[M] [Critique] Frissons d'horreur

 
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mallox
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MessagePosté le: Mar Juin 17, 2008 12:37 pm    Sujet du message: [M] [Critique] Frissons d'horreur Répondre en citant




Frissons d’horreur – 1974
(Macchie Solari)

Genre : Giallo
Origine : Italie

Réalisé par Armando Crispino
Avec Mimsy Farmer, Barry Primus, Ray Lovelock, Carlo Cattaneo, Angela Goodwin, Gaby Wagner, Massimo Serato, Ernesto Colli

Scénario: Lucio Battistrada, Armando Crispino,
Musique: Ennio Morricone






Rome 1972, la canicule règne, le soleil tape jusqu’à peut-être engendrer une subite vague de suicides. Voici que des pères de famille normaux se mettent à assassiner leurs filles avant de retourner l’arme contre eux, que des personnes s’asphyxient à l’aide de sac en plastique, ou encore d’autres s’entaillent poignet ou jugulaire… bref, il ne fait pas bon travailler à la morgue avec cette chaleur étouffante et ce surcroît de travail, d’autant que les lieux se font un peu vite surpeuplés. C’est pourtant le travail de Simona (Mimsy Farmer) qui trouve même là un sujet pour sa thèse. La voici très rapidement victime d’hallucinations étranges et assiste hébétée au réveil des morts au sein même de la morgue. Des morts lubriques qui, sitôt levés, se mettent à forniquer sur les brancards ou à même carrelage. Pas étonnant que Simona ait du mal ensuite à retrouver une sexualité normale avec son petit ami Edgar (Ray Lovelock) qui fera pourtant tout pour l’aider, la détendre, lui faire retrouver libido. Et puis ce prêtre, le père Paul Lenox (Barry Primus), dont la sœur (Gaby Wagner) vient semble t-il d’être assassinée, et par qui elle est attirée, n’est pas pour démêler la confusion, bien au contraire. C’est dans ces circonstances mystérieuses et tourmentées qu’une relation trouble va naître peu à peu entre eux deux. Enfin tout ne s’arrête pas là, d’ailleurs le soleil continue de plomber et d’étouffer la capitale... et puis d’où vient à Simona cette impression d’être poursuivie, de l’intérieur comme de l’extérieur ?





Armando Crispino n’est pas manchot. Il avait d’ailleurs livré un premier giallo deux ans auparavant loin d’être inintéressant lui aussi avec « Overtime » dont on retrouve dans « Macchie Solari » un canevas finalement assez similaire ainsi qu’un mélange ou dirais-je une tentative, celle-ci dusse être transformée pour être comptabilisée pleinement, pas si éloignée avec l’incursion d’un élément fantastique au sein d’une intrigue policière plus conventionnelle. On remplace le cimetière étrusque et l'on prend ici un soleil à la dimension quasi-mystique dans une capitale italienne sans dessus dessous et l’on obtient un presque script jumeau. A cet égard (samantha ha ha !) même le découpage ressemble au précédent puisque nous avons droit à une vague de suicides en série en lieu et place des sauvages assassinats initiaux de « Overtime », puis, après quelques minutes, le film se pose, ce qu’on manquera pas de lui reprocher en arguant que le meilleur est sa première partie. A tort à mon avis car si « Frissons d’horreur » pâtit d’un certain manque d’homogénéité dans les mélanges d’ingrédients, ‘le reste n’est pas en reste’ et recèle de bien jolies et étonnantes choses en plus de brasser Thriller, fantastique un brin mystique (assez proche parfois de « meurtres sous contrôle » de Larry Cohen), ainsi qu’un drame psychologique et une exploration de la psyché de l’héroïne, bien fouillée.





La première demi-heure il faut bien le dire, reste assez anthologique avec ses revenants à la sexualité exacerbée. Elle surprend autant par sa violence, l’aspect sec, brutale et rapide avec lequel s’enchaînent les cadavres dans des mises à mort très crues. Certes le procédé qui sert à illustrer les glauques visions de Simona au sein d’une morgue débordée pourra paraître un poil daté avec ses dédoublements de personnages ressuscités, mais conjugué aux stridences d’un Ennio Morricone inspiré et campé par des acteurs au top (Mimsy Farmer est formidable), ce tronçon onirico-glauque ne manquera pas de marquer les esprits. Les courts inserts sur l’astre en mutation (?) achèvent de conférer au film des allures suffisamment singulières et intrigantes pour le situer d’ores et déjà en 1975, au sein d’un genre pourtant déjà bien balisé, parmi ses livraisons les plus notables. On peut aisément et d’emblée reconnaître à Armando Crispino une certaine faculté pour installer un climat bien morbide avec l’utilisation d’images choc en série. Cette peinture de morgue succédant à une série de suicides d’une violence inouïe aura forte chance de rester en mémoires. Transformée en lupanar de cadavres en décomposition dont Crispino nous balance quelques gros plans de chair en putrescence, doublés de champs contre-champs sur Simona, il installe à la fois son ambiance de Thriller surnaturel mais révèle également la névrose naissante puis grandissante de cette dernière. Même si l’intrigue plus ‘giallesque’ qui suivra sera un peu moins convaincante, l'évolution de notre héroïne sera quant à elle passionnante et se fera même le centre dramaturgique du film.





Alors oui, il y a bien une certaine confusion dans la façon dont le réalisateur parvient à relier tous ces éléments. Ce qui le sauve et fait garder au film son cap, c’est donc l’homogénéité du personnage de Simona, joué remarquablement par Mimsy Farmer. Elle rend compte parfaitement des contours de sa névrose galopante en constante parallèle avec l’enquête en cours, mais aussi sa difficulté à assumer son statut de femme dont la frigidité ne cesse de prendre le dessus. Ne parvenant pas à la combattre, elle rentre ainsi dans une spirale dans laquelle elle ne sera plus assez lucide pour voir se qui pourtant se trame devant son nez. C’est pas loin d’être toute la seconde partie du film et c’est finalement dans son rapports aux hommes qu’évoluera étrangement l’intrigue. On ne pourra pas reprocher à son mari (Ray Lovelock très sympa et bien utilisé) de se montrer aussi avenant, patient et compréhensif, comme on comprendra aussi que l’attirance naissante de Simona pour Paul Lenox n’est finalement qu’une tentative d’échappatoire en même temps qu’une possibilité de guérison. Celle-ci ne pourra bien entendu se faire, le statut de prêtre de Lenox empêchant de façon imparable leur relation d’aller à son terme. Et puis ce soleil, toujours ce soleil qui semble écraser Rome et dérégler ses habitants…





Et au film de se poursuivre avec des rencontres on ne peut plus macabres comme cette visite dans un impensable musée des horreurs empli de photos les plus glauques qui soient, illustrant les pires atrocités ou malformités, avec de clichés de corps disloqués, de têtes tranchées, de chairs meurtries par tous les bouts et tous les orifices… une visite que nous-mêmes spectateurs faisons pour la presque première fois et qui nous met mal à l’aise de manière intelligente et sournoise. Après tout, il ne s’agit là que d’un décorum. C’est bien avec ce genre scènes très inspirées, des morceaux de bravoure passifs qu’Armando Crispino frappe fort le subconscient et remporte la partie. Dans le même registre et sans trop vouloir en dévoiler la scène avec les mannequins de cire mettant en scènes leur propre suicide, dispersés ci et là dans le salon et dans un couloir exigu demeure à mon sens un grand moment de beauté psychotique. Et puis pour tout dire à ce niveau, chaque fois que Crispino rentre dans le domaine de l’ambiance, comme les scènes dans lesquelles Simona se croit poursuivie avec l’une d’elles dans son propre appartement, il le fait avec un savoir-faire indéniable et même bluffant. Et pourtant fait rare pour le genre dans lequel il s’inscrit, il n’y aura (à l’exception d’une scène) durant le film, aucun véritable meurtre illustré, et donc pas la panoplie habituelle du giallo classique. On peut rajouter les scènes de tentatives d’amour entre Edgar et Simona, qui amènent autant les protagonistes que le spectateur dans une position de malaise diffus, avec l’intrusion du trauma de l’héroïne au cœur même des ébats, continuant de lier inéluctablement le sexe à la mort comme ce fut déjà le cas en début de film. On sent que Armando Crispino cherche à se démarquer, et c’est tout à son honneur car il le fait avec une habileté certaine. (En passant sa carrière peu prolifique aurait mérité de ne pas s’achever avec l’insupportable « Plus laid que Frankenstein tu meurs »). Il met de sérieux atouts de son côté pour se faire et si l’on a déjà parlé de la partition de Morricone, il faut citer également l’excellent travail de Carlo Carlini (« Les diablesses ») à la photographie. Autant dans sa surexposition des extérieurs que dans les contrastes nocturnes des intérieurs, il fait merveille et contribue bien au climat général en même temps qu’il épouse parfaitement les formes des scènes plus atmosphériques, notamment d'angoisse.




La dernière partie, quoique de bonne tenue, est la plus faible. Tout bêtement parce que comme souvent, l’on anticipe assez longtemps à l’avance sur l’identité de l’assassin, ce qui fini d’ailleurs de confirmer ce qu’on pensait au préalable, à savoir que c’est dans sa partie purement policière que le film échoue quelque peu. D’autant qu’à boucler la boucle, on sortira du film sans avoir élucider la partie astrale qui sera passée pour le coup un peu trop rapidement au second plan, voire même carrément à la trappe, et l’on pourra rester de ce fait, un peu sur sa faim. Même si les inserts subsistent, Ils perdent au passage un peu de leur sens et pourront paraîtrent être là pour la forme et le semblant d’unité. Unité qui du coup en prend un de coup, et c’est bien là le principal problème de cet immanquable pour les amateurs du genre. A trop avoir voulu jouer sur des registres différents, Crispino peine à les rassembler, à leur donner corps. C’est un peu dommage car si celui-ci avait mieux assumé son brassage de genres, nous n’aurions pas été loin de frôler le chef-d’œuvre. En l’état, c’est tout de même un sacré bon morceau ! De toute façon un film sur une femme en chaleur qui se croit frigide parce que ses amants ont trop chaud et ne sont donc peut-être pas à leur top ne peut être totalement mauvais...





Note : 7,5/10
Accroche : Assez lumineux.





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Dernière édition par mallox le Mer Juil 29, 2009 7:06 am; édité 4 fois
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flint
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MessagePosté le: Mar Juin 17, 2008 4:29 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Meilleur que "Overtime", c'est vrai qu'il ne manque pas à grand-chose au film de Crispino pour être dans le top des gialli. La faute, comme tu l'as souligné, à un traitement faible de l'intrigue policière. Je trouve aussi que le personnage du prêtre ex-pilote de course interprété par Barry Primus n'est pas vraiment à sa place.
Par contre, tout le côté surnaturel de l'histoire crée une ambiance fascinante. Crispino disait dans une interview que Rome, en août 1974, était sous la canicule, et que cela donnait à la capitale une aura particulière, avec notamment des habitants pris d'angoisses.
Sinon, Crispino avait pêché l'idée des suicides causés par les tâches solaires dans des faits divers.
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Camif
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MessagePosté le: Mar Juin 17, 2008 6:10 pm    Sujet du message: Re: [Critique] Frissons d'horreur Répondre en citant

mallox a écrit:
De toute façon un film sur une femme en chaleur qui se croit frigide parce que ses amants ont trop chaud et ne sont donc peut-être pas à leur top ne peut être totalement mauvais...



Bon ben voilà. ico_mrgreen

Tout pareil que les deux avis ci-dessus. L'intrigue policière est faiblement conduite
Le montage fait de séquences courtes et parfois qui semblent incohérentes entres-elles ne font que renforcer la folie due à la chaleur et au tâche solaire responsable des suicides.
Un bon giallo quand même de quand c'était mieux avant.

Ah si ! La musique de Morricone est stressante au possible et rend bien compte du climat de chaleur du film.
Moi j'ai bien aimé.
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mallox
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MessagePosté le: Jeu Juin 19, 2008 8:13 am    Sujet du message: Répondre en citant

Fiche DVD:




Région : Zone 2

Editeur : Opening
Pays : France

Sortie film en France : 1979
Sortie dvd : Avril 2008

Durée : 100 min
Image : 1.85 :1 (16/9 Anamorphique)
Audio : Mono 1.0

Langues : français, italien
Sous-titres : français



Bonus : Aucun



Commentaires :

Le principal intérêt de cette édition est de remettre au grand jour un film qui n’existait chez nous qu’en VHS. Ailleurs les défauts sont nombreux et l’on ne peut pas dire qu’on tient entre les mains une édition très soignée. Si l’image passe encore avec une compression très correcte ainsi qu’un grain propre à l’époque et dont on peut paradoxalement louer la présence, la piste sonore est en revanche vraiment faible. Les disparités sonores d’une scène à l’autre sont légions et le spectateur peut même risquer une entorse du poignet à tenir sa télécommande à disposition afin de les réguler, mais surtout ça manque de pêche, de tonus, de spatialisation, jusqu’à noyer ou étouffer les sons, la partition de Morricone avec. Bref pas terrible à ce niveau. Quant aux bonus, c’est carrément le néant, et là franchement, leur absence achève de faire de ce DVD un objet frustrant d’autant que les film est intéressant et aurait mériter qu’on s’y attarde un tant soit peu.



Note : 5/10
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MessagePosté le: Ven Juin 20, 2008 5:05 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Pour l'avoir revu grâce au DVD (faible il est vrai), je ne peux que rejoindre l'avis général. Un Giallo fort intéressant découpé en trois partie et avec 3 ingrédients dont un qui ne fonctionne pas ou peu. Dommage car oui on frôle quelque chose de vraiment grand et Mimsy Farmer a rarement été aussi bonne ou bien utilisée (La traque et the perfum of the lady in black restant mes préférés en terme de performance). En tout cas bien meilleure que dans le pâlot et légèrement abracadabrant "4 mouches de velours gris").
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Camif
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MessagePosté le: Ven Juin 20, 2008 10:04 pm    Sujet du message: Répondre en citant

RuggeroPark a écrit:
En tout cas bien meilleure que dans le pâlot et légèrement abracadabrant "4 mouches de velours gris").


Humpf ! frank_PDT_16

C'est surtout que je ne vois pas le rapport
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MessagePosté le: Sam Juin 21, 2008 6:10 am    Sujet du message: Répondre en citant

Ne joue t'elle pas dedans ? N'est-ce point un giallo aussi ? On peut donc bien comparer ses performances livrées au sein du genre. Mais peut-être t'ai-je froissé en médisant au passage du film de Argento. Dans ce cas sorry.

Humpf.
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MessagePosté le: Sam Juin 21, 2008 6:57 am    Sujet du message: Répondre en citant

RuggeroPark a écrit:
Ne joue t'elle pas dedans ? N'est-ce point un giallo aussi ? On peut donc bien comparer ses performances livrées au sein du genre. Mais peut-être t'ai-je froissé en médisant au passage du film de Argento. Dans ce cas sorry.

Humpf.


Que nenni ! Tu ne pourra pas me froisser, je suis en titane.
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flint
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MessagePosté le: Sam Juin 21, 2008 7:05 am    Sujet du message: Répondre en citant

Pour le coup, je rejoins l'avis de Ruggeropark, ayant toujours trouvé non crédible la prestation de Mimsy Farmer dans "Quatre Mouches de Velours Gris". Même après avoir vu le film plusieurs fois, rien n'y fait, son personnage ne va pas. Mais l'actrice n'est pas la seule à accabler dans cette histoire, Argento l'est tout autant. On a le sentiment que le réalisateur ne savait pas comment conclure son film, et qu'il hésitait entre plusieurs coupables potentiels. Le choix final de Mimsy Farmer faisant en définitive "pièce rapportée".
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Kidam
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MessagePosté le: Sam Juin 21, 2008 10:02 am    Sujet du message: Répondre en citant

Camif a écrit:

Que nenni ! Tu ne pourra pas me froisser, je suis en titane.


Comme dirait banananarama titane Hic ! ico_mrgreen

Pour le film en fait je ne le trouve pas toujours compréhensible mais je le reverrai sous peu, chacun ici m'ayant donné envie.
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princesse.rosebonbon
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MessagePosté le: Mer Juil 16, 2008 5:18 pm    Sujet du message: Répondre en citant

ça commence extrêmement bien et puis ça finit par partir dans tellement de directions que quand le dénouement arrive, on en a déjà plus grand chose à cirer.
quand on a déjà une intéressante histoire de meurtres, de machination, de folie et de tâches solaires pourquoi aller chercher un prêtre américain champion de course, détective de son temps libre et lui coller une amourette impossible?
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