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mallox
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MessagePosté le: Lun Oct 30, 2017 9:44 am    Sujet du message: Répondre en citant

Deux adaptations de King...



Gerald's Game (Jessie) - 2017

Réalisé par Mike Flanagan
Avec Carla Gugino, Bruce Greenwood, Carel Struycken...


et :



1922 - 2017

Réalisé par Zak Hilditch
Avec Thomas Jane, Bob Frazer, Neal McDonough, Molly Parker, Kaitlyn Bernard...


Et, contre toute attente, une préférence pour le second !

- Dans le premier, un couple part en week-end dans une maison isolée. Une couple en décrépitude qui tente de réparer son couple en innovant de nouveaux ébats. Le mari a une libido défaillante à l'amorce de la cinquantaine (les cinquantenaires d'ici connaissent bien le problème !), il prend donc du Viagra avant puis attache sa femme aux barreaux du lit avec des menottes. Il joue au méchant violeur, sa femme, ben, sa lui plaît pas des masses, elle lui demande de la détacher mais, pas de bol, son étalon viagraïsé est victime d'une crise cardiaque. Il s'effondre. Vu qu'il a mis au préalable les clés de la paire de menottes dans la salle de bain, sa femme est donc livrée à elle-même. Pas commode de se délivrer, voir impossible. Et quand un Berger Allemand laissé à l'état sauvage dans ce coin reculé se pointe dans la chambre et commence à bouffer le mari mort, grosse flippe !

Et là, histoire béton, mise en scène solide. Perso, j'ai déjà dit ici ce que je pensais de l'efficacité du sieur Mike Flanagan (The Mirror, Hush, Ouija : les origines), je me dis même que je ne suis pas si stupide puisque je ne suis pas le seul à avoir remarqué son talent et puis, au final, "Gerald's Game" me déçoit un peu. Je m'attendais un thriller constamment tendu, rempli d'actions teigneuses et de méchant suspens et, soit, il y a un peu de ça dedans, mais il y a aussi beaucoup de bavardages en solo, de flashs du passé ou bien de visions fantasmées où le mort vient parler aux côtés de l'héroïne... et tout ça finit par faire un peu remplissage alors qu'une scène toute simple, comme tenter de prendre un vers d'eau puis de boire avec une feuille de papier roulée en cône, ça le fait bien. Bref, appréciation en demi-teinte du coup et quelques coups de somnolence de mon côté.


- Pour le second, surgit de nulle part pour moi, en pleine crise économique (1922 pour le coup), un fermier y tue sa femme car elle est propriétaires des terres qui représentent une petite fortune veut vendre. À l'aide de son fils, il l'a tue à coups de couteau, laborieusement et finit même par devoir l'égorger. Jusqu'ici tout vas bien (si si !) sauf qu'il vient de signer sa perte et la perte de tout. Le film oscille entre visions spectrales et visions réalistes. Entre les scènes hallucinées, on vérifie que le cadavre est toujours au fond du puits, ce qui vaut par ailleurs quelques visions assez effrayants, une femme qu'on a vue belle au début, en pleine décomposition, les yeux vitreux, des rats s'immisçant dans sa bouche, les mêmes rats qui bientôt vont faire de la maison du fermier, leur demeure. Un fils qui met enceinte une fille du coin, une chose à ne pas faire à cette époque où Dieu tient encore ses fidèles rednecks bien en laisse. Et le film va ainsi de drames en drames avec même ce fermier qui finit par vivre dans sa maison avec sa vache qu'il ne peut plus nourrir. Et là, pas un instant d'ennui, propos et film assez étonnants qui du reste tient en haleine du haut de ses 100 minutes, ce que "Gerald's Game" ne parvient pas tout à fait à faire. Me souviens pas avoir vu de films de Zak Hilditch ("These Final Hours" de 2013 me parle mais pas plus que ça) mais il semble avoir un certain talent. En tout cas "1922" est conseillé dans vos chaumières pour l'Halloween !
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mallox
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MessagePosté le: Jeu Nov 02, 2017 6:48 am    Sujet du message: Répondre en citant

Plop, je dépose ça là aussi, comme ça, si demain je me souviens pas l'avoir vu, ça me remémorera le film ! (et ça fera un peu vivre le forum qui se meurt au profit du mondialiste et ultralibéral farcebook. Le réseau que même Andy Warhol n'aurait pas imaginé comme lieu de campagne d'un Mélenchon ou de minute de gloire des êtres lambdas ! frank_PDT_10 )



Extortion - 2017

Réalisé par Phil Volken
Avec Eion Bailey, Barkhad Abdi, Bethany Joy Lenz, Danny Glover...

Et ça commence vraiment bien avec le moteur du petit bateau de location destiné faire une petite excursion dans les petites îles des Caraïbes et qui s'enraye, laissant Kevin Riley seul comme un con avec sa femme et son fiston sur l'une des nombreuses îles de la région. Quand le gamin tombe malade et que la déshydratation guette la famille, l'incident technique commence à tourner au cauchemar. Même à repartir seul à la rame, on s'épuise rapidement.
Heureusement, un petit bateau de pêche passe à une centaine de mètres ! Pas de bol, il ne semble pas le voir. Mais il rebrousse chemin et là, deux hommes commencent à les aider pour s'arrêter en cours de route : l'un des deux accepte de sauver la famille Riley mais contre 1 million de dollars. Kevin n'en a hélas que 40 000, toutes leurs économies, mais contraint, il accepte. Et là, ben, je dis plus rien car il se passe de drôles de choses : imaginez qu'on vous vide vos comptes en banque mais, afin de ne pas se faire repérer, on tente de vous rayer de la carte (des Caraïbes hu hu hu !), en vous faisant couler avec votre bateau et en laissant crevette votre femme et votre enfant.

Jusque là tout va bien. Ou mal, selon si on se place du côté des naufragés ou du spectateur. Et puis... et puis le scénario prend l'eau et se met à courir comme un lapin après deux genres : l'enquête policière avec faux coupable qui se retrouve accusé (bien le bonjour en passant au sieur Danny Glover que je n'avais pas vu venir, ignorant tout ou presque de ce thriller - hormis le mot thriller, miam miam !) et la course contre la montre avec notre héros qui va tout faire (et si je dis tout, c'est vraiment tout !) pour retrouver sa famille et la sauver. Bon, le type est médecin, ce qui lui permet d'estimer leur temps de survie (bien !). Mais parmi les centaines d'îles de la région, il faut déjà situer de laquelle il revient lui-même. Pour cela, il faut retrouver au moins l'un des deux maîtres-chanteurs qui eux le savent.

Il y a passage glauque dans "Extortion" : à un moment, on se retrouve dans la famille du pêcheur maigre (excellent Barkhad Abdi, remarqué dans "Captain Phillips" de Paul Herbeverte et qu'on peut actuellement voir en Dark Vador dans 2049) qui a lui aussi une femme et deux enfants. L'un des deux semble assisté par une pompe à oxygène, semble t-il atteint d'une maladie grave, voire incurable et puis, là où il y avait matière à ambivalence, "Extorsion" s'en va surfer ailleurs, dans les énormes rouleaux balisés de l'action à tout prix. Il se noie du coup dans le ressac de son invraisemblance. En premier lieu, des choix faits par les personnages assez peu crédibles. Mais aussi des accidents surgis de nulle part aussi probables que de faire sauter la Française des jeux.

On ne s'ennuie pas un instant durant les 110 minutes que dure la croisière de Phil Volken. Mais à vouloir aller contre vents et marées et à toutes voiles, il transforme ce qui aurait pu être un véritable classique instantané en thriller de série, certes plaisant et même dépaysant, mais aussi crédible qu'un taxi bordelais accueillant un touriste parisien en lui faisant un prix d'ami en fin de course.
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sigtuna
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MessagePosté le: Ven Nov 03, 2017 9:43 pm    Sujet du message: Répondre en citant

mallox a écrit:
aussi crédible qu'un taxi bordelais accueillant un touriste parisien en lui faisant un prix d'ami en fin de course.

ça sent le vécu. frank_PDT_09
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mallox
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MessagePosté le: Mar Nov 07, 2017 7:02 am    Sujet du message: Répondre en citant



Traître sur commande - 1970

Réalisé par Martin Ritt
Avec Richard Harris, Sean Connery, Samantha Eggar, Frank Finlay, Anthony Zerbe...

1876, en Pennsylvanie. La petite ville d'Eckley vit des mines de charbon. Des milliers d'hommes sont exploités. Quelques ouvriers fondent une société secrète, les Molly Maguires, qui se vengent de leur condition par des actes terroristes. Un jour, un étranger arrive et se fait engager à la mine. Il s'agit en fait d'un détective chargé d'identifier les membres du groupe des Molly Maguires.

Un sacré morceau de cinéma en vérité. Pas parfait (la caractérisation des personnages est inégale) mais passionnant de bout en bout avec des choix de mise en scène extrêmement audacieux. La première scène parle d'elle-même, trois mineurs, dans une mise, installent des explosifs. La caméra se braque sur leur sortie de la mine et le plan se finit sur Sean Connery au premier plan et la mine qui saute en arrière-plan. Pas une seule phrase n'est prononcée durant une vingtaine de minutes et le personnage campé par Sean Connery disparait de l'écran pendant un bon moment pour réapparaître une vingtaine de minutes plus tard, après l'arrivée de Richard Harris, mais en retrait et silencieux durant encore un bon moment.
La plongée des mineurs au fond de la galerie est éclairée à la bougie, ce qui donne un aspect presque fantastique, irréel, à des scènes pourtant tout à fait réalistes, mais aussi une couleur charbonneuse. Pas con et punaise, ça rend magnifiquement à l'écran !
Le personnage le plus intéressant reste celui du détective, c-a-d de Richard Harris, qui doit d'abord gagner la confiance des adeptes de la confrérie, participer à leurs actions et l'une des choses les plus réussie de "The Molly Maguires" est l'ambiguité puis l'ambivalence dans laquelle le personnage va plonger.
Un étonnant mélange de sobriété et de lyrisme avec une sublime photo de James Wong Howe et une musique d'Henry Mancini qui a rarement été aussi inspiré.
J'avions jamais vu cet excellent spectacle aride, vigoureux, fort, et ma foi, je n'ai pas regretté ma tardive découverte. Bref, j'en parle pour conseiller si l'occasion venait à se présenter à vous...
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sigtuna
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MessagePosté le: Jeu Nov 09, 2017 7:30 am    Sujet du message: Répondre en citant

D’après une histoire vraie comme on dit à Hollywood. frank_PDT_16
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Bigbonn
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MessagePosté le: Dim Déc 10, 2017 4:09 pm    Sujet du message: Répondre en citant



Tiens, j'ai regardé l'intégralité de la saison 1 de Black Mirror (bon, en fait, il n'y a que trois épisodes) et j'ai trouvé ça très bon.
Indépendants les uns des autres, ils arrivent à nous projeter dans un futur proche où écrans sont omniprésents, vies virtuelles contaminent le réel, réseaux sociaux, applis diverses et manipulations mentales sont la norme. Le tout avec une bonne dose d'humour noir le plus souvent aux dépens de personnages se débattant dans une nasse numérique qui les dépasse et s'impose à eux.
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Bigbonn
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MessagePosté le: Dim Déc 17, 2017 10:35 am    Sujet du message: Répondre en citant

Howard the duck, de Willard Huyck



J'avais pas vu ce film depuis sa sortie et je n'en gardais quasi aucun souvenir, ce qui est rarement bon signe.
A la revoyure, je l'ai trouvé pas si mal, à ma grande surprise (ou alors c'est que je suis dans une phase propice à la mansuétude) malgré des défauts quand même nombreux qui expliquent probablement le four que le film fut à l'époque.

Le ton est plutôt cool et semi-parodique avec ce canard qui vit sur une planète en tous points similaire à la notre si ce n'est qu'elle n'est pas peuplée d'êtres humains. Les canards fument, boivent, draguent, regardent les pages centrales de leur magazine Playduck, vont au cinéma voir des films dont les titres et les affiches détournent les notres. Mais ça ça dure 5 minutes au début du film.

Les personnages sont ok aussi et Jeffrey Jones en possédé d'un alien belliqueux en fait des tonnes ce qui est tout à fait dans le ton du film et n'est pas pour me déplaire.

Mais c'est trop long. Et Howard ressemble vraiment trop à un cousin de Donald pour pouvoir tenir la route sur la durée. Trop lisse, même lorsqu'il se fait légèrement grivois et surtout jamais crédible lorsqu'il montre les muscles pour pratiquer le coin-Fu ou jouer les durs.

Et finalement, quitte à être parodique, le film aurait du l'être beaucoup plus. L'esquisse de love story trans-espèces entre Léa Thomson (Beverly) et Howard aurait pu être plus rentre-dedans (si j'ose dire), surtout après qu'elle a trouvé un préservatif dans le portefeuille de son petit canard...

Justement le genre de détail qui a pu détourner le public familial que semblait viser ce film d'aventures mâtiné de comédie avec son héros façon grosse peluche vivante.
Alors que finalement il visait peut-être plus des amateurs de marvelleries (le personnage est issu d'un comic paru chez Marvel).

Ici, on retiendra plutôt du réalisateur son Messiah of Evil, ailleurs le fait qu'il fut scénariste d'Indiana Jones et le temple maudit.

Quant à Howard, c'est un film bancal pour un personnage bancal (et pas bankable, hélas pour ses créateurs). Son bide nous aura au moins évité de subir les 36 suites obligées des franchises rentables.
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sigtuna
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MessagePosté le: Lun Jan 08, 2018 10:52 am    Sujet du message: Répondre en citant



Trois des chars d'assaut (1950) de Terence Young (aussi scénariste)

Titre français mensonger évoquant les "4 de l'infanterie" de Pabst puisqu'en fait il n'y a que 2 héros.
Au lendemain de Dunkerque 2 londoniens (quasi quadragénaire) s'engagent dans la garde galloise désormais régiment de blindé, l'un des deux étant américain, là ils croisent un irlandais (d'où le titre français).
Ils suivent une formation assez folklo dont ils sortent lieutenant (et l'irlandais seulement sous off sans qu'on sache le pourquoi de cette différence de traitement si ce n'est que ce dernier est un prolo contrairement aux 2 personnages principaux). Ensuite pendant 4 ans et la moitié du film ils restent en Angleterre et on s'emmerde ferme en attendant le débarquement de 44, puis ils se couvrent de gloire en Normandie (ou plutôt leur unité s'y ridiculise moins que les autres régiments de blindés) libèrent Bruxelles, foncent vers Arnhem puis vers les Ardennes début 45.

Écrit et réalisé par Terence Young jeune vétéran des blindés lui même le film joue la carte du réalisme au détriment du spectaculaire.
Pas d'exploit fantastique de nos tankistes (à part le 1er engagement, on ne les voit pour ainsi dire jamais détruire de blindé ennemi, alors que nos héros perdent au moins deux fois chacun, leurs chars) et même parfois de l'auto dénigrement de la part des british sur l’efficacité de leur troupes ("pourquoi nous on piétine pendant que les russes et les américains avancent de plusieurs centaine de km" questionne un bidasse lors du briefing) et surtout sur la mentalité anglaise et ses traditions militaires parfois ridicules, non sans une certaine ironie globalement bienveillante.
D'un autre coté il ne se passe pas grand chose durant la première moitié du film, et le message sur l'amitié américano britannique est un peu lourdingue.
A noté dans un casting de quasi inconnu, l'un des premier rôle (presque muet) de Christopher Lee.
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MessagePosté le: Lun Jan 08, 2018 6:10 pm    Sujet du message: Répondre en citant

sigtuna a écrit:
2 londoniens s'engagent dans la garde galloise, l'un des deux étant américain, là ils croisent un irlandais (d'où le titre français).

frank_PDT_16
Tu peux répéter plus lentement ?
(bon, j'avoue, j'ai relu et j'ai compris mais à la première lecture, je me suis dit : ça manque de belges!)
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MessagePosté le: Lun Jan 08, 2018 7:33 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bigbonn a écrit:
(bon, j'avoue, j'ai relu et j'ai compris mais à la première lecture, je me suis dit : ça manque de belges!)


Et bien... il y en a dans ce film, puisque le titre de gloire de cette unité (la garde galloise qui comprend donc des volontaires non britannique) est d'avoir libéré Bruxelles (sans combattre). Ils croisent donc des Bruxellois qui les prennent d'abord pour des allemands puis leur offre des caisses de Champagne frank_PDT_16
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MessagePosté le: Lun Jan 08, 2018 8:51 pm    Sujet du message: Répondre en citant

frank_PDT_16
des caisses de champagne ? C'était pas des belges !!! Z'auraient plutôt eu des crasses pintes ! frank_PDT_10


Dernière édition par Bigbonn le Mar Jan 09, 2018 6:27 am; édité 1 fois
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MessagePosté le: Lun Jan 08, 2018 9:49 pm    Sujet du message: Répondre en citant



En fait dans le film c'est une cargaison de champagne en direction de l’Allemagne confisqué par les cheminots belges.
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MessagePosté le: Lun Jan 15, 2018 7:38 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Je continue donc mon exploration de la 2nde guerre mondiale au cinéma ( avec :


Première victoire de Toto Preminger (1965)

aux antipodes (et pas que géographiquement) du film de Young précédemment cité, avec ici un casting de "stars" et des péripétie totalement imaginaire (c'est l'adaptation d'un roman) passé l'intro de l'attaque de Pearl Harbor.
Cette intro est de loin ce qu'il y a de mieux dans le film avec quelques explosions bien sentis et surtout Barbara Bouchet en bombe nympho cocufiant Kirk Douglas avec tous les officiers de marines de passages. J'ignorais d'ailleurs qu'elle avait débuté à Hollywood.
Ensuite bof, bof, bof, avec un John Wayne semblant très peu concerné (car en fait diminué physiquement par une récente opération) et un Kirk Douglas inhabituellement sobre (mais pas plus convainquant pour autant), jusqu'à un final pas piqué des hannetons avec une attaque suicide de torpilleurs ricains (déjà ça c'est vachement crédible new_diable ) sur une superbe maquette playmobyl de cuirassé japonais. frank_PDT_10
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MessagePosté le: Jeu Jan 18, 2018 9:58 am    Sujet du message: Répondre en citant

Bigbonn a écrit:


Tiens, j'ai regardé l'intégralité de la saison 1 de Black Mirror (bon, en fait, il n'y a que trois épisodes) et j'ai trouvé ça très bon.
Indépendants les uns des autres, ils arrivent à nous projeter dans un futur proche où écrans sont omniprésents, vies virtuelles contaminent le réel, réseaux sociaux, applis diverses et manipulations mentales sont la norme. Le tout avec une bonne dose d'humour noir le plus souvent aux dépens de personnages se débattant dans une nasse numérique qui les dépasse et s'impose à eux.


Pas du tout branché séries actuelles, j'ai tenté le premier épisode de celle-ci après les louanges qu'on lui prête et ce qui est certain, c'est que je ne suis pas prêt de poursuivre le périple.
Formellement, c'est très bien fichu mais alors la déprime totale : 45 minutes de facebook, twitter, chaine info abrutissante, sms.
La critique est acerbe certes, mais alors devoir se taper toute la chiasse quotidienne dans une fiction.
Rendez-moi ma "Quatrième Dimension" et mes "Tales from the Crypt".





Un solide western de transition entre le spagh et le western américain avec une équipe technique et des comédiens des 2 pays.

Et une intrigue plutôt cruelle puisqu'il y est question d'une famille qui se déchire et s'entretue. Franco Nero est à la fois proche (dans le temps) et loin de "Django" puisqu'ici, il ne fait guère d'étincelles avec les colts. Pour cela, il peut compter sur Gordon Scott et Jim Mitchum. Ce dernier pour lequel, du reste, j'ai beaucoup de sympathie malgré un monolithisme prononcé décroche peut-être bien le rôle le plus étoffé du casting. Tiraillé entre le bien et le mal, amputé d'un bras en cours de route, il devient progressivement une bête assoiffée de sang, une machine de guerre difficilement maitrisable.
En bref, un "bon p'tit film" comme on dit dans le Périgord.
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MessagePosté le: Sam Jan 20, 2018 7:33 am    Sujet du message: Répondre en citant

Throma a écrit:
Pas du tout branché séries actuelles, j'ai tenté le premier épisode de celle-ci après les louanges qu'on lui prête et ce qui est certain, c'est que je ne suis pas prêt de poursuivre le périple.
Formellement, c'est très bien fichu mais alors la déprime totale : 45 minutes de facebook, twitter, chaine info abrutissante, sms.
La critique est acerbe certes, mais alors devoir se taper toute la chiasse quotidienne dans une fiction.
Rendez-moi ma "Quatrième Dimension" et mes "Tales from the Crypt".

frank_PDT_10
Suis pas trop surpris de ce que tu dis.
En fait, c'est presque rassurant que tu n'aies pas envie de poursuivre, tu seras toujours plus archéologue de VHS et de pellicules rares que plongé dans l'air du temps (et c'est pas un reproche, tu m'as déjà fait découvrir ou donné envie de découvrir pas mal de pépites et l'air du temps résiste parfois mal au temps, justement)
Ceci étant, si jamais tu t'y essaies à nouveau, je te conseillerai La Chasse dans la saison 2 (et si ça te plait pas, tu pourras toujours la tirer), Tuer sans état d'âme dans la saison 3 et Crocodile dans la saison 4 (une parabole sur les rappeurs qui portent des Lacoste... non, je déconne).
Après, moi qui suis plus midinette ico_mrgreen j'ai plutôt un faible pour USS Callister (saison 4) et San Junipero (saison 3). icon_wink
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