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mallox
Super héros Toxic
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 Posté le: Sam Mai 18, 2013 6:22 am Sujet du message: |
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| Citation: | je citerai pour l'exemple cette scène où un jeune s'intalle tout seul sur une jetée avec sa canne à pêche et son seau, il pêche, puis il range son matétriel et s'en va. 5 minutes, parmi tant d'autres, qui ne m'on pas vraiment parlé, mais je dois être obtus ou blasé  |
C'est une image forte. ces jeunes ne trouvent pas leur place dans la société. Ils ont toujours envie d'être ailleurs que là où ils sont.
Je dis ça par pur esprit de contradiction, j'ai vu ce film il y a qcqs années, je n'en ai aucun souvenir. 
Et sinon deux bonnes surprises et demie :
La demie :
Le Dernier rempart
rigine du film : Américain
Réalisateur : Kim Jee-woon
Acteurs : Arnold Schwarzenegger, Forest Whitaker, Johnny Knoxville
Qui se laisse regarder malgré une accumulation d'invraisemblances et de n'importe quoi. Bon, ça vaut pas "J'ai rencontré le diable" et c'est un peu plus dans la lignée du "Bon, la brute et le cinglé", encore que...
Consommable quoi.
Les deux bonnes (voire très bonnes) :
Un oldies que j'avais jamais vu :
L'Homme sauvage - 1968
(The Stalking Moon)
Réalisé par Robert Mulligan
Avec Gregory Peck, Eva Marie Saint, Robert Forster....
Etonnante antithèse de "La prisonnière du désert", puisqu'il s'agit d'un éclaireur, qui, après la visite d'un camps Indien, retrouve une femme enlevée autrefois, laquelle demande à partir. Petit problème : elle a eu entre-temps un enfant avec un guerrier Apache et ne veut pas partir sans lui. Hé bé, le Peck qui au début n'en a rien à cirer, tente même de les abandonner lâchement à une station de train quasi abandonnées, va leur offrir l'hospitalité sauf que le danger guette sans arrêt avec notre guerrier Apache qui compte bien, et on le comprend, récupérer son fils.
Les décors naturels, la photo, sont magnifiques, Peck avec de la bouteille est étonnant, et on y retrouve pas ce que Throma nommait à juste raison la "patine auteurisante" à propos de "L'autre" du même Mulligan. Et donc je lui conseille ce film rugueux (non sans défauts, un ou deux passages légèrement étirés) où le danger plane constamment.
Peut-être le meilleur film de Mulligan !
Un récent :
Sugar Man - 2012
(Searching for Sugar Man)
de Malik Bendjelloul
avec Sixto Díaz Rodríguez, Stephen Segerman...
Après avoir tenté "Tabou" de Miguel Gomes (arrêté au bout de 25 minutes, je défie quiconque ici de le tenter !  ), genre, je vide le rayon flemme, je tente celui-ci et là, Ô lumière, un documentaire sur un chanteur qui, après un hit au Etats-Unis avec kek problèmes pour cause de paroles citant les drogues, fait une immense carrière dans une Afrique du Sud en plein apartheid pour être ensuite porté disparu et cru mort par tout le monde (son dernier concert, raté, se serait fini avec le chanteur se tirant une balle dans la tête), pour finalement être retrouvé 30 ans après, travaillant sur des chantiers, alors que ses disques ont engrangé 500 millions de dollars en Afrique du Sud, dont on ne sait où ils sont passés. Pas ennuyé une seconde, captivant !
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Bigbonn
Psycho-cop
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Messages: 4107
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| Posté le: Sam Mai 18, 2013 8:37 am Sujet du message: |
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Et sa musique est très sympa, j'ai acheté le CD Rodriguez, Coming from reality et je l'apprécie bien.  |
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mallox
Super héros Toxic
Inscrit le: 10 Sep 2006
Messages: 13982
Localisation: Vendée franco-française
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| Posté le: Sam Mai 18, 2013 8:59 am Sujet du message: |
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Absolument, ce que j'ai oublié de dire, c'est qu'en plus, le type avait vraiment du talent, et ses chansons sont très bonnes.
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mallox
Super héros Toxic
Inscrit le: 10 Sep 2006
Messages: 13982
Localisation: Vendée franco-française
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| Posté le: Dim Mai 19, 2013 8:55 am Sujet du message: |
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Le Témoin - 1978
Réalisé par Jean-Pierre Mocky
Avec Alberto Sordi, Philippe Noiret, Roland Dubillard, Gisèle Préville, Paul Crauchet...
À Reims, un riche provincial, M. Maurisson, homme d'affaires, mène une vie sans histoire. Il invite un jour son vieil ami Antonio, peintre italien, afin de restaurer les tableaux de la cathédrale. M. Maurisson commet un crime effroyable dans cette ville de notables: il étrangle une jeune fille de la chorale avec qui il avait eu une relation pédophile. Celle-ci ayant servi de modèle pour Antonio, les soupçons se portent sur lui.
Pris pas mal de plaisir à revoir l'un des tous meilleurs film Mocky, entre Chabrol et la farce grinçante à l'italienne. Le gros défaut du film finalement, c'est que dès le départ, on a un peu de mal à croire en la vieille amitié entre Sordi et Noiret, mais pour le reste, c'est excellent, dégueulasse et assez jubilatoire. (Un film pour Valor et Sylvain 1 Kult vu le sujet et les jeunes filles pas encore complètement formées...)
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Et sinon, vu que le fiston étudie la fin de l'empire Romain, les huns, les barbares, toussa, après Attila et Spartacus, il voulait voir ça !
Et donc, ça fait juste 5 fois que je le vois (dont une au cinéma y a perpet), et si je connais le film par coeur ayant passé 15h de ma vie devant , j'ai été assez stupéfait par l'emploi des décors naturels (vraiment chouettes) et le nombre de figurants impressionnant qui fait ressembler "Gladiator" à "Schrek".
La chute de l'empire Romain - 1963
Un projet pharaonique, un film que j'apprécie vraiment bien mais aussi l'un des films les moins rentable de l'histoire du cinéma et dont Ridley Scott a allègrement pris dedans... D'ailleurs Richard Harris qui devait tenir le rôle de Commodius dans le film de Mann, tient dans "Gladiator" celle de Marc-Aurèle (tenu ici par Alec Guiness).
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sigtuna
Super héros Toxic
Inscrit le: 08 Jan 2010
Messages: 3818
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| Posté le: Dim Mai 19, 2013 9:09 pm Sujet du message: |
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| mallox a écrit: |
La chute de l'empire Romain - 1963
Un projet pharaonique, un film que j'apprécie vraiment bien mais aussi l'un des films les moins rentable de l'histoire du cinéma et dont Ridley Scott a allègrement pris dedans... D'ailleurs Richard Harris qui devait tenir le rôle de Commodius dans le film de Mann, tient dans "Gladiator" celle de Marc-Aurèle (tenu ici par Alec Guiness).
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La scène de la décimation m'avais marquer gamin au point que je m'en souviens encore aujourd'hui (Nicolaesu la reprendra d'ailleurs dans "les guerriers" ) non pas tant par son aspect spectaculaire que parce qu’elle m'a révélé le sens premier du terme.
Mais dans le genre "film épique à grand spectacle tourné par Mann en Espagne avec Sophia Loren" je préfère quand même "le Cid" 
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mallox
Super héros Toxic
Inscrit le: 10 Sep 2006
Messages: 13982
Localisation: Vendée franco-française
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| Posté le: Mer Mai 22, 2013 7:59 am Sujet du message: |
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Ecoute, "Le Cid", vu à la télé autrefois, était un beau spectacle mais moi ça m'ennuyait, ça faisait que jacter. Du coup, depuis j'ai lu la pièce de Corneille mais j'ai pas revu le film.
Sinon, seul hier soir, j'ai tenté celui-ci...
Que j'ai regardé avec mon rat, histoire de rendre hommage au réalisateur.
Et, euh, ça ne m'a pas laissé indifférent (la preuve, j'ai pas supporté plus de 40 min ) et je sais quoi en penser : Exécrable.
Par contre, la musique du début (celle qui couvre le générique et la longue scène où la femme court la touffe à l'air sous un imperméable) est excellente. Mais c'est tout ce que j'ai trouvé de bien dans ce foutoir giallesque bâclé. Encore que si j'ai tout compris, le réalisateur était très malade lorsqu'il l'a tourné... parce venant du type qui a fait "La Rose écorchée", ça laisse perplexe.
Après, en soif de substance, j'ai enchainé avec ça :
Les Hommes contre - 1970
Francesco Rosi
Avec Alain Cuny, Gian Maria Volonte, Mark Frechette...
Qui est une sacrée tuerie ! On rappelle que l'Italie détient le triste record de soldats fusillés durant la grande guerre, avec des soldats qui se mutilaient eux-mêmes pour échapper au charnier.
Marrant de voir également que les réalisateurs italiens de l'époque tombaient parfois dans un certain didactisme. là, on a droit à un Gian Maria Volonte qui refait la définition du socialisme avant de vouloir se retourner physiquement contre la hiérarchie. ceci étant, ça ne gène pas, au contraire, ça s'inscrit parfaitement dans une vision d'époque.
L'un des rares films de guerre où l'on tue plus de gens de son propre camps que d'ennemis.
Un film qui eut les faveurs d'un procès pour "dénigrement envers l'armée". L'accusation fut déboutée, d'autant qu'il fut prouvé que tout dans le film était vrai.
A ranger aux côtés de "Les sentiers de la gloire", "Pour l'exemple" et "croix de fer".
Quant à Mark Frechette, ici très bon, il mourut en prison 3 ans après ce film je crois (pas vérifié), après avoir fait un casse.
Gros spectacle. totalement hallucinant et très prenant.
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igorfx
40 % irradié
Inscrit le: 19 Sep 2006
Messages: 484
Localisation: Au-delà d'URL
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| Posté le: Mer Mai 22, 2013 8:43 am Sujet du message: |
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| mallox a écrit: |
Les Hommes contre - 1970
Francesco Rosi
Avec Alain Cuny, Gian Maria Volonte, Mark Frechette...
Qui est une sacrée tuerie ! On rappelle que l'Italie détient le triste record de soldats fusillés durant la grande guerre, avec des soldats qui se mutilaient eux-mêmes pour échapper au charnier.
Marrant de voir également que les réalisateurs italiens de l'époque tombaient parfois dans un certain didactisme. là, on a droit à un Gian Maria Volonte qui refait la définition du socialisme avant de vouloir se retourner physiquement contre la hiérarchie. ceci étant, ça ne gène pas, au contraire, ça s'inscrit parfaitement dans une vision d'époque.
L'un des rares films de guerre où l'on tue plus de gens de son propre camps que d'ennemis.
Un film qui eut les faveurs d'un procès pour "dénigrement envers l'armée". L'accusation fut déboutée, d'autant qu'il fut prouvé que tout dans le film était vrai.
A ranger aux côtés de "Les sentiers de la gloire", "Pour l'exemple" et "croix de fer".
Quant à Mark Frechette, ici très bon, il mourut en prison 3 ans après ce film je crois (pas vérifié), après avoir fait un casse.
Gros spectacle. totalement hallucinant et très prenant. |
Je vois que tu es abonné comme moi à Ciné classic et j'ai bien aimé aussi cet Hommes contre avec son général gravissime... le passage qui m'a le plus marqué c'est quand des soldats cuirassés sortent des tranchées et ensuite se font tous dégommer... et que le général rappelle le souvenir les armées romaines et leurs boucliers qui les rendaient invincibles... imparable... |
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mallox
Super héros Toxic
Inscrit le: 10 Sep 2006
Messages: 13982
Localisation: Vendée franco-française
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| Posté le: Mer Mai 22, 2013 8:52 am Sujet du message: |
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Y a pas mal de passages marquants dans ce film. Entre le soldat qui s'en va en marchant droit, couper les fils barbelés, sachant d'avance qu'il n'a aucune chance, le coup de "Victoria" sur les baïonnettes, dont le nom est caché par la rouille...
Je l'avais déjà vu il y a une quinzaine d'années sur la même chaine. Je m'étais désabonné car je trouvais que les films repassaient trop souvent. Content de l'avoir revu en tout cas, d'autant que j'avais moins apprécié à la première vision. j'avais trouvé Cuny trop théâtral et là, en fait, non.
Grosse claque et film très immersif en tout cas.
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sigtuna
Super héros Toxic
Inscrit le: 08 Jan 2010
Messages: 3818
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| Posté le: Mer Mai 22, 2013 4:01 pm Sujet du message: |
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Autre scène marquante quand une voie venu des tranchées autrichiennes leur supplie d’arrêter les assauts suicidaires et totalement inutile. 
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mallox
Super héros Toxic
Inscrit le: 10 Sep 2006
Messages: 13982
Localisation: Vendée franco-française
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| Posté le: Ven Mai 24, 2013 6:47 am Sujet du message: |
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A relire je me demande si le film n'est pas une succession de scènes marquantes. J'arrête as d'y repenser, il me hante.
Sinon, comme ça, vu en arrière-première à Malmö hier soir...
Royal Affair - 2012
Réalisé par Nikolaj Arcel
Avec Alicia Vikander, Mads Mikkelsen, Mikkel Boe Følsgaard, Trine Dyrholm...
Un drame historique dano-suédo-tchèque que j'ai trouvé que c'était un film pas mal du tout. Entre le siècle des "tortures" et le siècle des lumière. Relativement édifiant, bien fichu, une ode au libertinage et à la liberté d'expression. 2h15 qui sont passées vite. Voilà.
(Vu en mkv 320kps ac3 audio lame, définition : 1024x768, vostfr, trad par la SigtunaTeam). 
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mallox
Super héros Toxic
Inscrit le: 10 Sep 2006
Messages: 13982
Localisation: Vendée franco-française
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| Posté le: Dim Mai 26, 2013 10:24 am Sujet du message: |
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Les Mongols - 1961
Réalisé par André De Toth & Leopoldo Savona (& Riccardo Freda)
Avec Jack Palance, Anita Ekberg, Franco Silva, Gianni Garko, Antonella Lualdi...
Vaut surtout pour les interprétations de Palance et Ekberg, un film historiquement très farfelu, avec un Gianni Garko blondin encore un peu emprunté et fallot, et dans lequel Genghis Khan est y est décrit comme un homme sage. ça se laisse voir mais c'est tout de même pas transcendant, passé un début sanguignolesque et sadique bienvenu.
Un Espion de Trop - 1977
Réalisé par Don Siegel
Avec Charles Bronson, Lee Remick, Donald Pleasence...
un Siegel mineur à voir comme une bande-dessinée avant tout tant c'est gros et jamais vraisemblable. Faut voir Donald Pleasence en soviétique affublé le temps d'une scène, d'une perruque bonde aryenne. Une récréation sympa mais pas plus. (Chouette zik de Laslo Schiffrin en revanche !).
Gabe : Un amour de chien
20 minutes. 
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Stegg
20 % irradié
Inscrit le: 26 Fév 2011
Messages: 110
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| Posté le: Mar Mai 28, 2013 6:37 am Sujet du message: |
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| mallox a écrit: |
un Siegel mineur à voir comme une bande-dessinée avant tout tant c'est gros et jamais vraisemblable. |
Tss, c'est sérieux la BD, ça donne des Palmes d'or maintenant 
(N'empêche qu'en tant qu'amateur de BD, je ne suis pas d'accord avec cette phrase, même si je comprend ce que tu veux dire ) |
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sigtuna
Super héros Toxic
Inscrit le: 08 Jan 2010
Messages: 3818
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| Posté le: Mar Mai 28, 2013 6:58 am Sujet du message: |
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| mallox a écrit: |
Les Mongols - 1961
Réalisé par André De Toth & Leopoldo Savona (& Riccardo Freda)
Avec Jack Palance, Anita Ekberg, Franco Silva, Gianni Garko, Antonella Lualdi...
Vaut surtout pour les interprétations de Palance et Ekberg, un film historiquement très farfelu, avec un Gianni Garko blondin encore un peu emprunté et fallot, et dans lequel Genghis Khan est y est décrit comme un homme sage. ça se laisse voir mais c'est tout de même pas transcendant, passé un début sanguignolesque et sadique bienvenu.
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Plus grand souvenir, à part que la blonde Ekberg était balourdé dans le film comme étant une princesse mongole (sans le moindre début d'explication sur une quelconque origine allogène).
Les scènes d'action attribué à Freda ne m'ont pas marqué non plus.
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mallox
Super héros Toxic
Inscrit le: 10 Sep 2006
Messages: 13982
Localisation: Vendée franco-française
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| Posté le: Mar Mai 28, 2013 7:07 am Sujet du message: |
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| Stegg a écrit: | | mallox a écrit: |
un Siegel mineur à voir comme une bande-dessinée avant tout tant c'est gros et jamais vraisemblable. |
Tss, c'est sérieux la BD, ça donne des Palmes d'or maintenant
(N'empêche qu'en tant qu'amateur de BD, je ne suis pas d'accord avec cette phrase, même si je comprend ce que tu veux dire ) |
je suis pas certain que tu comprennes. Je parlais du contexte de "La guerre froide" dans lequel se situe le film. En 1977, c'était soit passé de mode, soit un combat d'arrière-garde. C'est pour dire que Siegel s'en sert pour une pure distraction avec ce que cela comporte d'outrances et de caricatures au niveau des personnages aux traits bien épais sinon tout droit issus des comics.
Et je déconnais à peine sur FB, je suis vraiment au jus de rien niveau Cannes. Rien à foutre de ce festival (j'y suis allé 2 fois y a 15 ans, c'était un concours de journalistes qui claquent leurs sièges pour se montrer), je ne vais pas sur les portails d'information (et j'ai un peu tort), sur FB je zappe toutes ces merdes de buzzs rebuzzés et re-rebuzzés, et Spielberg sur lequel tout le monde se branle comme si c'était Louis Lumière, j'en ai que dalle à cirer aussi. J'ai vu qu'on faisait débat sur un film "lesbien", sur des propos de François Ozon, que ça débattait à tout va... euh... de la pure branlette qu'on donne aux cochons : 
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mallox
Super héros Toxic
Inscrit le: 10 Sep 2006
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Localisation: Vendée franco-française
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| Posté le: Jeu Mai 30, 2013 4:06 pm Sujet du message: |
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| Mickeypedia a écrit: | | Le Bison blanc (The White Buffalo), est un western américain réalisé par J. Lee Thompson, avec Charles Bronson, sorti en 1977. Échec à sa sortie, difficilement visible pendant des années, le film est devenu culte. |
Arf, c'est vraiment mauvais pas bon figé empoulé emprunté, et pis la fourche dans l'cul au bison et pis c'est tout ! 
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