[M] [Dossier] La pentalogie de la Liberation de Yuriy Ozerov

 
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sigtuna
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MessagePosté le: Mar Nov 28, 2017 4:36 pm    Sujet du message: [M] [Dossier] La pentalogie de la Liberation de Yuriy Ozerov Répondre en citant






La pentalogie de la Libération de Yuriy Ozerov :

L'Arc de feu (Огненная дуга / Ognennaya duga) 1969
La Percée (Прорыв / Proryv) 1969
Opération Bagration (Направление главного удара / Napravlenie glavnogo udara) 1970
La Bataille pour Berlin (Битва за Берлин / Bitva za Berlin) 1971
Le Dernier assaut (Последний штурм / Posledniy shturm) 1971

URSS / RDA / Pologne (sauf le premier) / Italie (pour les trois premiers) / Yougoslavie (le premier uniquement)
Réalisation : Youri Nikolaïevitch Ozerov (Юрий Николаевич Озеров)
Avec : Nikolaï Olïaline, Larissa Golubkina, Yuri Kamorny, Valeri Nossik, Mikhaïl Oulianov, Bukhuti Zakariadze, Mikhail Nozhkin, Vladlen Davydov, Vassili Choukchine, Fritz Diez, Horst Giese, Daniel Olbrychski, Florin Piersic...
Genre : Guerre, Historique

AKA : Libération, The Great Battle



L'Arc de feu :
Printemps 1943, suite à la bataille de Stalingrad, le haut commandement soviétique s'attend à une contre-offensive allemande sur le saillant de Koursk. Mais les Allemands sur l'ordre d'Hitler retardent celle-ci dans l'attente de la sortie de chars invulnérables aux obus des T-34....

La Percée :
Automne 1943, alors que Mussolini, renversé suite au débarquement anglo-américain en Sicile est libéré par les commandos de Skorzeny, les troupes soviétiques s'apprêtent à traverser le Dniepr et à reprendre Kiev. La guerre se déroule désormais hors des territoires russophones...

Opération Bagration (titre vidéo Bach Films, le titre original peut être traduit par “L'Axe d'attaque principal”) :
Printemps 1944, alors que les alliés occidentaux lancent enfin une attaque de diversion crédible en débarquant en Normandie, Joukov et Rokossovski tentent de convaincre Staline de leur permettre de lancer une grande offensive dans les forêts et marais de Biélorussie, terrains pourtant jugés impropres à l'usage des blindés...

La Bataille pour Berlin :
Début 1945, sous la demande expresse des anglo-américains qui craignent un désastre dans les Ardennes, Staline presse ses maréchaux de lancer précocement l'offensive Vistule-Oder. De leur côté, les Allemands tentent de négocier une paix séparée avec les alliés occidentaux...

Le Dernier assaut :
Ayé, c'est fini, triple ration de Vodka pour fêter ça...


L'Arc de feu :









Pour débuter cette modeste notule sur ce qu'on peut considérer comme “l'apex du cinéma Brejnévien” je me dois de préciser que dans cette pentalogie (un peu à l'image de l'Armée rouge durant la Seconde Guerre mondiale), le meilleur côtoie le pire : le grand spectacle, les clichés recuits, la reconstitution minutieuse et les anachronismes les plus grossiers. Le problème étant que le premier film est de loin le moins bon, celui où justement les défauts de la série sont les plus criants, celui donc qui pourrait rebuter (à tort à mon avis) le spectateur. Mais si on arrive à faire abstraction de ses nombreuses scories, on se retrouve devant un film (ou plutôt des films) hautement spectaculaire où l'on n'a pas le temps de s'ennuyer. Plastiquement aussi, les scènes de guerre sont très réussies et globalement réalistes, sauf la séquence de combat de chars de la fin du premier épisode où les véhicules s'entrecroisent, qui se termine par un combat de catch dans un marigot entre équipages de tanks détruits (j'exagère à peine). Et puisqu'on nous bassine avec le devoir de mémoire, terminons ce préambule par une paraphrase du célèbre philosophe français contemporain Michel Sardou (à moins que je confonde avec un autre épigone de Diogène) : “Si les Russkoffs n'étaient pas là nous serions tous en Germanie”, car il est bon de rappeler que 82 % des pertes militaires allemandes (morts et disparus, aviateurs et sous-mariniers compris) de l'ensemble du conflit sont dues aux combats contre les Soviétiques.


La Percée :









Mais revenons sur la genèse de cette pentalogie que l'on peut voir comme le résultat de la convergence de trois éléments. D'une part, un rejet dans certains cercles militaires soviétiques (où l'on appela par voie de presse à refaire des films de guerre comme “avant”) des films sur la Seconde Guerre mondiale intimistes et antihéroïques de l'ère Khrouchtchev que furent Quand passent les cigognes (1957), La Ballade du soldat (1959) et L'Enfance d'Ivan (1962) (pour ne citer que les plus célèbres), et qui étaient eux même une réaction aux films patriotico-propagandesques de la fin du stalinisme (caricaturalement :La Chute de Berlin 1950). Le second élément, plus déterminant, c'est la perception en URSS des films hollywoodiens sur la Seconde Guerre mondiale qui n'évoquent quasiment jamais le rôle de l'URSS, la goutte d'eau faisant déborder le vase étant Le Jour le plus long en 1962. Le débarquement en Normandie étant considéré en Russie comme une simple attaque de diversion ayant modestement contribué au succès de l'opération Bagration, quelle ne fut pas la surprise des spectateurs soviétiques de voir que ladite opération n'était même pas évoquée dans le film ! Mais il faudra attendre l'arrivée au pouvoir de Brejnev en 1966 et avec cette “normalisation Brejnévienne” (constituant donc notre 3e élément) la volonté de réhabiliter Staline au moins en tant que “chef de Guerre” pour que ce “cycle de la Libération” voie le jour. Cycle que l'on peut donc considérer comme étant à la fois : la réponse soviétique à Le Jour le plus long, l'anti-La Ballade du soldat et une version modernisée et épurée des éléments de propagande les plus grotesques de La Chute de Berlin.


Opération Bagration (ou “L'Axe d'attaque principal”) :











D'où des moyens énormes (financiers et militaires) mis en place pour cette pentalogie, mais aussi la volonté, tout en se centrant sur un élément principal (respectivement pour chacun des films : la bataille de Koursk, la traversée du Dniepr, l'opération Bagration, l'offensive Vistule-Oder et la bataille de Berlin) de retracer l'ensemble du conflit sur la même période, et en particulier les événements concernant les pays ayant coproduit le film. Volonté enfin d'être à la fois avec les Frontoviks qui se battent, les états-majors qui planifient et les grands de ce monde qui négocient. Seulement voila : “Qui trop embrasse mal étreint”, pour citer le célèbre philosophe italien contemporain Rocco Siffredi (à moins que je confonde avec un autre émule d'Aristote) et en voulant trop en faire, fatalement, on finit par en faire trop, d'où quelques ratés. La plupart des séquences n'impliquant pas les Soviétiques ou les Allemands sont superfétatoires, celle en Yougoslavie étant particulièrement ridicule (Ozerov n'en est pas responsable). Heureusement, les Yougoslaves n'étant impliqués que dans le premier film, on ne les verra plus par la suite.

Dans le même ordre d'idées, on a dans ce déluge de feu et d'événements, du mal à s'attacher aux personnages de fiction, voire à les reconnaître et ceci malgré le talent indéniable de leurs jeunes interprètes. Il faut dire aussi que l'impression de déjà-vu, pour ne pas dire de situations ultra-stéréotypées n'aide pas, avec d'un côté le couple au destin fatalement tragique du blond et ténébreux officier d'artillerie antichar (Tsvetaïev) et de la brune et juvénile infirmière (Zoïa), de l'autre l'équipage de char multiethnique : le chef russe (parce qu'il ne faut pas déconner non plus), blond ténébreux lui aussi, le second polono-ukrainien et faire valoir comique, le conducteur extrême-oriental et simple figurant. Équipage que l'on pensait disparu à la fin du premier film, sans trop de regrets il faut bien le dire, mais que l'on voit reparaître, sans joie excessive non plus, dans les deux derniers opus.


La Bataille pour Berlin :









En fait, les vraies vedettes du film, outre les blindés, ce sont les généraux soviétiques et plus particulièrement Joukov et Rokossovski (et pour les deux derniers épisodes, Koniev et son crâne en peau de fesse) et, dans un autre registre, Staline et Hitler. On sera plus que surpris par le personnage de Staline présenté comme bienveillant, pondéré et pacifiste dans ses relations avec les Occidentaux, face à un Roosevelt brave type mais un peu couillon et à un Churchill roué et machiavélique. On notera aussi la ressemblance physique frappante des personnages historiques avec leurs modèles, du moins pour les personnages principaux. A l'inverse, on a une Éva Braun beaucoup plus mignonne et juvénile que la vraie, sans doute pour rendre sa fin (elle est, dans le film, assassinée par Hitler) plus pathétique.

Si la reconstitution historique est particulièrement minutieuse concernant les forces soviétiques, c'est beaucoup moins vrai pour leur adversaire, car si les surplus militaires soviétiques regorgeaient d'uniformes et de matériel d’époque (canons ZiS 3 du régiment d'artillerie divisionnaire de Tsvetaïev, mais aussi T34/85 et divers SU et JSU), difficile de retrouver des uniformes de l'armée nazie et encore moins des chars en état de marche, tout fut donc confectionné pour le film avec des résultats discutables. Si les faux Tigres (une dizaine) constitués de superstructures en balsa posées sur des chars russes, peuvent faire illusion, c'est moins le cas de la demi-douzaine de faux Panthers. Mais surtout, pour faire masse lors de la bataille de Koursk, on a droit à une centaine de chars soviétiques des années 60, évidemment très différents des blindés de la Seconde Guerre mondiale, repeints en gris-bleu Panzer (alors qu'en plus, à partir de 1943, tous les blindés allemands ont une peinture de camouflage) et là ça passe difficilement. Dieu merci, Ozerov n'aura recours à cet expédient que dans L'Arc de feu et n'utilisera par la suite que les faux Tigres, en arrière-plan. Dans le même ordre d'idées, tous les T34 sont des T34/85 (reconnaissables à leurs canons et leurs tourelles beaucoup plus volumineuses que celle des T34/76), alors que ces derniers ne remplacèrent les T34/76 qu'en 1944 et sont donc anachroniques dans les deux premiers opus.


Le Dernier Assaut :









Un autre défaut, plus gênant encore, est dû à l'allergie aux sous-titres que les Soviétiques partageaient avec les Américains, en plus du statut de superpuissance. Conséquence de cette allergie, si par un souci de réalisme les protagonistes s'expriment à l’écran dans leurs langues respectives, ils ne sont pas sous-titrés mais sur-doublés en décalé par un narrateur russe et les sous-titres de Bach Films correspondent au sur-doublage décalé. D'où un effet surréaliste, les aviateurs de l'escadrille Normandie-Niémen (Normandie tout court pour les Russes) s'expriment dans un français (résultant d'un premier doublage, puisqu'ils sont joués par des acteurs italiens et russes) rendu inaudible par le sur-doublage.
Mais baste pour les défauts, défauts qui d'ailleurs sont plus ou moins inhérents au film de guerre quelle que soit son origine (sauf pour le sur-doublage). On notera d'ailleurs que pour les scènes de combats, on évite le “syndrome du Jour le plus long ” où chaque jet de grenade américaine décime tout un peloton de teutons, alors que son homologue allemande n'arrive qu'à blesser très légèrement le GI au pied duquel elle éclate. Ici, l'adversaire est réellement redoutable et si les soldats soviétiques ne sont pas avares d’héroïsme, ils le paient généralement au prix fort.
Passons aux qualités. D'abord les moyens mis en œuvre : des milliers de figurants et ça se voit, et des tournages sur les lieux mêmes de l'action, y compris un quartier de Berlin alors en démolition pour une future reconstruction. Bref, du cinéma à grand spectacle comme on en fera plus jamais en ce siècle d'image de synthèse.


Les (très) faux Panzers :





Autre point fort du film, l’interprétation. Je passerai assez rapidement sur les personnages romanesques pour signaler dans le seul rôle féminin important Larissa Golubkina, vue entre autres dans Le Conte du tsar Saltan et qui fut la seconde épouse d'Andrei Mironov, le tsar de la comédie romantique made in URSS. Concernant les personnages historiques, les généraux soviétiques (la plupart septuagénaires et bardés d'honneurs au moment du tournage) purent choisir eux-mêmes leurs interprètes. Pour Joukov, ce fut Mikhaïl Oulianov, la plus grande vedette du théâtre moscovite. Sa performance fut si impressionnante que pendant plus de 20 ans on n'imagina pas quelqu'un d'autre pour ce rôle qu'il rejouera à 12 reprises. Pour sa part, Koniev, très mécontent de l'acteur qui l'incarnait dans les trois premiers opus le fit remplacer par Vassili Choukchine, autre “star” de l’époque (Ils ont combattu pour la patrie ). Coté tudesque, Fritz Diez est à ce jour l'acteur allemand à avoir le plus joué Adolf Hitler. Paradoxal pour un ancien résistant antinazi et si, au moment des films, il était un peu âgé pour le rôle, sa composition, en particulier l’évolution de la décrépitude physique et psychique du Führer le long de la pentalogie, n'en est pas moins remarquable. Dans le même registre on trouve Horst Giese, le Goebbels de la Defa (entre autres dans Tomorrow I'll Wake Up and Scald Myself with Tea) et grand ami épistolaire de Klaus Kinski, qui, en plus de son rôle fétiche, joue aussi un simple officier allemand dans le premier épisode du cycle. Coproduction polonaise oblige, les spécialistes du cinéma d’Europe centrale reconnaîtront Daniel Olbrychski en jockey résistant (!) puis en officier de l'armée de libération (peut-être le même personnage d'ailleurs). Enfin, seul acteur non issu d'une des nations ayant coproduit le film, Florin Piersic (teint en brun pour faire un SS !) grande vedette du cinéma roumain joue le rôle de l'officier de Commando Skorzeny.


Piersic et les deux versions d'Olbrychski :




Compte tenu des moyens mis en œuvre et de l'importante campagne publicitaire qui accompagna sa sortie, la pentalogie fut un échec public en URSS, son audience s’étant effondrée de moitié entre le premier et le dernier opus. Ce fut par contre un succès dans les autres pays du pacte de Varsovie et en particulier en RDA, la représentation nuancée de l'ennemi allemand qui n'est ici ni de la chair à mitrailleuse (comme dans la plupart des films hollywoodiens), ni composé uniquement de brutes sanguinaires (comme souvent dans le cinéma soviétique) y était sans doute pour beaucoup. La version édité par Bach Film fin 2017 est celle remastérisée en HD par la Mosfilm en 2002 et écourtée d'une trentaine de minutes pour l'ensemble des films par rapport à la version cinéma (cela ne concernerait que les génériques et les résumés des épisodes précédents).





En rapport avec le film :
Les vraies vedettes de la pentalogie : Joukov, Rokossovski et les T-34.

On ne présente plus Joukov, considéré par les Russes comme le vainqueur de l'armée allemande, même si les historiens militaires anglophones relativisent son génie stratégique en attribuant toutes ses victoires soit à un supérieur oublié (pour ses premiers succès face aux Japonais) soit à un de ses subordonnés à partir de la bataille de Moscou (celle-ci pour le futur traître Vlassov) mais bizarrement jamais le même, bien qu'il fût impliqué (et pas qu'un peu) dans presque toutes les victoires soviétiques et dans aucune défaite. Moins connu, Rokossovski est, entre autres, celui qui mit au point et exécuta l’opération Bagration, la plus grande défaite allemande du conflit. Si Joukov fut l'un des rares chefs militaires à avoir été épargné par la purge stalinienne de 1937 qui décapita l'Armée rouge, Rokossovski fut l'un des rares à y avoir survécu. Après s’être fait péter la moitié des dents, arracher tous ses ongles, briser trois côtes et subi trois fausses exécutions dans le but, non atteint, de lui faire avouer qu'il était un espion à la solde du Japon, il fut libéré sans explication ni excuse et réintégré à son poste en 1940.

Le T-34 mérite bien plus que le Sherman le surnom de char de la victoire. De 1940 à 1945, on en produisit plus que l'ensemble des chars allemands durant toute la guerre. Quand les Allemands le découvrirent en 1941, ce fut pour eux une grande surprise, le T34-76 était à la fois plus rapide et manœuvrable que tous les chars légers de l’époque et aussi puissant et meurtrier que les chars lourds existant alors. Hélas pour les Soviétiques, il y en avait moins d'une centaine en service actif lors du déclenchement de l'offensive allemande de 1941. Si le T34-76 était sans équivalent en 1941, il souffrait de deux défauts majeurs : une faible habitabilité due à un espace intérieur très restreint épuisant rapidement son équipage en cas de combat prolongé et lui offrant peu de chances de survie en cas d'impact, et un système de visée assez médiocre. Il servira de modèle aux deux chars allemands emblématiques de la Seconde Guerre mondiale : le Tigre, conçu comme un char lourd anti-T34 et le Panther, conçu comme un char moyen surclassant le T34 en 1943. Surclassement résolu par les Soviétiques (au moins en partie) en 1944 avec la sortie de la version T34-85.


Fiche DVD :





COFFRET LA LIBÉRATION - 3 DVD + 3 BLU-RAY

Région : Zone 2 - PAL

Éditeur : Bach Films
Pays : France

Sortie films : 1969 / 1970 / 1971
Sortie dvd : Novembre 2017

Durée : 447 minutes
Image : 16/9 – Haute Définition
Couleur / Noir & Blanc
Audio : Mono

Langues : Russe
Sous-titres : Français

Bonus : 7 entretiens avec Ada AKERMAN (spécialiste du cinéma soviétique) à propos de La Grande Guerre Patriotique dans le cinéma russe et sur les différents épisodes du Cycle de La Libération.






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Dernière édition par sigtuna le Mar Déc 19, 2017 7:03 am; édité 9 fois
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Valor
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MessagePosté le: Mar Nov 28, 2017 8:30 pm    Sujet du message: Re: [Critique] La pentalogie de la Liberation de Yuriy Ozero Répondre en citant

enaccord8

sigtuna a écrit:
je ne veux plus me fâcher avec toutes les doctorantes en histoire du cinéma qui interviennent sur des bonus


ico_mrgreen Ok mais tu aurais pu poster une photo de Ada Akerman quand même !
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sigtuna
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MessagePosté le: Mar Nov 28, 2017 10:10 pm    Sujet du message: Re: [Critique] La pentalogie de la Liberation de Yuriy Ozero Répondre en citant

Valor a écrit:
enaccord8

sigtuna a écrit:
je ne veux plus me fâcher avec toutes les doctorantes en histoire du cinéma qui interviennent sur des bonus


ico_mrgreen Ok mais tu aurais pu poster une photo de Ada Akerman quand même !


Ce qu'elle dit dans les bonus est effectivement loin d’être inintéressant, par contre elle n'est pas hyper à l'aise à l'oral.
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mallox
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MessagePosté le: Mer Nov 29, 2017 3:58 am    Sujet du message: Répondre en citant

Immense boulot ! icon_eek enaccord8

C'est pas loin d'être carrément un dossier, si ce n'en est pas un. Bravo en tout cas !
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sigtuna
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MessagePosté le: Mer Nov 29, 2017 10:03 am    Sujet du message: Répondre en citant

mallox a écrit:

C'est pas loin d'être carrément un dossier,


C’était mon objectif au départ, avec relevé des erreurs historiques etc, et puis c’était un peu trop de boulot et ça aurait donné une image trop negative des films ce qui aurait été injuste.

Allez... pour Christian et tous les amateurs de jeunes enseignantes à bretelle de sous-vêtement apparente :

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Valor
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MessagePosté le: Mer Nov 29, 2017 1:52 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ah oui !!!! J'adore ! amour10

Merci sigtuna !

Avec les boucles d’oreilles assorties et le contraste avec l'image de fond, c'est magnifique !
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MessagePosté le: Mer Nov 29, 2017 4:27 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ah oui, félicitations, sacré travail en effet. Et j'ignorais que tu étais en plus un spécialiste en chars d'assaut ! enaccord8
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sigtuna
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MessagePosté le: Mer Nov 29, 2017 5:45 pm    Sujet du message: Répondre en citant

ico_mrgreen
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MessagePosté le: Dim Déc 17, 2017 8:55 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Effectivement, ton érudition historique et tes connaissances en matière d'armement sont impressionnantes ! Pour ma part je confondrais un Panzer et un AMX-30... Bravo ! enaccord8

Pour ce qui est du coffret Bach Films, il me semble qu'on pourrait rajouter une petite fiche technique, non ?

Citation:
COFFRET LA LIBÉRATION - 3 DVD + 3 BLU-RAY

Éditeur : Bach Films
Date de sortie : ?
Version originale sous-titrée français
Son : Mono
Durée : 447 Minutes
Format : 16/9 – Haute Définition
Couleur / Noir & Blanc


Sinon, je me demande si ta dernière phrase ne risque pas justement de provoquer le contraire de ce que tu voulais éviter...
Que dirais-tu de la remplacer par un simple : "Bonus : Entretien avec Ada AKERMAN à propos de La Grande Guerre Patriotique dans le cinéma russe et Le Cycle de La Libération." à la suite de la fiche ?

Pour finir, on pourrait signaler qu'il s'agit du tout premier Blu-ray de l'éditeur (enfin...je crois !) Du coup, un petit mot sur la qualité de l'image ? Pas de bugs ? icon_question
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MessagePosté le: Lun Déc 18, 2017 1:01 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Valor a écrit:
Effectivement, ton érudition historique et tes connaissances en matière d'armement sont impressionnantes ! Pour ma part je confondrais un Panzer et un AMX-30... Bravo ! enaccord8

Pour ce qui est du coffret Bach Films, il me semble qu'on pourrait rajouter une petite fiche technique, non ?

Citation:
COFFRET LA LIBÉRATION - 3 DVD + 3 BLU-RAY

Éditeur : Bach Films
Date de sortie : ?
Version originale sous-titrée français
Son : Mono
Durée : 447 Minutes
Format : 16/9 – Haute Définition
Couleur / Noir & Blanc


Sinon, je me demande si ta dernière phrase ne risque pas justement de provoquer le contraire de ce que tu voulais éviter...
Que dirais-tu de la remplacer par un simple : "Bonus : Entretien avec Ada AKERMAN à propos de La Grande Guerre Patriotique dans le cinéma russe et Le Cycle de La Libération." à la suite de la fiche ?

Pour finir, on pourrait signaler qu'il s'agit du tout premier Blu-ray de l'éditeur (enfin...je crois !) Du coup, un petit mot sur la qualité de l'image ? Pas de bugs ? icon_question


Oui la dernière phrase était une boutade pour illustré l'image et pas destiné au site. Donc oui mieux vaut la remplacé par (comme tu l'a écrit) :
"COFFRET LA LIBÉRATION - 3 DVD + 3 BLU-RAY

Éditeur : Bach Films
Date de sortie : Novembre 2017
Version originale sous-titrée français
Son : Mono
Durée : 447 Minutes
Format : 16/9 – Haute Définition
Couleur / Noir & Blanc[/quote]

Bonus : 6 entretiens avec Ada AKERMAN (spécialiste du cinéma soviétique) à propos de La Grande Guerre Patriotique dans le cinéma russe et sur les différents épisodes du Cycle de La Libération."

Pour les blindés russes : gamin je jouais avec des T34 (leurs carcasses décorent de nos jours tous les ronds points des petites villes d’Europe centrale et orientale) et des KV et JS en plastiques contre des Pz IV, tigres et Panther ce sont donc mes barbies (klaus) ou pokemon à moi. Par contre les AMX30 je serais bien incapable de les reconnaitre.

Pour la définition des Blue Ray, faut que je revois ça ce soir car il me semble qu'il n'y a pas de bande noire horizontale contrairement aux DVD, sinon aucun problème de définition à part pour les quelques images d'archives.
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