[M] [Critique + DVD]Journée noire pour un bélier

 
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mallox
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MessagePosté le: Ven Jan 18, 2008 9:42 am    Sujet du message: [M] [Critique + DVD]Journée noire pour un bélier Répondre en citant



Journée noire pour un bélier - 1971
(Giornata nera per l’ariete)

Origine : Italie
Genre : Giallo bête à cornes.

Réalisé par Luigi Bazzoni
Avec Franco Nero, Silvia Monti, Wolfang Preiss, Ira von Furstendberg, Edmund Purdom, Rosella Falk, Renato Romano, Agostina Belli

Musique : Ennio Morricone



Le nouvel an, on ne le sait que trop bien, a souvent des relents de déprime, tant et si bien que le nombre de suicides a même tendance à augmenter en cette période. Il est peu dire que dans Giornata nera per l'ariete les statistiques vont grimper puisque, en préambule, un réveillon entre amis dégénère dès le lendemain, voyant les convives se faire trucider ensuite un à un. Parmi eux, un personnage que l'on ne quittera dès lors plus, héros pathétique autant qu'antipathique en la personne d'Andrea Bild (Franco Nero), journaliste sur le déclin et Don Juan notoire doté qui plus est d'un fort penchant pour la bouteille.



Quoi qu'il en soit, notre bélier du titre aura en effet de quoi devenir chèvre puisque le voici semble t-il devenu potentielle victime : recevant d'abord un message anonyme fait d'une voix trafiquée sur bande, il passera donc en toute logique ensuite au statut de suspect, ainsi qu'à celui de victime désignée. Notre journaliste, loin de faire un delirium tremens et de s'en laisser compter, va transformer cette double menace, à son sens absolument injustifiée malgré les soupçons pesant sur sa personne, en motivation à enquêter lui-même sur ces meurtres évoluant à la lisière d'un occulte mysticisme, le mode opératoire pour le moins singulier du meurtrier, étant que les victimes sont tuées un mardi, chacune d'entre-elles étant par extension née sous le signe astrologique du Bélier, à l'instar de notre gratte-papier prêt-à-tout ; pour le petit détail concernant le modus operandi : chacune d'elles, lors de leur mise à mort, se fait couper un ou plusieurs doigts alors qu'un gant de cuir est chaque fois abandonné juste après aux côtés des cadavres. Ce détail saugrenu ira graduellement... ainsi la première victime est amputée d'un doigt, la seconde de deux doigts, et ainsi de suite... Vous l'aurez compris et comme le titre l'indique, les temps sont durs pour les natifs du Bélier et notre sombre héros devra à la fois se méfier et baisser la tête pour foncer tête en avant.



Autant ne pas tergiverser, Giornata nera per l'ariete est une réussite. Esthétiquement superbe, doté d'un scénario fidèle aux codes du genre, très bien interprété par des acteurs dont on connaît au préalable le charisme et le talent, à l'unanimité excellents ici. De plus, le film est solidement mis en scène et ce de façon très équilibrée par son réalisateur Luigi Bazzoni qui parvient ici à livrer une intrigue à la progression maîtrisée.
On ne peut pas dire qu'il s'agisse d'un réalisateur prolifique, ce dernier n'ayant en tout et pour tout réalisé que sept films. Après avoir commencé sa carrière comme assistant auprès de Mauro Bolognini ("Le Bel Antonio"), réalisateur avec lequel il travailla souvent ("Metello"), l'on citera pour mémoire quelques réalisations comme l'astucieux mais inégal L' Homme, l'orgueil et la vengeance avec déjà Franco Nero, puis le fort réussi Le Orme avec Florinda Bolkan. Bazzoni ne semble pas tourner pour rien, avec semble t-il une volonté de tordre son matériau.



Journée noire pour le Bélier, tourné entre les deux films susnommés est, comme suggéré ci-avant, un essai transformé.
Autant dire, à bien le regarder, que son réalisateur fait partie des gens exigeants. Bazzoni ne prend manifestement pas son public potentiel pour un imbécile, ce qui, sans citer de noms, est chose assez courante dans la production transalpine de l'époque, au sein du même genre... genre par ailleurs trop souvent fantasmé, rempli pourtant d'oeuvrettes tournées par des réalisateurs peu concernés si ce n'est motivés uniquement pour surfer sur une vague ayant alors le vent en poupe.

Trêve de béatification pour l'un et de diabolisation pour d'autres, toujours est-il que cette Journée noire pour le bélier est à la base l'adaptation d'un roman éponyme de l'écrivain David McDonald, auteur prolifique et talentueux de polars durant les années soixante.
Pour bien faire, Luigi Bazzoni s'entoure ici de gens de talents... ainsi l'on citera en premier lieu son chef opérateur, le grand Vittorio Storaro (L'immense et sous-estimé "1900" de Bertolucci, mais aussi "Le dernier Tango à Paris" et L'Oiseau au plumage de cristal pour le genre qui nous préoccupe). Celui-ci livre ici un travail photographique de toute beauté et semble maîtriser les contrastes nocturnes et les clairs-obscurs comme personne, réussissant la gageure de transcender les scènes assassines - par ailleurs fort bien transformées par Bazzoni - en plus d'être constamment dans le ton et d'épouser, et l'ambiance, et les tourments des personnages, passant tour à tour de l'épure à la magnificence et la splendeur. Autant dire qu'il est l'un des plus gros atouts de ce beau film pourtant en demi-teinte. Pour parler davantage des scènes dites choc, si elles ne sont pas les plus sanglantes qu'on ait pu voir, elles demeurent toutefois assez nombreuses et surtout comme suggérée avant, admirablement cadrées et découpées. On notera à cet égard un formidable premier meurtre perpétué sur une handicapée, jetée finalement du haut d'un escalier en colimaçon, puis ailleurs, cette scène quasi finale et assez terrifiante mettant en scène une tentative de meurtre sur un enfant dans des décors 'glauquissimes' à souhait.



Certes, certains ne manqueront pas de reprocher une certaine lenteur dans le développement puis le déroulement de l'histoire, en gros dans la majeure partie du film (on ne peut nier que Bazzoni ne prenne son temps, mais c'est au profit de caractères fouillés), ce jusqu'à un dernier quart d'heure, dirons-nous, plus échevelé. Le film sait quoi qu'il en soit conserver un intérêt qui jamais ne se dément .

Le personnage campé par Franco Nero, superbement disséqué, n'est pas loin de représenter le prototype de l'anti-héros : le type n'attire pas de prime abord la sympathie, mais parviendra à regagner l'estime de son entourage, en même temps que celle du spectateur dans une intrigue emberlificotée, mais qui sera signe, soit de rédemption, soit de destin fatal, en gros, de mort.

A cet égard et de façon ironique, on remerciera l'assassin. Pour les protagonistes qui entourent ce personnage central pas toujours recommandable (chose assez rare dans le genre et donc qualité à mettre à l'actif de Bazzoni), le casting est assez remarquable : l'on retrouve quelques noms connus souvent associés au giallo comme Rossella Falk (La Tarentule au ventre noir/ Le Tueur à l'orchidée), Silvia Monti (Le Venin de la peur / "Le Cerveau" - non je déconne -), ou Ira von Fürstenberg ("L'Ile de l'épouvante"), ainsi qu'Agostina Belli apparaissant au tout début dans un petit rôle et qui fit ensuite la carrière que l'on sait.



Côté homme, passons l'excellente composition de Franco Nero et notons les présences de l'incontournable Wolfgang Preiss (Cran d'arrêt) et du Britannique Edmund Purdom (L'Avion de l'apocalypse / Horrible). Bref, si le casting est irréprochable, les interprétations qui vont de pair ne déméritent en aucun cas et chacun joue sa partition à la perfection. Au crédit supplémentaire du réalisateur, celui donc de fort bien diriger ses acteurs, qualité ayant le mérite de rendre les séquences effrayantes et assassines plus efficaces.

Pour finir, la partition morriconienne achève de donner au film tonalité et envergure. Finalement, hormis quelques ficelles scénaristiques légèrement capilotractées, cette Journée noire pour le bélier est une bien belle réussite en son genre. De celle à marquer d'une pierre blanche...



Accroche : Ouf, je suis Sagitaire et nous sommes mercredi !
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MessagePosté le: Ven Jan 18, 2008 10:57 am    Sujet du message: Répondre en citant

Intéressant effectivement, ce film qui oscille entre le thriller et le polar noir. Un faux rythme aurait tendance à le desservir quelque peu, mais l'oeuvre bénéficie d'un bon casting et d'un scénario solide.
Le plus intéressant, à mon sens, est comme tu l'as dit, le travail formidable de Vittorio Storaro à la photographie.
Dans le DVD édité par Blue Underground, il y a une interview de Storaro. On y apprend que son travail des clairs/obscurs dans le film était une façon de montrer, et d'opposer, la part d'ombre et de lumière de l'individu (la dualité entre le conscient et le subconscient).

Sinon, à titre anecdotique, le film est sorti en vidéo chez Delta sous le titre "Jour Maléfique".
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MessagePosté le: Ven Jan 18, 2008 11:32 am    Sujet du message: Répondre en citant

Hé hé et bé moi je l'aime bien ce faux rythme justement, je trouve qu'il permet aux personnages de respirer, d'exister en plus de rendre tout ça très limpide contrairement à pas mal de "confuseries" du genre. new_lang
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Camif
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MessagePosté le: Dim Mar 25, 2012 5:36 pm    Sujet du message: Répondre en citant

La "lenteur" n'est en rien quelque chose qui empêche le film de fonctionner, ce serait même le contraire. Cela permet de brosser de manière fine les protagonistes.
Un film qui se suit argéablement, très beau dans sa photo comme déjà dit, même si à mon sens les meurtres manquent de "fureurs esthétiques" et que le tout manque de "perversions giallesques".

Qu'est ce qu'elle est belle Silvia Monti ! :timide:
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mallox
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MessagePosté le: Jeu Déc 03, 2015 10:01 am    Sujet du message: [C] [Fiche dvd] Journée noire pour un bélier Répondre en citant



Journée noire pour un bélier - Le Chat qui Fume

Région : Zone 2 PAL

Éditeur : Le Chat qui Fume

Pays : France

Sortie film : Mai 1972 (Distribué en province - Est et Sud-Est - sous le titre "Le Jour maléfique").
Sortie dvd : 16 janvier 2016 (officielle) / (précommandes entre le 15 et le 30 novembre 2015)

Durée : 98min
Image : 1.85 d'origine – 16/9e compatible 4/3
Audio : Dolby digital 2.0

Langues : italien, français
Sous-titres : français


Bonus :
- "D'ombres et de lumières" avec Vittorio Storaro et Franco Nero (28'18")
- Film-annonce
- Films-annonces de l'éditeur : "Le Venin de la peur"/"L'affaire de la fille au pyjama jaune"/"L'Antichrist"




Commentaire : Sorti en dvd en chez Surf Video (CG Entertainment), chez Blue Underground, au Japon chez King Records/Imagica ainsi qu'en Espagne chez Filmax, voici un giallo très intéressant et plutôt emballant qui sort ces jours-ci après un incontournable combo du "Venin de la peur" chez l'éditeur autant velu que toxico.

Niveau qualité de la copie proposée, il y aurait bien quelques légers reproches (encore que ce n'en soit pas) à faire valoir : bien entendu, il s'agit ici d'un dvd, non pas d'un blu-ray, exit donc la possibilité d'une copie H.D., neuve comme au premier jour (encore que certains blu-ray ont l'indécence de proposer des copies plus propres qu'elles n'étaient à leur sortie, cherchez l'erreur !).
On se contentera de constater que celle-ci, bien que très satisfaisante, n'est pas d'une qualité irréprochable. Le pré-générique annonce la couleur : les scènes nocturnes seront légèrement saturées, agrémentées d'un grain omniprésent, soit d'époque, mais peut-être signe aussi d'un master moyen (le même que Surf Film probablement, puisque le logo apparaît avant le générique). L'image, même dans les scènes en extérieurs et/ou en plein jour, semble avoir subi une trop grande compression.
Disons pour résumer que ces imperfections sont plus perfectibles en tout début de bobine que par la suite (de nombreuses scories sont à signaler ; en même temps on se croirait revenu dans un cinéma avec un vrai projectionniste ayant maille à partir avec sa pellicule argentique, sentiment non déplaisant s'il en est). On le regrettera par moments, le temps de deux ou trois scènes, par rapport à l'extraordinaire photographie signée Vittorio Storaro, encore que celles-ci, comme dit avant, soient très loin d'être saccagées pour autant.
On peut en revanche se faire l'avocat du chat et affirmer que la copie gagne d'un autre côté en luminosité, chose loin d'être négligeable, notamment au regard de certaines copies déjà existantes, à l'instar de celle proposée par l'éditeur Blue Underground, plus lissée mais aussi, de fait, moins contrastée et moins nette (* voir comparatif à la fin)...




Le traitement sonore est si j'ose dire, à l'unisson : inégal, autant pour la piste française que l'italienne. En effet, un souffle a tendance à altérer le son par intermittences. Je vous rassure, rien de grave non plus !
D'ailleurs, de là à dire que cette copie est médiocre, il n'y a qu'un pas que je ne franchirai pas. L'ensemble reste de fort bonne tenue et ma foi, pinailler fait partie des attributions de votre très modeste serviteur ici-présent. C'est dans cette optique et pas une autre qu'il convient de me lire.




Concernant les bonus, outre la bande-annonce du film et celles d'autres sorties de l'éditeur (une petite coquille-erreur s'est glissée dans le titre du film de De Martino à sortir, il s'agit de "L'Antéchrist", non pas de l'Antichrist" ou "L'Antipasti". Comment ça, on s'en fiche ? Ah, on me dit que quant à fumer, autant que ce chat là en fume de la bonne. Soit.), ils sont peu nombreux. C'est simple, si l'on met de côté le petit livret (très sympa) de photos d'exploitation qui accompagne l'objet, il n'y en a qu'un. Mais pas des moindres...



"D'ombres et de lumières", une production Freak-O-Rama présentée par l'éditeur, est un document court (une petite trentaine de minutes) mais passionnant. Passionnant déjà par la simple présence du très talentueux chef-opérateur Vittorio Storaro, lequel revient sur sa carrière, remontant plusieurs décennies jusqu'au début des années 60, période où, à vingt-et-un ans, il débutait dans le métier. Le hasard a voulu qu'il rencontre alors Camillo Bazzoni, avec qui il devient ami, tandis que ce dernier épousera peu après sa sœur. Camillo est lui aussi réalisateur, on lui doit par exemple "L'évadé de Yuma". C'est par son intermédiaire que Storaro rencontrera son frère, Luigi, alors assistant sur les films de Mauro Bolognini. Storaro explique ensuite, entre autres choses que je ne dévoilerai pas, comment, petit à petit, il s'est rapproché de Luigi Bazzoni jusqu'à collaborer avec lui (Storaro travaillera sur "Le Orme") et surtout devenir un ami très proche.



Dans le même document, Franco Nero revient lui aussi sur sa rencontre avec le réalisateur, par hasard ou presque, lors de sa première venue à Rome alors qu'il s'était porté pâle trois mois durant son service militaire à Naples. C'est grâce à une connaissance commune, le réalisateur Piero Schivazappa ("Femina Ridens"), dont le père était un ami de celui de Franco Nero, qu'ils se sont rencontrés. Dans la foulée, il sympathisera avec son frère Camillo ainsi qu'avec Vittorio Storaro. Décidément, outre les gangs mafieux, les familles sont petites en Italie ! C'est en tout cas sur ces bases que le petit groupe d'amis (dont également Gianfranco Transunto, assistant par exemple sur "Qui l'a vue mourir ?" ou "La proie de l'autostop" avec Nero) a commencé à tourner, vers 1963, de toutes petites productions, des petits courts-métrages dans la ville où Bazzoni était né, à Salsomaggiore, près de Parme (voir "Un delitto" la même année, ce avant "L'homme, l'orgueil et la vengeance" en 1967). Nero rappelle que le seul qui avait une voiture était Storaro, une vieille Fiat 600 dans laquelle ils rentraient tous, en plus du matériel de tournage. L'acteur insiste sur le fait que ces gens furent ses tous premiers vrais amis dans le milieu du cinéma.

Inutile d'aller plus loin. Je ne vous ai volontairement résumé qu'une poignée de minutes de cet excellent bonus qui, avec tant de choses dites, en vaut bien plusieurs.




Du bon grain donc, mais pas d'ivraie, pour une édition de "Journée noire pour un bélier" qui s'avère indispensable à tout amateur de gialli, notamment de qualité. Et ce Bélier en possède suffisamment pour rendre chèvre toute personne qui commettrait l'erreur de faire l'impasse sur cet achat (qui fume).




Note : 4 boîtes de Ronron/5


En rapport avec le dvd :

# La critique du film


(*) Comparatif entre l'édition du Chat qui Fume et Blue Underground :


Le Chat qui Fume


Blue Underground


Le Chat qui Fume


Blue Underground


Le Chat qui Fume


Blue Underground


Le Chat qui Fume


Blue Underground


Le Chat qui Fume


Blue Underground

Et oui, séparons le bon grain de l'ivraie puisque celui-ci, comme dit dans la fiche, est inséparable d'un gain de luminosité. Si l'on compare l'édition proposée par le Chat qui Fume et celle de Blue Underground, c'est le Chat qui l'emporte, les détails et contours y gagnent en netteté.

----



P.S. : Si Flint ou Valor veulent corriger, rajouter, étayer, etc. qu'ils ne se gênent pas... je suis loin d'être le mieux placé pour juger des qualités, surtout techniques, des dvd...
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MessagePosté le: Jeu Déc 03, 2015 10:55 am    Sujet du message: Répondre en citant

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MessagePosté le: Jeu Déc 03, 2015 11:34 am    Sujet du message: Répondre en citant

Mallox, je t'avais parlé d'une édition japonaise, mais après vérification il apparaît que je me suis trompé. J'ai confondu avec "How to Kill a Judge" de Damiano Damiani, avec également Franco Nero, et sorti aussi chez Blue Underground.

Bref, toutes mes "confuses" !
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MessagePosté le: Jeu Déc 03, 2015 12:05 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Si si, il y a bien une édition japonaise chez King Records/Imagica :




... et chez Filmax en Espagne :


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MessagePosté le: Jeu Déc 03, 2015 12:20 pm    Sujet du message: Répondre en citant

mallox a écrit:
On peut même se faire l'avocat du chat et affirmer que la copie gagne d'un autre côté en luminosité, chose loin d'être négligeable, notamment au regard de certaines copies bootleg trainassant sur le net


Edition Le Chat qui fume


Edition Le Chat de gouttière


J'imagine que ce repack provient du DVD BU, alors si tu veux comparer avec l'image originale :





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mallox
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MessagePosté le: Jeu Déc 03, 2015 1:35 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ok, merci Christian (bé justement je me demandais, j'ai donc ma réponse), j'ai rajouté tout cela et aie un peu modifié le texte en conséquence.
Si quelqu'un a envie de corriger, je mettrai en ligne. Rien d'urgent ceci dit.
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MessagePosté le: Jeu Déc 03, 2015 4:49 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Je m'en occupe demain matin. icon_wink
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MessagePosté le: Mer Jan 20, 2016 2:55 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Un ami bien renseigné (merci David !) me signale une différence non négligeable entre la version du Chat (celle du DVD italien donc) et la version Blue Underground...
Après 1m27 de plan d'ouverture, le générique défile sur un fond noir pendant 2m34 alors que sur le DVD Blue Underground, le générique est incrusté sur des images de la fête du Nouvel An.
D'autre part, la musique est différente et on n'entend pas le cri de femme au début.

Le générique du DVD Blue Underground :


























Le générique du DVD Le Chat / DVD italien :





Les images réapparaissent néanmoins pendant 10 secondes, lorsque les participants se souhaitent une bonne année :





Puis le film reprend à partir de cette image :



A voir sur Youtube (jusqu'à 4:10)

Cette différence est encore plus flagrante sur la VHS française Delta dans la mesure où ces 2m34 apparaissent sans le texte du générique qui est présenté à part sur fond noir...
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