Wild Side (Divers - récents)

 
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mallox
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MessagePosté le: Ven Juil 17, 2009 8:20 am    Sujet du message: Wild Side (Divers - récents) Répondre en citant

Le dernier Takashi Miike chez Wild Side...

Il s'agit de "Crows Zero" qui sortira chez l'éditeur qui miaule le 5 Août prochain. Rageur et exaltant, une véritable bombe selon la rumeur...



"Crows Zero" - 2007

Réalisé par Takashi Miike
Avec Shun Oguri, Kyosuba Yabe, Takayuki Yamada...

Synopsis :

L'élève Takitani , récemment intégré dans son école, tente de prendre le contrôle du lycée de Suzuran. Pour ce faire, il est conseillé et entrainé par un certain Katagiri, un ancien Yakuza, et doit lutter contre un rival du nom de Serizawa. La guerre des clans commence !

Formidable film d'action survolté et virtuose aux personnages charismatiques et pleins d'humour, magistralement adapté du manga culte Crows, "Crows Zero" aligne les scènes d'actions sauvages et réalistes, pour culminer en un final réellement titanesque !

Festival du Cinema Asiatique de Deauville 2008 (Action Asia)




Le dvd :

Editeur : Wild Side

Durée : 133 min

Format image : 1.85 (16/9 compt 4/3)
Format son : Français DTS,japonais DD5.1 / Français stéréo

Double couche



Sous-titres : français

# Bonus :
- Présentation du film par son réalisateur
- Making-of (version courte - 20')
- Teaser "Crows Zero II"
- Bandes-annonces



* Sortie le 5 Août 2009

Sur le site de l'éditeur :


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Dernière édition par mallox le Mar Nov 10, 2009 4:28 pm; édité 3 fois
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mallox
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MessagePosté le: Jeu Nov 05, 2009 8:00 am    Sujet du message: Répondre en citant

Bon, ça ne plaira peut-être pas, mais je préfère parler 1000 fois de ce film-ci (vu et ai trouvé ça épatant, évite les clichés du Biopic pour partir dans une espèce de poême sur le personnage... bref, à voir à mon avis et complètement dans la ligne du site à mon sens.) que de Crows Zero 2

Bronson est de sortie !

Le film de Nicolas Winding Refn sortira en dvd chez Wild Side, le 2 décembre prochain. Une expérience assez unique attend ceux qui l'aurait manqué au cinéma.

Nicolas Winding Refn, réalisateur surdoué de la trilogie culte "Pusher", offre avec "Bronson" un grand film, aussi violent et sans concession que riche et passionnant dont l'ampleur est magnifiquement servie par l'acteur principal Tom Hardy, tout simplement stupéfiant.



"Bronson" - 2009

Réalisé par Nicolas Winding Refn
Avec Tom Hardy, Matt King...

Synopsis :

A 19 ans, le britannique Michael Peterson est condamné à 7 ans de prison pour vol à main armée. Il a braqué un bureau de poste avec un fusil à canon scié qu'il a lui-même bricolé. Son butin se monte à 26,18 £.

En prison, sa violence répétée contre gardiens et codétenus va en faire le prisonnier le plus dangereux et le plus médiatique d'Angleterre. Lors d'une de ses rares périodes de liberté, il a adopté Bronson comme nom de guerre. A ce jour, il a passé 34 années en prison dont 30 en isolement cellulaire.



Nicolas Winding Refn : à propos du film

"Comme je ne suis pas anglais, et que je n'ai pas vécu en Grande-Bretagne, je n'avais jamais entendu parler de Charles Bronson et, du coup, ma toute première réaction a été de me demander ce qui m'intriguait chez cet homme. Je me suis mis à lire ses livres en essayant de comprendre la face cachée de sa personnalité qui me fascinait. C'est alors que j'ai commencé à réécrire le scénario, en me disant que cet homme était plus profond qu'il n'y paraissait au premier coup d'œil.

J'ai décidé de consacrer le film au "personnage" de Charles Bronson, plutôt qu'à Michael Peterson, son vrai nom. Personnellement, je ne suis pas en mesure de le juger puisque je n'avais aucune idée préconçue à son sujet, et que je ne savais rien de ses exploits qui ont fait la Une des magazines. A partir de là, le thème du film est devenu le changement d'identité...

En outre, contrairement à la plupart des films de prison qui traitent de l'évasion, j'ai trouvé intéressant d'explorer ce monde étrange qu'est l'univers carcéral en montrant qu'il pousse certains détenus à rester délibérément en prison ou que ces derniers tentent de se battre contre le système tout en étant soumis à une organisation extrêmement autoritaire.

C'est sa soif inextinguible de notoriété qui a conduit Bronson à rester en prison pendant si longtemps. C'est cette facette-là de sa personnalité qui m'a intéressé dans le film. Avec BRONSON, ce qui a suscité ma curiosité, c'est que j'étais conscient que le film parlait de deux sujets : d'abord, l'obsession des jeunes pour la notoriété et la question de savoir ce qu'on fait de cette notoriété une fois qu'on l'a acquise. Ensuite, je trouvais qu'il y avait quelque chose de vraiment fascinant dans le fait de considérer Charles Bronson comme un peintre face à sa toile.
Je crois que cette dimension-là est le vrai sujet du film."



CHARLES BRONSON : repères biographiques

De son vrai nom Michael Peterson, il est né en 1952.
En 1987, l’organisateur de ses combats lui donne son nouveau patronyme : Charles Bronson.
Originaire d'Aberystwyth, à l'ouest du Pays de Galles, il s'installe ensuite à Merseyside, puis à Luton, que l'on considère souvent comme sa ville natale.
En 1974, alors âgé de 19 ans, il est condamné à 7 ans de prison pour un vol à main armée qui tourne court – vol au cours duquel personne n'est blessé.
Il a passé 35 années en prison, dont 31 en isolement cellulaire.
Il a été libéré le 30 octobre 1988 et a connu 68 jours de liberté.
Incarcéré, puis de nouveau libéré le 9 novembre 1992, il connaît 53 autres jours de liberté.
Depuis 1999, il n'a plus le droit de se mêler aux autres prisonniers.
En 2000, il est condamné à la réclusion à perpétuité et écope notamment de trois années d'emprisonnement pour avoir pris un enseignant en otage pendant 44 heures – même si l'enseignant en question n'a pas été blessé.
Il a été l'objet de violences physiques et psychologiques tout au long de ses années de détention.
Depuis sept ans, il n'a plus de comportement violent.
Il a été diagnostiqué sain d'esprit.
Bronson s'impose un entraînement physique intensif et effectue quelques 2500 pompes par jour.
En 2002, il publie Solitary Fitness, qui décrit son entraînement physique individuel dans des conditions difficiles et dans un espace extrêmement confiné.
Il se consacre à l’art – devenu sa vie – depuis onze ans.
Ses oeuvres sont uniques en leur genre et ont été exposées dans le monde entier.
Il a remporté 11 Koestler Awards pour ses poèmes et ses créations artistiques.
Il a publié 11 ouvrages.
Bronson est toujours prisonnier de "catégorie A" et incarcéré en isolement cellulaire au Quartier de Haute Sécurité de la prison de Wakefield.



Caractéristiques dvd :

Format Image : 1.85, 16/9e comp. 4/3
Format son : Anglais DTS 5.1 & Dolby Digital 2.0, Français Dolby Digital 5.1
Sous-titres : Français - Durée : 1h30

# Bonus :
- Introduction au film par le réalisateur Nicolas Winding Refn
- Commentaire audio du réalisateur
- Confidences du réalisateur (27')
- Entretien avec l'acteur Tom Hardy (20')
- Les monologues du véritable Charlie Bronson (18')
- Bande-annonce du Guerrier silencieux
- Bandes-annonces


* Sortie le 2 décembre 2009


Bande-annonce : ICI


A noter que le prochain film du réalisateur, "Le guerrier silencieux / (Valhalla rising)" sortira en salles le 10 Mars 2010.


Sur le site de l'éditeur :


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MessagePosté le: Ven Mar 12, 2010 7:20 am    Sujet du message: Répondre en citant

Des Snipers chez Wild Side

Pour ce face à face violent et sans concession dans la lignée de "Volte/Face" de John Woo et "Full Time Killer" de Johnnie To, le réalisateur Dante Lam orchestre avec duel entre snipers et livre un film d'action explosif. Le film sortira le 7 avril chez l'éditeur.



Snipers - 2008

Réalisé par Dante Lam
Avec Richie Chen, Huang Xiao-Ming, Edison Chen, Michelle Yip, Wildred Lau, Liu Kai-Chi, Jack Kao, Patrick Tang...

Synopsis :

Condamné pour avoir accidentellement abattu un otage, Lincoln, tireur d'élite de la police de Hong Kong, purge sa peine en prison. Persuadé que son ancien coéquipier Hartman et la police sont responsables de sa condamnation, Lincoln, libéré, prépare sa vengeance...



- Caractéristiques techniques du dvd :

Format Image : 2.35, 16/9e comp. 4/3
Format son : Français DTS 5.1& Dolby Digital 2.0, Cantonais Dolby Digital 5.1

Sous-titres : Français
Durée : 1h24

Prix public indicatif : 19,99 Euros le DVD



- Caractéristiques techniques du Blu-Ray :

Format Image : 2.35
Résolution film : 1080p

Format son : Français & Cantonais DTS HD Master Audio 5.1
Sous-titres : Français - Durée : 1h28

Prix public indicatif : 24,99 Euros le Blu-ray


# Bonus communs :

- Making-of (18')
- Un réalisateur dans le viseur : entretien avec le réalisateur Dante Lam (26')
- Scènes coupées (6')
- Les armes de cinema : visite chez Maratier, l'armurier du cinéma français (15')
- bandes-annonces


* Sortie le 7 avril 2010


La Bande-annonce sur la PsychoTV :

http://www.youtube.com/user/PsychovisionTV
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mallox
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MessagePosté le: Jeu Aoû 26, 2010 8:54 am    Sujet du message: Répondre en citant

Wild Side est "Amer"

Distribué dans un nombre très limité de salles, le film de Hélène Cattet et Bruno Forzani avait su néanmoins se tailler un beau succès d'estime. Il sortira le 27 Octobre prochain chez l'éditeur Wild Side.

Sélectionné et primé dans près de 50 festivals internationaux, salué par la critique, AMER est une expérience sensorielle érotisante et fantasmagorique.

Le couple de réalisateurs Hélène Cattet et Bruno Forzani revisite avec audace et talent les codes esthétiques du giallo, tel qu'il était conçu dans les années 60 et 70.

Voyage hallucinatoire fascinant, cette perle rare du cinéma de genre français risque de vous hanter longtemps...
Un objet de cinéma unique, à découvrir absolument.



AMER - 2009

Réalisé par Hélène Cattet et Bruno Forzani
Avec Cassandra Forêt, Marie Bos, Charlotte Eugène-Guibbaud...

Synopsis :

Une petite fille effrayée par une villa trop silencieuse.
Une adolescente attirée par de mystérieuses présences rôdant dans son village.
Une femme qui revient défier ses fantômes sur les lieux de son enfance.
Les trois âges clés de la vie tourmentée d'Ana.
Un voyage charnel entre réalité et fantasmes oppressants où plaisir et douleur s'entrecroisent...






CARACTERISTIQUES TECHNIQUES DVD :

Format Image : 2.35, 16/9e comp. 4/3
Format son : Français DTS 5.1 et Dolby Digital 2.0

Durée : 1h27

# Bonus :
- La fin de notre amour : court métrage des deux réalisateurs (9')

Prix public indicatif : 19,99 Euros le DVD

Film interdit aux moins de 12 ans lors de sa sortie en salles


* Sortie le 27 octobre 2010


Sur le site de l'éditeur :



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ENTRETIEN AVEC LES REALISATEURS HELENE CATTET ET BRUNO FORZANI

Pourquoi cette fascination pour le giallo ?
Bruno : Ca vient de Ténèbres de Dario Argento. Quand j'étais gamin, j'étais fasciné par une affiche du film dans mon vidéo club à Menton ! J'ai découvert tout son cinéma au fur et à mesure et je suis devenu accro, notamment aux Frissons de l'angoisse, LE giallo parfait, son chef-d'œuvre...
La musique, les meurtres baroques, les femmes italiennes... Le giallo, c'était un mix unique entre le cinéma d'exploitation et le cinéma expérimental. Dans les années 60/70, des réalisateurs comme Argento, Mario Bava ou Sergio Martino osaient des séquences de meurtres très graphiques, des séquences érotiques ou psychédéliques qui faisaient vraiment décoller leurs films. Il y avait beaucoup de liberté, de désinvolture et de subversion aussi, avec une fétichisation assez poussée de la mort et du sexe. Ces réalisateurs prenaient le risque d'expérimenter dans un contexte très commercial.

Hélène : A nos yeux, ce côté fétichiste et hyper graphique du giallo renferme une forte valeur émotionnelle. Comme AMER est un film sur le désir et la découverte de la sexualité, ce langage de série B italienne qui joue avec la tension érotique, la pulsion de mort, nous convient parfaitement. Dès nos courts-métrages, à travers les codes du giallo, on a pu explorer des thèmes plus personnels, plus intimes, comme l'autodestruction, la relation de couple, la peur de l'autre... Tout en soignant le côté performance visuelle dans la mise en scène, pour que les fans du giallo redécouvrent ces moments forts, ces figures de style qu'ils n'avaient plus vu depuis longtemps et nous manquaient à nous aussi.

Comment avez-vous écrit AMER ?
Hélène : A quatre mains, en essayant de se surprendre. Ce qu'on voulait, c'était que l'histoire soit racontée au travers des sensations éprouvées par le personnage principal. On a essayé d'immerger totalement le spectateur dans la peau de notre personnage. C'était le pari.

Bruno : Et on a joué avec notre subconscient aussi. Quand j'ai rencontré Dario Argento, il m'a dit avoir écrit Inferno, qui est à mes yeux son film le plus terrifiant, en faisant appel à son inconscient, aux associations d'idées. Son histoire était comme sortie d'un rêve. Nous avons essayé de procéder de la même façon. Sans jamais brider notre imagination.

Hélène : On ne voulait pas imposer une seule vision du film, mais créer plusieurs niveaux de lecture, essayer de retranscrire toutes les pistes qui s'étaient ouvertes à nous pendant l'écriture. Réduire l'intrigue à une seule ligne directrice aurait été trop didactique. "Amer" est le portrait d'une fille dans sa découverte et sa quête du désir charnel. Il était indispensable d'explorer tous ses errements intimes, de rendre compte de toutes ses épreuves complexes et contradictoires.

Comment s'est passé le tournage ?
Bruno : Très bien. Nous avons tourné en majorité dans une vieille villa Riviera, très vétuste, située quasiment dans le centre de Menton. Je passais devant quand j'étais ado et elle me fascinait... Elle me faisait penser aux maisons des films de Dario Argento. C'était assez troublant de s'y retrouver 20 ans plus tard avec notre équipe pour AMER. Nous avions peu de jours de tournage vu le nombre de plans à mettre en boîte. Il fallait tenir un rythme infernal pour s'en sortir. Mais nous avions découpé et répété l'intégralité du film avant le tournage, avec une mini-DV, parfois sur certains décors du film, parfois dans notre appartement. On jouait tous les personnages ! Cette préparation minutieuse était indispensable car on a beaucoup triché en termes de lieux. Il y avait parfois 6 lieux différents pour reconstituer un seul décor. On voulait être sûrs que tout raccorde bien.

Hélène : Nos courts-métrages nous ont beaucoup appris en termes d'efficacité et d'économie. Par exemple en tournant beaucoup de plans fixes. Pour faire autant de plans par jour, on ne peut pas se permettre d'utiliser de la machinerie trop lourde, des travellings, des grues, etc. Il faut faire des petits plans brefs, très cadrés, très découpés. C'est la meilleure façon d'obtenir une matière riche à l'arrivée. Nous travaillons avec la même équipe depuis nos premiers courts-métrages. Manu Dacosse à la photo. Daniel Bruylandt et Bernard Beets au montage son et montage image. On se connaît. Ca nous permet d'être précis et rapides. On a shooté environ 900 plans pour AMER. Il y a 2200 plans montés à l'arrivée. On n'a quasiment rien jeté ! Autre technique pour gagner du temps : on a très peu travaillé en son direct pendant le tournage. Mais ensuite, il a fallu recréer tout l'univers sonore du film en post-production, ce qui n'était pas une mince affaire.

Comment avez-vous choisi vos trois actrices, qui jouent un seul personnage, Ana ?
Hélène : On a d'abord choisi l'actrice qui joue Ana adulte après l'avoir vue au théâtre, à Bruxelles. Ensuite, nous avons cherché une Ana adolescente puis une Ana enfant. Il fallait non seulement qu'il y ait des similitudes physiques, mais aussi que toutes les comédiennes aient une vie intérieure très forte. Comme il y a très peu de dialogues dans le film et que tout passe par l'intériorité, on recherchait des filles avec un univers proche de celui des personnages. Et puis elles ont dû s'adapter à notre mise en scène, à des cadrages très particuliers, très exigeants.

Justement, pourquoi si peu de dialogues dans "Amer" ?
Bruno : Parce que pour nous, les plus grands moments du cinéma, notamment dans le cinéma bis italien, sont de séquences sans dialogues. Tout passe par la mise en scène. C'était le cas chez Sergio Leone. Et chez Hitchcock aussi bien-sûr. Avec "Amer", on voulait retrouver l'essence visuelle du giallo et non pas reproduire les intrigues policières inhérentes au genre. Pas besoin de dialogues pour donner l'impression qu'il se passe beaucoup de choses. Et c'est amusant, car ça nous permet de toucher un public international. La langue n'est plus un handicap.

Pourquoi ce choix de musiques déjà existantes ?
Bruno : On a une grosse collection de bandes originales italiennes à la maison. Et quand on écrit, ce sont des musiques qu'on écoute tous les jours. Mais après on n'arrive plus à imaginer la séquence sans tel ou tel morceau ! D'ailleurs, la connexion n'était pas toujours évidente : c'était marrant de prendre des musiques originales de polars italiens pour parler de l'éveil du désir chez une jeune fille ! On a pu également réutiliser un très beau morceau de Morricone extrait d'un giallo de Paolo Cavara, La Tarentule au ventre noir. Ennio Morricone est célèbre pour ses musiques de westerns pour Leone, mais il a aussi composé des centaines de morceaux magnifiques pour des petits films bien moins connus. C'est une façon de les sortir de l'oubli.

Faut-il prendre des psychotropes avant de voir AMER ?
Hélène : Apparemment oui ! C'est un critique anglo-saxon qui a préconisé ça !! Non, ce n'est pas nécessaire. Quel est l'état idéal pour voir le film ? Disons qu'il faut se laisser aller, ne pas se cramponner aux règles habituelles, aux idées préconçues. Il ne faudrait pas que les fans de giallo ou de Dario Argento arrivent avec leur bagage, leurs références et se mettent à comparer, à confronter. Ce n'est pas la bonne méthode. Dans AMER, ce qu'on propose de partager, c'est la manière dont on a reçu émotionnellement ces films-là. Ce n'est pas un film-hommage. C'est une réappropriation subjective et ludique.

Bruno : D'ailleurs notre mémoire de ces films n'est pas toujours fiable. Il y a dans AMER une séquence de meurtre qui dure deux minutes et trente secondes parce que, pour moi, les séquences de meurtre étaient toujours très étirées dans les gialli. Alors que c'est très souvent le contraire. Quand on revoit les films, on se rend compte qu'elles sont hyper courtes ! Mais c'est cette vision déformée de ce cinéma, qui n'appartient qu'à nous, que nous avons voulu retranscrire. Parfois, des séquences dont on croyait s'inspirer n'existaient en fait que dans notre imagination !

Vos projets ?
Hélène : Un giallo à Bruxelles. C'est une ville de l'Art Nouveau. Nous aimerions utiliser l'architecture. Ce sera le pendant masculin d'"Amer". Avec une intrigue plus "giallesque". "Amer" était une quête. Ce film-là sera plus une enquête !


LE GIALLO : LA PULSION DE MORT DU CINEMA ITALIEN

En France, il y a la Série Noire. La Noire pour les affranchis. En Italie, on dit "giallo" car telle est la couleur des couvertures des romans policiers : jaune ! Et ce depuis 1929 lorsque l'éditeur milanais Mondadori lança la publication de ces récits de mystères et d'investigations dans la foulée d'écrivains anglo-saxons héritiers d'Edgar Poe et d'Arthur Conan Doyle.
Dans le cinéma d'exploitation italien, le giallo est une émanation du genre policier, à la mise en scène stylisée, voire opératique. Il maestro Mario Bava verse le premier sang dans La Fille qui en savait trop" (1963) puis éclairages diaprés, meurtres hyperboliques : les dés sont jetés. Dès lors, le giallo va divulguer son venin durant une quinzaine d'années. Des cinéastes comme Dario Argento. Sergio Martino ou Lucio Fulci rivalisent d'audaces visuelles et soumettent le public à une série d'électrochocs cruels ou sensuels. Les titres de leurs films. L'oiseau au plumage de cristal. Ton vice est une porte close dont moi seule possède la clef. Un lézard à la peau de femme.

Le giallo résiste à la conformité et contamine d'autres genres comme le mélo, le fantastique gothique, voire le drame social. Ses armes ? Tranchantes. Ses intrigues ? Tortueuses. Son design ? Souvent pop, époque oblige. Et sa botte secrète ? Freud ! La grande spécificité du giallo est de servir de réceptacle aux plus troublantes pulsions de l'inconscient : voyeurisme, sado-masochisme, fétichisme, exhibitionnisme. Pendant une large décennie, le cinéma italien va donc se livrer à une séance de psychanalyse impudique qui débute par des soupirs et se clôt dans un râle ultime.



* La database complète du giallo sur Psychovision
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Dernière édition par mallox le Jeu Aoû 26, 2010 11:03 am; édité 1 fois
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MessagePosté le: Jeu Aoû 26, 2010 9:29 am    Sujet du message: Répondre en citant

Bonne nouvelle !

Il sort d'où cet entretien ? Du dossier de presse ?

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MessagePosté le: Jeu Aoû 26, 2010 9:31 am    Sujet du message: Répondre en citant

Valor a écrit:


Il sort d'où cet entretien ? Du dossier de presse ?

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Tout à fait. icon_wink

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MessagePosté le: Jeu Aoû 26, 2010 10:46 am    Sujet du message: Répondre en citant

mallox a écrit:

Des cinéastes comme Dario Argento. Sergio Leone ou Lucio Fulci rivalisent d'audaces visuelles et soumettent le public à une série d'électrochocs cruels ou sensuels.


Ne serait-ce pas plutôt Sergio Martino qu'il faudrait lire ?
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MessagePosté le: Jeu Aoû 26, 2010 11:02 am    Sujet du message: Répondre en citant

flint a écrit:
mallox a écrit:

Des cinéastes comme Dario Argento. Sergio Leone ou Lucio Fulci rivalisent d'audaces visuelles et soumettent le public à une série d'électrochocs cruels ou sensuels.


Ne serait-ce pas plutôt Sergio Martino qu'il faudrait lire ?


Si ! Je me disais aussi en mettant le texte en ligne que Leone, ça faisait bizarre dans leur interview. Comme je lisais en diagonale à ce moment là, j'ai crû qu'ils parlaient des musiques de Morricone évoquées ailleurs.
Bref, y a une erreur dans l'entretien fait par Wild Side.
Merci Flintos, je m'en vais donc la corriger de suite sur le site. icon_wink
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MessagePosté le: Jeu Aoû 26, 2010 11:23 am    Sujet du message: Répondre en citant

Cool! Suis bien content qu'AMER va enfin sortir en DVD. Depuis le temps que je veux le découvrir celui-là! :happy:

Vivement le 27 octobre!
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MessagePosté le: Jeu Aoû 26, 2010 2:50 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Oui vivement !
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MessagePosté le: Jeu Aoû 26, 2010 2:58 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Camif a écrit:
Oui vivement !


Ah non, tu ne vas pas t'y mettre toi aussi ! ico_mrgreen

Perso, je me jouis dessus d'attendre.
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MessagePosté le: Ven Nov 12, 2010 7:05 am    Sujet du message: Répondre en citant

Enter the Void

C'est chez Wild Side que sort début décembre, ce nouvel ofni signé par l'empêcheur de filmer en rond, Gaspard Noé. Comme à sa sortie au cinéma, le film ne manquera pas de diviser.

Celui-ci sortira donc chez Wild Side en Edition Collector 2 dvd, en coffret édition ultime ainsi qu'en blu-ray.

Vous trouverez ci-joint en fin de News, un texte inédit signé du réalisateur !



Enter the void - 2010

Réalisé par Gaspard Noé
Avec Paz de la Huerta, Nathaniel Brown...

Synopsis :

Oscar et sa soeur Linda habitent depuis peu à Tokyo. Oscar survit de petits deals de drogue alors que Linda est strip-teaseuse dans une boîte de nuit. Un soir, lors d'une descente de police, Oscar est touché par une balle. Tandis qu'il agonise, son esprit, fidèle à la promesse faite à sa soeur de ne jamais l'abandonner, refuse de quitter le monde des vivants. Son esprit erre alors dans la ville et ses visions deviennent de plus en plus chaotiques et cauchemardesques. Passé, présent et futur se mélangent dans un maelstrom hallucinatoire.



Par l'éditeur :

Gaspar Noé (Seul contre tous, Irréversible) livre un nouveau film choc et propose une vision à nulle autre pareille de l'univers à la fois sombre mais pourtant coloré de Tokyo... Porté par un duo d'acteurs prometteurs et sublimé par la bande-son de Thomas Bangalter (Daft Punk), ENTER THE VOID est un voyage fascinant et éblouissant dont vous ne reviendrez sûrement pas indemne.
La prouesse esthétique et technologique est indéniable ; l'expérience cinématographique, inoubliable.



CARACTERISTIQUES TECHNIQUES DVD :

Format Image : 2.35, 16/9e comp. 4/3
Format son : Anglais DTS 5.1 et Dolby Digital Stéréo, Français Dolby Digital 5.1
Sous-titres : Français
Durée : 2h34 (version cinéma) – 2h19 (version alternative)

Prix public indicatif : 19,99 Euros l'Ed. 2DVD



CARACTERISTIQUES TECH. Blu-Ray :

Format Image : 2.35
Résolution film : 1080 / 24p
Format son : Anglais & Français DTS Master Audio 5.1 - Sous-titres : Français
Durée : 2h41 (version cinéma) – 2h23 (version alternative)

Prix public indicatif : 24,99 Euros le Blu-ray



COFFRET EDITION ULTIME :

le livre sur l'univers visuel de ENTER THE VOID
(44 pages, format A4 à l'italienne et couverture rigide) incluant :

• le DVD du film • le DVD des compléments
• le Blu-ray • l'affiche cinema 40x60 cm

Prix public indicatif : 49,99 euros



* Sortie le 1er décembre 2010



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ENTREZ DANS LE VIDE


un texte inédit signé Gaspar Noé, inclus dans le livre de l'Edition Ultime

Depuis le premier jour, vivre est un voyage initiatique. On ne sait pas pourquoi on est venus au monde. Mais on prend. On apprend. Au cours de ce voyage, certaines découvertes sont beaucoup plus déterminantes émotionnellement que d'autres.

Ma première rencontre visuelle avec une autre dimension, mon premier voyage hallucinogène, est aussi un des moments les plus marquants de ma vie. Il s'agit de 2001, l'Odyssée de l'Espace ; j'avais alors 7 ans. Je suis encore surpris aujourd'hui de réaliser à quel point ce film a modifié mon avenir. C'est ce film qui, dix ans plus tard, m'a donné envie de fumer des joints, goûter à d'autres produits ou plantes pour traverser d'autres "portes de l'infini". C'est ce film qui, enfant, m'a fait visualiser le futur devant moi, un futur qui serait de plus en plus technologique et que j ‘aurai toutes les chances de connaître. Enfin, c'est ce film qui m'a poussé à faire des études de cinéma en espérant devenir à mon tour un magicien d'Oz.

Le présent, grand mystère, se déploie inexorablement sous nos yeux. Le passé meurt à chaque instant. Au mieux, il nous reste des images et des émotions de plus en plus floues. Ou des objets. Etrangement, l'avenir parait plus réel, concret. Et un projet de film peut alors focaliser presque chacun de nos actes pendant des années, des décennies. Le mien était simple, faire un film pour mettre en images certains états altérés de conscience que j'avais pu connaître mais aussi pour m'amuser à illustrer ces mythes très populaires de décorporation et de survie après la mort. Les années se sont écoulées avec toutes sortes d'expériences plus ou moins enrichissantes.

J'ai lu des récits de gens qui prétendent avoir eu des visions au cours d'une mort clinique (ou NDE : Near Death Experience), j'ai lu Le Livre des Morts Tibétain dont la structure du film est inspirée. Et un soir, j'ai vu La Dame du Lac sous psilocybine qui m'a convaincu que ce projet encore embryonnaire devait être fait en perception subjective.
Entretemps, j'ai réalisé d'autres films qu'au fond j'ai toujours considérés comme secondaires malgré l'amour que j'ai eu pour eux. Enfin un jour j'ai fini par rencontrer les bonnes personnes qui m'ont enfin permis de réaliser mon rêve d'adolescent. L'idée n'était pas du tout de faire un autre 2001 mais un autre "ultimate trip". Kubrick avait fait son film "religieux athée" comme il se plaisait à le décrire. Dans mon cas, l'idée était de faire un mélodrame psychédélique faussement religieux qui puisse à la fois refléter une partie de ma vie, mais aussi mes peurs et désirs, ainsi que des oeuvres que j'ai aimées.
Le projet s'est d'abord appelé Le Souffle, puis Le Livre des Morts en référence au livre tibétain, puis longtemps Soudain, le Vide avant d'être renommé ENTER THE VOID lorsqu'il a été clair que le film pourrait être tourné en anglais. Ne croyant pas à une quelconque forme d'au-delà, "Le Vide" est le terme le plus simple pour décrire ce qui a précédé notre fécondation et succédera à notre mort cérébrale, pour décrire la non-vie. Mais "Le Vide" désigne aussi la courte vie du personnage qui, comme la plupart des gens, sera venu, aura traversé un court chemin sans grand intérêt avant de repartir sans laisser de traces. Et c'est pour cela que le titre est placé à la toute fin du film, après la séquence montrant sa seule et unique naissance.

De multiples réécritures du scénario se sont déroulées sur vingt ans. Au départ, le film devait être un court-métrage. Puis un moyen et enfin un long-métrage, d'abord écrit pour se dérouler en France, puis à New York et enfin à Tokyo.
Les différentes versions ont beaucoup circulé auprès de multiples producteurs avant qu'en 2006 Vincent Maraval convainque ses associés de Wild Bunch et ses partenaires de Fidélité de se lancer dans la production de ce film risqué. Et ma rencontre avec Pierre Buffin, superviseur des effets visuels et coproducteur, permette de mettre en images ces 2h35 de perceptions altérées et de visions mentales.

Le tournage a été long et plein d'embûches. Après des années de travail presque solitaire, je me trouvai soudain au coeur d'une grande bataille collective de 4 mois de réflexion ininterrompue, 7 jours sur 7, 14 heures par jour. Contrairement à ce que l'on peut penser toute drogue, aussi douce soit elle, était interdite sur ou en dehors du plateau. L'état d'épuisement général était suffisant pour provoquer des hallucinations à l'équipe. Le résultat de ces mois acharnés était bien plus beau que ce à quoi je m'attendais, et cela en grande partie grâce aux idées apportées par mes collaborateurs artistiques Benoît Debie, Marc Caro, Kikuo Ohta ou les autres membres du plateau. Ce tournage japonais a été suivi d'un tournage plus calme à Montréal pour les scènes de l'enfance, où j'ai découvert le plaisir de travailler avec des enfants.

Quant à la post-production, elle a elle aussi été épuisante en raison de sa durée d'un an et demi, constamment partagée entre la salle de montage et Buf, la société responsable des effets visuels où l'équipe est montée jusqu'à 60 personnes.

Les images de ce livre résument un peu le film telle une bande dessinée. Mais un film ce sont des images en mouvement, et une durée. Il vaut mieux regarder le film. Et si possible en version anglaise sans sous-titres ou en version française, les petites lettres blanches tuant le concept du film qui est de suivre la perception subjective du personnage principal. Certaines personnes seront peut-être curieuses de découvrir le film dans sa version alternative raccourcie (avec un segment de 17 minutes en moins) tel qu'il a été commercialisé dans certains pays.

Bon visionnage,

Gaspar Noé
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MessagePosté le: Lun Déc 06, 2010 1:25 pm    Sujet du message: Répondre en citant

L'excellent Coco Chanel & Igor Stravinsky est sorti récemment en DVD & Blu-ray chez Wild Side. On en a profité pour in terviewer Jan Kounen à cette occasion...

http://www.1kult.com/2010/12/06/jan-kounen-linterview/

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mallox
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MessagePosté le: Sam Avr 16, 2011 6:41 am    Sujet du message: Répondre en citant

Sound of Noise

Sélectionné au Festival de Cannes, Sound Of Noise sort début mai chez Wild Side. Si vous voulez apprendre à jouer de la musique avec un mourant ou composer une symphonie pour 6 poulets en batteries, ce film est pour vous...



SOUND OF NOISE - 2010

Un film de Ola Simonsson, Johannes Stjarne Nilsson.
Avec Magnus Börjeson, Sanna Persson, Bengt Nilsson...

Synopsis :

L'officier de police Amadeus Warnebring est né dans une illustre famille de musiciens. Ironie du sort, il déteste la musique. Sa vie bascule le jour où un groupe de musiciens déjantés décide d'exécuter une oeuvre musicale apocalyptique en utilisant la ville comme instrument de musique... Il s'engage alors dans sa première enquête policière musicale...

Par l'éditeur :

D'un hold-up artistique à l'autre, ces musiciens hors du commun donnent du fil à retordre au pauvre policier Warnebring qui tente de les arrêter.
Du réanimateur au distributeur de billets, en passant par les bulldozers, tout peut servir d'instrument aux Six Drummers, bien décidés à libérer les sons de la ville.



Le dvd :

Image : 2.35 - 16/9ème compatible 4/3
Son : Suédois DTS 5.1 & Dolby Digital Stereo 2.0

Langues : Suedois
Sous-titres : Français

# Bonus :
- Courts-métrages: Music for one apartment and six drummers (9mn30)
- Music for one X-mas and six drummers (5mn)
- Bandes-annonces

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- Sur le site de l'éditeur :



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Extrait 1

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