[M] [Critique] Les Décimales du Futur
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flint
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MessagePosté le: Jeu Juin 14, 2007 6:36 pm    Sujet du message: [M] [Critique] Les Décimales du Futur Répondre en citant



Les Décimales du Futur/The Final Programme/The Last Days of Man on Earth
genre : fantastique
origine : Grande-Bretagne
année : 1973
réalisateur : Robert Fuest
interprètes : John Finch, Jenny Runacre, Sterling Hayden, Harry Andrews, Hugh Griffith, Julie Ege, Patrick Magee

Jerry Cornelius, espion dandy, assiste à l'enterrement de son père en plein désert de Laponie. L'homme était un brillant scientifique qui effectuait des travaux en secret pour le gouvernement. Après la cérémonie, un émissaire/médecin des services secrets britanniques informe Cornelius de l'existence d'un microfilm dissimulé probablement dans le domaine familial. Retrouver ce microfilm s'avère primordial pour l'avenir de l'humanité.
Jerry retourne donc chez lui, à savoir une propriété perdue en plein milieu des marécages, où vit son frère Franck (qu'il hait) et sa soeur Catherine (pour qui il voue une passion presque incestueuse). John, le majordome, fait office de régisseur. Lorque Jerry arrive à destination, il apprend par la bouche du domestique que son frère se livre à d'étranges expériences sur Catherine, cette dernière passant l'essentiel de son temps à dormir depuis sept semaines. Jerry va tenter de sauver sa soeur, et par la même occasion d'éliminer Franck une fois pour toutes, avant d'envisager de faire sauter la maison au napalm (une manière comme une autre de faire table rase du passé).

Mais avant de s'occuper de son frère, Jerry est contacté par une certaine Miss Brunner, accompagnée de trois scientifiques. Celle-ci cherche à récupérer le microfilm, capital dans la poursuite de travaux, un programme complexe qui concerne l'immortalité. Cornelius accepte donc l'aide de Miss Brunner, d'autant plus que Franck, non content d'avoir séquestré Catherine, a piégé la maison par le biais d'un faisceau lumineux provoquant une pseudo-épilepsie.



Jerry et ses alliés réussissent à investir l'édifice ; et après un duel au pistolet à fléchettes acharné qui se termine tragiquement par la mort de Catherine, Franck se débarrasse de Jerry, laissé pour mort, et s'enfuit en emportant le microfilm. Mais Miss Brunner ne va pas lâcher le morceau aussi faciliment. Persuadée que Franck va tâcher de revendre le microfilm, elle ne tarde pas à retrouver la piste de celui-ci, en compagnie de Baxter, scientifique corrompu qui a travaillé autrefois avec Cornelius père. La lutte fratricide reprend de plus belle, ainsi que celle pour récupérer le précieux document.



Etrange film que ces "Décimales du Futur". Adapté d'un roman de Michael Moorcock écrit en 1968, il raconte les aventures d'un personnage baroque, sorte de James Bond pop évoluant dans un décor très sixties à une époque située aux alentours de l'an 2000. Quatre romans existent sur le personnage, mais seul "The Final Programme" a été adapté au cinéma. N'ayant pas lu le roman, je ne peux établir de comparaison. S'il est annonciateur, quelquepart, de la new-wave anglaise et même du néo-gothisme (Jerry Cornelius a les ongles peints en noir), le film laisse au final une impression mitigée.
Pourtant dû au talentueux Robert Fuest, qui a réalisé deux ans plus tôt "L'Abominable Docteur Phibes", chef d'oeuvre du baroque doté d'un humour noir décapant, et d'une suite un ton en dessous ("Le Retour de l'Abominable Docteur Phibes"), "Les Décimales du Futur" manque cruellement d'un scénario cohérent et structuré, comme si le réalisateur avait privilégié la forme (les décors, les situations, l'humour des dialogues) au détriment du fonds (l'histoire).



Dommâge, parce que le film dégage un côté absurde, décalé pas désagréable du tout, rappelant l'esprit des séries télé britanniques de l'époque : "Docteur Who", ou encore "The Avengers". D'ailleurs, ce n'est pas étonnant, dans la mesure où Robert Fuest réalisa plusieurs épisodes de "Chapeau Melon...", trois en 1976 (période Joanna Lumley), mais surtout sept en 1968-69 (période Tara King), la saison dans laquelle les épisodes commençaient à partir en vrilles dans une ambiance psychédélique et des situations non-sensiques propres à nos voisins anglais. Car le sujet du film est pour le moins délirant. Conçu sur le thème modernisé du Nouveau Messie, il s'agit cette fois de le fabriquer scientifiquement, avec l'aide d'un ordinateur complexe assisté des cerveaux maintenus en vie de scientifiques quant à eux décédés. Le but étant de transférer l'ensemble de ces connaissances à un être double, ou plutôt hermaphrodite, auto-fertilisateur, et auto-régénérateur. C'est ce projet qui constitue le "programme final".
Au niveau des acteurs, le rôle de Jerry Cornelius est incarné par John Finch, vu dans deux films de la Hammer : "The Vampire Lovers" et "The Horror of Frankenstein", et acteur principal du "Frenzy" d'Alfred Hitchcock (1972). A ses côtés, quelques grands noms du cinéma comme Sterling Hayden ou Patrick Magee, dans des seconds rôles, ainsi que Hugh Griffith, déjà présent dans les deux "Docteur Phibes". Le jeu désinvolte d'une bonne partie du casting, si elle n'est pas regrettable, crée néanmoins une sorte de déséquilibre dans la mesure où l'on a tendance, nous, à s'ennuyer en suivant les pérégrinations de l'espion dandy. Un peu comme si les acteurs et les spectateurs n'étaient pas sur la même longueur d'ondes. Embêtant, et frustrant... Reste à imaginer comment Jodorowsky aurait concrétisé pareil sujet...

note : 6/10
accroche : programme inachevé


Dernière édition par flint le Jeu Juin 14, 2007 6:59 pm; édité 1 fois
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Throma
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MessagePosté le: Jeu Juin 14, 2007 6:57 pm    Sujet du message: Répondre en citant

J'ignorais l'existence d'un dvd français pour ce film. On ne peut franchement pas parler d'une réussite mais ça reste quand même une belle curiosité, très confuse mais visuellement magnifique.
Les décors sont époustouflants, je pense surtout à ce bar futuriste muni d'un jeu de flipper géant et interactif aux boules humaines. On retrouve là la patte du père des Phibes.
A l'origine, le rôle principal devait être tenu par Mick Jagger mais celui-ci s'est désisté. Motif : scénario trop tordu (il est vrai que la conclusion a de quoi laisser béat ).
Surprenant de la part de l'homme qui fut tête d'affiche du "Performance" de Roeg et familier des travaux de Kenneth Anger.
Mais John Finch s'en sort très bien à sa place...
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flint
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MessagePosté le: Jeu Juin 14, 2007 7:09 pm    Sujet du message: Répondre en citant

C'est vrai que la fin du film est surprenante, une manière pour Fuest de faire un pied de nez à la science.
Sinon, Throma, tu m'as donné envie de revisionner ce fameux "Performance" dont tu parles, avec il est vrai un Mick Jagger très ambigu (et je ne savais pas qu'il était pressenti pour incarner Cornelius). Mais, oui, Finch est tout à fait correct.
Le DVD est sorti sans faire grand bruit en 2004, dans une collection supervisée par Caro qui comprenait trois autres titres : "La Dixième Victime" d'Elio Petri, "Jeu de Massacre" d'Alain Jessua, et "Brittania Hospital" de Lindsay Anderson. Je regrette de ne pas avoir acheté le Petri... Une collection qui n'a pas eu de suite, hélas.
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Bigbonn
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MessagePosté le: Ven Juin 15, 2007 7:03 am    Sujet du message: Répondre en citant

Un film qui laisse des impressions partagées en effet, j'étais resté un peu mitigé en le voyant tout en y trouvant pas mal d'intérêt.
Mais du coup, j'ai envie de le revoir.
Pour la collection dvd en question, c'est vrai que ça partait plutôt pas mal, dommage que ça se soit interrompu...
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Mechagodzilla
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MessagePosté le: Ven Juin 15, 2007 7:31 am    Sujet du message: Répondre en citant

Deux petits mots sur le personnage de Jerry Cornelius :

C'est un perso inventé par Moorcock, à l'époque où il est était rédacteur en chef de la revue de SF "New World"

En gros, son intention était de demander à d'autres auteurs de SF de l'époque d'écrire des nouvelles ayant Cornélius pour héros (un peu à la manière de ce qui est fait aujourd'hui avec "le poulpe").

Moorcock a écrit 4 nouvelles de Jerry : "le programme final", "Cure pour cancer", "l'assassin anglais" et "en avant la muzak".

Cornélius est, pour Moorcock, une réincarnation de ce qu'il appelle le "héros intemporel", et certaines de ses aventures ressemblent énormément à celles qu'à pu connaitre Elric (voir dans "le programme final" le passage ou Cornélius veut délivrer sa soeur/maitresse retenue prisonnière par son frêre, scène qu'on retrouve quasiment à l'identique dans les aventures d'Elric)

Cornélius devient aussi l'incarnation de la société anglaise chez Moorcock. Chaque roman peut se lire indépendamment des autres, et le background, mais aussi l'attitude générale du héros variera énorment entre chaque nouvelle : dandy cynique évoluant dans un swinging London nostalgique dans "le programme...", commateux (il ne se réveille qu'à la fin du bouquin) autour duquel se battent et se déchirent tous les autres protagonistes des romans (miss Brunner, la mère de Cornélius...) dans une Angleterre retro-futuriste dans "l'assassin anglais", guitarise paumé et flippé vivant dans un appart avec sa mère et sa soeur dans "en avant la muzak"...

Sinon, "les décimales du futur" essaie le plus possible de coller au roman original (qui finit également par la conception d'un nouveau messie simiesque) mais ce qui lui manque, en fait, c'est le coté pop et délirant du roman (Jerry, entre deux aventures, donne des fréquemment des concerts et organise de fêtes sur fin du monde annoncé qui durent des mois...) et un certain coté sérialesque (tout un passage du roman raconte la lutte entre Brunner, Cornélius et son frêre pour mettre la main sur un manuscript rédigé par un astronaute après son voyage dans l'espace et sensé contenir le sens de la vie...)

"le programme final" parle aussi de la fin des années folles du swinging London, chose qu'on ne retrouve pas dans le film (réalisé en 73, il est trop en avance sur la vague de nostalgie des années 60 à venir, ou en retard par rapport aux années 60)
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mallox
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MessagePosté le: Ven Juin 15, 2007 7:56 am    Sujet du message: Répondre en citant

Je tarde à voir ces décimales qui ne cessent pourtant d'être diffusées sur cinéfx et ce petit débat ainsi que la critique et les captures me donnent enfin vraiment envie de le découvrir. Je ne louperai pas sa prochaine diffusion, qui vu le panel tournant de la chaîne, ne devrait pas trop tarder...
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Bigbonn
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MessagePosté le: Ven Juin 15, 2007 6:32 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Mechagodzilla a écrit:
Sinon, "les décimales du futur" essaie le plus possible de coller au roman original (qui finit également par la conception d'un nouveau messie simiesque) mais ce qui lui manque, en fait, c'est le coté pop et délirant du roman (Jerry, entre deux aventures, donne des fréquemment des concerts et organise de fêtes sur fin du monde annoncé qui durent des mois...) et un certain coté sérialesque (tout un passage du roman raconte la lutte entre Brunner, Cornélius et son frêre pour mettre la main sur un manuscript rédigé par un astronaute après son voyage dans l'espace et sensé contenir le sens de la vie...)

Si je comprends bien, les bouquins sont mieux et tu nous les recommandes?
Moorcock, ça me dit quelque chose ce nom mais je vois plus quoi...
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flint
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MessagePosté le: Ven Juin 15, 2007 7:54 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bigbonn a écrit:
Mechagodzilla a écrit:
Sinon, "les décimales du futur" essaie le plus possible de coller au roman original (qui finit également par la conception d'un nouveau messie simiesque) mais ce qui lui manque, en fait, c'est le coté pop et délirant du roman (Jerry, entre deux aventures, donne des fréquemment des concerts et organise de fêtes sur fin du monde annoncé qui durent des mois...) et un certain coté sérialesque (tout un passage du roman raconte la lutte entre Brunner, Cornélius et son frêre pour mettre la main sur un manuscript rédigé par un astronaute après son voyage dans l'espace et sensé contenir le sens de la vie...)

Si je comprends bien, les bouquins sont mieux et tu nous les recommandes?
Moorcock, ça me dit quelque chose ce nom mais je vois plus quoi...


Tu as peut-être lu certaines oeuvres de Moorcock, soit dans la saga d'Elric le Nécromancien, l'histoire du prince albinos de Melnibonée et de son épée runique Stormbringer ; soit la saga de Dorian Hawkmoon, porteur du Joyau Noir, dans un futur où l'Europe a été asservie par les Granbretons. Ces livres ont donné lieu à des adaptations en jeux de rôle, édités en leur temps par Chaosium pour les U.S.A., et Oriflam pour la France. Et si tu n'es pas rôliste, mais amateur de rock, voire de hard-rock, peut-être as tu entendu parler de Hawkwind ou Blue Oyster Cult, pour qui Michael Moorcock a écrit des textes.
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MessagePosté le: Ven Juin 15, 2007 9:15 pm    Sujet du message: Répondre en citant

flint a écrit:
Hawkwind ou Blue Oyster Cult


frank_PDT_16








ico_mrgreen
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MessagePosté le: Sam Juin 16, 2007 3:36 am    Sujet du message: Répondre en citant

"You see me now a veteran
of a thousand psychic wars
my energy is spent at last
and my armor is destroyed
I have used up all my weapons
and I'm helpless and bereaved."


"Veteran of the Psychic Wars", écrite conjointement par Moorcock et Eric Bloom, chanteur de B.O.C., était l'une des chansons que l'on a pu entendre dans le film "Metal Hurlant" au tout début des années 80.

http://img100.imageshack.us/img100/2827/blueoystercultbd8.jpg

Et sur scène, c'éatit magistral !!!!! icon_wink
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MessagePosté le: Sam Juin 16, 2007 4:23 am    Sujet du message: Répondre en citant

Oui je sais, c'est pour ça que ça m'a fait halluciner - tellement longtemps que j'avais pas lu ces noms là.

Hé, mais tu gardes tout ?!

On peut rentrer chez toi ?
Sinon, c'est toi ou ta femme qui fait le ménage avec tout ce gros bordel ?

signé: le vieux con.
(Je me souviens aussi d'un concert filmé que je louai au video club à l'époque - Je me demande d'ailleurs s'ils ne se partageaient pas la scène avec Black Sabbath période Ronny James Dio dedans - une cassette louée bien 3 fois ...).

BOC à Clermont , ça sent la fin de carrière quand même ! mario (m'en fiche, j'adore courir)
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flint
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MessagePosté le: Sam Juin 16, 2007 7:40 am    Sujet du message: Répondre en citant

Je te rassure, je ne suis pas fétichiste, mais j'ai gardé mes vieux tickets de concerts, de toutes façons cela ne tient pas de place. ico_mrgreen
Tu rigoles, mais au début des années 80, à Clermont-Ferrand, c'était la fête aux hardos (dont j'étais, je l'avoue sans honte). J'ai pu ainsi assister aux concerts de groupes comme Scorpions (Blackfoot en première partie), Def Leppard, Thin Lizzy, Mötley Crüe (on s'marre pas), Stranglers, Kiss (je suis resté sourd pendant 48 heures), et Metallica (sacré souvenir, avec Metal Church en première partie, groupe mythique).

Sinon, même étant un vieux con moi aussi, je suis un maniaque de la propreté. ico_mrgreen
Le concert dont tu parles, qu'on trouvait en video, je vois ce que c'est, mais je ne me rappelle plus le titre.
Et enfin, oui, on peut rentrer chez moi, la porte est toujours ouverte, et il y a toujours une bière au frigo, mais de Paris faut faire 350 kilomètres. icon_wink
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Bigbonn
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MessagePosté le: Sam Juin 16, 2007 8:27 am    Sujet du message: Répondre en citant

flint a écrit:
Tu as peut-être lu certaines oeuvres de Moorcock, soit dans la saga d'Elric le Nécromancien, l'histoire du prince albinos de Melnibonée et de son épée runique Stormbringer ; soit la saga de Dorian Hawkmoon, porteur du Joyau Noir, dans un futur où l'Europe a été asservie par les Granbretons. Ces livres ont donné lieu à des adaptations en jeux de rôle, édités en leur temps par Chaosium pour les U.S.A., et Oriflam pour la France. Et si tu n'es pas rôliste, mais amateur de rock, voire de hard-rock, peut-être as tu entendu parler de Hawkwind ou Blue Oyster Cult, pour qui Michael Moorcock a écrit des textes.

Non, je n'ai pas lu les livres que tu cites et je dois dire que ça ne m'inspire guère vu le peu que tu en dis (ça m'a l'air de relever du genre fantasy ou de l'héroïc-fantasy, comme on voudra tout ça, genre que je trouve assez pénible et redondant...) Mais je suis à peu près sûr d'avoir des bouquins de lui quelque part, achetés et lus il y a plus d'une vingtaine d'années... Faudra que je regarde ça, il me semble que c'était dans la même collection que d'autres titres que j'avais acheté (Leigh Brackett, le cycle de Skaith me semble-t-il, que j'avais tenté un jour de relire et qui met tombait des mains. )

Le culte de l'huître bleue, je connais mais surtout de nom. Me souviens pas d'un de leurs titres en fait. Jamais été fan de hard, à part un petit passage Kiss très bref car je les ai très vite trouvés assez limités...
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Valor
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MessagePosté le: Sam Juin 16, 2007 10:03 am    Sujet du message: Répondre en citant

flint a écrit:
J'ai pu ainsi assister aux concerts de groupes comme Scorpions (Blackfoot en première partie), Def Leppard, Thin Lizzy, Mötley Crüe (on s'marre pas), Stranglers, Kiss (je suis resté sourd pendant 48 heures), et Metallica (sacré souvenir, avec Metal Church en première partie, groupe mythique).



Décidement on a plein de points communs : le bis, le hard, la bière, les tickets de concerts, la bourrée ...

mais je te cause plus si tu penses que les Stranglers c'est du hard ! ico_mrgreen
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mallox
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MessagePosté le: Sam Juin 16, 2007 10:29 am    Sujet du message: Répondre en citant

Valor a écrit:
Décidement on a plein de points communs : le bis, le hard, la bière, les tickets de concerts, Jean-claude bourré ...

mais je te cause plus si tu penses que les Stranglers c'est du hard ! ico_mrgreen


pareil ça m'a fait tilter de trouver les "Stranglers" (groupe important néanmoins... )/


Comme beaucoup de cette génération, j'ai commencé par le Hard-Rock, et on rajoutera à la liste, Saxon, Michael Schencker group (alias MSG) , Satan Joker (groupe Français culte - j'ai assisté à l'un de leur concert, ou le chanteur à voulu se jeter dans la foule (MGC de Monfertmeil!) , et là tout le monde s'est écarté, si bien qu'il s'est vautré les dents en avant, bras cassé etc... grand moment ! ico_mrgreen ).
N'oublions pas non plus "Anthrax" (là, on ne rigole pas non plus!), Judas priest Rob Halford, Napalm Death, Vuclcain, Iron Maiden ... la liste est longue...

Et j'aime aussi la Bière et jean-Claude Bourré (enlevé par les martiens). Je crois que ça va avec en fait... icon_wink
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