[M] [Critique] Mort ou vif... de préférence mort - 1969

 
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mallox
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MessagePosté le: Lun Mar 30, 2015 7:59 am    Sujet du message: [M] [Critique] Mort ou vif... de préférence mort - 1969 Répondre en citant




La chevauchée vers l'ouest - 1969
(Vivi o preferibilmente morti)

Origine : Italie / Espagne
Genre : Western / Comédie

Réalisé par Duccio Tessari
Avec Giuliano Gemma, Nino Benvenuti, Antonio Casas, Sydne Rome, Chris Huerta, George Rigaud, Julio Peña...

Autres titres : Mort ou vif... de préférence mort / Morts ou vifs mais de préférence morts / Gentleman Cow Boy / Sundance and the Kid (USA)




Afin de toucher l’héritage de son oncle, Monty (Giuliano Gemma), joueur et flambeur, doit vivre pendant six mois avec son frère Ted, un fermier bougon et solitaire. Peu enclin à vivre l’aventure de l’ouest, mais poussé par l’impatience de ses créanciers, Monty part rejoindre la ferme de Ted. Alors que tout sépare les deux frères, ils vont devoir apprendre à se connaître, et faire équipe pour affronter une bande de pillards...




On connaît bien Duccio Tessari : artisan qui, à l'instar de ses confrères, se fondit dans les genres en vogue avec plus ou moins de bonheur. Il n'en demeure pas moins, avec 37 films au compteur en tant que réalisateur et ses travaux d'écritures pour d'autres metteurs en scène, une particule non négligeable du cinéma d'exploitation. Son premier, "Les Titans", était une réussite, un péplum dynamique et bondissant ayant la particularité de mixer aventures et humour dans un tout très homogène, voire même revigorant. La suite de sa carrière sera plus inégale, même s'il assoira peu après sa réputation avec deux petits classiques du western spaghetti : "Un pistolet pour Ringo" et sa suite, encore plus réussie, "Le retour de Ringo". C'est durant les années 60 que celui-ci livre son meilleur travail, ce dernier ne semblant plus toujours trouver ensuite les ingrédients pour concocter des spectacles alertes, distrayants. Ainsi ses œuvres plus sérieuses des années 70 et 80 ne retrouveront jamais la rigueur et la nervosité de "Le bâtard" dans lequel, en 1968, Giuliano Gemma côtoyait Klaus Kinski et Rita Hayworth. On peut citer en vrac "La Mort remonte à hier soir", "Un papillon aux ailes ensanglantées", "L'homme sans mémoire" ou même encore le mollasson "Les Durs" comme exemples typiques d'un cinéma toujours inégal, un brin anémique. Ses films ne retrouveront pas non plus la verve des "Titans", ni même le timing serré de ses "Ringo" ; ainsi son "¡Viva la muerte... tua!" décevra également. Restent un "Big Guns" de plutôt bon aloi ainsi qu'un "Zorro" assez correct, bien que mal reçu lui aussi par les critiques de l'époque. Tessari retrouvera ensuite un registre plus familial aux côtés de Giuliano Gemma avec "Safari Express" puis, dans les années 80, un assez piètre "Tex et le seigneur des abysses"...




Quant à celui qui nous préoccupe, s'il sort ces jours-ci chez l'éditeur Artus Films sous le titre de "Mort ou vif... de préférence mort", traduction littérale du titre original, il connut une sortie sur le territoire français sous le titre "La chevauchée vers l'ouest". Réalisé à la fin des années 60, on peut donc le classer dans sa période considérée comme étant la plus faste par l'auteur de ses modestes lignes.

Inégal, se ratant par moments, "La chevauchée vers l'ouest" demeure pourtant un spectacle sympathique en plus d'être, à sa manière, une œuvre précurseur, distillant une bonne dose d'humour, de burlesque et même de slapstick, dans un genre jusque là davantage porté sur le sadisme et l'ironie. A la même période et avant "Trinita", n'en déplaise à ceux qui voudraient voir ici une pure capitalisation du succès d'Enzo Barboni, sortait également "Ciel de plomb" de Giulio Petroni avec toujours Giuliano Gemma, deux films qui, au sein du western spaghetti, devançaient bien des mélanges à venir. Finalement, à bien y regarder, "Vivi o preferibilmente morti" tente de reprendre la recette, faite d'humour de bande-dessinée, des "Titans", et de l'appliquer à un autre genre.

Pour ce faire et porter à l'écran ce projet de plusieurs années, Tessari avait porté son choix depuis longtemps sur le tandem Gemma/Benvenuti, deux hommes se connaissant depuis belle lurette et amis à la ville. Tessari trouvait que les deux amis se ressemblaient tant qu'il lui fallait trouver une histoire dans laquelle ils seraient frères. C'est donc chose faite avec ce western burlesque qui connut un assez bon succès public tandis qu'il fut boudé par la critique, notamment à cause du jeu très controversé de Nino Benvenuti. L'homme était alors champion du monde de boxe des poids moyens, sa renommée n'était plus à faire ; clair qu'associer les deux noms au générique aurait pu s'avérer une idée fructueuse, tant au niveau pécuniaire que de l'imagination. Le résultat s'avéra plus mitigé...




Pourtant, il n'y aucun procès à faire à Nino Benvenuti qui forme un tandem très homogène avec son comparse Giuliano Gemma. Certes, celui-ci est pourvu d'un faciès assez peu expressif et tenant a priori de la brute épaisse, mais c'est ce qui fait qu'ici, l'association fonctionne. A fortiori aussi parce que les deux personnages qui nous sont présentés n'ont rien de héros et revêtent le plus souvent des allures de "Deux nigauds dans l'Ouest". Le ton est léger, proche de la bande-dessinée, les péripéties et les gags s'enchaînent à vive allure sur une musique de Gianni Ferrio soulignant ces tonalités avec à-propos et entrain. Il en va de même pour les seconds plans, aussi bien l'incontournable George Rigaud que les très à l'aise Antonio Casas (le troisième larron du film) et Chris Huerta (excellent en méchant de carnaval). On rajoutera, pour "les formes", la jeune Sydne Rome dont c'est quasiment le premier rôle au cinéma ; on venait juste de l'apercevoir la même année dans "Some Girls Do" (Dieu pardonne, elles jamais !) ici chroniqué.

Non, ce qui tout compte fait nivelle parfois vers le bas cette "Chevauchée vers l'ouest", c'est son côté mécanique : la volonté de reprendre des ingrédients des "Titans" (en gros, dévier le western vers le comique comme il l'avait fait avec le péplum) confère à la bobine une certaine lourdeur. Du coup, certaines situations sont drôles : Gemma tirant sur la lampe à pétrole alors qu'ils sont tous deux embusqués et mettant ainsi le feu à la petite maison qui les protégeait, Benvenuti se tirant au grand galop pour se prendre deux secondes plus tard une coriace branche d'arbre en pleine poire ... D'autres, en revanche, pourront paraître plus lourdes. S'il y a une scène que l'on retient après-coup, c'est celle de la salle de bain "savonneuse", se voulant clou du spectacle, en faisant de trop, mais finissant par fonctionner grâce à une ultime couche finale où nos deux zéros, déjà las de devoir payer les dégâts, passent alors à travers le plancher. Entre-temps, le comique à tendance slapstick s'étire parfois lourdement et inutilement, ne trouvant pas toujours la grâce nécessaire pour que le rire tienne de l'évidence. On dira pour résumer que "les plus courtes sont les meilleures", et l'on citera encore avant de conclure une scène également un peu pataude : une interminable baston dans un train dont l'un des wagons finit par être intégralement mis à nu...




Bref, dans "Mort ou vif... de préférence mort", un coup ça passe, un coup ce n'est pas loin de casser. Ceci étant, l'ensemble, tout inégal qu'il soit, est tout de même globalement assez plaisant et à rebours, la mauvaise réputation du film semble excessive.








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Mort ou vif... de préférence mort - Artus Films


Région : Zone 2 PAL

Editeur : Artus Films
Pays : France

Sortie film : 28 juillet 1971 (France - sous le titre "La chevauchée vers l'Ouest") / 17 September 1969 (Italie)
Sortie dvd : 5 mai 2015

Durée : 97'36
Image : 1.85:1 (16/9ème compatible 4/3)
Audio : Dolby Digital 2.0

Langues : français, italien
Sous-titres : français (optionnels)

Bonus :
- "La chevauchée vers l'Ouest", par Curd Ridel
- Diaporama d'affiches et photos
- Film-annonce (ainsi que les bandes-annonces de la collection Western européen)




Commentaire : Rien à redire sur la copie ici présentée, d'un western de qualité non négligeable.
Pas de scories à signaler, l'image conserve de beaux contrastes en plus de sa petite patine d'époque. On note que la piste française est d'excellente qualité, le très bon doublage n'étant pas étranger à celle-ci (Claude Giraud pour Gemma, Serge Sauvion pour Benvenuti). Aucune scène manquante non plus à signaler.




Concernant le bonus principal, le sympathique Curd Ridel rappelle la passion de Giuliano Gemma pour la sculpture en plus de ses talents pour le sport (athlétisme, boxe, natation...), revient sur sa rencontre avec Nino Benvenuti, autre boxeur s'il en est, lorsqu'ils étaient tous deux sapeur-pompiers. Curd Ridel enchaîne avec sa carrière cinématographique, notamment avec "Les titans" du même Tessari, qui lança celle-ci, ce, avant de l'asseoir avec les deux opus de "Ringo". Il fait un tour d'horizon des dix-sept westerns dans lesquels il a joué ("Le dollar troué", "Arizona Colt", "Le Dernier jour de la colère", "Sella d'Argento"...). Il revient également sur Duccio Tessari qui considérait le comédien comme un acteur d'exception, dans la mesure où celui-ci savait tout faire ("un acteur magique et un singe hyper habile").
Ensuite, notre interlocuteur évoque sa rencontre fortuite avec l'acteur, par hasard, dans Paris, près du Moulin Rouge. On comprend néanmoins son enthousiasme à ce niveau.
On en vient ensuite à Nino Benvenuti, dont c'est le seul western. Il retrace sa carrière de boxeur et parle ensuite de sa ressemblance physique avec Giuliano Gemma (en plus de celle avec Depardieu, non évoquée), laquelle aurait inspiré Tessari pour un projet où les deux hommes camperaient deux frères. Benvenuti ne se sentait pas du tout acteur et retourna vers la boxe juste après le tournage, pour être détrôné de son titre de champion du monde des poids moyens par Carlos Monzón (lui aussi acteur occasionnel avec "Il conto è chiuso", "El macho"...).




S'ensuit, toujours dans le même bonus, la carrière de Sydne Rome dont c'est l'un des premiers grands rôles au cinéma, puis celle du réalisateur. Bref... rien de bien neuf et surtout, peu d'informations qui ne se trouvent pas facilement sur internet.
Globalement, cependant, c'est un bonus plaisant mais qui, par moments, s'égare dans l'anecdotique (le titre fantaisiste américain du film, la "rumeur" de liaison entre Sydne Rome et Gérard Lenorman, la chirurgie esthétique de la dame, Giuliano Gemma et son visage déformé par une explosion …) ; des cancans plutôt sympathiques ceci dit, pour ceux qui, comme votre serviteur, aiment ça, mais qui oublient un petit peu le film lui-même. Il faut attendre la 42ème minute pour qu'enfin le sieur Ridel parle du film (sixième collaboration entre Tessari et Gemma), et l'on arrive au bout des 46 minutes sans jamais savoir ce que pense la personne de "Mort ou vif... de préférence mort", si ce n'est que c'est l'un des tous premiers westerns spaghettis comiques, donc précurseur (avec "Ciel de plomb")... un tour de force en quelque sorte ! (On peut cependant supposer que l'intéressé n'apprécie pas plus que cela le film ici proposé).




Restent le petit diaporama avec ses affiches et sympatoches photos d'exploitation ainsi que pour rappel, les bandes-annonces de la collection.
Bien entendu, il va de soi que je ne vous dis pas tout et que ce petit avis sur ledit dvd n'empêche pas les amateurs du genre de s'en repaître. Achat plutôt conseillé, le film en valant plutôt le coup.



P.S. : d'autres infos précieuses, notamment sur les doubleurs français, ICI
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Dernière édition par mallox le Ven Avr 13, 2018 8:28 am; édité 6 fois
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sigtuna
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MessagePosté le: Lun Mar 30, 2015 9:43 am    Sujet du message: Re: [Critique + DVD] Mort ou vif... de préférence mort - 196 Répondre en citant

enaccord8
mallox a écrit:

On en vient ensuite à Nino Benvenuti dont c'est le seul western. Il retrace sa carrière de boxeur et parle ensuite de sa ressemblance physique avec Giuliano Gemma (en plus de celle avec Depardieu, non évoquée), laquelle aurait inspiré Tessari pour un projet où les deux hommes camperaient deux frères.
suspect une ressemblance très discutable dans les 2 cas (à part la coupe de cheveux).
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mallox
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MessagePosté le: Lun Mar 30, 2015 10:01 am    Sujet du message: Répondre en citant

Je trouve aussi. En fait, je n'y avais même pas pensé...
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Throma
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MessagePosté le: Lun Mar 30, 2015 6:44 pm    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai passé un très agréable moment en le revoyant tout récemment.
Marrant le parallèle que tu tisses avec "Les titans", je n'ai pas du tout ressenti le calque entre les 2, à part la présence de Gemma.
Mais après, c'est comme un Parolini qui place les mêmes ingrédients dans ses westerns, qu'il transposera ensuite dans d'autres genres qu'il a abordé (gadgets, enrobage fumetti très coloré).
Pourquoi s'en départir si cela marche ?

"Mort ou vif..." démarre d'une manière tout de même totalement inédite. Comme dit ailleurs, on se croirait dans un conte hivernal de Dickens.
Ensuite, on évolue en territoire Hill/Spencerien mais en moins chiant en fait frank_PDT_10
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mallox
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MessagePosté le: Mar Mar 31, 2015 4:36 am    Sujet du message: Répondre en citant

Hum... j'ai légèrement affiné... qu'il n'y ait pas de malentendu... pas un calque, mais disons qu'il fait avec le western ce qu'il avait fait avec le péplum. Il instille un humour de bd et on pourrait facilement comparer celui-ci à Lucky Luke, l'autre à Asterix, pour caricaturer un peu.
Mais je trouve que ça ne marche pas toujours ici et dans le dernier tiers ça s'essouffle même un peu. Je crois qu'on diverge là-dessus en fait.

Sinon je le situe plus sur un axe "Providence"/"Le blanc, le jaune et le noir" que les Spencer/Hill. Y a le côté bon enfant mais aussi de l'autodérision et on s'amuse pas mal des ratés de ces personnages (comme dans Les Titans frank_PDT_10 ) - dans les Spencer/Hill, ils se complètent, sont ingénieux et brutes, là, ils sont juste un peu bête et l'idée est plus sympa, même pour un spectacle familial. D'autant qu'on n'est pas vraiment dans la parodie non plus.

Pour le début, je le trouve original aussi mais il m'a laissé perplexe, ça met un peu de temps à se mettre en selle (peut-être aussi que la musique de Ferrio est trop lamda). Par contre je l'ai plus vu comme un clin-d'oeil au début du 20ème siècle, au temps du muet et au slapstick de cette époque qui est ensuite déployé.
Je le trouve pas tant inédit que ça... (mais je suis d'accord pour l'ambiance Dickens) en fait il m'a fait penser, même si les deux films n'ont strictement rien à voir, au prof d'histoire tuberculeux du "Dernier face à face" qui s'en va de la Nouvelle-Angleterre vers l'Ouest, pour tomber ensuite sur Beauregard Bennet.

Ceci dit, je suis quand même d'accord sur le fait que tout cela est bien sympa. J'ai également passé un bon moment devant. (même si j'ai quelques pinailleries à faire valoir ! (Mais c'est finalement peut-être moi qui fait fausse route, c'est possible...) new_arme1 )
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flint
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MessagePosté le: Mer Avr 01, 2015 3:19 pm    Sujet du message: Re: [C][Critique + DVD] Mort ou vif... de préférence mort - Répondre en citant

mallox a écrit:
... la "rumeur" de liaison entre Sydne Rome et Gérard Lenorman, la chirurgie esthétique de la dame...


Elle était parfaite, cette chirurgie esthétique. Moi, à la place de Tim Burton pour son premier Batman, j'aurais choisi Sydne Rome à la place de Nicholson. frank_PDT_10
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Pierre
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MessagePosté le: Mer Avr 01, 2015 6:34 pm    Sujet du message: Re: [C][Critique + DVD] Mort ou vif... de préférence mort - Répondre en citant

flint a écrit:
mallox a écrit:
... la "rumeur" de liaison entre Sydne Rome et Gérard Lenorman, la chirurgie esthétique de la dame...


Elle était parfaite, cette chirurgie esthétique. Moi, à la place de Tim Burton pour son premier Batman, j'aurais choisi Sydne Rome à la place de Nicholson. frank_PDT_10


Il lui avait proposé le rôle mais elle a paraît-il répondu: joker.

Tessari c'est pas lui qui a fait ce film où Luc Meranda est amnésique ? Dans mon souvenir c'était plutôt bien fait mais mollasson.

Sinon j'aime beaucoup le retour de Ringo avec ses clins d'oeil à l'Odyssée.

Pour finir, ça me gêne toujours de voir un bonus où la personne qui nous présente le film ne dit pas ce qu'elle en pense réellement (et ça arrive souvent pour ce type de cinéma), l'exercice est délicat se serait en effet anti-commercial de débiner le film sur son propre support de commercialisation mais un peu de courage des fois, ça ne ferait pas de mal !
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MessagePosté le: Mer Avr 01, 2015 6:40 pm    Sujet du message: Re: [C][Critique + DVD] Mort ou vif... de préférence mort - Répondre en citant

Pierre a écrit:

Pour finir, ça me gêne toujours de voir un bonus où la personne qui nous présente le film ne dit pas ce qu'elle en pense réellement (et ça arrive souvent pour ce type de cinéma), l'exercice est délicat se serait en effet anti-commercial de débiner le film sur son propre support de commercialisation mais un peu de courage des fois, ça ne ferait pas de mal !

Je crois que dans ce cas là l’éditeur n’inclurais pas ce bonus dans son dvd. new_diable
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mallox
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MessagePosté le: Mer Avr 01, 2015 6:43 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Je pense que Pierre a raison pour le coup. En plus Curd Ridel l'avait fait (sans trop s'attarder) sur "Joe L'implacable", je crois. Là, rien de son ressenti sur le film. Et 46 min, non pas 23.
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