[M] [Critique] Stake Land
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The Omega Man
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MessagePosté le: Dim Oct 09, 2011 2:35 pm    Sujet du message: [M] [Critique] Stake Land Répondre en citant

Stake Land - 2010



Stake Land

Genre : Horreur, Vampirisme

Année : 2010

Pays d’origine : Etats-Unis

Réalisateur : Jim Mickle

Casting : Danielle Harris, Connor Paolo, Kelly McGillis, Bonnie Dennison, Michael Cerveris, Nick Damici, Sean Nelson…

Scénaristes : Jim Mickle, Nick Damici
Musique : Jeff Grace
Image : Ryan Samul
Accroche : Josey Wales vs Vampires

Distribution :
Nick Damici (Mister), Connor Paolo (Martin), Danielle Harris (Belle), Kelly Mc Gillis (Sister), Sean Nelson (Willie), Bonnie Dennison (Peggy), Michael Cerveris (Jebedia Loven)…

Résumé :
Dans une Amérique qui n'est plus qu'un chaos politique et économique, depuis qu’une terrible épidémie de vampirisme s’y est propagée, Martin, un adolescent, fait la connaissance d’un chasseur de vampires. Aidé de celui-ci et des rencontres qui jalonnent son périple, il se dirige vers New Eden, une terre située au Nord et qui, paraît-il, serait épargnée par l'épidémie.



Pour ceux qui ne l’auraient pas remarqué, depuis un certain temps la mode est aux zombies qui cavalent comme des sprinters jamaïquains, et aux vampires « gravure de mode » qui font mouiller les adolescentes en manque de sensations. Heureusement, il reste des alternatives comme « Stake Land », une petite production qui ne paye pas de mine, mais qui vaut largement le détour. Oubliez les vampires avec des tablettes de chocolat à la place des abdominaux, les suceurs de sang de « Stake Land » sont loin d’être aussi glamour, et le vampirisme est ici vécu comme un retour à l’état animal (physique et mental).
Le contaminé n’a plus qu’un but : se rassasier de sang ; et qu’importe la proie, comme le montre le début glaçant où le frère (encore bébé) du jeune héros se fait dévorer. En quelques minutes, le film donne le ton cruel, brutal, effrayant, mélancolique et désespéré de cette histoire. Si les auteurs ne cachent pas leur allégeance au genre (notamment au roman de Matheson), c’est pourtant vers le western que l’on peut trouver la plus grande influence ; ainsi, on ne peut s’empêcher de penser au magnifique « Josey Wales » de Clint Eastwood.
Un solitaire, dénommé Mister, qui fédère autour de lui un petit groupe de désespérés, un apprenti tueur de vampires orphelin dénommé Martin (référence à Romero ?), une sœur, un ancien militaire noir et une chanteuse enceinte… Tout ce beau monde traverse les Etats-Unis du sud vers le nord (car d’après Mister, les vampires ne supportent pas le froid). Le spectacle est à chaque fois le même : ville ou village dévasté ; parmi les reliquats de notre civilisation, il ne reste que quelques cadavres carbonisés de vampires et les restes de leurs proies.
On apprend alors qu’il existe une sorte de hiérarchie au sein des mutants, les plus anciens devenant quasiment invulnérables (ils résistent même aux balles). Leur seul point faible se situe à l’arrière du crâne, autant dire qu’ils sont les plus dangereux.



Pourtant, au fil du récit et des rencontres, il va s’avérer que les vampires ne représentent qu’un danger mineur comparé à certains humains, devenus des fanatiques religieux qui considèrent nos amis à canines comme une arme divine libérée par Dieu pour purger la Terre. Heureusement, de temps en temps, il subsiste quelques bastions de résistance, des petits villages fortifiés dans lesquels essayent de survivre une poignée de rescapés. C’est dans un de ces havres de paix que s’arrêtent nos globe-trotters, pour être les témoins d’une scène incroyable. En effet, alors que nos héros se reposent au sein d’une petite communauté pour oublier un peu le chaos ambiant, un hélicoptère s’approche et largue des vampires. Incroyable de voir ces créatures tomber du ciel, et se relever pour fondre sur leurs proies. Cette scène fait référence au dire de Willie, l’ex-militaire, qui affirmait que Washington avait était bombardée de vampires. Les mutants deviennent alors, entre les mains de fanatiques religieux, l’arme bactériologique ultime. Des fanatiques qui se croient investis d’une mission divine : purger la Terre des mécréants. Ils transforment leur territoire en no man’s land, où les voyageurs imprudents sont abattus (s’ils ont de la chance), dévorés, violés ou livrés en pâture aux mutants. On peut dire que la rencontre entre ces fanatiques et nos héros ne se fera pas dans l’allégresse et la bonne humeur.



Ce qui étonne dans ce film, outre la diversité des idées drainées par un script particulièrement roublard mais quelquefois saugrenu (comme laisser une femme enceinte seule en pleine forêt), c'est sa qualité technique. Ici, pas question d'image délavée, de montage syncopé ou de filtres de couleur, mais un magnifique cinémascope qui capture par moment des plans superbes d'une nature apaisante (le plus souvent des paysages), comme si le drame qui s'y déroulait ne concernait plus que les humains. Et lorsque la nuit tombe, il ne reste que des ombres furtives et des silhouettes éclairées à la torche.
Pour rendre plausible un tel cauchemar, pas question d'utiliser un quelconque second degré libérateur (voir le marrant « Zombieland »), ni de faire des erreurs de casting (comme Will Smith égaré dans « I Am Legend ») ; et il faut bien l'avouer, « Stake Land » évite habilement les deux. Le film peut en effet compter sur une brochette d'acteurs impliqués, avec en tête l'excellent Nick Damici, co-auteur du script, ami du réalisateur et spécialiste des second rôles (« In the Cut »). A ses côtés, on retrouve le jeune Connor Paolo (la série « Gossip Girl »). Le duo est entouré de seconds couteaux de choix, notamment Kelly Mc Gillis (« Top Gun »), certes légèrement défraîchie et méconnaissable, mais vraiment touchante, et Danielle Harris, la petite fille des opus 4 et 5 de « Halloween », toujours aussi mignonne. Mention spéciale à Michael Cerveris, qui livre un rôle de prédicateur fou assez gratiné ; on regrettera seulement la pirouette un peu grosse pour le faire revenir une dernière fois.



Certes, « Skate Land » n'est pas exempt de défauts, mais l'ensemble est parfaitement maîtrisé, sans temps morts. Le réalisateur utilise ses décors (friche industrielle, forêt, maisons abandonnées, quelques rues…) avec discernement ; les scènes d'action sont assez brutales et hargneuses (on pense au « Vampires » de Carpenter) et le scénario nous réserve quelques surprises (comme le vampire « Père Noël », ou les canines prélevées par Mister qu’il utilise comme monnaie d'échange). En résumé, le stakhanoviste Jim Mickle (qui est aussi monteur, scénariste, concepteur de storyboard...) réalise avec son deuxième film une excellente surprise qu'il serait regrettable de manquer.

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Stake Land - 2010

Editeur : Entertainment One / Aventi
Pays : France

Sortie film aux USA : août 2011
Sortie DVD France : 4 octobre 2011



Durée : 98 minutes
Image : format 2:35 (16/9 anamorphique compatible 4/3)
Audio : anglais DD 5.1 & stéréo 2.0, français DD 5.1

Langues : anglais, français
Sous-titres : français



Bonus :
- Sept web-épisodes (33 mins)
Soeur (4')
Jebediah (3')
Willie (5')
Belle (4')
Martin (5')
Monsieur (6')
Origines (6')
- Le journal de bord de Jim Mickle en pré-production (14 mins)
- Les effets spéciaux (2 mins)
- Bande-annonce



Une belle édition, qui rend hommage au travail du directeur de la photographie. Le son est efficace aussi bien en version originale que dans la version française.
Les bonus sont pratiquement aussi indispensables que le film. Le journal de pré-production est le plus passionnant, car il est gorgé d'informations sur la genèse du projet (comme les teasers réalisés à l'époque pour vendre le projet). On accompagne l'équipe dans ses préparatifs (accessoires, repérages) ; on voit les acteurs s'entraîner, on assiste à un cours sur la chorégraphie des vampires (déplacements, mouvements) et on réalise que rien n'est improvisé, même dans une petite série B.
Dans le module des SFX, on se rend compte du travail parfois imperceptible de certains effets visuels (comme la pluie numérique).



Les sept épisodes web approfondissent le caractère des principaux personnages, sauf le dernier épisode (Origines) qui est un faux reportage réalisé par un gamin sur son papa, et qui tourne au cauchemar. Ne surtout pas rater la dernière scène !
Il est rare d'avoir des bonus aussi intéressants, dépassant le stade de l'auto promotion. Voilà ce que l'on pourrait appeler une édition presque parfaite !

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Bigbonn
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MessagePosté le: Dim Oct 09, 2011 2:52 pm    Sujet du message: Répondre en citant

elle a pris un coup de vieux, Kelly Mc Gillis! (faut dire qu'on l'avait pas beaucoup vu depuis Top Gun et Witness...)
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flint
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MessagePosté le: Dim Oct 09, 2011 3:52 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bigbonn a écrit:
elle a pris un coup de vieux, Kelly Mc Gillis! (faut dire qu'on l'avait pas beaucoup vu depuis Top Gun et Witness...)


Eh oui, elle est mûre pour jouer dans la suite de "Top Gun"...















("Bottom Gun")
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Camif
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MessagePosté le: Dim Oct 09, 2011 5:57 pm    Sujet du message: Répondre en citant

pas gentil ça.

J'aurai juré que ce film était très mauvais. Comme quoi, lire psychovision c'est un passeport pour la verité :ange:
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MessagePosté le: Dim Oct 09, 2011 6:09 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Pareil que Omega Man sur toute la ligne. Acteurs concernés, mise en scène inventive sans être trop voyante, beaucoup d'idées, un bon rythme, des passages gores bien fichus et qui, pour une fois, font leur petit effet, un poil d'ambiance et en plus, un ton.
Bref, pour ma part, l'une des véritables bonnes petites surprises du genre horrifique découverte récemment.
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Camif
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MessagePosté le: Dim Oct 09, 2011 6:14 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Tant que ça ? frank_PDT_16
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mallox
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MessagePosté le: Dim Oct 09, 2011 6:21 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Pour une fois qu'un film d'horreur sort du lot, je ne vais pas bouder mon plaisir. J'ai passé un bon moment sans me dire que le type derrière la caméra la jouait fun, jouissif, à la manière de, grindhouse, ou rabâché, etc. Et c'est pas si fréquent... donc une vraie bonne série B pour ma part.

Camif a écrit:
Quoi ? on fait de la pub pour un fanzine écrit par un des fondateurs d'Horreur.com ?

Ca déconne ici new_diable


D'ailleurs, la preuve que le film est bon, c'est que l'un des fondateurs de horreur.com l'a bcp apprécié aussi !
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Valor
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MessagePosté le: Dim Oct 09, 2011 6:25 pm    Sujet du message: Répondre en citant

mallox a écrit:
Pour une fois qu'un film d'horreur sort du lot, je ne vais pas bouder mon plaisir. J'ai passé un bon moment sans me dire que le type derrière la caméra la jouait fun, jouissif, à la manière de, grindhouse, ou rabâché, etc. Et c'est pas si fréquent... donc une vraie bonne série B pour ma part.


Et ben moi, hier soir j'ai regardé "Piranha 3D" ! new_help
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mallox
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MessagePosté le: Dim Oct 09, 2011 6:31 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Valor a écrit:
Et ben moi, hier soir j'ai regardé "Piranha 3D" ! new_help


Je t'emmerde. ico_mrgreen

T'as aimé ? icon_confused
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Valor
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MessagePosté le: Dim Oct 09, 2011 7:21 pm    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai rigolé quand la fille se lève pour gerber au moment où le jeune va l'embrasser ico_mrgreen ... et j'ai trouvé le twist final plutôt original.

A part ça, c'est un film consternant ... à 24 millions de dollars ! icon_confused

P.S : Désolé pour le HS !
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carcharoth
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MessagePosté le: Dim Oct 16, 2011 8:41 am    Sujet du message: Répondre en citant

Plutôt réussi ce Stake Land en effet, malgré quelques longueurs et des personnages sur lesquels on aimerait parfois en apprendre un peu plus. Mais bon vu la fin ouverte particulièrement abrupte, nul doute que tout ça sera exploré dans une éventuelle suite.
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Throma
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MessagePosté le: Dim Oct 30, 2011 2:37 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Une coquille vide pour ma part.

Gros soin apporté à la photographie, quelques beaux plans, et une volonté de ne pas se vautrer dans la facilité (post-apocalypse = grisaille + ruines) et... c'est tout.

Les personnages sont tous insipides, complètement transparents.
Aucun background, aucune relation forte, aucune émotion, rien, que dalle... Du coup, on se fout totalement de leur sort.
C'est bien chouette de nous balancer les violons toutes les 2 secondes mais ils peuvent crever, ça m'empêchera pas de me pieuter tranquille.

Et des situations / créatures / dialogues vus / entendus 1 000 fois.

Vraiment raté ce truc-là.
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Camif
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MessagePosté le: Ven Nov 04, 2011 10:14 am    Sujet du message: Répondre en citant

Throma a écrit:
C'est bien chouette de nous balancer les violons toutes les 2 secondes mais ils peuvent crever, ça m'empêchera pas de me pieuter tranquille.

.


un bien bel état d'esprit
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MessagePosté le: Ven Nov 04, 2011 11:48 am    Sujet du message: Répondre en citant

une vraie déception : où sont donc les planches à roulettes vantées par le titre ? frank_PDT_08

effectivement c'est plutôt humble et efficace (en dehors de la scène du "vampire intelligent" qui pue vraiment des pieds), un peu trop humble en fait. rien de bien orginal, puisque depuis 28 Jours Plus Tard les road movies post-apo où les gens se fabriquent une famille au fil des rencontres semblent avoir le vent en poupe, citons La Route et Zombieland pour les productions récentes.
par ailleurs cette histoire de se réfugier au Canada parce que les morts-vivants ignorent l'usage du thermolactyl me rappelle très fortement un petit film de zombard z dont le nom m'échappe à l'instant.

ceci dit, Mickle sait construire un bel univers très crédible, mais comme le dit throma, il oublie simplement d'y insuffler une âme, à l'image du personnage de Mister qui porte tellement bien son nom qu'au bout d'une heure et demi à ses côtés on ne saura toujours rien sur lui, sinon qu'il maîtrise mieux le planter de bâton que Jean-Claude Dusse.
dommage, avec un peu plus d'enjeux dramatiques ou alors un cynisme assumé, ça aurait pu être excellent.
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Throma
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MessagePosté le: Ven Nov 04, 2011 2:01 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Camif a écrit:
Throma a écrit:
C'est bien chouette de nous balancer les violons toutes les 2 secondes mais ils peuvent crever, ça m'empêchera pas de me pieuter tranquille.

.


un bien bel état d'esprit


ouais
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