[M] [Critique] Les Révoltés de l'an 2000
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MessagePosté le: Mar Fév 14, 2006 1:07 am    Sujet du message: [M] [Critique] Les Révoltés de l'an 2000 Répondre en citant

Les révoltés de l'an 2000 aka Los ninos de Narciso Ibanez Serrador.

Le film débute par 1 pré-générique composé de commentaires réels, souvent insoutenables, pour justement nous prévenir que les véritables victimes des guerres, des famines, de toutes les misères du monde, sont toujours les enfants.Une bonne morale que le réalisateur espagnol Narciso Ibanez Serrador essaye de nous faire passer... Dans une île perdue, des enfants ont éliminés, voir massacrés toute présence adulte. Ces fameux gamins tuent apparemment pour jouer, mais en fin de compte le temps de la revanche a sonné, histoire que les adultes payent de leur vie leurs propres fautes. C'est ce que va découvrir 1 couple anglais en vacances en Espagne et qui débarque sur cette fameuse île maudite.

Ce film est grandiose, prenant, sans trop de scènes sanglantes il faut bien l'avouer, mais franchement pas nécessaire. Il y a tout de même des séquences mémorables, dont une que j'aime tout particulièrement, celle ou nos charmants bambins détournent la fameuse coutume locale, 1 pot de bonbons suspendu à 1 arbre qu'il faut briser à coups de bâton, sauf que là le pot est remplacé par 1 vieillard pendu par les pieds, sur lequel les garnements s'acharnent à coups de serpette. Que dire aussi de cette terrible (terrible pour notre héros) fin, qui me fait penser un peu à celle mythique de La nuit des morts vivants de mister Romero. Tout simplement 1 régal. 1 film a voir absolument. 20/20

Après on nous dit mariez vous et faites des gosses !!! ico_mrgreen
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Nickbur
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MessagePosté le: Mar Fév 14, 2006 6:29 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Y a pas a tortiller du fion longtemps, c'est un pure chef d'oeuvre, rien a redire, tendre, cruelle, péssimiste, tragique, bouleversant. Une merveille !!
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MessagePosté le: Mar Fév 14, 2006 10:46 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
Y a pas a tortiller du fion longtemps


Ben merde, je faisais attention à ma démarche !! ico_mrgreen
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Throma
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MessagePosté le: Dim Fév 19, 2006 2:32 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Autant j'accroche vraiment moyen à La résidence autant Les révoltés atteint à mes yeux le pinacle du cinéma de genre ibérique.
Et un grand film, on le reconnait à sa faculté de paraitre encore d'actualité de nos jours.
Point de voitures crâmées cela dit mais des foetus boxeurs à la place.
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mallox
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MessagePosté le: Mar Juin 19, 2007 7:34 am    Sujet du message: Répondre en citant

Je viens de découvrir la résidence. J'ai au contraire de Throma bien accroché. Bonne ambiance, Une Lili Palmer parfaite, en toile de fond un trauma du régime Franquiste et sa rigidité. Une fin un peu expédiée il est vrai. vraiment bien aimé néanmoins.
Ce film n'a pas de critique? (j'étais certain de l'avoir vue?! icon_confused ).
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mallox
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MessagePosté le: Mar Aoû 21, 2007 9:41 am    Sujet du message: Répondre en citant




Titre : Les révoltés de l’an 2000 (¿Quién puede matar a un niño?)
Pays : Espagne
Année : 1976
Genre : Autonomie mineure
Réalisateur : Narciso Ibáñez Serrador
Acteurs : Avec : Lewis Fiander, Prunella Ransome, Antonio Iranzo ...
Musique : waldo de los ríos



Un couple de touristes anglais, parti en Espagne dans l’optique de vacances idylliques et dont la femme est enceinte, arrive sur l'île d'Almonzora, après avoir fait une escale dans une ville plus touristique. Très vite, ce qui les stressait s’inverse. En effet, partis loin du bruit et de l’afflut touristique, ceux-ci ne trouvent qu’une île désolée cherchant âme qui vive. Le cauchemar va s’intensifier sitôt qu’ils s’apercevront que les seuls habitants de l’île sont des enfants, dont les premières rencontres s’avèrent déroutantes voire inquiétantes. Très vite aussi, quelques cadavres seront découverts, toujours des adultes.
Dès lors les choses s’accélèreront, ce qui semblait troublant s’avère cauchemardesque, les enfants semblent autonomes au sein de l’île maudite en plus d’être des assassins se mettant peu à peu à les pourchasser…



Pas de doute me concernant, Ibáñez-serrador s’il n’a pas laissé une œuvre gigantesque en nombre au sein du cinéma, avec deux films seulement en 40 ans de carrière pour la télévision le plus souvent, a marqué le genre de deux pierres blanches. Si « La résidence » hésitait encore entre les genres, offrant un excellent hommage à la Hammer, teinté de psyché incestueuse et d’un zeste de d’érotisme, posant en passant quelques bases du « Suspiria » à venir, ici le spectacle est une nouvelle fois, original, très fort, et l’on frôle même le chef-d’œuvre à plusieurs reprises.



Le film démarre lentement mais sûrement. Ce qui fait d’entrée la différence avec le tout-venant du genre, c’est le temps que prend le réalisateur pour nous présenter ses personnages principaux que sont Tom (Lewis Fiander – « Dr Jekyll & Sister Hyde ») et Evelyn (Prunella Ransome – «Les désaxées » de Michel Lemoine). C’est déjà un signe en soit et Serrador a l’intelligence des cinéastes qui savent que la tension ne sera jamais aussi efficace, qu’à la condition où ses personnages existeront. Pari relevé haut la main, car sans charisme particulier, ce couple en fait très lambda, va vivre une aventure qui ne le sera pas du tout dans un processus d’identification efficace.
Je m’arrête un peu sur le générique de début de film ainsi que son préambule qui suit, nous montrant durant quasiment 10 minutes, des archives de camps de concentration, de morts en Afrique, au Viet-Nam, insistant sur le nombre de morts et plus particulièrement celui des enfants qui n’en ont pas tant demandé. Bref, on se demande où l’on part, et la raison d’être de cette base de départ qui pourra sembler de prime abord contestable, et même rédhibitoire si elle ne se justifiait pas complètement par la suite.



En effet, le film nous plonge dans une ambiance âpre et perverse, et la tension ira crescendo sans jamais retomber, et dès lors que les enfants se mettront à devenir violents, il sera extrêmement difficile de les combattre. Pourquoi ? A cause justement de cet inconscient collectif, cette mémoire de l’enfant-martyr, de cette pureté sans cesse maculée de sang au sein de l’histoire, qui fait « qu’on ne touche pas à un enfant ». De ce fait, ça compliquera pas mal la situation défensive de Tom et Evelyn, puisque pour bien se faire et pour s’échapper alors, il conviendra de tuer. Ce sera le plus ardu, mais sans en trop dévoiler, on assistera à un final d’une âpreté et d’une noirceur très singulière en plus d’être absolument implacable.



De toute façon, le film est très riche à ce niveau, et si Serrador rend son tribut à ses pères le temps d’un ou deux plans dignes du « Village des damnés » de Wolf Rilla, il se dégage tranquillement de ses influences (digérées) pour livrer quelques scènes d’anthologie, ayant très peu recours du reste à des effets sanglants. Elles sont rares mais quand elles pointent le nez, c’est complètement scotchant, bluffant, dérangeant. Je pense en particulier à la scène où le couple tente de faire démarrer sa voiture dans une vaste cour, avec les enfants en rang, prêts semble t-il à l’affrontement, ce qu’ils ne tarderont pas à faire dans un assaut groupé presque félin qui laisse sur le cul et fait assurément flipper! De même cette scène très étrange où l’une des jeunes filles de l’île rentre dans la maison du couple dans laquelle Evelyn se trouve alors seule, pour toucher son ventre. C’est inquiétant à souhait avec cette enfant qui semble désincarnée dans un sourire figé et l’on comprendra assez vite qu’elle vient transmettre le virus tueur, virus qui rebondira vers la fin dans une scène traumatisante où le fœtus se fera lui-même tueur. (Pour précision, on est loin des partis pris de mise en scène d’un Cronenberg, mais c’est tout autant sinon plus marquant).



Dès les premières gouttes de sang versées, et Dieu sait si elle seront difficiles dans une scène d’un rare dureté encore une fois, le film s’envole dans une orgie de violence pessimiste quasi sans concession. Voir Tom sorti de la maison, fusil à la main, prêt à tout, dans un plan magistralement cadré et pour ce qui suit, marque longtemps la mémoire. Il faut dire combien les choix sont intelligents, le propos ne l'étant pas moins et combien le metteur en scène s’en sort ici assez magistralement.
Soit, il y a bien quelques invraisemblances ici et là, comme ce bateau présent mais dont le couple tarde à penser se servir, ou encore l’attitude très étrange de Tom lorsque Evelyn est atteinte. Comme s’il n’avait déjà plus d’illusion sur leur sort. C’est un peu étrange, mais ça interpelle en même temps, pas de doute, le spectacle est globalement supérieur, et ce n’est certainement pas la photographie qui viendra contredire cela.
A l’image du film et de ces protagonistes, elle est surexposée et écrasante à souhait.
Très beau film !



Note : 8/10
Accroche : L’île aux enfants version adulte.


Titres alternatifs:

Death is child's play
Island of death
Island of the damned
The killer's playground, trapped
who can kill a child?
would you kill a child?




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flint
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MessagePosté le: Mer Aoû 22, 2007 7:50 am    Sujet du message: Répondre en citant

Vue hier soir, l'oeuvre de Serrador amène sans conteste à la réflexion. Si les images d'archives du début, à la fois tristes et terrifiantes, servent à appuyer le propos du film : la vengeance des enfants sur les adultes ; on peut également avoir une vision globale du film plus pessimiste encore.
En cela, je pense qu'il ne faut pas se laisser "endormir" par le titre français, pas si évocateur que cela, et ne pas voir à travers ces enfants un simple désir de révolte. Dans la mesure où je crois, contrairement à Rousseau, que l'homme est naturellement mauvais, il y a matière à penser que les enfants meurtriers, d'une extrême cruauté, ont pris le relais des adultes car ils prennent du plaisir dans leurs exactions.
L'Histoire le prouve, et Serrador nous le rappelle de façon très efficace dans le teaser, l'être humain possède en lui une faculté innée à commettre le mal, que seules cetaines barrières comme l'éducation, l'éthique, l'ordre et la loi l'empêchent de concrétiser. Il suffit pourtant de peu de choses pour que ces barrières tombent, et que le chaos vienne mettre en pièces les fondements de la société.
Les gosses qui ont pris le pouvoir sur cette île vivent en parfaite autarcie. Ils sont conscients de leurs actes, sont froidement lucides. La barrière enfant/adulte n'existe plus, il n'y a que des êtres humains, qui n'ont d'ailleurs "d'humain" que le nom.
Serrador a réalisé une oeuvre qui fait froid dans le dos, et demeure parfaitement d'actualité, trente ans plus tard.

note : 8/10


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MessagePosté le: Mer Aoû 22, 2007 8:08 am    Sujet du message: Répondre en citant

flint a écrit:
La barrière enfant/adulte n'existe plus, il n'y a que des êtres humains, qui n'ont d'ailleurs "d'humain" que le nom.
Serrador a réalisé une oeuvre qui fait froid dans le dos, et demeure parfaitement d'actualité, trente ans plus tard.


Oui sur tout, sauf là dessus où à mon avis le clivage enfants/adultes se fait tout de même puisque lesdits enfants trucident les adultes sur l'île afin de vivre en autarcie. le propos est Rousseauiste soit, il n'y a aucune chance de donné à l'être humain par Serrador, dont le propos sur l'être humain en plus d'être abyssal, est sans illusion aucune. Sans issue. Le titre français est je te suis complètement absolument pas révélateur de ce qu'il vend, à moins qu'il veuille dire que l'être humain ne changera jamais, ni dans 30 ans, ni dans 1000 ans dans une vision "globalement" très pessimiste comme tu dis sur le genre humain.
On peut aussi l'interpréter comme une vengeance d'une mémoire collective infantile bafouée et meurtrie au sein de l'histoire, car dans le prélude, les victimes mises en avant restent tout de même les enfants qui n'étaient pour le coup pas bourreaux. Le point de vue ne me semble pas Rousseauiste à ce niveau. D'ailleurs vu comme les enfants semblent désincarnées, comme vidés de toute substance interne, on sent un mimétisme venu de l'adulte, mais sans le sens à cela.
En tout cas, à se parler là, le film a le mérite de posséder bien des sens, riche en thématique et en ambiguïté sur son propos, bref, un sacré film.
Merci pour ce que tu as précisé. c'est un point de vue qui me semble tout à fait opportun.
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MessagePosté le: Mer Aoû 22, 2007 8:30 am    Sujet du message: Répondre en citant

Oui, quand j'évoque la "barrière adulte/enfant", je sous-entends la noirceur de l'âme, et non l'enveloppe physique. L'habileté de Serrador est de montrer que l'enfant, malgré les apparences, peut être aussi cruel qu'un adulte. Et que l'adulte, ancré dans ses croyances, dans sa logique cartésienne, refuse de croire à l'incroyable. En cela, la relative inertie du couple face au danger est crédible, même si exaspérante pour le spectateur.
Si je voulais être un peu tatillon, je reprocherais à Serrador l'épisode de la touriste allemande réfugiée au standard de la poste. Enfermée, elle lance un appel au secours par téléphone, tandis que les enfants essaient d'enfoncer la porte. Elle ne parvient pas à s'échapper, alors qu'elle aurait eu simplement à ouvrir une fenêtre, effectuer un saut d'environ un mètre (amorti de surcroît par la présence d'un tas de sable) et prendre la fuite.
La preuve en tous cas que la peur est mauvaise conseillère.
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MessagePosté le: Mer Aoû 22, 2007 8:36 am    Sujet du message: Répondre en citant

Moui, quelques passages comme ça, assez éparses heureusement, nuisent un tantinet à la crédibilité de l'ensemble. Tant mieux que ce soit la plupart du temps très fort. Maintenant on peut aussi dire dans une vision plus Voltairienne que Serrador approfondit le thème qu'il avait déjà amorcé dans la "résidence" avec cet enfant "monstre" crée par un amour maternel abusif. encore une résultante du monde de l'adulte qui viendrait pervertir l'enfance...générant ainsi des monstres.
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MessagePosté le: Mer Aoû 22, 2007 8:41 am    Sujet du message: Répondre en citant

Cela dit, le film est dans l'ensemble très satisfaisant, si l'on excepte quelques légers bémols dans la forme. Sur un thème assez proche, "Demain les Momes", film français de Jean Pourtalé, et curieusement tourné la même année, est moins réussi.
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MessagePosté le: Sam Fév 02, 2008 9:46 am    Sujet du message: Répondre en citant

Que les amateurs de Narciso Ibáñez Serrador se réjouissent. "Les Révoltés de l'an 2000", le second diamant noir de ce cinéaste trop rare au cinéma sortira en Edition Collector 2 DVD chez Wild Side le 4 Juin 2008.

http://news.psychovision.net/index.php/2008/01/31/352-les-revoltes-de-l-an-2000-bientot-en-dvd
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MessagePosté le: Mar Avr 22, 2008 5:13 pm    Sujet du message: Répondre en citant



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MessagePosté le: Mar Avr 22, 2008 5:24 pm    Sujet du message: Répondre en citant

je ne me souviens pas de fils barbelés dans le film... suspect
c'est la barrière adultes/enfants de flint?

sinon c'est un authentique chef d'oeuvre, aucun doute possible
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MessagePosté le: Mar Avr 22, 2008 5:44 pm    Sujet du message: Répondre en citant

princesse.rosebonbon a écrit:
je ne me souviens pas de fils barbelés dans le film... suspect
c'est la barrière adultes/enfants de flint?

sinon c'est un authentique chef d'oeuvre, aucun doute possible


Il n'y en a pas. Je pense que c'est peut-être une allusion aux camps de concentration du début. Pas forcément bienvenue d'ailleurs.
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