[M] [Critique] Asylum
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Walter Paisley
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MessagePosté le: Lun Déc 25, 2006 9:29 pm    Sujet du message: [M] [Critique] Asylum Répondre en citant



Asylum. 1972.
Origine : Royaume-Uni
Genre : Horreur
Réalisation : Roy Ward Baker
Avec : Robert Powell, Peter Cushing, Charlotte Rampling, Herbert Lom...


Beaucoup de beau monde pour cette production Amicus de 1972, réalisée par le très "hammerien" Roy Ward Baker d'après un script de Robert Bloch (l'homme qui écrivit Psychose), et comprenant au casting des gens comme Peter Cushing, Herbert Lom, Charlotte Rampling et Britt Ekland... C'est qu'en cette début de décennie 1970 la Hammer commençait à tanguer, et qu'une place de choix pouvait éventuellement se libérer dans le créneau de l'horreur britannique. Alors autant mettre toutes les chances de son côté...



Asylum est un film à sketch conçus un peu différemment des autres films du même type. Car ici le fil rouge, ingrédient indispensable, tant à prendre autant d'importance que les sketchs, justifiant ceux-ci par un moyen un peu plus élaboré qu'à l'accoutumé. Le docteur Martin (Robert Powell, qui se fera plus tard remarquer dans l'opéra rock Tommy et dans l'australien Harlequin) vient passer un entretien d'embauche dans l'asile tenu par le docteur Rutherford et par le docteur Starr. Enfin qui le fut, car Rutherford est désormais seul aux commandes, depuis que Starr est lui-même devenu fou et s'est retrouvé enfermé dans son propre asile. Pour être embauché, Martin doit déterminer lequel des quatre patients enfermés est le docteur Ross, sachant que celui-ci se fait désormais appeler par un autre nom et s'est inventé son propre passé dans une logique de dédoublement de la personnalité. C'est donc en écoutant les quatre différents récits ayant amenés ces malades à l'asile que Martin devra faire son choix. Et bien entendu, ce seront ces récits qui constitueront les sketchs du film.

Le premier d'entre eux est une histoire assez classique de mari découpant sa femme en morceaux pour pouvoir fuire avec sa maîtresse. Bien entendu la défunte épouse se sera fait remarquer avant la fuite des deux vilains, ses membres découpées étant préalablement revenus à la vie pour se venger... Pas très passionant, d'autant plus que ces membres demeurent solidement emballés dans du papier tout au long de l'épisode et ne présentent donc pas les attraits gores auxquels on était en droit de s'attendre. Heureusement, la mise en scène de Roy Ward Baker se fait très efficace, très fluide, et la caméra se déplace à la perfection dans le lieu de la vengeance (une cave), parvenant au moins à créer un minimum de tension.



Plus interessant sera le second épisode, celui dans lequel apparaît Peter Cushing, un aristocrate s'étant ruiné pour acheter un livre (que l'on peut très bien penser être le Necronomicon de Lovecraft) donnant le moyen de faire revivre un mort. En l'occurence le fils du personnage de Peter Cushing, qui reviendra à la vie sitôt qu'il sera revêtu d'un costume composé d'une étrange étoffre luisante, dont la création pleine de contraintes fut confiée au bons soins d'un tailleur proche de la banqueroute. Mais rien ne se passera comme prévu, et le tailleur, quand il découvrira le pourquoi de la confection de ce costume bizarre, se rebellera... On nage ici en plein gothique : tout l'épisode se déroule de nuit, dans des décors représentant la pauvreté sociale, filmés tout en décadrages ce qui donne un cachet assez "victorien mystérieux" à l'ensemble. Les quelques éclairages présents à l'écran sont faits de candelabres, et le personnage de Cushing pourra faire un peu penser au Verden Fell de La Tombe de Ligeia d'Edgar Poe. Bien sûr, la durée réduite du sketch ne permet pas beaucoup d'extrapoler, et tout se passera très vite, avec un rebondissement final assez téléphoné mais ne venant pas ternir ce qui est sans doute le meilleur sketch de cet Asylum.
Passons maintenant au tandem Charlotte Rampling / Britt Ekland, la première campant un personnage de femme faible rentrant chez elle après un passage dans un hôpital pour se rendre compte que son frère et que son infirmière sont bien décidés à la sequestrer, voire, comme le suggère sa meilleur amie Lucy (Ekland), à lui voler son héritage en la faisant passer pour folle. Et les deux femmes de tenter alors de fuire la maison, éloignant leurs tortionnaires... Rien de bien palpitant là non plus, tout est trop sage, et le twist final est de ceux qui nous ont souvent été resservis ces dernières années. C'est dire si le spectateur comprendra tout dès le début. Reste donc un épisode mollasson, pas très folichon.
Enfin, le quatrième et dernier sketch ne sera pas un flash back, mais se déroulera devant le docteur Martin, à l'Asile où un certain docteur Byron fut enfermé en raison de sa volonté de donner vie à ses poupées, en réalité des modèles réduits à l'effigie des anciens collègues de Byron dans lesquels le bon ex-docteur aurait placé des organes humains. Son objectif est désormais de parvenir à transférer son esprit dans sa propre poupée, celle qui porte son visage... Bien sûr, puisque c'est le seul patient à être directement connecté à l'Asile (sans flash-back) et à la médecine, on se dit que le fameux docteur Starr que l'on recherche ne peut être que lui. Peut-être bien... Le final du film à tendance pré-Puppet Master viendra répondre à cette question sans omettre de placer un ultime rebondissement venant clôre l'ensemble d'une façon ironique qui fera école dans le milieu des séries télévisées ou des anthologies horrifiques.



Asylum est un film assez moyen, plutôt déséquilibré, et en réalité sans grande suprises. La faute peut-être à ses recettes trop évidentes et à des scénarios pas forcément très bien construits. Roy Ward Baker, en vieux routier de l'horreur, tirera le tout le plus haut qu'il peut par sa mise en scène souvent inspirée, sans que ça n'aille non plus chercher loin. On regrettera aussi que le beau casting soit dilué dans ces historiettes bancales, ne permettant pas aux acteurs d'étaler leurs talents ou leurs charmes. Bilan très mitigé, donc.

4/10

accroche : L'Hôpital et ses fantômes
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Bigbonn
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MessagePosté le: Mar Déc 26, 2006 8:41 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Pas vu mais j'ai souvent du mal avec les films à sketches, un procédé que je trouve assez artificiel (faire du long avec des courts).
Les différents sketches sont souvent très inégaux, d'où un intérêt très fluctuant pour le spectateur que je suis et un désintérêt bien souvent assez rapidement marqué.
Celui-là ne risque visiblement pas de me faire changer d'avis...
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Walter Paisley
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MessagePosté le: Mer Déc 27, 2006 11:19 am    Sujet du message: Répondre en citant

Oh t'es sévère, quand même. Je me suis récemment fait un petit cycle avec des films du genre, et les mieux sont encore le premier Creepshow et dans un degré moindre La Quatrième Dimension, le film (plombé cela dit par l'insupportable épisode de Spielberg). Il y a aussi les très beaux Twice Told Tales (très recommandable celui-là !) et Le Train des épouvantes

Par contre, Necronomicon est bien pourri, Deux Yeux Maléfiques d'Argento et Romero est très très décevant. Le Body Bags de Carpenter et Hooper est assez inégal (l'épisode de la station service est sans doute le mieux, mais bon, il repompe Halloween assez fortement)...

Sinon il y a Trapped Ashes qui a été fait récemment, avec notamment Joe Dante, Sean Cunningham, Monte Hellman et Ken Russell. Les échos qui sont sortis de sa présentation au festival de Toronto y'a quelques mois sont fort mauvais...
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mallox
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MessagePosté le: Mer Déc 27, 2006 11:29 am    Sujet du message: Répondre en citant

"Le Train des épouvantes" c'est le Freddie Francis ?
auquel cas, effectivement, il est très bon comme film à sketches , et très beau.

un autre beaucoup plus récent qui m'avait également agréablement surpris sans être un chef-d'oeuvre: "Terror Tract" .
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gregore
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MessagePosté le: Mer Déc 27, 2006 11:31 am    Sujet du message: Répondre en citant

Tu as aussi l'excellent au coeur de la nuit et plus recemment venant d'Asie : 3 extreme... mais j'ai pas vu...
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MessagePosté le: Mer Déc 27, 2006 11:48 am    Sujet du message: Répondre en citant

gregore a écrit:
Tu as aussi l'excellent au coeur de la nuit et plus recemment venant d'Asie : 3 extreme... mais j'ai pas vu...


ah oui, c'est vrai qu'"au coeur de la nuit" se pose en maître !

"three extrème" en revanche, j'ai trouvé l'opus de chan Park Woo un peu hermétique et répétitif même, trop ressemblant à son Old Boy.
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Walter Paisley
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MessagePosté le: Mer Déc 27, 2006 12:22 pm    Sujet du message: Répondre en citant

mallox a écrit:
"Le Train des épouvantes" c'est le Freddie Francis ?
auquel cas, effectivement, il est très bon comme film à sketches , et très beau.


Oui, c'est bien de Freddie Francis (qui a fait les beaux jours du coffret Cushing dans les bacs à solde de Cdiscount).

Ah, et puis aussi, en film à sketch, il y a bien entendu le bon Empire de la Terreur, de Corman ainsi que Les Trois Visages de la Peur de Bava, qu'il faut que je revoie mais dont j'ai un bon souvenir.
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Bigbonn
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MessagePosté le: Mer Déc 27, 2006 12:25 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ben dis-donc! Serait-y pas que vous êtes en train de me prouver par A + B que mes préjugés sur les films à sketches, c'est rien que des préjugés justement??? frank_PDT_10

Je vous laisse continuer un peu, après je recense les "recommandés et approuvés" pour essayer de les voir et j'oublie les autres! new_noel
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MessagePosté le: Mer Déc 27, 2006 2:32 pm    Sujet du message: Répondre en citant

de l'ensemble des films d'horreur/épouvante à sketches que j'ai vu, je retiendrai que ce n'est jamais une réussite intégrale, mais qu'il est rarissime qu'il faille tout jeter.
comme dans toute séance de courts-métrages, il y a toujours une ou deux histoires qui vous trottent dans le tête éternellement.

à ce titre, il faut absolument que je me revoie le Club des Monstres, de Roy Ward Baker chez Amicus comme cet Asylum, dont une diffusion (sur rtl9?) m'avait laissé un très agréable souvenir, principalement la dernière histoire et l'enveloppe générale...

ayant longtemps ignoré le titre du film parce que j'avais raté le début, j'ai percuté très récemment qu'il avait été ressorti par Mad Movies... new_mur :timide:
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mallox
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MessagePosté le: Mer Déc 27, 2006 2:48 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Je désapprouve "Le club des Monstres" ... jamais aimé cette chose vue et revue lorsque j'étais au Lycée.
Normal, je connaissais un des doubleurs Français et donc me suis tapé ce truc avec le Timer 4 fois au moins.
d'ailleurs le doubleur en question a renommé l'un des personnages "Docteur Buchholzer" , mais c'était son nom à lui ...
Bref, je ne l'ai vu qu'en VF mais je le déteste.
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Throma
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MessagePosté le: Mer Déc 27, 2006 3:37 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Et en doubleur français, tu connaitrais pas par hasard l'infame Jacques Bernard, histoire que j'aille lui pêter la tronche ?
dont on a tous au moins croisé la voix insupportable au détour de vhs...faut dire qu'il en a souillé des centaines et des centaines de films avec son doublage à 2 balles...champion de la schizophrénie aussi : il était pas rare qu'il double simultanément 3 personnages à l'écran.
De mémoire, c'est lui qui double le pote à Ash dans le premier Evil Dead, Jackie Chan dans certains films, ou Jean Sorel dans Je suis vivant...

Pour en revenir au sujet, pas vu ce Asylum ni les autres anthologies Amicus inspirées de Robert Bloch d'ailleurs.
Par contre, j'apprécie assez les films à sketchs horrifiques, même si il est rare d'en trouver qui soient parfaitement équilibrés. Il y a toujours un voire plusieurs segments qui va(vont) venir plomber l'ambiance.
C'est le cas dans "Le jardin des tortures" de Freddie Francis, handicapé en plein milieu par un sketch particulièrement lourd et ridicule à propos d'un piano vivant (et jaloux !), dans "Creepshow", (revu récemment avec un râleur notoire mais en fin de compte il avait raison le bougre new_noel ), parasité par les 3 premiers segments médiocres (surtout celui avec Nielsen et Ted Danson, interminable), "Frissons d'outre-tombe" de Kevin Connor, film que j'aime beaucoup, et ce malgré le sketch de la maison possédée, un peu lourdingue.
Dans "Le club des monstres", c'est différent : les 2 premieres histoires sont assez mauvaises, en revanche, la derniere sort vraiment du lot, avec cette histoire de village fantome.
"Body Bags", le sketch de Hooper avec Stacy Keach est d'une nullité effarante.
Dans le méconnu "House of the dead", la premiere histoire, pourtant sans queue ni tête est effrayante (une institutrice a la visite nocturne d'élèves de sa classe monstrueux, dans tous les sens du terme)...le reste du film, rien à en tirer.
Quant à "Terror tract", je m'attarderais même pas dessus. Tout est à jeter me concernant et fait même partie du pire de ce que j'ai pu voir, avec "The uncanny" de Dennis Héroux et le mexicain "Cien gritos en la noche" (2 segments pour celui-là seulement mais c'est déjà trop tant le film est effroyablement emmerdant).
En fait, la meilleure anthologie à mes yeux, et c'est plutôt surprenant, date de 86 et on la doit à Jeff Burr : Nuits sanglantes avec Price, Beswick, Cameron Mitchell, Susan Tyrrell, etc.
Parfaitement dosé, pas une histoire (sur les 4) plus faible qu'une autre, c'est gore, immoral (inceste, infanticide, pédophilie) inquiétant et les histoires sont assez originales.
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Dernière édition par Throma le Mer Déc 27, 2006 6:44 pm; édité 1 fois
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mallox
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MessagePosté le: Mer Déc 27, 2006 3:49 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Throma a écrit:
Et en doubleur français, tu connaitrais pas par hasard l'infame Jacques Bernard, histoire que j'aille lui pêter la tronche ?


et bien tiens toi bien, SI justement !
Il bossait àl'époque dans la même boîte que le dit Buchholzer .... mais jamais revu depuis.
faut dire que les doublages ressemblaient davantage à de la gaudriole où les types ne cessaient de rires de leurs propres blagues et des conneries qu'ils pouvaient insérer...
On se serait connu à cette époque là, je te l'aurai livrer ! new_diable
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MessagePosté le: Mer Déc 27, 2006 4:51 pm    Sujet du message: Répondre en citant

voilà pourquoi j'exècre le doublage, voire les sous-titres (il y a aussi des traducteurs plus ou moins volontairement taquins... frank_PDT_10 ), et pourquoi, même si je me contrefous habituellement des bonus et du chapitrage, je trouve que le dvd nous sort pas mal du pétrin.
dommage que ce soit un support si cher et discriminant.

enfin je veux pas lancer un débat hs là-dessus... y a-t-il vraiment matière à débattre constructivement d'ailleurs?

tiens mallox, si tu nous disais plutôt dans quelles écoles les enfants de tes amis doubleurs farceurs se rendent... new_diable
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mallox
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MessagePosté le: Mer Déc 27, 2006 5:01 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ben, on se forme sur le tas dans ce domaine... à l'époque on me l'a proposé du reste...
pas besoin d'être un pro pour faire du doublage je pense, même de qualité...
d'ailleurs pareil pour les doublages d'animations, les acteurs ne sont pas formés pour être doubleurs, mais peut-être faut-il être un tant soit peu acteur pour doubler...

J'y comprends pas trop ta question en fait; j'ai bien répondu? frank_PDT_16

désolé, mais mon souvenir du "club des monstres" c'est un visionnage du film étant en train d'être doublé puis vu ensuite 3 fois ou 4 avec le doubleur chez lui.... un cauchemar !
En revanche, Je ne trouve pas le prix moyen d'un DVD exorbitant par rapport à un CD

Bon pour revenir I.S , je conseille absolument "Kwaidan" de Masaki Kobayashi 1964; Chaque épisode raconte une histoire de fantômes, issues du folklore traditionnel japonais; il y en a 4, pour une durée de plus de 3h, mais c'est Magnifique ! icon_wink
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MessagePosté le: Mer Déc 27, 2006 5:16 pm    Sujet du message: Répondre en citant

non. en fait je pensais plutôt à du kidnapping...

je sais bien qu'il n'existe pas de formation spécialisée en doublage. je pensais que c'étaient surtout des acteurs qui faisaient ça pour vivre/pour survivre/whitefire

bref c'est regrettable cette coutume de doubler les films
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