[M] [Critique] The Fighting Devil Dogs

 
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Bastien
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MessagePosté le: Sam Juin 11, 2011 2:59 pm    Sujet du message: [M] [Critique] The Fighting Devil Dogs Répondre en citant



The Fighting Devil Dogs

Genre : Serial

Année : 1938

Pays d’origine : U.S.A.

Réalisateur : William Witney et John English

Casting : Lee Powell, Herman Brix, Eleanor Stewart, Montagu Love, Hugh Sothern, Sam Flint... et John Davidson


The Fighting Devil Dogs raconte l’histoire d’un corps de marines américains qui découvrent, lors d’une manœuvre en Chine, un avant-poste chinois dont absolument tous les membres gisent inanimés, morts. Les corps de ces hommes sont intacts, ils ne présentent aucune altération physique d’aucune nature. D’ailleurs, même les mouches sont mortes !
Intrigués par ce mystère sans commune mesure, les lieutenants Grayson (interprété par Powel Lee) et Frank Corby (joué par Herman Brix) enquêtent aux alentours du poste, alors qu’une curieuse et étrange boule électrique descend du ciel en décrivant une trajectoire régulière.



Cette boule électrique s’abat sur l’avant-poste, causant la mort de tous les membres du détachement resté à l’intérieur. Horrifiés, nos deux survivants constatent la mort foudroyante de leurs hommes… Mais quelle en est la cause, au juste ?
De retour au quartier général, un tribunal militaire est en train de juger nos marines pour faute grave. Alors qu’un verdict très défavorable semble certain, un ambassadeur appelle le tribunal. Il connaît le responsable de ces massacres et il est prêt à informer les autorités. C’est alors qu’apparaît subrepticement l’éclair, ou The Lightning, un homme déguisé dans une tenue noire des plus impressionnantes, qui foudroie sur place notre pauvre ambassadeur.

Si nos lieutenants sont à présent mis hors de cause, les autorités américaines stationnées en Chine sont désormais conscientes qu’un immense péril plane sur le monde civilisé. Un être diabolique détenant une technologie inconnue et au potentiel mortel défie ouvertement les U.S.A.
C’est donc armés de leur courage et de leur intrépidité que nos lieutenants vont devoir déjouer les plans du Lightning, qui semble d’ailleurs toujours avoir un temps d’avance sur eux. Après tout, est-ce que l’un des membres des autorités militaires serait un espion à la solde du Lightning ? Ou alors l’un des savants qui travaillent activement pour mettre au point une contre-mesure efficace contre l’arme foudroyante du Lightning ? Pire encore, et si le Lightning était tout simplement l’un d’entre eux ?



Réalisé par le duo responsable des tous meilleurs serials jamais tournés, les talentueux William Witney et John English, The Fighting Devil Dogs est un serial qui comporte autant de points forts que de défauts.
Tout d’abord, les règles élémentaires des très bons serials sont suivies à la lettre.
Le « MacGuffin », l’invention secrète qui demeure l’enjeu des efforts de nos héros, offre le fil blanc de l’intrigue et permet de nouer les péripéties, toujours très fournies et trépidantes, de l’aventure.
Ensuite, les cliffhangers, les situations de morts a priori inévitables, qui rythment et formatent la fin de chaque épisode de nos sérials, sont ici parfois inventifs et ingénieux. Que ce soit l’un de nos héros qui tente de suivre en hors-bord le bateau ennemi et qui se trouve pris entre deux cargos dont les coques, se resserrant, menacent de le broyer, ou encore un avion qui explose pour arrêter l’arme de l’ennemi et sauver un dirigeable, les cliffhangers dans The Fighting Devil Dogs apportent toujours leur lot de tension et de suspense. Cependant, si les serials constituent l’acmé de cette figure narrative, la résolution de ceux-ci est parfois un peu décevante et, pour tout dire, un peu facile…
Le Whodunit, troisième grand code du bon serial qui se respecte, est également l’un des moteurs de l’intrigue et il donne tout son sel à celle-ci. Si cette figure scénaristique a été popularisée par Agatha Christie, on la retrouve utilisée avec inspiration dans Psychose d’Alfred Hitchcock, dans certains gialli italiens des années 70, ou même dans les récents « slashers » tels que Scream… Aussi, le spectateur de The Fighting Devil Dogs se creuse les méninges pour découvrir qui est ce fameux Lightning. S’agit-il d’un militaire ? Du savant qui a échappé à une attaque contre le centre de recherche pour, soi-disant, aller chercher des sandwiches ? Ou encore du jardinier qui semble épier les conversations ? Serait-aussi ce maître d’hôtel qui semble passer des coups de fil aux moments cruciaux ?



Les enjeux sont ouverts et il demeure toujours intéressant de se prendre à ce jeu ! Si la résolution de ce whodunit ne restera pas dans les annales du genre, il est quand même possible de trouver l’identité civile du Lightning, cela reste toujours agréable !
Autre point intéressant qui donne à The Fighting Devil Dogs une certaine saveur, c’est bel et bien un vent de folie du point de vue technologique ! Les boules d’électricité venant du ciel, l’aile volante du méchant, ou encore son costume… nous sommes dans la démesure la plus bariolée et pittoresque ! D’ailleurs, l’apparence physique du méchant fait furieusement penser à Dark Vador ! Il est notoire que George Lucas s’est pas mal inspiré des serials pour Star Wars ou encore Indiana Jones, mais cette référence inconnue à Dark Vador restait jusque là inconnue pour nous, le public français ! Voilà bien une injustice réparée grâce à la sortie française du DVD de ce serial.

Encore un point essentiel de The Fighting Devil Dogs : l’impression diffuse pour le spectateur d’assister à une adaptation live des meilleurs comics strip de l’époque, genre Terry and the Pirates (qui sera d’ailleurs adapté en serial) ou encore Flash Gordon. Le rythme est rapide, percutant et l’action est toujours nourrie. Il est étonnant de constater que, depuis l’extinction des serials en 1956, Hollywood a peiné à proposer au public des œuvres à la fois aussi dynamiques et divertissantes. D’ailleurs, à voir certaines productions telles que Doc Savage arrive ou encore Sheena reine de la jungle de John Guillermin, le cinéma de divertissement américain a hélas perdu une formule magique propice à un divertissement presque infailliblement calibré.



Le casting de The Fighting Devil Dogs présente lui aussi quelques sympathiques particularités. Lee Powell, né en 1908, qui incarne le fougueux Lieutenant Grayson, avait déjà à son actif le rôle titre dans The Lone Ranger. The Lone Ranger est une création radiophonique qui, à l’instar du Green Hornet, est devenu une icône de la culture populaire ayant su se perpétuer dans le temps. Acteur au physique carré, solide, Lee Powell ressemble singulièrement aux héros de comics strip. Notre acteur, à la carrière alors pleine de promesses, fut incorporé dans le corps des marines en 1942 pour aller combattre les troupes japonaises. Il trouva malheureusement la mort à Tinian, non pas au combat, mais lors d’une célébration d’une victoire durement acquise. L’alcool proposé par les autochtones fut alors très mal concoctée et Lee Powell en fut l’une des deux victimes, l’autre étant rendu aveugle à jamais. Triste destin…
L’autre acteur principal du serial est Bruce Bennett. Acteur à la longue carrière, médaille d’argent au lancer de poids en 1928, il devînt acteur grâce à l’entregent de son bon ami d’alors, Douglas Fairbanks Jr. Celui-ci lui ouvrit les portes d’Hollywood. Bruce Bennett faillit être le premier Tarzan, mais il se cassa l’épaule lors du tournage d’un autre film ! Bruce Bennett connut malgré tout une carrière très fournie et Herman Brix, son véritable nom, reprit d’ailleurs le rôle de Tarzan, dans des serials ! Par la suite, parce que son nom restait trop attaché pour les producteurs au roi de la jungle, l’acteur changea de nom pour s’appeler Bruce Bennett, son nouveau nom de scène ! Après s’être engagé durant la guerre, il joua par la suite jusqu’au début des années 70, notamment dans The People Alligator en 1959…



Maintenant, en ce qui concerne les points les plus faibles de The Fighting Devil Dogs, le budget du serial semble assez serré. Si le rythme, toujours trépidant, permet de cacher la faiblesse des moyens, le spectateur se rend compte du manque de débauche de décors, de lieux de tournage et même d’une certaine fantaisie qui auraient pourtant pu donner davantage de cachet à l’œuvre.

En outre, les segments 7 et 11 se contentent de résumer des faits déjà produits ! Ces épisodes utilisent donc des séquences déjà filmées ! En effet, le budget de The Fighting Devil Dogs fut de 92.569 $, soit 30% de moins que pour les budgets de la même époque ! Cela resta un souvenir un peu amer pour William Witney, qui regrette quelque peu d’avoir accepté ce contrat !
Et effectivement, The Fighting Devil Dogs ne demeure clairement pas l’un des meilleurs serials de la firme. Citons en exemple le très réussi Adventures of Captain Marvel du même duo de réalisateurs. Mais il permet, en revanche, de prolonger avec efficacité le charme de ces productions certes âgées, mais cependant toujours aussi plaisantes et percutantes grâce à son formatage, la folie et la propension à divertir le spectateur !
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Dernière édition par Bastien le Mar Juin 14, 2011 5:03 pm; édité 2 fois
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Bastien
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MessagePosté le: Sam Juin 11, 2011 3:03 pm    Sujet du message: Répondre en citant




THE FIGHTING DEVIL DOGS - 1938


Genre : Aventure/Fantastique
Origine : USA - 1938
Version : Originale sous-titrée français
Son : Mono
Durée : 240 mins environ
Format : Noir et blanc - Vidéo 4/3


Lieutenants des Marines, Tom Grayson et Frank Corby combattent un redoutable criminel qui se fait appeler “The Lightning” disposant d’un arsenal d’armes hyper sophistiquées. Mais qui est “The Lightning” ?


DVD 1 :

• Quand la foudre s'abat
• La roue du malheur
• Un témoin réduit au silence
• Une mystérieuse cargaison
• Des bandits sous les mers
• La torpille du destin




DVD 2 :

• Le tueur fantôme
• Un vent de tromperie
• L'attaque venue du ciel
• Dans le camp ennemi
• L'appât
• Le tueur aux abois



Bonus DVD 1 :
- Entretien avec Roland Lacourbe

Bonus DVD 2 :
- King of the Rocket Men, épisode 1 - 26 minutes

INCLUS : Un livret 24 pages inédit par Roland Lacourbe : "A LA REDÉCOUVERTE DU SERIAL"




Commentaire :

Après une première salve de serials parmi les meilleurs qui soient, Bach Films poursuit l’exploitation d’un genre qui est resté inédit depuis plusieurs décennies.

The Fighting Devil Dogs n’est cependant pas un serial de premier plan. Nous recommanderons en premier lieu l’achat de Adventures of Captain Marvel, mais il présente assez d’intérêt et de divertissement pour être acheté et figurer parmi vos DVD !



En outre, le travail éditorial fourni par Bach Films, à savoir une restauration indispensable de l’œuvre originale, ainsi que les suppléments livret et bonus vidéo de Roland Lacourbe, permettent de voir The Fighting Devil Dogs dans de bonnes conditions, ce qui n’était pas toujours le cas sur les supports sur DVD, VHS ou encore internet qui se rencontrent ici ou là !


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mallox
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MessagePosté le: Sam Juin 11, 2011 4:33 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Voilà Bastien, je viens de faire les captures et les aie intégrées dans la critique puis la fiche. icon_wink
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Bigbonn
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MessagePosté le: Dim Juin 12, 2011 8:57 am    Sujet du message: Re: [Critique + Fiche] The fighting devil dogs Répondre en citant

Bastien a écrit:
The fighting devil dogs est un serial qui comporte autant de points forts que de défauts.
(...)
Ensuite, les cliffhangers, les situations de mort à priori inévitables qui rythment et formatent la fin de chaque épisode de nos sérials, sont dans The fighting devil dogs parfois inventifs et ingénieux.
(...)
Cependant, si les serials constituent l’acmé de cette figure narrative, la résolution de ceux-ci sont parfois un peu décevante et, pour tout dire, un peu facile…

ne veux-tu pas dire: si les cliffhangers constituent l'acmé? (en fait, je ne comprends pas bien ce mot: acmé.
quant à la résolution décevante, c'est presque aussi une règle en soi du serial: on fait monter la tension au plus haut jusqu'à la fin de l'épisode, tension que l'on dégonfle par un subterfuge souvent tiré par les cheveux au début de l'épisode suivant avant de repartir pour un tour de grand 8!

Citation:
Le Whodunit, troisième grand code du bon serial qui se respecte, est également l’un des moteurs de l’intrigue et il donne tout son sel à l’intrigue.
(...)
Aussi le spectateur de The fighting devil dogs se creuse les méninges pour découvrir qui est ce fameux Lightning. S’agit-il d’un militaire ? Du savant qui a échappé à une attaque contre le centre de recherche pour, soi-disant, aller chercher des sandwiches ? Ou encore du jardinier qui semble épier les conversations ? Serait-aussi ce maitre d’hôtel qui semble passer des coups de fil aux moments cruciaux ?
Les enjeux sont ouverts et il demeure toujours intéressant de se prendre à ce jeu ! Si la résolution de ce whodunit ne restera pas dans les annales du genre, il est quand même possible de trouver l’identité civile du Lightning, cela reste toujours agréable !

dans les serials que j'ai vu jouant avec cela, on peut deviner plus ou moins qui est qui mais là aussi il y a souvent un doute légitime sur sa résolution: on a souvent l'impression que ça pourrait être l'un ou l'autre des méchants (terme adéquat pour des films aussi manichéens) et que les scénaristes ne l'ont pas forcément décidé au début mais plutôt au fil des épisodes, un peu comme pour la résolution des cliffhangers.
Le whodunit, quand il y en a un, est plus intéressant par sa capacité à créer du suspense et à participer aux montées en tension que par sa résolution, souvent un peu décevante en effet.

Citation:
Maintenant, en ce qui concerne les points les plus faibles de The fighting devil dogs, le budget du serial semble en effet assez serré. Si le rythme, toujours trépident, permet de cacher la faiblesse des moyens, le spectateur se rend compte du manque de débauche de décors, de lieux de tournage et même d’une certaine fantaisie qui auraient pourtant pu donner davantage de cachet à l’œuvre.

je ne sais pas quels étaient les budgets des uns et des autres, mais j'ai l'impression que tous ces serials ont été réalisés à l'économie et en empruntant pas mal de décors communs, pour plus ou moins de réussite.
Pour ce qui est des conditions de tournage, Roland Lacourbe parle de 30 jours pour réaliser les 12 épisodes de Zorro's fighting legion, on voit bien que dans de telles conditions il est impossible de fignoler et que c'est déjà un petit miracle que le résultat soit ce qu'il est!
sans compter que Witney, né en 1915, avait aux alentours de 22/25 ans quand il tourna ses premiers serials.

Citation:
En outre, les segments 7 et 11 se contentent de résumer les faits déjà produits ! Ces épisodes utilisent donc des séquences déjà filmées !

ça c'est en effet le truc le plus pénible: quand des épisodes se contentent d'en utiliser d'autres... Il y en a un dans le zorro, il y en a un autre dans les daredevils qui fait cela. Ici, deux épisodes, ça commence à faire beaucoup!

Citation:
Effectivement, The fighting devil dogs ne demeure clairement pas l’un des meilleurs serials de la firme, citons en exemple le très réussi Adventures of Captain Marvel

On est d'accord sur le serial du Captain Marvel, vraiment très bien.
Si tu ne l'as pas vu, je te recommande aussi Jungle Girl.

icon_wink

PS: en tout cas, je suis bien content de ne plus être le seul à traiter de ce genre! new_noel
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Bastien
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MessagePosté le: Dim Juin 12, 2011 2:01 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Hello Mister Bigbonn !

C'est amusant, car j'ai fait un sujet assez important sur mon petit blog justement sur les serials, Bach Films et Adventures of Captain Marvel !

Je revenais justement sur l'héritage des serials, ce que notre avisé Mallox a fait lui-même dans son long et complet article dans les serials qui est indispensable comme grille d'analyse. Une référence puisque peu ont écrit sur le sujet en France (un livre nommé La suite au prochain épisode de Jean-Pierre Jackson dans les années 90).

Le serials est un genre qui trouve ses racines dés l'aube du cinéma, avec des programmes courts qui, découpés en parties, se devaient de proposer des moments forts, nos fameux acmés ou points culminants de l'épisode, qui incitaient plus que fortement le spectateur à revenir pour apprendre comment son héros s'en était sorti !

J'opine plus que fortement que ces régles sont adaptées des romans feuilletons qui étaient la forte distraction avant le cinéma, au 19ème siècle ! Nos serials, avec intelligence et inspiration, n'ont en fait que reprendre les règles d'or de récits d'évasion à épisodes pour les transposer le plus efficacement possible.

Pour les trois grandes règles du genre (MacGuffin, Whodunit et surtout le Cliffhanger, indiscociable du serial), elles se retrouvent plus ou moins dans les serials, en tout cas les bons et certainement ceux qui ont été édités par BAch Films.

Si chacun de ces trois éléments ont été développés avec inspiration, le serial n'en sera que meilleur ! Par exemple, la révélation du méchant dans King of the rocket men est assez faiblarde alors que le whodunit m'avait passionné dans Adventures of Captain Marvel !

Une des grandes caractéristiques de la Républic pictures est la maitrise des coûts et de la durée du tournage. Interdiction de dépasser le temps de tournage ou le budget ! Donc oui, ces épisodes de redites sont fastidieux... Moi, je les ai zappés !

English et Witney se partageaient, me semble-t-il, les séquences. Je crois que l'un tournait les séquences d'extérieur tandis que l'autre tournait à l'extérieur.
Ainsi, ils allaient trés vite ! Le revers de ce formatage est que, parfois, on a l'impression de produits trés formatés, codés et donc hélas quelque peu similaires... Je crois qu'il faut espacer les serials que l'on regarde, pour mieux les apprécier pleinement !

Je suis moi-aussi trés content de deviser serials avec toi*, cher Bigbonn, et j'apprécie toujours d'apprendre des choses de certaines plumes ici, notamment dans des registres que je ne connais pas ou alors trés mal ! Et je suis toujours positivement surpris !!!

*Pour être honnête, chroniquer Zorro ne m'aurait pas tellement emballé ! Content que tu te sois porté volontaire ! J'ai en revanche eu le plaisir d'aborder Devil Fighting dogs avec une totale décontraction, ne sachant rien sur le serial !!
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