[M] [Critique] 28 Jours Plus Tard
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Croustimiel
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MessagePosté le: Sam Mar 17, 2007 11:05 pm    Sujet du message: [M] [Critique] 28 Jours Plus Tard Répondre en citant



Date de sortie : 28 mai 2003
Réalisé par Danny Boyle
Avec : Cillian Murphy, Naomie Harris, Christopher Eccleston
Film britannique.
Genre : Science-fiction / Horreur
Durée : 1h 52min.
Année de production : 2002
Interdit aux moins de 16 ans
Titre original : 28 Days Later

Résumé : Un commando d'écologistes, en voulant libérer des singes d'un laboratoire de recherche, permet à un virus redoutable de se propager, transformant les êtres vivants en bêtes sanguinaires... 28 jours plus tard, Jim se réveille, à l'hôpital de Londres : il sort du coma. La ville est déserte...



- Docteur, je souffre.
- Quels sont vos symptômes ?
- Tout a commencé lorsque j'ai vu ce film, "28 jours plus tard". Auparavant, j'étais persuadé d'être un bon cinéphile, voire un critique respectable. Mon amour pour les films d'horreur me semblait pur. J'avais même appelé mon chien Romero.
- C'est tout naturel.
- Mais voilà, depuis ce film, je suis perdu. On me l'avait décrit comme un simple film de zombies... Je m'attendais donc à un film dans la pure tradition zombiesque, qui aurait appliqué à la lettre les sacro-saints versets bibliques dictés par notre père Romero il y a déjà plus de quarante ans. Si le cinéma devait évoluer d'une façon ou d'une autre, ça se saurait.
- Cela va sans dire.
- Mais dans "28 jours plus tard", tout est différent. Les zombies ne sont même pas des morts, mais des hommes infectés par un mal nommé "rage"... Celui-ci n'est d'origine ni chimique, ni organique, mais est un improbable et métaphorique virus psychologique.
- C'est une hérésie !
- Danny Boyle parle de "fantaisie". Mais ce n'est pas tout ! Ces zombies ne se contentent pas d'errer, hagards, en traînant les savates et en gargouillant quelques râles étouffés. Non : ils courent, ils hurlent, gesticulent comme des diables et sont même de fervents adeptes de la sodomie, même si Danny Boyle reconnaît que le montage final a plus ou moins passé sous silence ce détail. Du reste, il ne reconnaît même pas son film comme étant un "film de zombie", même si il comprend qu'on puisse établir un parallèle. Pire encore : cet insolent n'a même pas glissé sa pléthore de clins d'œil convenus au grand maître du genre. Non, rien, même pas le bon vieux coup de la pierre tombale avec gravé "G. Romero" dessus. En ce qui concerne les deux seuls éléments qui semblent être des hommages volontaires (la scène du supermarché et le zombie noir enchaîné dans le camp militaire), le scénariste du film parlera plus volontiers de "repompage". Même si on ne reproche pas à tous les films de guerre de montrer des combats ni à tous les films d'amour de montrer des bisous, il semble impardonnable qu'un scénariste explore aussi spontanément les joies de l'apocalypse sans se mettre à genoux devant ses pères spirituels. Comment ose-t-il, sans délicatesse aucune, voler à Romero son concept si personnel, le milieu cinéphile s'étant pourtant mis d'accord pour lui accorder l'unique propriété du mythe du zombie ; même si tout le monde sait que "Night of the living dead" n'était pas le premier film de zombie, et que le mythe du zombie lui-même de toutes façons n'est qu'une sous-branche du vampirisme reconnue officiellement par l'église catholique depuis 1484 sous le règne du pape Innocent VIII.



- Un film déraisonnable, brûlons-le.
- Danny Boyle ne vient pas de l'école "horreur", et ça se ressent. Une bouffée d'air frais souffle sur ce film décomplexé. Il refuse tout effet facile (ayant même trafiqué la bande-son pour "gommer" les bruits qui auraient pu faire sursauter), tout cloisonnement de genre (explorant sans complexe tout le spectre des émotions humaines, même celles habituellement délaissées par l'horreur), et toutes conventions de style (filmant entièrement en DV, ce qui confère aux images une crudité et un cachet inoubliable). Ses influences sont diverses et proviennent davantage de faits historiques (catastrophes naturelles...) que des "grands noms" de l'horreur. Le traitement du film entier est complètement éloigné des conventions du genre, ce qui, doublé d'une écriture assez classique, offre un résultat ambigu et personnel. On perd ses repères : les acteurs sont même bons ! A l'image de Cillian Murphy, qui donne ici à son personnage un poids et une humanité ahurissante, progressant tout le long de l'histoire du jeune paniqué anodin à l'animal brutal et haineux.
- Une oeuvre de drogués, sûrement...
- Comprenez mon désarroi... Mais en bon français tout francisant que je suis, à qui on a fait lire du Molière depuis la classe de 6ème, je me suis bien entendu mis en quête d'un profond message, d'une signification transcendantale, d'une quelconque émanation gauchiste ; puisqu'un film d'horreur ne peut que s'excuser d'en être un. D'ailleurs, le récent "Land of the dead" de Romero a définitivement prouvé que le genre horreur était bien le mieux adapté à la politisation, sans que celui-ci ne perde de son énergie vitale.
- C'est une question de bonne manière, en effet.

- J'abonde dans votre sens... Sans ça, on culpabiliserait tous (les réalisateurs en premier) d'aimer simplement l'horreur pour ce qu'elle est. Mais rien ! Pire : moins que rien. J'ai tenté de me convaincre que la première scène était un pamphlet contre les dérives de l'écologisme mais il semblerait, selon les commentaires des créateurs du film, qu'il ne s'agisse que d'un prétexte auquel ils ne prêtent guère d'importance. Ce film est anti-intellectuel, il accumule les invraisemblances et les scènes gratuites, privilégiant les choix esthétiques et symboliques. Imaginez un peu l'introduction : à peine le personnage principal se réveille-t-il sans difficulté de son coma ayant duré près d'un mois qu'il traverse alors un Londres dévasté : la ville est absolument vide (pas un cadavre, pas une âme qui vive ou un zombie qui rôde). Et le scénariste s'en justifie : "L'atmosphère et le surréalisme prennent le dessus sur l'intrigue". Le pire, c'est que cette scène clef sur laquelle s'ouvre le film, mise en musique par un groupe de rock alternatif anarchiste québécois, est absolument saisissante : les images de la capitale déserte, muette, au levé du soleil, provoquent des émotions insoupçonnées, ça vous en écrase presque la poitrine.
- Un instant je vais prendre quelques notes... (*il sort un crayon*). Je vous écoute ?
- Autre exemple : pendant un plan seulement, présentant les personnages traverser un champ de fleurs en voiture, l'image se transforme en une sorte de peinture inspirée de Van Gogh via un effet 2D. L'explication, je vous la demande ? Il n'y en a pas ! "Parfois il faut faire des choses pas rationnelles, sans explications. Le film vit dans son monde, ce qui n'est pas plus mal."
- Le seul intérêt de ce film serait de faire vibrer la corde sensible du spectateur sans accompagner une virulente critique sociale ? Comment ce film a-t-il pu vous troubler ?
- Je l'ai aimé. Je me suis flagellé pour m'en expier, mais rien à faire, je persiste à le visionner en ressentant le même frisson originel. Son pessimisme me frappe frontalement, sa description graphique et expressioniste d'une humanité au bord du gouffre m'émeut toujours. Ne symboliserait-il pas l'art à son meilleur : quand il vous touche et vous prend aux tripes, tout simplement, sans fonctionner comme un algorithme froid ou un langage sophistiqué snobinard. C'est bourré de vrais moments de cinéma, c'est complètement décalé sur la forme, et malgrés une toute première scène un peu cheap et une conclusion un poil trop optimiste (rajoutée plus tard, Danny Boyle trouvant son propre film trop traumatisant), il m'en reste un arrière goût terrible et puissant, emprunt de cette fascination morbide et de ce nihilisme évidents desquels a émergé le film. Partisan de "l'art pour l'art", Danny Boyle nous raconte une histoire, de la façon la plus immédiate possible, cherchant juste à nous faire partager ses émotions, c'est tout. La critique, quand elle ne l'a pas snobé, reproche au film d'être "vain". Pour moi, c'est un film humain et raffiné qui redonne sa place à l'absurde, qui a tendance à se perdre de nos jours. C'est esthétique, poignant, différent...
- Uhm... Votre mal est étrange. Il serait raisonnable de vous mettre en quarantaine, pour un temps seulement. Je crains une contagion...



Accroche : Rien à voir avec les cycles menstruels

Infos :
- Une suite, "28 semaines plus tard", est en préparation. Ni Danny Boyle ni son scénariste n'y participeront.


Dernière édition par Croustimiel le Ven Avr 20, 2007 11:55 am; édité 5 fois
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mallox
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MessagePosté le: Dim Mar 18, 2007 6:47 am    Sujet du message: Répondre en citant

affraid

ah bah oui, samedi, c'est Crousti...

Tiens, c'est pas mal comme idée, ce genre de chronique dialoguée... bien vu enaccord8

Par contre le film est un sale pensum indigeste avec un paquet de références pas si bien digérées et une grosse prétentiardise politico-écolo cucul , quoique ce soit sans doute le meilleur film de Danette Boyle... le moins lourd. quoique faudrait que je le revois.
Par contre tu sembles décrire le real comme une sorte d'artiste autiste désintéressé, sinon que par son art, alors là, je suis pas du tout d'accord. plus démago-putassier que le danny, y a pas. Quant à Van gogh, il y est autant présent que tonton gregore dans le film.
Mais j'avoue qu'il y a 2, 3 scènes pas mal. même si ça part complètement en couille à mi-chemin.
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Bigbonn
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MessagePosté le: Dim Mar 18, 2007 9:22 am    Sujet du message: Répondre en citant

Je l'avais trouvé pas mal ce 28 jours plus tard, et le fait de voir des zombies plus vifs qu'à l'accoutumée (c'est un euphémisme) me plait assez. Mais je n'ai pas les préventions de mallox vis-à-vis de son réalisateur, ça aide!
Par contre, je me souviens vaguement d'une scène dans un tunnel où la voiture passe sur d'autres voitures ou un truc à la noix du même genre qui faisait un peu tâche.
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mallox
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MessagePosté le: Dim Mar 18, 2007 9:34 am    Sujet du message: Répondre en citant

Mouai, en fait comme les zombies-techno dans "le couvent" de Mike Mendez !
c'est vrai que les Zombos, je les aime lents... sinon, ça me renvoie immanquablement au "Virus Cannibale" de Bruno Matteï où ceux-ci se mettaient subitement, et dieu sait pourquoi, à courir dans la jungle après une Jeep, réussissant même l'exploit de la rattraper et de s'y accrocher...
Le zombie est un zombie, merde quand même. A quand un zombie qui se fait un 100 mètres haies ?! frank_PDT_16 ico_mrgreen
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Walter Paisley
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MessagePosté le: Dim Mar 18, 2007 10:29 am    Sujet du message: Répondre en citant

NAN MAIS PUTAIN, C'EST PAS DES ZOMBIES, C'EST DES IRRADIES !!!!!!!!

Umberto Lenzi.

Ceci dit, pour ma part, je préfère mille fois les zombies romeriens hagards et mous aux zombies qui courrent habillés en nonnes, mais bon, libre aux réalisateurs d'en faire ce qu'ils veulent, des zombies (c'est vrai que quand on y pense, des monstres tels que les vampires ont connu beaucoup plus d'évolutions... à côté, les concepteurs de zombies c'est des gros conservateurs).
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MessagePosté le: Dim Mar 18, 2007 10:48 am    Sujet du message: Répondre en citant

LES ZOMBIES ONT QUAND MÊME DROIT A LEUR DOSE DE RADIATIONS EUX AUSSI!

Appel à la tolérance de Lucio Fulci, le 8 Mai 1969 à Rome.


Ceci dit, il est vrai que le Zombi est issue du Vampire (ce que dit bien Croustimiel)... en fait, il n'en est qu'une sous-race ! ico_mrgreen

Je vais le revoir ce 28 jours plus tard.... icon_wink
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Dernière édition par mallox le Dim Mar 18, 2007 11:08 am; édité 1 fois
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MessagePosté le: Dim Mar 18, 2007 11:07 am    Sujet du message: Répondre en citant

Walter Paisley a écrit:
NAN MAIS PUTAIN, C'EST PAS DES ZOMBIES, C'EST DES IRRADIES !!!!!!!!

Umberto Lenzi.

Ceci dit, pour ma part, je préfère mille fois les zombies romeriens hagards et mous aux zombies qui courrent habillés en nonnes, mais bon, libre aux réalisateurs d'en faire ce qu'ils veulent, des zombies (c'est vrai que quand on y pense, des monstres tels que les vampires ont connu beaucoup plus d'évolutions... à côté, les concepteurs de zombies c'est des gros conservateurs).


Moi Zombie chronique de ma douleur sortait du lot, non? (quoique Romero nous l'avait déjà fait avec Martin sur le mythe du vampire...).
sinon, c'est vrai que les variations zombiesques sont pauvres. icon_confused
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MessagePosté le: Dim Mar 18, 2007 3:07 pm    Sujet du message: Répondre en citant

frais et divertissant ce 28 jours..

autant dans ses aspects "serieux/realistes", je l'ai trouve tres bon, autant a partir de l'arrivee chez les militaires, ca part un peu en vrille et j'ai decroche
la soudaine transformation du heros vers la fin arrive comme un cheveu sur la soupe
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Croustimiel
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MessagePosté le: Dim Mar 18, 2007 3:19 pm    Sujet du message: Répondre en citant

mallox a écrit:

Par contre le film est un sale pensum indigeste avec un paquet de références pas si bien digérées et une grosse prétentiardise politico-écolo

Beuh, euh ... c'est justement ce que je n'y ai pas du tout vu et que j'ai tant aimé :x
Je n'y vois justement, contrairement aux films de Romero, aucune intélectualisation. Le film me parrait apolitique et nihiliste. Le seul élément pouvant mener à se poser la question, comme je l'ai écris, est la scène d'intro. Mais en écoutant les commentaires, Danny Boyle et son scénariste ne font aucune allusion à un quelconque message à faire passer, les écolos sont apparement juste là pour faire progesser l'intrigue. Et de toutes façons, ça resterait une scène bien courte pour transformer ce film en pamphlet vindicatif.
La critique ciné, quand elle ne l'a pas snobé, a souvent reproché au film d'être "vain".


mallox a écrit:

Par contre tu sembles décrire le real comme une sorte d'artiste autiste désintéressé, sinon que par son art, alors là, je suis pas du tout d'accord. plus démago-putassier que le danny, y a pas.

Démago, je sais pas, c'est vrai que le film est traité comme un film grand publique, mais ça apporte un peu d'aire frais au genre à mon avis.
Intéressé que par son art, j'en sais rien, en tout cas il semble tout a fait partisan de "l'art pour l'art". Son film n'est rien d'autre qu'une histoire qu'il a envie de raconter, des émotions qu'ils cherchent à transmettre.
C'est la démarche qui me touche le plus.
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mallox
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MessagePosté le: Dim Mar 18, 2007 4:21 pm    Sujet du message: Répondre en citant

La critique ciné se pompe elle même ...
Moi, j'avais beaucoup lu à l'époque un pessimisme foncier sur l'être humain, une vision désespérée sur sa solitude et sa condition, une métaphore sur la difficulté à construire une société, ... j'en passe mais je ne fait que citer... d'ailleurs en allant vérifier à l'instant, c'est ce que j'y ai retrouvé dans les revues de presse d'allociné et consort... mais bon, c'est "la" "critique" et donc on s'en fout un peu en fait...

Il faudrait que je le revoie ce 28days ... j'essaierai à l'occasion, mais hormis un Londres dévasté qui m'avait fait forte impression, je me souviens surtout m'y être emmerdé royalement après la première demie-heure, puis honnêtement de l'avoir carrément oublié, ce qui n'est pas trop bon signe.
Il est vrai que les films au Danny Boyle, "petits meurtres entre amis", "trainspotting" ,"la Plage", "une vie moins ordinaire", "Millions" sont pour ma part de sales trips . Cet insupportable piège à gogos démago-tape à l'oeil qu'est trainspotting en particulier... Pourtant lorsque j'ai vu 28 jours, je me suis dis, tiens, ça part bien, et puis je me souviens aussi m'être dit ensuite ... "et merde, c'est chiant !" ... frank_PDT_08

Oui, les préjugers au mallox existent bien, un peu comme celles du Bigbonn pour les films de Damato... imaginez que vous filiez un Damato au bigbonn , aura t-il un bon à priori?
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MessagePosté le: Dim Mar 18, 2007 4:25 pm    Sujet du message: Répondre en citant

C'est un nul Danny Boyle
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MessagePosté le: Dim Mar 18, 2007 4:27 pm    Sujet du message: Répondre en citant

xawa a écrit:
C'est un nul Danny Boyle


au moins, c'est argumenté ça ! ico_mrgreen

mais je suis d'accord. :
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MessagePosté le: Dim Mar 18, 2007 5:16 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Rien qu'en postant les captures du film, ça m'a bufflé...
C'est pas beau ? On dirait des peintures...
Ou alors, franchement, vous êtes des philistins icon_confused
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Croustimiel
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MessagePosté le: Dim Mar 18, 2007 5:19 pm    Sujet du message: Répondre en citant

mallox a écrit:

Moi, j'avais beaucoup lu à l'époque un pessimisme foncier sur l'être humain, une vision désespérée sur sa solitude et sa condition, une métaphore sur la difficulté à construire une société, ... j'en passe mais je ne fait que citer...


Peut-être mais ça n'est pas de la politisation, juste l'impression émotionnelle que peut donner le film.
Il ne délivre aucun message.
Enfin j'le vois comme ça : une histoire sans autre but qu'elle même.
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MessagePosté le: Dim Mar 18, 2007 5:38 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Croustimiel a écrit:
mallox a écrit:

Moi, j'avais beaucoup lu à l'époque un pessimisme foncier sur l'être humain, une vision désespérée sur sa solitude et sa condition, une métaphore sur la difficulté à construire une société, ... j'en passe mais je ne fait que citer...


Peut-être mais ça n'est pas de la politisation, juste l'impression émotionnelle que peut donner le film.
Il ne délivre aucun message.
Enfin j'le vois comme ça : une histoire sans autre but qu'elle même.


ben si le pessimisme foncier faisait référence à l'être humain qui détériore la planête jusqu'à la faire péter justement. incapable du moindre respect pour l'environnement , irrespect qui se retourne contre lui, ..
bien content de te voir débattre. que ne faut-il pas dire comme sottises pour te sortir de ta tanière. tintintin ! war
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