[M] [Critique] Color of Night

 
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The Omega Man
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MessagePosté le: Dim Déc 05, 2010 11:21 am    Sujet du message: [M] [Critique] Color of Night Répondre en citant

Color of Night - 1994

Origine : USA
Genre : Thriller érotico-n’importe quoi !



Réalisé par Richard Rush
Avec : Bruce Willis, Brad Dourif, Kevin J.O'Connor, Lance Henriksen, Lesley Ann Warren, Scott Bakula…

Une production Cinergi Pictures Entertainment Inc.
Producteur : Buzz Feitshans & David Matalon
Scénario : Billy Ray et Matthew Chapman
D’après une histoire originale (!!!) de Billy Ray
Image : Dietrich Lohmann
Musique : Dominic Frontiere
Accroche : Quoi de neuf docteur ?

Avec :
Bruce Willis (Dr. Bill Capa), Jane March (Rose/Richie/Bonnie), Brad Dourif (Cark), Kevin J.O'Connor (Casey), Lance Henriksen (Buck), Lesley Ann Warren (Sondra), Ruben Blades (Lt Hector Martinez), Eriq La Salle (Anderson), Scott Bakula (Bob Moore)…

Résumé :
Le psychiatre Bill Capa renonce à exercer son métier après avoir involontairement poussé une de ces clientes au suicide. Désireux d'en finir avec la culpabilité qu'il éprouve suite à cette tragédie, il rend visite à un ancien collègue, Bob Moore, qui est assassiné aussitôt. L'enquête pour retrouver l'assassin se concentre sur cinq des anciens patients de Moore les plus dérangés. De son côté, Capa succombe au charme de la mystérieuse Rose. Mais cette relation, qui semblait anecdotique, prend peu à peu une importance cruciale.

1992 - Basic Instinct et la toison de Sharon Stone font sauter les braguettes de nombreux spectateurs américains et raflent le jackpot au box office. Il n’en faut pas plus pour qu’une vague de thrillers érotiques débarque sur les écrans. Andrew G. Vajna, l’un des producteurs de Basic Instinct, à la recherche d’un succès pour sa nouvelle société « Cinergi Pictures », se dit qu’il pourrait lui aussi profiter des retombées de son propre film et décide de mettre en chantier son propre thriller érotique. Cela aurait pu donner quelque chose d’intéressant si le film était basé sur un scénario un tant soit peu original, ce qui n’est pas le cas !
En effet, en un peu plus de deux heures de métrage, nous avons droit à un véritable décalquage en règle de tout ce qui avait pu avoir du succès à cette époque. Avec un démarrage en fanfare : un double hommage/ pompage à David Lynch et Hitchcock, références presque incontournables dans ce genre de film !
Une femme se peinturlure les lèvres de lipstick rouge tel un clown, puis commence à pratiquer fébrilement une fellation au canon du pistolet qu'elle venait de se mettre dans la bouche. On apprend alors que la pauvre est une patiente du brave Dr Capa (alias B. Willis). Lors de sa séance, cette dernière ne trouve rien de mieux que de faire un magnifique saut de l'ange, pour ensuite s'écraser sur le bitume quelques étages plus bas, le tout dans une belle mare de sang. Ce qui va provoquer dans le subconscient de son psychanalyste, témoin de la scène, l'effacement de la couleur rouge (idée intéressante et très mal exploitée). Pour se remettre de ses émotions, le brave docteur se voit invité chez l'un de ses amis, le docteur Bob Moore, lui aussi praticien, une invitation qui est loin d'être aussi altruiste qu'elle en à l'air.
Car le confrère et non moins ami semble être la cible d'un belliqueux inconnu. Dès son arrivée, le Dr Moore présente son ami à un groupe de cinq patients et lui fait part de ses soupçons. Selon lui, son mystérieux harceleur se trouve parmi eux. Mais le pauvre Moore se fera assassiner de manière brutale (scène qui semble tirée d’un mauvais giallo) avant de pouvoir découvrir la vérité. Capa / Willis décide alors de remplacer son ami et de continuer les séances tout en menant sa propre enquête.
Le fameux groupe est composé de multiples névrosés interprétés par une savoureuse brochette de spécialistes des seconds rôles et des films d'exploitation. Ainsi, Brad Dourif (la voix de Chucky, Body Parts...) est un maniaque obsessionnel et compulsif de la propreté et du rangement ; Kevin J. O'Connor (acteur fétiche de Stephen Sommers) un riche héritier qui se prend pour un peintre (et adepte du SM) ; Lance Henricksen (Millénium...) est un ex flic qui se remet mal de la mort de sa famille ; Lesley Ann Warren (Cop, la série Mission Impossible) est une riche nymphomane bisexuelle qui a dépassé la date de péremption ; et le dernier est un certain Richie, jeune homme timide et sexuellement traumatisé. Il s'agit simplement, en fait, de Jane March, grimée de façon ridicule en garçon et qui ressemble plutôt à un énorme castor. C'est tellement évident pour celui qui a vu deux films policiers dans sa vie que je ne révèle ici aucune information importante. A signaler aussi la présence de l’acteur Scott Bakula, héros de la célèbre série Code Quantum, et qui s’essaya, en vain, à une petite carrière cinéma (Lord of Illusions) avant de prendre les commandes du vaisseau « Enterprise ».

En bon thriller érotique de mauvais goût, le film de Richard Rush se devait donc d'avoir lui aussi son " gimmick érotique " pour rivaliser avec le minou de Sharon Stone. On aperçoit donc pendant quelques secondes (dans la version uncut) le bigoudi de Bruce Willis flotter gracieusement comme un étron dans la piscine, la pauvre Jane March se le prenant même dans l'œil (heureusement il est tout petit… l'eau froide sans doute !). L’intérêt d’une telle séquence, à part le fait de faire parler, est très limité.
Et si le but était d’attirer un public féminin, c’est raté, Bruce Willis ayant plus de succès auprès des hommes. De plus, les femmes ne sont guère attirées par ce genre de produit racoleur ; bref… encore une bonne mauvaise idée dont Hollywood à le secret. De plus, la scène incriminée ne durant que quelques secondes, il faut bien combler les deux heures qui restent. C'est là qu'intervient Jane March, qui va se faire un devoir d'apparaître nue une scène sur deux. Le cahier des charges érotique étant rempli, le script ajoute alors quelques scènes d'angoisse et d'action. C'est donc au tour de Capa / Bruce Willis de subir les menaces et intimidations d'un mystérieux agresseur : un serpent dans la boite aux lettres, une petite poursuite en voiture rouge avec tentative de meurtre via une auto tamponneuse... Mais ce ne sont pas ces petits détails qui vont interférer dans son enquête, qu'il mène vaillamment entre deux saillies sauvages. Ainsi, il va se rendre compte que chacun de ses patients semble avoir rencontré l'âme sœur, qui bien évidemment va s'avérer être une seule et même personne (devinez qui !). De plus, le brave docteur va découvrir que Rose et son mystérieux frangin ont été dans leur jeunesse les victimes d'un de ses confrères, qui fut mêlé à une sordide histoire de pédophilie (je vous l’avais dit, ça part dans tous les sens !).
Le réalisateur semble être aux abonnés absents. D’après la rumeur Richard Rush, qui avait pourtant fait bonne impression avec son Stunt Man, aurait quitté le film lors du tournage, et c’est George Pan Cosmatos qui fut appelé à la rescousse pour finaliser la chose et imaginer une fin plausible (mais complètement bâclée). Il n'y a donc aucune direction d'acteurs, tout le monde semble en roue libre. Bruce Willis nous offre une pitoyable imitation de lui-même, et Jane March est sûrement l’une des plus mauvaises actrices contemporaines ; elle a cependant la particularité d'aborder la nudité avec un naturel déconcertant, au point que même son jeu d'actrice s'améliore. On ne peut d’ailleurs s’empêcher de penser que cette fille est passée à côté d'une belle carrière dans le porno. Le reste du casting cabotine au gré de son humeur et de son cachet, avec quand même une mention spéciale pour Brad Dourif et Lesley Ann Warren, qui font un peu plus que le minimum syndical exigé, à moins qu'ils soient réellement cintrés !
Color of Night est avant tout un film de producteur conçu et pensé uniquement en termes de rentabilité. Le résultat est une chose protéiforme, un amas de séquences vulgaires, racoleuses et ineptes. Il n'y a aucun doute, nous sommes en présence d'un beau et incroyable navet, un film malade qui,à force de vouloir manger à tous les râteliers, en devient carrément génial. Evidemment, le film s'est ramassé au box office mais, comme beaucoup d'œuvres dégénérées, il a trouvé son public en vidéo. C'est un plaisir coupable, une ineptie filmique, un film bâtard, résultat de l'accouplement contre nature d'un porno " soft " et d'un mauvais giallo.





















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Camif
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MessagePosté le: Dim Déc 05, 2010 6:34 pm    Sujet du message: Re: [Critique] Color of Night Répondre en citant

The Omega Man a écrit:
C'est une ineptie filmique, un film bâtard résultat de l'accouplement contre nature d'un porno " soft " et d'un mauvais giallo.


On ne saurait mieux dire.
Le pire c'est le nombre impressionnant de références au giallo qui se représentés de manières totalement grotesques.

Evidemment la Janen c'est une March que l'on monterait bien

Citation:
Avec: Bruce Willis, Bruce Willis, Brad Dourif, Kevin J.O'Connor, Lance Henriksen, Lesley Ann Warren, Scott Bakula


Bruce willis joue deux rôles ? ico_mrgreen
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flint
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MessagePosté le: Dim Déc 05, 2010 6:41 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Oui, car c'est Bruce tout puissant ! :ele:


(une daube ce film, mais les filles ont dû aimer, on voit le zizi de Willis).
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MessagePosté le: Lun Déc 06, 2010 8:39 am    Sujet du message: Répondre en citant

C'est en effet très très mauvais ico_mrgreen
Le travesti de Jane March est d'une absence de crédibilité rarement atteinte.
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MessagePosté le: Lun Déc 06, 2010 9:59 am    Sujet du message: Répondre en citant

Jamais vu. une telle unanimité me donnerait presque envie de le voir ! frank_PDT_10
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Camif
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MessagePosté le: Lun Déc 06, 2010 5:54 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Disons qu'après un tel film, on peut regarder n'importe quoi derrière, on se régale.
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Bastien
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MessagePosté le: Mer Déc 08, 2010 4:20 pm    Sujet du message: yep ! Répondre en citant

Le pire c'est que le budget, que l'on devine élevé, de cette belle bouse aurait permis à nos chers réalisateurs italiens, confirmés ou nouveaux, de nous faire un belle petite pelletée de gialli avec, dans le lot, un ou deux chef d'oeuvre !

Que du regret pour Color of the Night mais puisque l'on est dans ce registre, j'ai souvenir de Sliver qui est quand même une belle bouse.
Le film sentait l'incohérence à plein nez et, des années plus tard, Philip Noyce a en effet avoué que tout avait été remonté et reshootée en urgence...

A noter aussi que Basic Instinct a permis à Sharon Stone d'être la tête d'affiche d'une quantité incroyable d'échecs commerciaux jusqu'au coup de grâce, ce Basic instinct 2pour lequel je ne lèverai pas même une paupière !

A quand Sharon Stone dans Crocodile 3-D ne la Nu image ou un film d'Asylium ?
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MessagePosté le: Ven Déc 10, 2010 10:01 am    Sujet du message: Répondre en citant

je me souviens de la bonne femme qui se jette par la fenêtre, de la scène de la piscine et... c'est tout.
je ne saurais même pas dire si j'ai vu le bout de cette daube (non, je ne parle pas de Willis) qui s'incrit effectivement dans la vague "thriller gentiment chaud" lancée par Basic Instinct, sur laquelle surferont des titres aussi immémorables que Sliver, Harcèlement, Body,...
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MessagePosté le: Ven Déc 10, 2010 10:12 am    Sujet du message: Répondre en citant

Ne surtout pas oublier le génial "Striptease", encore avec Demi Moore ! new_diable
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MessagePosté le: Ven Déc 10, 2010 10:31 am    Sujet du message: Répondre en citant

ah non monsieur, Striptease ça faisait plutôt partie de la vague Showgirls, toujours lancée par Verhoeven, sur laquelle ont surfé des titres aussi immémorables que Striptease et... euh... Striptease aussi je crois

bref, quitte à endosser une fois de plus le costume de casse-bonbons qui défend la ligne éditoriale de psychovision (costume qu'on me refile généreusement, soit dit en passant...), il m'est avis que tous ces films hollywoodiens des années 90 plutôt grand public, bien médiatisés et multi-diffusés sur les grandes chaines de télévision sont un peu hors sujet, non ? icon_confused
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MessagePosté le: Ven Déc 10, 2010 10:42 am    Sujet du message: Répondre en citant

princesse.rosebonbon a écrit:
ah non monsieur, Striptease ça faisait plutôt partie de la vague Showgirls, toujours lancée par Verhoeven, sur laquelle ont surfé des titres aussi immémorables que Striptease et... euh... Striptease aussi je crois

bref, quitte à endosser une fois de plus le costume de casse-bonbons qui défend la ligne éditoriale de psychovision (costume qu'on me refile généreusement, soit dit en passant...), il m'est avis que tous ces films hollywoodiens des années 90 plutôt grand public, bien médiatisés et multi-diffusés sur les grandes chaines de télévision sont un peu hors sujet, non ? icon_confused


Ah non, Striptease est un thriller !
Et le Verhoeven pas vraiment, mais en revanche, c'est un chef-d'oeuvre incompris dont la laideur est en totale adéquation avec son sujet. Je vous emmerde tous, j'aime bien ce film. icon_cool

Par contre, je suis assez d'accord sur la "non-légitimité" de la présence de ce film ici. Soit, je suis mal placé puisque je ne l'ai pas vu ( ico_mrgreen ), mais il ne passe pas sur TF1, le dimanche soir parfois ?
Même mauvais, il me semble que ça reste un film de série A.
Enfin, je dis ça, je dis rien ; à vous de voir, The Omega compris bien sûr.
Que celui-ci ne s'inquiète pas dans le cas où sa critique serait rejetée à l'unanimité du grand comité, elle est très bonne et serait alors mise en ligne au sein du goulag tortillapolissonien (composé de joyeux drilles !).
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MessagePosté le: Ven Déc 10, 2010 11:37 am    Sujet du message: Répondre en citant

J'avoue que je ne sait que dire, clairement c'était une "serie A" à sa sortie mais il est bien oublié depuis (ce qui peut se comprendre).
Donc je n'ai pas d'avis tranché sur sa légitimité.
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MessagePosté le: Mer Juin 29, 2011 7:48 am    Sujet du message: Répondre en citant

The Omega a écrit:
Kevin J. O'Connor (acteur fétiche de Stephen Summer)


Je sais que c'est l'été, mais ne s'agirait-il pas Stephen Sommers plutôt ? new_noel

The Omega a écrit:
l’acteur Scott Bakula, héros de la célèbre série Code Quantum, et qui s’essaya, en vain, à une petite carrière cinéma (Lord of Illusion)


Illusions, non ?

p.s : c'est pas pour faire mon chiant, juste que je suis en train de mettre certaines critiques en ligne pour qu'elles paraissent durant la 1ere quinzaine de juillet. A ce propos, j'aurais bien besoin de l'un d'entre-vous pour lui expliquer une manip d'une simplicité enfantine à faire sur le site, ce, afin de débloquer les critiques à certaines dates...
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flint
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MessagePosté le: Mer Juin 29, 2011 9:14 am    Sujet du message: Répondre en citant

Oui, tu as parfaitement raison. J'ai tendance à me "louper" sur certains noms propres ou titres de films.

C'est corrigé. icon_wink
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MessagePosté le: Mer Juin 29, 2011 10:02 am    Sujet du message: Répondre en citant

flint a écrit:
J'ai tendance à me "louper" sur certains noms propres ou titres de films.


T'as de la chance. moi, si je me loupais que là, tout irait bien !
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