[M] [Critique] Le spécialiste

 
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mallox
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MessagePosté le: Ven Mar 09, 2007 10:50 am    Sujet du message: [M] [Critique] Le spécialiste Répondre en citant




Le spécialiste ( Gli Specialisti )

Réalisateur : Lucio Corbucci
Pays: Italie
Année : 1968
Genre : Western
Acteurs : Johnny Hallyday, Gastone Moschin, Sylvie Fennec, Mario Adorf, Françoise Fabian, Serge Marquand, …


Sans être au niveau de ce que je considère comme les deux chef-d’œuvres de son metteur en scène à savoir le gigantesque « Le Grand Silence » et le désabusé « Companeros » (on rajoutera sans se forcer le très beau « Django »), « Le Spécialiste » tourné juste entre ces deux colosses là, est loin d’être le Nanar que pas mal de mauvais esprits ont cru bon de fantasmer de part la présence de Johnny Hallyday au sein d’un genre qui de prime abord pourrait paraître incongru.
Las de lire n’importe quoi sur ce film, et trouvant le procédé tellement téléphoné, facile et souvent putassier dans la manière de l’analyser sans apporter le moindre argument, je viens ici apporter ma petite contribution à ce très honnête spaghetti.



Hud (Johnny Hallyday) sombre héros solitaire de l’amer est connu et redouté de tous. En plus d’être un tireur hors pair, celui-ci est vêtu d’une côte de maille qui le protège et a une forte tendance à pratiquer sa propre justice.
Le voici qui débarque dans la ville de Blackstone, et c’est peu dire que sa venue inattendue va chambouler les règles du patelin où notables incompétents le disputent avec une sorte d’anarchie où règne tyrannie et injustice. Celui-ci ne vient du reste pas pour rien, et s’il n’est que de passage, c’est pour retrouver d’une part le meurtrier de son frère en même temps que le trésor que ce dernier a dérobé avant de tirer sa révérence après un lynchage en règle par les habitants qui pour le coup, commencent à flipper…



D’entrée, concernant son acteur principal, je dirais que celui-ci a une sacrée gueule et que son allure n’a absolument rien à envier aux Eastwood, et autres Franco Nero. On retrouve bien là une icône bien connue du genre, à savoir un justicier taciturne, ténébreux et énigmatique qui ne fait rien pour se faire des amis. Malheureusement si dans la forme Hallyday a une présence certaine, dans le fond c’est déjà un peu plus corsé. On ne peut pas dire qu’il soit servit par des dialogues très profonds ni même très écrits et c’est bien là que le bât blesse en surlignant sans cesse ce que l’on capte du personnage, et ce bon Hud répond régulièrement à qui veut être son ami : « Hud n’a pas d’ami ». On s’en serait douté, merci bien. Dommage alors que ce personnage a une langue, car si le charisme de forme est au rendez-vous, le charisme linguistique, il est vrai, tend un peu vers le ridicule, qui il est vrai ne tue pas, mais peut flinguer un film en moins de deux phrases. J’en suis venu à me dire que finalement le même Johnny Hallyday s’est trompé d’un film et que peut-être il aurait été parfait à la place de Trintignant dans « Le grand silence », hormis le fait que Trintignant y est déjà parfait.
Pour rester au rayon acteur, pendant que j’y suis, on retrouve avec plaisir Françoise Fabian qui devait certainement se trouver en Italie à ce moment là afin d’y suivre son fabuleux mari, le grand Marcel Bozzuffi. Sa présence sans éclairer le film est plus que correcte et le temps d’un plan on aura l’occasion d’admirer ses formes, trop mal connues, et je ne vois pas qui viendrait s’en plaindre.



Outre quelques belles gueules cassées comme Serge Marquand en gros bandit ou Gastone Moschin en sheriff maladroit, on y retrouve surtout un Mario Adorf au top de sa forme et il est peu dire que celui-ci vole carrément la vedette à tout le monde. D’une truculence savoureuse en bandit doté d’un crochet à la place de son bras mutilé, celui-ci apporte une présence exemplaire, et ce n’est pas un duel quasi-absurde avec le sheriff, à coups de boules qui fera démentir cela. D’ailleurs Hud lui prêtera au final davantage de qualités qu’à la plupart des habitants pour lesquels il n’a que méprit (légitime).
L’autre grande réussite du film se situe à un niveau graphique. A l’instar des grands films de Sergio Corbucci, les paysages ne sont pas seulement accessoires, mais participent à l’ambiance, recadrent les personnages afin de leur redonner leur statut de fourmis au sein d’immensités enneigées, donnant dans un même temps au village, un côté ville perdue, ville fantôme, qui de part son isolement ne peut que céder à l’anarchie la plus totale. Dommage alors que le réalisateur ne développe pas davantage son histoire, restant constamment en surface, et même si l’on retrouve les préoccupations inhérentes à ses réussites majeures, tout cela manque singulièrement de punch et de noirceur, malgré un discours politique bien présent bien que parfois anachronique.
En effet, mettre en scène au sein d’un western, une bande de Hippies aussi crétins avec leur pacifisme beât et qui sous couvert de la libération sexuelle se mettent à devenir violents envers les femmes pour obtenir leurs faveurs (Sylvie Fenech ici en jeune femme de bonne éducation en prend pour son grade), en même temps qu’ils se fument des « tarwans » de l’ouest, franchement, d’une part c’est assez lourd, d’autre part, ça enlève encore plus de crédibilité à une histoire déjà pauvre, et du coup, le film en prend aussi un coup dans les dents dans ces instants là, lorgnant vers la crétinerie rigolarde et c’est bien dommage. D’autant plus dommage que la peinture des habitants de Blackstone est revanche beaucoup plus intéressante avec ses notables de gauches mollassons, voire complètement dépassés, est une invitation à la révolution et à la prise des armes autrement plus sympathique en même temps que de résonner dans l’actualité de l’époque (et d’aujourd’hui encore). Pareil, on trouvera difficilement âme à sauver, entre les lâches, les couards, les avares en tous genres, les prompts au lynchage expéditif, et là oui, on retrouve le Corbucci qu’on aime. Un corbucci désabusé, violent, dénonciateur.



Ailleurs on a bien aussi quelques bons moments de sadisme sans lequel le western spaghetti ne serait pas, à savoir, un Hud qui se prend une fourche dans le fémur, se traîne vers le saloon tout en se vidant de son sang, puis parvient à dessouder la sale bande de hippies qui pour le coup a mis toute la ville à poil, ce, sans arme à feu, prend l’argent des notables et bien avant serge Gainsbourg brûle les billets, tant cet argent lui semble sale. Oui dans ces moments là, on se surprend à se sentir bien devant ce western là, qui regorge à la fois d’idées étonnantes sans pour autant les exploiter jusqu’à leurs limites, ce qu’il était parvenu à faire avec « Django » et le « Grand Silence » et qu’il réussira à nouveau avec « Companeros ». Bref, un Corbucci inégal et un brin paresseux, qui manque surtout de noirceur et de dimension tragique, mais qui demeure cependant un spectacle agréable, honnête, correct.

Note : 6/10
Accroche : Honnête spectacle.
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Dernière édition par mallox le Lun Oct 08, 2018 6:48 am; édité 3 fois
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Throma
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MessagePosté le: Ven Mar 09, 2007 12:09 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Moins bon que Le grand silence, Companeros, La bande J&S, Le mercenaire et Django, ça c'est indéniable mais bien supérieur par contre au pathétique Le blanc, le jaune et le noir, indigne de Corbucci (et de Milian, Gemma et Wallach par la meme occasion).
Halliday est tout a fait convaincant, même si effectivement, il ne fait pas le poids face au gringo Adorf.
Et Françoise Fabian dans son bain, ma foi, pourquoi pas frank_PDT_10
A noter a la fin, qu'après avoir empoché tout le flouze des habitants de la ville, Johnny se casse à dos de cheval en Suisse frank_PDT_16
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mallox
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MessagePosté le: Ven Mar 09, 2007 4:23 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Suis en train de me taper "Navajo Joe", et je trouve ça pas si mal... quoique le Burt euh ..
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Bigbonn
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MessagePosté le: Ven Mar 09, 2007 8:35 pm    Sujet du message: Re: [Critique] Le spécialiste Répondre en citant

mallox a écrit:
Réalisateur : Lucio Corbucci

frank_PDT_16
C'est un gag?
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mallox
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MessagePosté le: Ven Mar 09, 2007 9:38 pm    Sujet du message: Répondre en citant

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pascalum
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MessagePosté le: Mer Mar 14, 2007 9:38 am    Sujet du message: Répondre en citant

je l'aime bien ce film, il est culte pour moi a cause de Johnny qui fait son Eastwood. C'est quand même plus réussit que que quand il fait son Lambert/Gibson dans Terminus.
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MessagePosté le: Mar Sep 04, 2007 7:15 am    Sujet du message: Répondre en citant

Un Corbucci, certes pas mauvais, mais tout de même très moyen et ce, même si certaines mauvaises langues pourraient croire le contraire, sans que Johnny Hallyday ne puisse en être blâmer, en effet le célèbre et increvable chanteur français se débrouille plutôt bien dans son rôle de solitaire hirsute... en fait sa prestation est surtout amoindri par des dialogues rares mais crétins qui ne l'aident pas beaucoup. Le gros défaut de ce Spécialiste est ailleurs, du coté de son scénario et d'une trame dispersée et classique manquant singulièrement de rebondissements, bref on s'ennuie un peu, et ce n'est pas les rares moments de folies (tombant au hasard et sans grande conviction) souvent amenés par la bande de jeunes "délinquants / drogués" qui pourront sauver le récit de la monotonie. C'est effectivement encore ailleurs qu'il faut chercher pour sauver la mise puisque c'est visuellement que le film assure avec une bonne exploitation des étendues montagneuses et une mise en scène soignée.

Note : 5/10
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Walter Paisley
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MessagePosté le: Sam Mai 31, 2008 11:51 pm    Sujet du message: Répondre en citant

D'accord avec à peu près tout le monde, sauf sur un point, la prestation de Hallyday. Ses dialogues sont d'une platitude à faire peur qui ne l'avantagent pas, certes, mais il les prononce avec un total manque d'intonation qui ne fait rien pour arranger les choses. J'ai eu un peu l'impression que Corbucci ne savait pas trop quoi faire de lui. Il représente la bonne morale (et donc la totale fadeur) entre plusieurs camps opposés : les rapaces bourgeois, les bandidos mexicains, les hippies de l'ouest, qui lui piquent tous la vedette (surtout Adorf, comme ça a été dit).
Sinon j'ai quand même apprécié le développement du thème du "héros mutilé". On avait le Django et ses doigts pétés, on avait le grand silencieux, mais là ça dépasse tout : à la fin Hallyday c'est carrément un steack haché.
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Bigbonn
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MessagePosté le: Lun Juil 06, 2009 10:44 am    Sujet du message: Répondre en citant

Comme tout le monde ici et jusqu'à présent, je dirais que le film n'est pas déshonorant, loin de là. Il exploite bien les paysages montagneux et utilise assez bien les personnalités des différents habitants de la ville, banquière et shérif en tête.
Mais il a quelques gros défauts et, en particulier, la présence de cette petite bande de ce qui s'apparente à des hippies bien dans l'air du temps (1968) mais assez peu dans le temps du western.
De même quelques éléments resteront inexpliqués: comment le shérif se libère-t-il des mains d'el diablo après son combat à coups de boule? Spoiler: pourquoi la banquière s'enfuit-elle de la ville avec les faux billets qu'elle sait faux en laissant les vrais planqués dans sa banque???
Bref, il y a des éléments qui perturbent un peu, même si, dans l'ensemble, Le spécialiste reste un film assez bon avec quelques séquences très réussies.
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flint
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MessagePosté le: Mar Juil 20, 2010 1:00 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bigbonn a écrit:

Spoiler: pourquoi la banquière s'enfuit-elle de la ville avec les faux billets qu'elle sait faux en laissant les vrais planqués dans sa banque???


C'est même pire que cela (que ceux qui souhaitent voir le film ne lisent pas les lignes suivantes) :

Virginia, notre banquière (superbe Françoise Fabian), décide de voler l'argent de ses concitoyens placé à la banque. Pour cela :
1 - elle s'arrange pour récupérer la somme équivalente de ce qu'il y a dans les coffres en faux billets.
2 - remplace les vrais billets par les faux dans le coffre, et planque les vrais dans un poële à charbon.
3 - elle s'arrange ensuite pour organiser, sans en être mêlée, le cambriolage de la banque. Le casse se produit finalement, par l'entremise du frère de Hud.
4 - celui-ci parvient à planquer le butin (avec les faux billets, donc), avant de se faire choper, lyncher, buter, etc...

Jusqu'ici, on a de la part de Virginia le coup parfait : tout le monde croit que l'argent est enterré quelque part dans les environs. Personne ne soupçonne la banquière.

Alors, pourquoi, au lieu de s'en aller avec le fric, cette conne attend que les faux dollars soient retrouvés par quelqu'un ?

Evidemment, dans ce cas là, il n'y aurait pas de film. Mais du coup, le scénario est bidon. C'est dommage, car durant la première heure, le film est plutôt réussi, assez sympa, divertissant sans être transcendant.

Mais dès que l'on connaît les tenants et aboutissants de cette histoire de fric, c'est le désastre, avec en prime la scène pathétique où Françoise Fabian avoue tout avant de mourir (une scène expédiée avec les pieds, indigne de Corbucci).
Autre retournement de situation grotesque, les babos qui se retournent contre Hud, qui est plus ou moins leur modèle. Que ces hippies s'en prennent à la population de Blackstone est bien plus logique, mais ce dernier revirement est juste téléphoné, et l'on sent que Corbucci ne savait pas comment finir son film, faute à un scénario manquant cruellement de consistance pour trouver des "rebondissements" qui tiennent la route.

Après, le casting reste sympa, avec des personnages aux traits de caractère appuyés penchant presque du côté de la caricature ou de la bande dessinée. Adorf est parfait, mais ce n'est pas une surprise.
Et superbes décors naturels (les Alpes italiennes, je suppose).
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mallox
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MessagePosté le: Mar Juil 20, 2010 2:04 pm    Sujet du message: Répondre en citant

flint a écrit:


Alors, pourquoi, au lieu de s'en aller avec le fric, cette conne attend que les faux dollars soient retrouvés par quelqu'un ?


Pour se mettre à poil ? ico-porc


flint a écrit:
Autre retournement de situation grotesque, les babos qui se retournent contre Hud, qui est plus ou moins leur modèle.


Parce que Hud il n'aime pas qu'on mette les gens tout nu.


N'empêche, ça me fait marrer, je m'aperçois que je ne me souviens pas de tout ça. Ni de la manière dont crève la Fabian, ni du revirement. En fait je me souviens juste de chouette décors, de belles idées, de dialogues assez crétins dans la bouche de Johnny, d'un ton très bd, d'un Corbucci mineur et d'un Adorf impérial relevant le film d'un bon cran.
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San
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MessagePosté le: Lun Aoû 30, 2010 12:57 am    Sujet du message: Répondre en citant

et le final on s'en rappel...


La musique de "companeros" (si on parle bien du même), avec la nana qui court ...dans le générique de début...à ranger avec celle du grand Kéoma c'est clair
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flint
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MessagePosté le: Lun Aoû 30, 2010 9:14 am    Sujet du message: Répondre en citant

San a écrit:
et le final on s'en rappel...


La musique de "companeros" (si on parle bien du même), avec la nana qui court ...dans le générique de début...à ranger avec celle du grand Kéoma c'est clair


suspect

Les musiques de "Companeros" et du "Spécialiste" n'ont rien en commun.
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San
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MessagePosté le: Lun Aoû 30, 2010 1:42 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Mais non....si tu relis, ça me semble clair!!!


Le final du "spécialiste", on s'en rappel tous car assez atypique...


Et ensuite je rebondissais sur "companeros", dont parlait Mallox, avec sa musique....à ranger à côté de Kéoma (dont je sais que certains, ben la musique de `kéoma, ça les a gravé)
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sigtuna
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MessagePosté le: Mer Déc 13, 2017 8:43 pm    Sujet du message: Répondre en citant

10 ans après la critique du grand Mallox (sur laquelle je suis en tout point d'accord) j'ai enfin vu la chose, suite au trépas du légendaire exilé fiscal et il faut reconnaitre qu'en Franco Nero blond il assure, plus qu'un Anthony Steffen en tous cas.
D'ailleurs c'est l'ensemble de la distribution qui tient la route (si on met de coté les proto hippies) et qui permet de faire abstraction d'un scenario complétement incohérent (une tare hélas courante dans le bis italien).
Très moyen donc mais plaisant.
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