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Throma
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MessagePosté le: Dim Juin 04, 2017 2:40 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Valor a écrit:
Pas encore vu mais tout le monde me dit qu'on n'y comprend rien ! frank_PDT_18

Mais bon du coup tu vas peut-être réévaluer The Reincarnation of Isabel ?

new_diable


Aucun risque. De manière générale, "Mania" est plus digérable, même si c'est vrai qu'on ne comprend rien. frank_PDT_10
Surtout les 20 premières minutes où il faut vraiment s'accrocher.
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sigtuna
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MessagePosté le: Mar Juin 06, 2017 7:17 am    Sujet du message: Répondre en citant

mallox a écrit:
The Omega Man a écrit:


De son côté « Life » est une production dont on attendait pas grand chose mais qui réussit ce que Scott a complètement raté un film efficace et carré. Il faut bien avouer que les astronautes de la station spatiales sont interprété par une poignée d'acteurs connut (Jake Gyllenhaal, Rebecca Ferguson et Ryan Reynolds.), mais surtout à qui le spectateur peut s'identifier , ainsi et malgré une créature en CGI pas toujours convaincante, le film parvient à maintenir un véritable tension et reste un beau moment de cinéma.
En conclusion deux grosses productions derrière lesquelles se cache en fait un film de série b, les deux productions suivent des routes parallélles mais l'une se perd en route et l'autre au final nous livre un bel hommage au genre



LIFE: ORIGINE INCONNUE
Réalisateur: Daniel Espinosa



En effet, ça se laisse regarder pour une séance série B de luxe et d'épouvante spatiale. Ça doit quand même beaucoup à "Alien", un peu trop à mon goût, mais bon, malgré le côté huis-clos redondant et deux ou trois longueurs, c'est plaisant.
Tu parles plus haut de film qui se perd en route (covenant), dans celui-ci, c'est un peu les personnages qui vont en sens inverse ! (comprenne qui verra ! frank_PDT_10 )

effectivement passé la première demi heure d'exposition chiante et souvent ridicule, on se retrouve devant un ripp off très sympathique d'Alien et comme dit ci dessus très série B dans l'esprit y compris le twist final (du coup très prévisible). Et ce coté repompe d'alien en B movies ne m'a pas gêné, bien au contraire c'est un retour au source quand on sait qu'Alien et lui même une décalque de 2 séries B (même si l'une d'entre elle est signé Bava).
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mallox
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MessagePosté le: Mar Juin 13, 2017 5:18 am    Sujet du message: Répondre en citant



The Invisible Guest - (Le contretemps) ?
(Contratiempo)

Réalisé par Oriol Paulo
Avec Mario Casas, Ana Wagener, José Coronado, Bárbara Lennie, Francesc Orella...

L’avocate Virginia Goodman aimerait bien terminer sa carrière sur un coup d’éclat. Alors que le procès est en cours, avec des témoins en charge en passe de témoigner, elle va au devant d'Adrian Dora, businessman réputé, mais accusé d’avoir assassiné sa maîtresse. Le temps presse, l'avocate n’a qu’une seule nuit pour cuisiner son client et démêler le vrai du faux et discriminer l'homme. Mais pour ce faire, ce dernier doit tout dire...

Une nouvelle preuve de la supériorité du thriller espagnol qui parvient, à partir d'un film de pur flashbacks, à élaborer un suspens palpitant. Donc fortement conseillé !

J'aurais même aimé avoir l'avis d'autres personnes à propos d'un détail. Il se trouve que j'ai tilté dès le début du film sur une chose qui ne doit pas être dévoilée, autour de laquelle le film s'articule et qui fournit même matière à rebondissement. Mais ça ne m'a pas gêné pour autant pour apprécier cette mécanique à suspens. Du coup j'aurais bien aimé savoir si je suis le seul dans ce cas. icon_eek new_help

Hormis ça, encore un film non distribué dans les salles françaises, en tout cas, pour le moment. J'espère qu'il trouvera le chemin ciné, tout comme récemment "La colère d'un homme patient". En lui souhaitant de garder le titre original ou son équivalent français, non pas le titre anglophone à la con.
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mallox
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MessagePosté le: Lun Juin 26, 2017 9:30 am    Sujet du message: Répondre en citant



Dans la forêt - 2016

France / Suède
Thriller

Réalisé par Gilles Marchand
Avec Jérémie Elkaïm, Timothé Vom Dorp, Théo Van de Voorde...

Tom, 8 ans, sent une présence maléfique. Son frère Benjamin, 11 ans, ne le croit pas. Ensemble, ils doivent rejoindre en Suède leur père qu'ils n'ont pas beaucoup vu depuis qu'il a divorcé de leur mère. Insomniaque, celui-ci leur propose de partir en excursion en forêt. Il veut se rendre dans une maison perdue dans les bois. D'emblée, les enfants ne se sentent pas bien et sont de plus en plus effrayés par le comportement étrange de leur père.

Il y a quelques années, après vision de "L'Autre Monde" et de "Qui a tué Bambi ?", je m'étais dit : "tiens, Dominik Moll fait les bons films et laisse Gilles Marchand réaliser les mauvais où peut-être ceux plus casse-gueule".
Je ne sais pas ce qu'il en est mais cette vision de "Dans la forêt", coscénarisé par Dominik Moll, m'a laissé complètement dubitatif et je suis arrivé douloureusement à son terme. Entre le rythme anémique, les montées de tensions cousues de fil blancs, une atmosphère qui ne s'installe jamais, le jeu peu convaincant de Jérémie Elkaïm, des scènes peu crédibles (l'arrivée de campeurs suédois qui ensuite se font envoyer chier, l'ainé qui disparait sans qu'on ne le recherche trop et que ça émeuve le cadet pourtant affuté ailleurs, des séances télépathiques où le petit doit deviner le mot auquel pense le grand frère -il s'agit du mot "Bouche"- d'où l'apparition d'un spectre montrant sa bouche - on se demande ce qu'il se serait passer avec le mot "Micro-ondes" ou même "couilles"), une fin où perso, je n'ai plus eu envie de comprendre le tenant et les aboutissants, même si j'ai me semble t-il compris les allusions aux contes de Grimm. Triste film en vérité car j'aurais aimé l'aimer puis en dire du bien. Je ne suis pas certain que le sieur Marchand soit très doué pour la mise en scène et, peut-être, devrait-il se contenter d'être scénariste. Enfin je sais pas trop, mais quoi qu'il en soit "Dans la forêt" n'est pas bien folichon, voire parfois un peu ridicule.
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MessagePosté le: Sam Juil 15, 2017 9:51 am    Sujet du message: Répondre en citant

Comme c’est les vacances et que les voisins sont partit, on se dit que c'est le moment de sortir de l'armoire ces mauvais films que l'on aime regarder, en vrac on a du nichon, du poisson pané, de la morue et des bagnoles,inutile de préciser que le choix des titres est tout à fait aléatoire !




Lara Croft: Tombraider / 2001
Réalisateur: Simon West
Avec: Angelina Joile & Daniel Graig
Adaptation du jeu du même nom, de l'avis générale un mauvais film qui a pourtant remporté 250 millions de dollars, la raison est toute simple et tient à peu de chose c'est à dire le t-shirt moulant et le short d'Angelina Jolie qui ont fait des ravages. Pour avoir vu le film sur grand écran, je peux dire que lorsque l'actrice court on ne voit que ces (faux) nénés balloter sous son t-shirt, vrai ou faux on s'en fout il balance dans tous les sens, hypnotisant le spectateur. Curieusement beaucoup de papa avait à l'époque accepté d'accompagner leur progéniture au cinéma pendant que madame faisait les courses ! Une suite suivra inévitablement mais n'ayant pas compris le potentiel sexy de l'actrice le studio supprimera le t-shirt et le short de la suite et gommera digitalement la combinaison de plongée de l'actrice jugeant sa poitrine trop imposante, résultat un bide au box-office (150 millions quand même) ! Bon depuis l'actrice c'est fait enlever les seins, est devenue anorexique et n'a plus cartonner au box office, étrange ?



L'équipée du Cannonball / The Cannonball Run / 1981
Réalisateur: Hal Needham
Si l'on devait classer les dix films les plus con de l'histoire, "The Cannonball Run" se placerait dans le top 5, régressif, puéril, inconscient, le film place l'humour potache au rang de sport national, les dialogues sont à l'unissons, la version française pour une fois fait un effort et le doublage laisse perplexe ! (Farrah Fawcett avec la voix de BB, Don de Luise avec celle de Daffy Duck, ....)
Adrienne Barbeau & Tara Buckman en combinaison fluo moulante au volant d'une Lamborghini noire restera sûrement l'un des moments fort du film, et une énorme faute de goût, mais comme disait l'autre les goûts et les couleurs cela ne se discute pas, et comme disait l'autre "Que les foudres d'Allah s'abatte sur le Cannonball".



Ace Ventura: Pet Detective / 1994

Réalisation: Tom Shadyac
Premier film de Jim Carrey (tourné en même temps que "The Mask") dans un véritable premier rôle, l'acteur sortit du "Saturday Night live" est complètement en roue libre, l'histoire et la réalisation sont totalement négligeable, l'essentiel est de servir de prétexte pour mettre en valeur le comique, sans aucune velléité artistique ni prétention, drôle à force d'être aussi con !
Si le film marque la révélation de Carrey par contre c'est la déchéance pour la belle Sean Young (Blade Runner) obligée d'incarner un transsexuel, avec le "paquet" qui dépasse à l'arrière !



Jaws 3D / Les Dents de la Mer 3 / 1983

Réalisation: Joe Alves
Troisième épisode des aventures de Bruce le requin, cette fois il s'en va visiter un parc d'attraction en boulottant tous ce qui passe à sa portée, notamment le pauvre Simon Mac Cormack qui reste coincé dans la gueule du squale comme un vulgaire morceau de viande dans un râtelier, délicat ! C'est pas toujours très subtil mais on ne s'ennuie pas entre les dauphins et les attractions, on attend qu'une chose que le requin bouffe du visiteur, pas de chance le carnage tant attendu ne se produira pas dommage.



Chapeau Melon et Bottes de Cuir / The Avengers
Réalisation: Jeremiah S. Chechik
Après avoir envisagé des version expérimentales dont celle de David Fincher qui voulait tourner en N&B avec Charles Dance dans le rôle de Steed, ou une version avec Mel Gibson et Nicole Kidman dans le rôle mythique de Madame Peel. Le couperet tombe enfin en 1998, Uma Thurman sera Madame Peel et Ralph Fiennes John Stedd, production américaine essayant en vain de retrouver l'esprit de la série, le film accumule le n'importe quoi (les guêpes robots, les déguisement d'ours !), les deux acteurs sont plutôt pas mal pris séparément, mais aucune complicité ne se dégage du couple, ainsi la soit disant scène de séduction semble sortie d'un mauvais porno (d'ailleurs si vous la trouver jeter un oeil sur la version cul du film particulièrement réussie). On reste perplexe devant les dégâts, mais on s'étonne de regarder jusqu'au bout et on se dit que Sean Connery ferait n'importe quoi pour de l'argent ! "Chapeau Melon" est aussi un film qui possède une bande annonce dont les deux tiers du contenu n'est pas dans le film !



ShowGirls / 1995
Réalisation: Paul Verhoeven
Avec: Elizabeth Berkley, Kyle MacLachlan, Gina Gershon
En alignant trois gros succès surprise d'affilée (Robocop, Total Recall, Basic Instinct) Paul Verhoeven se voit offrir le graal du projet sans restriction, malheureusement ces deux propositions passent à la trappe (Mistress of the Seas et le barge The Crusade) il appelle alors Joe Eszterhas, scénariste de "Basic Instinct" qui sort de son tiroir un script pourri dont il a le secret, racoleur comme pas deux le film joue sur les bas instinct des spectateurs mâles. Un projet qui sent le pâté ( à la crevette !), pourtant tous le monde se bat pour y participé en tête l'actrice Elizabeth Berkley qui pense ainsi échappé à son statut de vedette de télé avec un rôle à la Sharon Stone. Les producteurs se frottent les mains en pensant à Basic Instinct, alors que le studio qui distribue la chose espère se renflouer. Chronique d'un naufrage annoncé le film est un étalage de belle fille en papier glacé qui se trémousse comme des anguilles hors de l'eau, c'est tout à fait obscène donc totalement indispensable ! Il parait même que l'armée américaine en aurait parachuté des caisses pleine de DVD sur Dahesh en Syrie !



Un Gratte Ciel en Otage / Skyscraper / 1997
Réalisateur : Raymond Martino
Avec : Anna Nicole Smith, Richard Steinmetz, Branko Cikatic, Calvin Levels
Un véhicule pour la playmate Anna Nicole Smith (qui sera aussi la vedette de « To Limit » une autre production PM), son personnage est un pilote d’hélicoptère qui se prend pour Bruce Willis. Le début inspiré par la scène d’embuscade de « Danger Immédiat » est ce que le studio à pu faire de plus spectaculaire dans le genre et soutient parfaitement la comparaison avec sa copie. Pour le reste Anne Nicole Smith joue comme une patate, mais on s’en fout pourvus qu’elle exhibe son opulente poitrine ce qu’elle fait à plusieurs reprise dans quelques scénettes érotiques (dont la plupart ce sont retrouvé sur « youtube »), on mentionnera une séquence de douche pleine de cellulite et un viol des plus croquignolet (censuré lors du passage à la télévision française et sur certaines édition DVD) ou l’actrice garde son pantalons, elle finira par défenestrer son agresseur. Pour le reste on reprend la trame de « Die Hard » et on essaye vaillamment d’atteindre la fin
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mallox
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MessagePosté le: Lun Juil 17, 2017 4:30 am    Sujet du message: Répondre en citant

Moi je ris beaucoup devant Ace Ventura, détective pour chiens et chats, notamment lorsqu'il longe la maison avec son pistolet et saute de la fenêtre cadrée de façon à ce qu'on croit qu'elle est très haute alors qu'elle est à 1 mètre du sol. ( )

J'ai vu L'équipée du Cannonball au cinéma à l'époque et ça m'avait déçu, limite un peu ennuyé.

Chapeau Melon et Bottes de Cuir est un monument. D'ennui.

Jaws 3D est sympa (celui de Sargent, le 4 je crois, houlalala !)

Et j'ai aimé ShowGirls à sa sortie au ciné comme en le revoyant ensuite. Toute la splend... laideur du rêve américain. Et toute la presse ciné (non) visionnaire et à la ramasse dans sa splendeur.

Jamais entendu parler de Skyscraper et Anna Nicole Smith ressemble à Catherine Jacob dans "Chez nous" sur l'affiche (avec une bite dans le cul en plus).


sigtuna a écrit:


Il me semblait que Mallox en avait parlé ?
Ouais bof... hommage aux comédies musicales mais avec un couple d'acteur à la fois dénué de tout sex apeal et aux talent de chanteurs et danseurs très médiocres (pour ne pas dire plus), dire que ça a été survendu c'est un euphémisme...


A y est, c'est vu. Et c'est d'un vide intersidéral. Survendu mais aussi et surtout sur-primé.


sigtuna a écrit:


Au bout du tunnel

Agréablement surpris par ce polar Argentin en quasi huis clôt qui laisse penser à un petit budget (apparemment ce ne fut pas le cas coprod espagnole oblige) qui démarre mollement mais qui arrive à tenir la distance (2h quand même) et se regarde sans ennuie grâce à un scenario malin ou tous fini par s'emboiter parfaitement malgré de grosses ficelles.


Ah punaise, j'ai quand même été assez déçu, faute à un rythme et une mise en scène trop lents. Ça manque de nerfs et tout ça aurait mérité d'être resserré sur 1h35.
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MessagePosté le: Lun Juil 17, 2017 4:14 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Le film argentin est un peu lent au démarrage mais après ça va.
Sinon du même avis que Mallox pour le reste. frank_PDT_06
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MessagePosté le: Lun Juil 17, 2017 4:53 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Quelqu'un pour remorquer Omega Man ? Je crois qu'il s'est enlisé dans les années 90

(C'te décennie moisie du cul quand même...au moins sur le plan cinématographique... Chapeau mou et botte de foin ; Men in black ; les Kevin Williamson ; Rasta Rockett ; La vérité si je mendie ; Woopi Goldberg ; les Robin Williams ; Kevin Costner, putain l'enfer...)
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MessagePosté le: Lun Juil 17, 2017 5:07 pm    Sujet du message: Répondre en citant

C'est vrai que les années 1990, tant au niveau du cinéma que de la musique, c'est un peu la misère. Quant à maintenant, je préfère ne rien dire (mais je n'en pense pas moins). frank_PDT_10
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MessagePosté le: Lun Juil 17, 2017 5:12 pm    Sujet du message: Répondre en citant




C'était quand même un peu mieux que les années 2000, non ? L'émergence de Tarantino, l'avènement de James Cameron, LE chef-d'oeuvre du cinéma français de Matthew kasscouïvitz "La Haineuh", le fantastique "Trainspotting", Tim Burton sacré meilleur cinéaste, Michael Mann et McTiernan au top des films-parpaings... frank_PDT_10

Allez, je garde "Un jour sans fin", "Dead Man" et "Fargo".


Citation:
Rasta Rockett



Rhhaaaaaasta Rocketttttttttttt !!!!!!!!

J'ai jamais aussi bien dormi au cinéma. J'ai vu le premier 1/4h, me suis réveillé au générique de fin. Un film mythique pour moi ! ico_mrgreen
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MessagePosté le: Lun Juil 17, 2017 5:19 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Throma a écrit:
Quelqu'un pour remorquer Omega Man ? Je crois qu'il s'est enlisé dans les années 90

(C'te décennie moisie du cul quand même...au moins sur le plan cinématographique... Chapeau mou et botte de foin ; Men in black ; les Kevin Williamson ; Rasta Rockett ; La vérité si je mendie ; Woopi Goldberg ; les Robin Williams ; Kevin Costner, putain l'enfer...)


amour10 Tu oublies le retour des films catastrophe "Twister, Independence Day, Daylight, Titanic, Le Pic de Dante, Volcano, Armageddon, Deep Impact, Alerte"
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MessagePosté le: Lun Juil 17, 2017 5:21 pm    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai vu Super Mario Bros au ciné.































Et j'ai aimé.
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MessagePosté le: Mar Juil 18, 2017 5:37 am    Sujet du message: Répondre en citant



Qui a peur de Virginia Woolf ? - 1966

De Mike Nichols
Avec Elizabeth Taylor, Richard Burton, George Segal, Sandy Dennis...

Je n'avais jamais daigné voir ce "classique" du théâtre et du cinéma, c'est chose faite et vache, c'est vraiment coriace.

Richard Burton et Elizabeth Taylor sont monstrueux (et monstrueusement bons). Ils sont la principale raison de voir le film qui, quant à lui, est d'une pesanteur absolue !
J'ai décidément beaucoup de mal avec Mike Nichols qui demeure pour moi un réal purement théâtral, ne sachant trop comment faire respirer ses films et faisant régulièrement primer la réflexion lourdement indigeste sur l'aération.
"Ce plaisir qu'on dit charnel", "Working Girl", l'insupportable "Closer, entre adultes consentants" sont des films chiants comme pas permis. Étouffants malgré eux. Même "Le Lauréat", probablement son meilleur film, pâtit de scènes plombées. "Catch 22" est un ratage presque réussi mais qui ne prend jamais son envol pour cause de mise en scène tout sauf aérienne, j'apprécie "Le Jour du dauphin" en film a moitié raté mais fantasmé, comme si je le réparais à sa vision.
Pour le reste, un "Biloxi Blues" en demi-teinte, un impossible "Primary Colors"... que dire de "Wolf" et de Jack Nicholson transformé en Super Jaimie ?

Le plus étonnant avec "Who's Afraid of Virginia Woolf?", lequel possède un beau noir et blanc, une jolie musique et quelques instants de réelle intensité dans un océan aussi sujet à la submersion qu'une catastrophe japonaise, est qu'il fait figure de parangon du nouvel Hollywood. Dès 1962, sur des bases autobiographiques et théâtrales, Arthur Penn faisait bien mieux avec son "The Miracle Worker". La différence est que Penn, dont le cinéma n'est pas sans reproches à faire non plus, savait relancer la tension d'un film et même la conserver. Ici, on aura beau dire que l'asphyxie dégagée est en adéquation avec son sujet qu'on peut aussi la voir comme un coup de bol vu que toute la carrière et tous les films de Nichols sont ainsi faits. Je ne pense hélas pas que ce soit par choix, plutôt par défaut, et à cause d'une démarche trop lourdement intellectuelle, pas assez sensitive.

Perso, j'ai eu ce que je redoutais et du coup j'ai retrouvé à l'écran les raisons pour lesquelles je tardais à le découvrir.

Quelqu'un ici a déjà vu ce film ?
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sigtuna
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MessagePosté le: Mar Juil 18, 2017 9:22 am    Sujet du message: Répondre en citant

Non, mais j'ai vu super Mario Bros. frank_PDT_09 icon_redface
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MessagePosté le: Mar Juil 18, 2017 9:26 am    Sujet du message: Répondre en citant

(moi aussi mais je l'ai oublié - bon, c'était pas trop mon truc non plus).
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