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xawa 99 % irradié

Inscrit le: 28 Fév 2005 Messages: 1528
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Posté le: Ven Avr 24, 2009 11:38 pm Sujet du message: Quebec |
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Tombé sur ce blog tout à l'heure.
http://3ecrivains3r.blogspot.com/2007/08/en-1972-qua-pens-le-clerg-des.html
L'auteur a retrouvé quelques critiques d'époque d'un organisme apparemment religieux. Franco n'était pas leur idole
Les expériences érotiques de Frankenstein
Jess Franco, 1972
Mêlant maladroitement divers thèmes du cinéma fantastique, le réalisateur Jess Franco, tâcheron du genre, n’a réussi qu’une salade indigeste. Des effets biscornus et l’utilisation dans quelques plans de décors naturels grandioses n’arrivent pas à cacher la pauvreté de moyens et d’inspiration qui caractérise l’entreprise. Le maquillage du monstre de Frankenstein est raté et l’interprétation d’ensemble se révèle plus grotesque que génératrice d’horreur. Dans ce film d’horreur de piètre qualité, on multiplie les occasions de scènes de sadisme et d’exhibitionnisme.
Cellules de punition (Prison de femmes)
version québécoise signée Rick Deconninck, en réalité : Jess Franco, 1975
Un squelette d’intrigue policière sert de prétexte à une nouvelle incursion dans une institution pour femmes à la recherche de situations scabreuses et d’images cruelles. Le réalisateur est un parfait inconnu mais divers indices incitent à faire un rapprochement avec le prolifique Jess Franco qu’on retrouve d’ailleurs incognito dans la distribution. Le film semble avoir été tourné avec un budget étriqué dans des décors interchangeables et la mise en images est aussi piètre que l’intrigue. L’interprétation s’avère minable comme le reste. Ce film prend prétexte d’une intrigue policière pour exploiter des éléments d’exhibitionnisme et de sadisme.
Exhibition
Jean-François Davy, 1975
Il est difficile de prendre au sérieux une entreprise d’un commercialisme aussi flagrant où l’on ne sait ce qui ressort le plus de l’inconscience (vraie ou feinte) de l’actrice ainsi exploitée ou de l’impudence d’un réalisateur qui tire profit de l’érotisme tout en simulant un malaise qu’il tente de faire partager au spectateur. Sans être tout à fait bâclée, la mise en scène n’a rien de bien original et se cantonne dans les trucs usuels de ce genre de documentaire au rabais. Ce pseudo-documentaire exploite avec complaisance les éléments de provocation érotique qu’il prétend étudier et comporte des passages nettement pornographiques. |
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flint Super héros Toxic


Inscrit le: 13 Mar 2007 Messages: 7606 Localisation: cusset-plage
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Posté le: Sam Avr 25, 2009 6:04 am Sujet du message: |
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Ce qui énerve, c'est que des abrutis pareils avaient l'occasion de voir à l'époque des films qui aujourd'hui sont très difficiles à trouver (sinon impossibles). Je pense notamment au "Sexyrella" de Claude Mulot, mais il y en a bien d'autres, la page du blog en témoigne.
Tiens, on devrait envoyer la "critique" du "Dossier érotique d'un Notaire" faite par cet intégriste au Chat qui Fume. Ca leur ferait un bon argument publicitaire !  |
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