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gregore Site Admin


Inscrit le: 25 Nov 2004 Messages: 1937
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Posté le: Sam Jan 08, 2005 11:10 am Sujet du message: [M] [Critique] Barb Wire |
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BARB WIRE (1996)
Film Américain (1h35) de David Hogan
Avec :
Pamela Anderson .... Barb Wire
Temuera Morrison .... Axel Hood
Victoria Rowell .... Cora D/Corrina Devonshire
Jack Noseworthy .... Charlie Kopetski
Xander Berkeley .... Alexander Willis
Udo Kier .... Curly
Barb Wire est la patronne d'un bar de Steel Harbor, ville libre d'un pays ravage par une guerre civile. Elle est egalement detective prive. Elle recoit la visite de policiers du gouvernement a la recherche de Cora, une scientifique qui fuit le regime en emportant avec elle le secret d'une arme terrible.
J'ai maté ça hier et bon pas trop convaincu... c'est assez basique, parfois involontairement drole....
Pamela Anderson passe son temps a poser devant la camera, c'est tres moyen quoi
Par contre au niveau de l'edition, j'ai une vhs canadiennes qui fait 99 minutes, apparemment en France on a droit a 90 minutes et aux states... 109 minutes... en tout cas rien de bien choquant... pas de sang... juste un petit boud de tetons au debut du film...
D'ailleurs Pamela arrive a planter le talon d'une de ses chaussures dans le front d'un type, en la lancant... belle prouesse
Sinon on peut voir aussi Udo Kier en Barman, je l'avais bien aimé dans l'hopital et ses fantomes
Dernière édition par gregore le Lun Mar 16, 2009 2:01 pm; édité 1 fois |
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xawa 99 % irradié

Inscrit le: 28 Fév 2005 Messages: 1528
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Posté le: Lun Fév 28, 2005 9:11 pm Sujet du message: |
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Je savais pas qu'Udo Kier avait joue la dedans ....
la decheance
.mgreeb. |
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Toxic_avenger 80 % irradié

Inscrit le: 26 Nov 2004 Messages: 754
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Posté le: Lun Fév 28, 2005 9:16 pm Sujet du message: |
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Nickbur 60 % irradié

Inscrit le: 26 Nov 2004 Messages: 720 Localisation: Friteland
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Posté le: Lun Fév 28, 2005 9:16 pm Sujet du message: |
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Mais il a d'enormes nichons Udo Kier et puis il est devenu blonde
... La déchéance en effet _________________ Atomik Circus - Film culte. Par amour des mes coui... |
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Throma Super héros Toxic


Inscrit le: 25 Nov 2004 Messages: 3335 Localisation: Masse à chaussettes
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gregore Site Admin


Inscrit le: 25 Nov 2004 Messages: 1937
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Posté le: Lun Mar 16, 2009 2:01 pm Sujet du message: |
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************** critique de The Omega Man *************
re-postée ici à cause du doublon
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(Je reviens sur un film que notre maître à tous avait légèrement aborder lors de sa sortie, pardon)
Barb Wire / 1996
Origine: USA.
Genre: science fiction Post Nuke
Réalisateur : David Hogan
Avec: Pamela Anderson Lee, Temuera Morrison, Udo Kier, Steve Railsback
Scénario: Ilene Chaiken
Histoire de Chaiken & Chuck Pfarrer
D’aprés le Comic Book de Chris Warner
Producteurs: Todd Moyer, Mike Richardson & Brad Wyner
Image: Rick Bota
Musique: Michel Colombier
Musique superviseur: Barklie K. Griggs
SFX: John E. Gray
Accroche: les melons de l’apocalypse
Distribution:
Pamela Anderson Lee (Barbara 'Barb Wire' Kopetski), Temuera Morrison (Axel), Xander Berkeley (Police Chief Alexander Willis), Steve Railsback (Colonel Victor Pryzer), Jack Noseworthy (Charlie Kopetski), Udo Kier (Curly), Victoria Rowell (Dr Corrina Devonshire/Core Dee), Clint Howard (Schmitz), Andrew Rosey Brown (Big Fatso)
Résumé:
Dans un futur proche une terrible guerre civile déchire les États-Unis. The Hammerhead Bar & Grill est une discothèque légendaire de Steel Harbor, la seule ville encore libre des États-Unis. La propriétaire du bar, Barb Wire (Pamela Anderson), est tout aussi légendaire. Elle est dure, tranchante et inébranlable dans un monde cruel où sévit la loi du plus fort. Barb Wire n'appartient à aucun camp, elle est indépendante et loue ses services au plus offrant.
Lorsque l’on aborde le sujet délicat des adaptations de comics au cinéma on cite généralement le trio gagnant « Batman, Superman et Spiderman », mais il y a toujours quelques films que l’on oublie pudiquement de citer comme « Spawn, TankGirl, Brenda Star » ou ce « Barb Wire ». « Barb Wire » est à l’origine un comic publié par Comics Greatest World, qui en fait dépend de l’éditeur Dark Horse Comics qui c’est fait connaître (et à fait sa fortune) grâce à ces « reprises » de « Alien & Predator » en bande dessinée. Des la mise en chantier du projet il est évident pour tout le monde que la seule personne à l’époque capable d’incarner (physiquement) l’héroïne est bien la plantureuse Pamela Anderson. A 29 ans la playmate était alors au sommet de sa gloire et de sa beauté elle était devenue la pin up la plus célèbre du moment grâce à un maillot rouge un peu trop étroit qui était à l’époque l’apanage de la série « Alerte à Malibu » à laquelle elle participera de 1992 à 1997. Pamela est d’ailleurs le modèle qui est apparue le plus souvent en couverture du magazine playboy, ce qui occasionna, une recrudescence des tendinites chez les adolescents et une hausse considérable des ventes de mouchoirs en papier. Pour elle cette production était l’occasion de démarrer une carrière cinéma jusque la au point mort, à part une figuration dans « Showgirl » et des petits rôles dans les série Z comme "Snapdragon, RawForce ou Naked Souls"
Dés la première scène la blonde Pamela comble de bonheur ces admirateurs (et la majorité du public mâle) en exécutant un incroyable numéro de strip tease au jet d’eau, la suite n’est pas en reste avec un bain de mousse dans une baignoire transparente et divers autre gâteries. L’actrice donne ce qu’elle peut (ce qui n’est pas si mal en soit) met sa poitrine en avant, se déplace dans des tenues généralement en cuir ou latex géométriquement étudiée pour son anatomie et prend des poses issues directement des cases du comics. C’est rigolo et pour peu qu’on ne soit pas trop allergique au mauvais goût et au (fausse) blonde siliconée, on passe un agréable moment, entre les nombreuses fusilades, les diverses cascades et les apparitions guignolesque de Steve Railsback en militaire sadique.
Le réalisateur qui vient bien évidement du clip n’a peut être pas compris qu’il tournait un long métrage, mais il connaît ces classiques et pille allègrement les trois « Mad Max » et quelques post nuke italiens, sans parler de « Casablanca » dont il décalque allègrement le scénario. La blonde Pamela traverse le film comme une balle de revolver à ces côtés on trouve une belle brochette de « rescapé » des acteurs qui hantent les seconds rôles et les série b alors qu’ils avaient plutôt bien démarré. Udo Kier qui passera du diptyque Dracula / Frankenstein de Warhol à quelques beaux navets genre « la Fin des Temps, Bloodrayne, Dracula 3000,… », Steve Railsback qui après « Stunt Man » enchaîne « LifeForce, Turkey Shoot ou Alligator 2 : the Mutation,… ». Le plus décevant reste Temuera Morrison qui après le terrifiant et pathétique personnage de « L’Ame du guerrier » enchaîne sur « Barb Wire, L’ïle du Dr Moreau, Speed 2,… », un beau sabordage de carrière.
Une production de ce genre c’est bien évidemment du pain bénis pour les fameux « Razzie Award », le film récolte 6 nominations et la belle Pamela remportera haut la main le titre de la plus mauvaise « New Star », le film aurait put certainement remporter plus de trophées si « L’Iles du Dr moreau & Strip-tease » n’avait tous raflé. Pourtant loin d’être un chef d’œuvre du genre le film de Hogan n’en est pas moins intéressant, en grande partie à cause de son actrice principale l’aérodynamique Pamela Anderson qui interprète (ou plutôt incarne) avec une certaine conviction le rôle titre Barb Wire (abréviation de barbed wire ce qui signifie en anglais fil barbelé). Dans le genre plaisir coupable on peut faire difficilement mieux, réalisé pour les amateur de (fausse) blonde à forte poitrine avec une tendance pour le fétichisme en tout genre, cuir, latex, talons aiguilles ou expansés, gros calibre,… Le film gravite donc autour des formes de l’ex playmate qui s’en donne à cœur joie et comble ces fans « hardcore » en arborant des tenues aussi extravaguant que scientifiquement étudiée pour mettre en valeur ces implants. Cette omniprésence de la blonde est le principal atout du film, mais aussi sa faiblesse (même en prenant son bain la belle arbore un maquillage impeccable !) en effet si vous êtes réellement allergique ou insensible au(x) charme(s) de la belle, la chose vous paraîtras particulièrement insipide et surtout sans grand intérêt. En tout cas le public potentiel ne c’est pas précipité pour aller voir l’œuvre réduisant à néant les velléités artistiques de notre naïade qui se contentera de retourner à la télévision (VIP) et de faire quelques apparitions au cinéma (Scary Movie 3).
 _________________ "La guerre c'est la paix", "La liberté c'est l'esclavage", "L'ignorance c’est la force" |
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flint Super héros Toxic


Inscrit le: 13 Mar 2007 Messages: 7606 Localisation: cusset-plage
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Posté le: Lun Mar 16, 2009 2:50 pm Sujet du message: |
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omega man a écrit: |
En tout cas le public potentiel ne c’est pas précipité pour aller voir l’œuvre réduisant à néant les velléités artistiques de notre naïade qui se contentera de retourner à la télévision (VIP) et de faire quelques apparitions au cinéma (Scary Movie 3).
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Ella a aussi fait un "tube" avec ça :
http://img519.imagesfuck.us/my.php?image=andersonl.jpg
Une K7 qui a fait le tour du monde (enfin pas chez moi). La teub à Tommy Lee on s'en fout un peu...
http://img15.imagesfuck.us/my.php?image=motley.jpg
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Throma Super héros Toxic


Inscrit le: 25 Nov 2004 Messages: 3335 Localisation: Masse à chaussettes
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mallox Super héros Toxic


Inscrit le: 10 Sep 2006 Messages: 13982 Localisation: Vendée franco-française
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Posté le: Lun Mar 16, 2009 6:07 pm Sujet du message: |
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Omega Barb a écrit: | en effet si vous êtes réellement allergique ou insensible au(x) charme(s) de la belle, la chose vous paraîtras particulièrement insipide et surtout sansgrand intérêt. |
Présent !
Et je l'ai vu. des qualificatifs pertinents...  _________________
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