
Une énergie déployée pour parvenir à un résultat, en dépit d’un manque évident de moyens, qui fut compensé par des astuces de mise en scène. Cela définit assez bien la carrière d’Albert Pyun qui a beaucoup tourné, sans que sa carrière ne décolle réellement. Pendant ce temps là, certains clippers se voient catapultés du jour au lendemain à la tête de très grosses productions américaines qu’ils shootent sans guère d’imagination…



« Knights » est le film qui illustre ce paradoxe propre à notre réalisateur. C’est un projet ambitieux, une vision, un voyage vers un univers original, pour peu que l’on veuille s’y adonner, aidé par une certaine suspension d’incrédulité. De plus, « Knights » ne fait que renouer avec un souffle de l’héroïc-fantasy, sachant que notre cinéaste avait commencé en 1982 avec « L‘épée sauvage » et qu'il y est revenu en 2010 pour le film « Tales of an Ancient Empire ».
Albert Pyun sait tout faire. Quand on l’engage, on lui confie le tournage, où il amène ses techniciens, ses compétences, et il convient de le laisser agir. En 1993, la Trimark, l’une des nombreuses firmes qui œuvrent dans le cinéma secondaire avec plus ou moins de visibilité, accepte de financer un long métrage qui semble tenir à cœur à Albert Pyun, « Knights ».



« Knights » se déroule dans un futur AD, c’est à dire après la grande destruction. Des cyborgs font régner la loi du plus fort, où ils ont leurs troupes, leurs villes, et ils règnent sur les humains qu'ils ont soumis tels du bétail. Ils sont issus de l’œuvre d’un créateur nommé le grand architecte, qui les a conçus. Mais ils ont pallié au manque d’énergie en prenant les fluides vitaux humains. Donc, ce sont bêtement des vampires, qui ont chacun un nom en rapport avec l’évangile.

Nea est l’une de ces victimes potentielles. Une jeune femme qui n’a connu que les affres de la survie et qui a perdu sa famille dont son tout jeune frère. Elle demeure la proie d’un des cyborgs, Simon, alors qu’un événement providentiel vient la sauver. Un autre cyborg plus évolué, Gabriel (joué par Kris Kristofferson), vient à la rencontre de ses « semblables ». Il demeure l’ultime œuvre du grand architecte, le créateur de ces robots, et il a pour mission de mettre fin à leur existence qui s’avère un fléau pour l’humanité.
Il combat et défait Simon dans une rixe de toute beauté. Nea se joint à lui, fascinée par cet être qui accomplit ce que tous pensaient impossible : vaincre un cyborg. Elle le supplie de l’entraîner, ce que Gabriel refuse dans un premier temps, mais Nea lui prouve sa valeur. Aussi, l’enseignement peut commencer et une kyrielle de techniques lui seront enseignées. Nea va donc se confronter à une puissante faction de cyborgs, commandée par leur chef, le bizarre Job, joué avec talent par Lance Henriksen.



Nea est si accomplie qu'elle ne va pas tarder à se révéler être une grande tueuse de cyborgs, capable de mettre en péril leur grand plan : prendre la seule cité des humains qui leur résiste encore.
Albert Pyun s'est beaucoup investi dans la réalisation de « Knights ». Il nous offre ici d’énergiques chorégraphies soulignées par la bande originale puissante de Tony Riparetti, un fidèle du réalisateur, dont la musique permet souvent de dynamiser ses images. La photographie est en effet fort belle, et nombreux sont les plans qui exploitent le désert de Monument Valley, dans l'Utah.
La réalisation d’Albert Pyun demeure vive, alerte et percutante. Il réussit à rendre spectaculaire cette histoire mixant beaucoup de thèmes. C’est d’ailleurs l’élément surprenant de « Knights », il y a un thème relatif à une élue qui accède à la connaissance, et les cyborgs se demandent s’ils ont dépassé leur programmation, alors que Gabriel ignore les doutes métaphysiques de Nea... Bref, Albert Pyun parvient à glisser de petits éléments qui rendent intéressants le périple de ses personnages.



Les acteurs sont bons, la révélation demeurant la charmante Cathy Long. Celle-ci était alors une championne de kickboxing que l’on disait assez hargneuse et punchy sur le ring.
Elle parvient à réaliser une performance sur son personnage de Nea, puisqu’elle incarne un poussin fragile qui se déploie pour devenir un rapace dont les proies sont les cyborgs. En outre, il se développe une relation intéressante avec son mentor Gabriel, qui confère à « Knights » un intérêt supplémentaire. Une relation à peine esquissée qui voit l’élève dépasser le maître, pour venir finalement lui porter secours.
« Knights » s’achève en cliffhanger. Nea ayant vaincu Job, les enjeux augmentent car son jeune frère finalement retrouvé est capturé par le vrai leader des cyborgs. Ce périple mènera Gabriel et Nea jusqu’à la grande cité des cyborgs, qui ont finalement hérité de deux prédateurs à leurs trousses au lieu d’un !



En résumé, l’investissement du réalisateur hawaïen est assez fort tant les plans sont travaillés, malgré la faiblesse de moyens qui est habilement camouflée. Comme le très habile Roger Corman, Pyun parvient à immerger le spectateur dans son intrigue, pour peu qu’il veuille y adhérer un peu.
De plus, « Knights » parvient surtout, et cela est en définitif trop rare, à donner le premier rôle à une femme qui botte sacrément bien le derrière des cyborgs ! Personnellement, je trouve cela assez fun !
A noter, enfin, qu’il existe deux doublages français. Le premier, celui de l’éditeur de l’époque Delta Vidéo pour la sortie du film en VHS, qui est nettement recommandé. Le second, celui des éditions DVD, est en revanche nettement moins bon. En effet, ce doublage ne fait que stéréotyper les personnages, les privant ainsi d’une certaine puissance et d’un manque d'âme.



Albert Pyun continua à réaliser des films avec souvent les mêmes problèmes. « Knights » n'a ainsi jamais eu de suite, ce qui continue de décevoir ceux qui ont aimé le film. Il aurait sans doute fallu un budget plus conséquent pour montrer la ville dans laquelle l’action de cette hypothétique séquelle se serait déroulée. Une aventure inachevée...
Toutefois, cela n'affecta nullement la carrière du réalisateur, riche en titres aux qualités très variables. Albert Pyun tourna en effet des films aux budgets anémiques (« Omega Doom », « Bloodmatch »), et s’engagea même dans des tournages qui commencèrent avant que le budget n’arrive sur le plateau (le fameux « Captain America » de 1990). Bref, il a bataillé pour offrir des films rythmés alors qu’il aurait pu faire mieux, tellement mieux, si on lui avait donné des moyens décents…


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Dernière édition par Bastien le Jeu Mar 17, 2011 1:52 pm; édité 2 fois
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flint
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MessagePosté le: Mer Mar 16, 2011 6:11 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Je me rappelle avoir vu le dvd dans les bacs de soldes en grandes surfaces, à un prix ridicule, donc, mais je n'ai pas osé franchir le pas.
D'Albert Pyun, j'aimerais visionner son premier film, "L'épée sauvage", et aussi "Campus", dont j'ai vu en maintes occasions les jaquettes à l'époque où l'on avait encore la chance d'avoir des vidéoclubs. Je regrette de n'avoir pas loué ces deux films, après coup.
Je ne suis pas très fan d'Albert Pyun, mais j'avais bien aimé "Cyborg", et je garde un souvenir amusé de son "Captain America".
A présent, j'ai toujours "Pleasure Planet" qui traîne dans un de mes classeurs depuis pas mal de temps, mais je redoute le pire !
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Bastien
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MessagePosté le: Mer Mar 16, 2011 6:52 pm    Sujet du message: yep ! Répondre en citant

Hello Flint !!

Oui, la carrière d'Albert Puyn alterne le bon, l'inspiré, et parfois le bâclé, le vite fait et le budget minuscule.

Donc, tu peux tomber sur un truc incroyablement mauvais, brelant, mais qui propose encore vaguement quelque chose.

Il y a quand même des pépites, telles ce Kickboxer 2 au scénario, à la réalisation et à l'intérprétation pertinentes.

Aprés, il y a des trucs bouclés assez vite, dont pas mal avec Christophe Lambert qui semble revenir vers des films plus respectables...

Pour Knight, le doublage de l'édition dvd est un ton en-dessous de celle de la k7 vidéo et cela s'en ressent du point de vue de l'intérêt des personnages.

On a donc avec Knight une bonne bd, percutante, pleine d'imagination avec des personnages assez intéressant et un rythme effréné.
On y adhère ou pas.

Il est quand même assez intéressant de constater qu'Albert Pyun, pas plus que le super efficace Isaac Florentine d'ailleurs, n'ont pas de fans ou de soutiens en France !

C'est peut-être la manifestation de ma cinéphilie "déviante" à moi !!!
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Bigbonn
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MessagePosté le: Mer Mar 16, 2011 8:16 pm    Sujet du message: Re: yep ! Répondre en citant

Bastien a écrit:
Il est quand même assez intéressant de constater qu'Albert Pyun, pas plus que le super efficace Isaac Florentine d'ailleurs, n'ont pas de fans ou de soutiens en France !

C'est peut-être la manifestation de ma cinéphilie "déviante" à moi !!!

Oui, je crois que tu es un vrai déviant. icon_cool new_diable
pour ma part, je n'ai pas d'avis sur Pyun, n'ayant quasiment rien vu de lui. celui-ci a l'air d'être sympa, visiblement, et de faire partie du haut de son panier à lui.

j'aime bien cette phrase, que je ne peux m'empêcher de visualiser (mais avec un poussin!)
Citation:
Elle parvient à réaliser une performance sur son personnage de Nea puisqu’elle incarne un poussin fragile qui se déploie pour devenir un rapace dont les proies sont les cyborg.


par contre, tu parles de "suspension d'incrédulité" et il me semble que ce terme avait été à la mode il y a quelques temps mais j'ai toujours un peu de mal à comprendre ce qu'on entend par là et dans quel sens on l'emploie... icon_confused
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Valor
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MessagePosté le: Mer Mar 16, 2011 8:30 pm    Sujet du message: Re: yep ! Répondre en citant

Bigbonn a écrit:
par contre, tu parles de "suspension d'incrédulité" et il me semble que ce terme avait été à la mode il y a quelques temps mais j'ai toujours un peu de mal à comprendre ce qu'on entend par là et dans quel sens on l'emploie... icon_confused


http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Suspension_consentie_de_l%27incr%C3%A9dulit%C3%A9&oldid=61563578

icon_wink
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Bigbonn
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MessagePosté le: Mer Mar 16, 2011 8:32 pm    Sujet du message: Re: yep ! Répondre en citant

Valor a écrit:
Bigbonn a écrit:
par contre, tu parles de "suspension d'incrédulité" et il me semble que ce terme avait été à la mode il y a quelques temps mais j'ai toujours un peu de mal à comprendre ce qu'on entend par là et dans quel sens on l'emploie... icon_confused


http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Suspension_consentie_de_l%27incr%C3%A9dulit%C3%A9&oldid=61563578

icon_wink


ah ben oui! ok. logique, en fait.
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Bastien
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MessagePosté le: Mer Mar 16, 2011 8:48 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Oui, la suspension de crédulité est sollicité en oeuvres de fiction.

C'est en gros l'abnégation que le spectateur est disposé à mettre dans un film afin de "rentrer dedans" ou "marcher".
C'est aussi la limite de notre appréciation individuelle, la subjectivité donc, que nous mettons dans une oeuvre !

Ce qui est intéressant, c'est que cette notion n'est pas seulement dévolue aux films de Sf -de Knight à Independance day par exemple- mais aussi dans les pathétiques télé novelas ou autres soap opéra ultra redondants. Quoique cela peut également s'appliquer aux comics...

Sinon, oui, je suis un cinéphile déviant qui aime son petit film de baston de temps en temps... Ce sont mes matchs de football à moi !!

J'en profite pour remercier Mallox pour avoir mis les photos !

Merci aussi à Mister Valor, qui a dégainer avec adresse et fulgurance son lien Wipikédia ! ico_mrgreen
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Maniak
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MessagePosté le: Mer Mar 16, 2011 9:16 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bastien a écrit:

Ce qui est intéressant, c'est que cette notion n'est pas seulement dévolue aux films de Sf -de Knight à Independance day par exemple- mais aussi dans les pathétiques télé novelas ou autres soap opéra ultra redondants. Quoique cela peut également s'appliquer aux comics...


ça s'applique à tout, dès que ça rentre dans le domaine de la fiction. J'adore la fiction et du coup la suspension volontaire d'incrédulité c'est un sujet qui me passionne, parce que c'est sur ça que ça marche!

C'est grâce à cette capacité qu'on peut apprécier pleinement des récits qui ne sont pourtant que des tissus de mensonges! Ça me fascine ça!

Et surtout c'est l'argument ultime pour contrer les arguments de tout ces crétins qui disent "ouais mais nan ce film là c'est pas réaliste, c'est nul" et tous les idiots qui pensent que les faux raccords sont une "erreur de mise en scène"... bref les gens d'allociné quoi! new_help

Sinon moi J'aime bien Isaac Florentine quand il tourne avec Scott Adkins new_lang
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flint
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MessagePosté le: Mer Mar 16, 2011 9:16 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Sinon, Bastien, tu peux remettre la mention [Critique]. Pourquoi l'as-tu retirée ?
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mallox
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MessagePosté le: Jeu Mar 17, 2011 6:17 am    Sujet du message: Répondre en citant

flint a écrit:
Sinon, Bastien, tu peux remettre la mention [Critique]. Pourquoi l'as-tu retirée ?


En fait c'est moi qui l'avait mis avant de partir en projo hier en soirée, puis retiré puisque c'est un texte que Bastien a déposé sur son Blog auparavant.
D'ailleurs j'ai trouvé les captures ailleurs et l'affiche sur son excellent Blog.


Et oui Bastien, que ne réserves-tu pas ce genre de texte pour nous ?
Espèce de dégueulasse !
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mallox
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MessagePosté le: Jeu Mar 17, 2011 1:33 pm    Sujet du message: Répondre en citant

OK, la critique a été remaniée pour le coup, donc je remets [Critique]. frank_PDT_10

Par contre, Bastien, je te laisse mettre le casting, l'origine, le ou les genres concernés etc. icon_wink
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Bastien
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MessagePosté le: Jeu Mar 17, 2011 1:59 pm    Sujet du message: Répondre en citant

ça s'applique à tout, dès que ça rentre dans le domaine de la fiction. J'adore la fiction et du coup la suspension volontaire d'incrédulité c'est un sujet qui me passionne, parce que c'est sur ça que ça marche!

C'est grâce à cette capacité qu'on peut apprécier pleinement des récits qui ne sont pourtant que des tissus de mensonges! Ça me fascine ça!


Et surtout c'est l'argument ultime pour contrer les arguments de tout ces crétins qui disent "ouais mais nan ce film là c'est pas réaliste, c'est nul" et tous les idiots qui pensent que les faux raccords sont une "erreur de mise en scène"... bref les gens d'allociné quoi! new_help

Je suis également d'accord, Maniak, qu'il s'agit d'un sujet assez intéressant. Il peut d'ailleurs conciser la notion de subjectivité pour laquelle on serait prêt à s'opposer avec chacun des arguments qui nous semblent trés valables !

Sinon moi J'aime bien Isaac Florentine quand il tourne avec Scott Adkins new_lang[/quote]

Moi aussi ! Je te recommande tout particulièrement CONTRE OFFENSIVE alias US SEAL 2 avec Michael Worth qui cartonne dés que l'action commence. Un cinéma peu onéreux mais puissamment dynamisé par le talent de ses acteurs et de son réalisateur, qui fait tellement mieux que des films de studio richement dotés !!!

On trouve CONTRE OFFENSIVE dans les cash converters à bas prix et, franchement, c'est une perle !
En revanche, son SPECIAL FORCES, son segment du pack AMERICAIN HEROES est nettement moins bon... Il marque pourtant la première réalisation entre Isaac Florentine et Scott Adkins dont Invincible 3 semble être le pinacle de leur duo !
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mallox
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MessagePosté le: Jeu Mar 17, 2011 2:18 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bastien a écrit:
Il peut d'ailleurs conciser la notion de subjectivité pour laquelle on serait prêt à s'opposer avec chacun des arguments qui nous semblent très valables !


Flint aurait dit circonciser, qui si je ne m'abuse n'existe pas plus dans le langage français que conciser.

Alors plouf plouf, après une correction par les bons soins d'une Princesse rosebonbon, ça donnerait ça : "Il peut d'ailleurs circoncire la notion de subjectivité." ico-porc
C'est que j'y tiens moi à ma notion de subjectivité !
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Bastien
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MessagePosté le: Jeu Mar 17, 2011 3:59 pm    Sujet du message: Répondre en citant

mallox a écrit:
Bastien a écrit:
Il peut d'ailleurs conciser la notion de subjectivité pour laquelle on serait prêt à s'opposer avec chacun des arguments qui nous semblent très valables !


Flint aurait dit circonciser, qui si je ne m'abuse n'existe pas plus dans le langage français que conciser.

Alors plouf plouf, après une correction par les bons soins d'une Princesse rosebonbon, ça donnerait ça : "Il peut d'ailleurs circoncire la notion de subjectivité." ico-porc
C'est que j'y tiens moi à ma notion de subjectivité !


Totalement exacte !!

On choisira donc "préciser" à un conciser totalement en avance sur son temps et donc non encore répertorié !!! new_help
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MessagePosté le: Jeu Mar 17, 2011 5:07 pm    Sujet du message: Répondre en citant

moi je l'avais chopé le dvd dans le bac à soldes et, très honnêtement, si ce n'étaient les captures d'écran, je n'arriverais pas à croire qu'on parle du même film frank_PDT_10

redescendons deux secondes sur terre :
Knights c'est une série z post apo/fantasy digne des pires bobines ritales sur le sujet, avec une photo de téléfilm pourrie type Nu Image, des filtres de couleur odieux, des acteurs qui cachetonnent, des accessoires et costumes immondes, des personnages stéréotypés insipides, au service d'une histoire vue mille fois qui n'est que prétexte à enchainer les bastons.
sérieusement quand je l'ai vu j'ai vraiment cru que c'était le pilote refusé d'une série télé

je crois que la palme revient à Lance Henriksen avec son super cyber bras-crochet de la mort qu'on nous montre sous tous les angles... et qui ne sert absolument à rien !

Bastien je ne sais pas à quoi tu te drogues, mais ça donne envie ico_mrgreen
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