[M] [Critique] Photo interdite d'une bourgeoise - 1969

 
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mallox
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MessagePosté le: Mar Nov 19, 2013 9:39 am    Sujet du message: [M] [Critique] Photo interdite d'une bourgeoise - 1969 Répondre en citant



Photo interdite d'une bourgeoise - 1969
(La Foto proibite di una signora per bene)

Origine : Italie / Espagne
Genre : Giallo / Trompe-l'oeil

Réalisé par Luciano Ercoli
Avec Dagmar Lassander, Nieves Navarro, Pier Paolo Capponi, Simón Andreu, Osvaldo Genazzani, Salvador Huguet...

Autre titre (USA) : Forbidden Photos of a Lady Above Suspicion




Minou (Dagmar Lassander) et Peter (Pier Paolo Capponi) ont tout pour être heureux. Ils sont amoureux l'un de l'autre et leur union semble au firmament jusqu'au jour où Minou, se promenant sur la plage, est harcelée par un homme étrange (Simón Andreu), aux motivations tout aussi floues : après l'avoir pourchassée de manière à la fois joueuse et inquiétante, il la bloque à terre, coupe au couteau les cordons de sa robe, s'exerce à la charmer en la terrifiant, puis lui révèle que son mari est un meurtrier venant de se rendre coupable du meurtre de son principal associé : Jean Dubois.




La vie de Minou bascule alors (en gros, chat s'en va et chat revient...), d'autant que le lendemain elle apprend la mort de Jean Dubois qui, lors d'une séance de plongée sous-marine, aurait raté un palier de décompression et serait mort d'une asphyxie gazeuse.
Difficile d'oublier les propos de son agresseur de la veille, d'autant que les faits concordent. Elle commence donc à douter de Peter avant de se confier à son amie Dominique (Nieves Navarro). Durant ce temps, devant la menace de tout raconter, elle cède aux avances du maître chanteur qui, petit à petit, en fait son esclave. Avec les photos compromettantes que celui-ci a pris durant leur infidélité, il n'est alors plus difficile d'exercer sur elle un chantage efficace, la faisant même devenir, dans un jeu quasi sadomasochiste, un être assujetti.
Il y a tout de même quelque chose qui cloche, et Minou, de plus en plus oppressée, semble se rapprocher de la folie. Du reste, dès qu'elle évoque l'homme de la plage, son entourage, même proche, met systématiquement cela sur le dos des tranquillisants arrosés d'alcool qu'elle prend...




Premier film de Luciano Ercoli, "La Foto proibite di una signora per bene" bénéficie, enfin le croit-on, d'un scénario cosigné par Mahnahén Velasco et Ernesto Gastaldi. Si l'on connaît parfaitement le second, d'abord pour sa faculté à se mouvoir en amont dans les genres en vogue (pirateries, péplums, gothiques, westerns...) puis pour ses collaborations régulières au genre giallesque (en réalisant lui-même, par ailleurs, un très bon thriller en 1965 avec "Libido"), on connaît un peu moins le premier, pourtant inséparable du travail de Luciano Ercoli, puisqu'il collaborera à nouveau avec le réalisateur pour ses deux gialli suivants : "Nuits d'amour et d'épouvante" puis "La mort caresse à minuit", dans lesquels on retrouvera du reste deux acteurs ici-présents : Nieves Navarro (non encore mariée au metteur en scène - ce sera chose faite en 1972) et Simón Andreu. Un scénariste avant tout technicien puisqu'il est régulièrement assistant, voire réalisateur de seconde équipe. On le retrouve par exemple, comme assistant de Narciso Ibáñez Serrador, aussi bien pour "La résidence" que pour "Les révoltés de l'an 2000". Quant à Luciano Ercoli lui-même, il est un cinéaste, à regarder sa courte filmographie (huit films au compteur), intéressant et solide. En témoignent, outre les deux gialli susnommés, ses incursions dans le poliziesco sensationnaliste ("La police a les mains liées") ou le drame historique cruel ("Lucrezia Giovane"). Bref, en additionnant ces trois talents, dont celui d'un Ercoli en devenir, "Photo interdite d'une bourgeoise" laissait augurer le meilleur.
Las, leur collaboration accouche ici du pire...




Soit, il n'y a que peu de choses à redire sur les qualités techniques et esthétiques du film. Le travail du chef-opérateur/photographe est formidable. On peut louer pour cela sans réserves Alejandro Ulloa qui parvient à faire d'une coquille vide un véritablement enchantement visuel que n'aurait sans doute pas renié Mario Bava. Pour mémoire, et ne serait-ce que pour éviter de toujours parler des mêmes artisans (Gastaldi, par exemple, certes prolifique, mais également souvent surestimé), on rappellera que Ulloa est plus rompu au genre western et a laissé son empreinte dans nombre de réussites du genre : les incontournables de Corbucci : "El mercenario", "Companeros", "Mais qu'est-ce que je viens foutre au milieu de cette révolution ?", "Far West Story" mais aussi les sympathiques "O Cangaçeiro", "Les quatre mercenaires d'El Paso" etc... On lui doit aussi la photographie du très chouette "Manoir de la terreur" de Alberto De Martino en 1963 ainsi que celle, la même année, d'un giallo-machination lui aussi esthétiquement somptueux mais d'un tout autre calibre : "Perversion Story" de Lucio Fulci. La musique lancinante d'Ennio Morricone, dirigée par Bruno Nicolai, et accompagnée pour son thème principal de la belle envolée vocale de l'incontournable Edda Dell'Orso, achève de faire du film un bel objet, tout du moins au premier regard...
Il faut bien être honnête, "La Foto proibite di una signora per bene" est avant tout un film qui tire les bénéfices de ses apparats, évoluant sur un script inepte, jamais crédible, et dont la splendeur n'a d'égal que sa langueur et l'ennui qu'il dégage, faisant retourner ses qualités visuelles contre lui : celles-ci, évoluant dans un no man's land de vacuité scénaristique, finissent par ressembler à de la poudre aux yeux...




Au jeu de la vérité, à savoir aux questions que l'on se pose régulièrement devant ce genre de pellicule, et plus précisément ici : "Qui a tué Jean Dubois?", "Pourquoi ?", "Que veut ce maître-chanteur ?", "Mon mari est-il coupable ?", "Dominique est-elle mon amie ou bien est-elle de mèche avec quelqu'un d'autre ?", "Minou devient-elle folle à force de tranquillisants et d'alcool ?", Gastaldi nous balance, à l'aide de son comparse évoqué ci-avant, un succédané improbable de tout ce qu'on a déjà vu et que l'on verra encore par la suite dans le thriller machination. Il est strictement impossible, même à faire preuve de complaisance (ou de consentement), à l'instar d'une Dagmar Lassander frustrée (une de plus !), devenant peu à peu l'esclave d'un maître-chanteur jusqu'à lui appartenir corps et âme, de croire une seule seconde à cet imbroglio filmique, qui semble avoir été écrit par deux feignasses (quant à eux probablement et réellement sous calmants), lâchant leur histoire inconséquente comme un vieux pet rassi dans un salon mondain, tentant de nous faire avaler pilule sur pilule avec, derrière, un Luciano Ercoli incapable, malgré une maîtrise de la mise en scène déjà évidente, de recoller les morceaux pour en faire autre chose qu'un objet arty de plus et d'instiller le moindre suspense.




Là-dessus, le réalisateur achève de niveler son film vers le bas avec une direction d'acteurs très inégale : si Dagmar Lassander s'en sort bien dans un rôle impossible (son meilleur rôle dans un film "beau mais chiant avec "Une hache pour la lune de miel"), si Susan Scott assure aussi, les apparitions de Simón Andreu tiennent plus du ridicule que d'une quelconque menace palpable. Le pire est sans doute atteint avec la composition de Pier Paolo Capponi en compagnon distant-compréhensif-moumouté-qu'on-voit-venir-de-loin-tout-en-restant-fadasse, qui venait pourtant de tourner avec Nieves Navarro dans un thriller d'une autre trempe ("La jeunesse du massacre") et qui retrouvera, façon de parler, un autre Minou dans "Le chat à neuf queues" de Dario Argento l'année suivante.

Bref, "La Foto proibite di una signora per bene" n'est que poudre de perlimpinpin, sans magicien faisant des miracles en coulisses, en plus d'un giallo dont les beautés et pseudo-audaces érotiques cachent des secrets de Polichinelle, le tout en distillant un ennui profond et tenace.







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Dernière édition par mallox le Jeu Avr 26, 2018 4:30 am; édité 3 fois
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Throma
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MessagePosté le: Mar Nov 19, 2013 4:18 pm    Sujet du message: Répondre en citant

De tous les gialli chiants qu'Ercoli a accouché, celui-là est de loin le pire.
Une vraie souffrance pour arriver jusqu'à sa conclusion. D'ailleurs l'ai-je fait vraiment, j'en doute.

Susan Scott avec ses nichons de travelo/violle, ça fait pas franchement rêver.
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MessagePosté le: Mar Nov 19, 2013 5:07 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Je serai moins sévère que Throma, trouvant les deux gialli suivants d'Ercoli réussis et très agréables. Mais celui-ci est effectivement mauvais sur toute la ligne, exceptée la photographie, comme le souligne Mallox.
Un scénario à chier, inexistant, et un jeu d'acteurs très médiocre d'une partie du casting. C'est vrai que le personnage tenu par Simon Andreu est totalement absurde.
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MessagePosté le: Mar Nov 19, 2013 6:04 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Throma le 21/09/2012 a écrit:
Et Susan Scott me fait autant d'effet que Michel Petrucianni en tutu, avec ses nichons en plastoc.

Décidément c'est une véritable fixation ! frank_PDT_16
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MessagePosté le: Mar Nov 19, 2013 7:44 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Faut croire que c'est cyclique.
En tout cas je me souvenais pas de cette intervention frank_PDT_16

Mais c'est vrai que les traficotages chirurgicaux ont un effet rédhibitoire sur ma petite personne.
Baiser avec un cyborg, non merci.

Sinon, Ercoli, j'avoue m'être royalement emmerdé devant ses deux "Morte..."
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MessagePosté le: Ven Sep 30, 2016 12:31 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Rhooo ! Je trouve vos avis bien sévères, il est pas mal du tout ce film : une photo magnifique, des actrices ravissantes, des costumes et des décors pop, une intrigue sans temps mort pleine de rebondissements (personnellement je suis allé de fausse piste en fausse piste) et une réalisation qui, sans être exceptionnelle, en vaut bien d'autres ! Alors certes, Pier Paolo Capponi est fade comme une endive, le scénario n'est pas toujours crédible (est-ce important ?) et l'ensemble reste vraiment trop soft. C'est d'ailleurs le principal reproche que je ferais au film : côté violence et sexe, on en a absolument pas pour son argent : aucun meurtre et pas la moindre nudité ! Ni les "faux seins en plastoc de Susan Scott" d'ailleurs, ni ceux de Dagmar Lassander qui trouve même le moyen de prendre une douche habillée ! C'est sûr que c'est bien gentillet pour un film de cette époque... Mais malgré ça, j'ai passé un très bon moment et je ne me suis pas ennuyé une seconde ! frank_PDT_17
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MessagePosté le: Ven Sep 30, 2016 1:05 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Quelle midinette celui-là !


Citation:
le scénario n'est pas toujours crédible (est-ce important ?)


Non non. Ça dépend de ce qu'on a fumé ou absorbé !



Citation:
Susan Scott avec ses nichons de travelo/violle


Ah, j'avais pas tout faux lorsque je la prenais pour un péon. frank_PDT_10
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MessagePosté le: Ven Sep 30, 2016 3:21 pm    Sujet du message: Répondre en citant

mallox a écrit:
Citation:
le scénario n'est pas toujours crédible (est-ce important ?)


Ce que je veux dire c'est qu'on peut pas tout le temps se dire : "Pff ! Pourquoi elle a fait ça ? Elle avait qu'à fermer la porte à clé ! Elle a toujours pas compris cette conne ?... etc."
Tu te poses pas ce genre de question en regardant "Le manoir de la terreur" ! (Enfin j'espère !)

Et puis aussi, quand on regarde les infos, on voit des scénarios encore plus invraisemblables !

Allez, comme je suis sympa ico_mrgreen, je poste mon scan de l'affiche... mais pas trop gros pour éviter de la retrouver chez notrecinema.con !

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MessagePosté le: Ven Sep 30, 2016 3:33 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Non mais je te taquinais, hein.

Disons que tant que l'intérêt est sauf, ça va, tu passes l'éponge. Le blème se pose quand tu commences à te faire chier ou que le bidule te parait rébarbatif.
Certains films sont même sympas par leurs côtés invraisemblables, foutraques.
Parfois encore, quand un film est 100% sérieux et qu'il ne tient pas debout, tu t'endors et t'as pas le temps de te poser la question. ico_mrgreen - Le manoir de la terreur, c'est pas sérieux, mais tu sais vite où t'as mis les pieds, donc tu restes devant (ou pas).
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MessagePosté le: Ven Sep 30, 2016 6:32 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Personnellement, ce que je reprocherais à ce film et à 95% du giallo italien, c'est leur caractère impersonnel.
Toujours les mêmes comédiens, la même musique, les mêmes décors, n'importe qui derrière la caméra.

Même l'intrigue la plus con de la terre pourrait être magnifiée par un cinéaste un tant soit peu compétent.

Finalement, seuls Bava et Argento ressortent de cette platitude. Fulci à la rigueur.
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MessagePosté le: Ven Sep 30, 2016 6:53 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Même constat pour ma part à propos des gialli. Un genre fantasmé mais qui mène très souvent à la désillusion. A fortiori lorsqu'on les revoit. Et lorsqu'on en découvre d'autres, on s'aperçoit que c'est toujours la même chanson. Finalement ceux vus auparavant n'étaient pas forcément meilleurs (ni pires) mais ils passaient car c'était un peu nouveau. Au bout d'un moment et à force de spectacles redondants, ça casse. Mêmes ficelles, mêmes décors cosy pop, mêmes bourgeoisies, même érotisme, etc. etc.
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MessagePosté le: Ven Juin 15, 2018 9:35 pm    Sujet du message: Répondre en citant

mallox a écrit:
Même constat pour ma part à propos des gialli. Un genre fantasmé mais qui mène très souvent à la désillusion. A fortiori lorsqu'on les revoit. Et lorsqu'on en découvre d'autres, on s'aperçoit que c'est toujours la même chanson. Finalement ceux vus auparavant n'étaient pas forcément meilleurs (ni pires) mais ils passaient car c'était un peu nouveau. Au bout d'un moment et à force de spectacles redondants, ça casse. Mêmes ficelles, mêmes décors cosy pop, mêmes bourgeoisies, même érotisme, etc. etc.


J'ai ressorti mon DVD par curiosité car j'avais totalement oublié ce film, j'en avais juste un vague souvenir pas vraiment agréable.

Et effectivement, belle photo, très belle restauration mais on se fait quand même un peu chier. Et comme Mallox à part quelques titres (Oiseau au plumage, Queue du Scorpion, ..) le genre giallo mène souvent à la désillusion. C'est d'ailleurs souvent un peu too much dans la réalisation et les effets psyché, les belles fringues et les beaux décors.

Et Ercoli est un réalisateur solide mais bon, il manque singulièrement de fantaisie.
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MessagePosté le: Lun Mar 29, 2021 9:21 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Throma a écrit:


Finalement, seuls Bava et Argento ressortent de cette platitude. Fulci à la rigueur.


Et Martino et Dallamano frank_PDT_10

Le film en question : Bah oui, la photographie est très belle, Dagmar Lassander aussi. Pour le reste que ce film est con ! frank_PDT_16 Psychologie de Prisunic un jour de solde sur les artichauts, "retournements" de situations aussi fun qu'une tournante un jour de pluie, fin débile et puis un film qui a pour héroïne une dame que l'on surnomme Minou, ce n'est pas sérieux.
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