[M] [Critique] Messiah of Evil
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flint
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MessagePosté le: Ven Oct 01, 2010 12:16 pm    Sujet du message: [M] [Critique] Messiah of Evil Répondre en citant



Messiah of Evil

Genre : Horreur

Année : 1971

Pays d’origine : Etats-Unis

Réalisateur : Willard Huyck & Gloria Katz

Casting : Marianna Hill, Michael Greer, Anitra Ford, Joy Bang, Elisha Cook Jr, Royal Dano…

Aka : Dead People


Une jeune Californienne prénommée Arletty décide de se rendre dans la petite ville côtière de Point Dune, après avoir reçu une lettre inquiétante de son père qu’elle n’a pas vu depuis longtemps. Ce dernier, artiste peintre, s’est en effet retiré dans cette petite bourgade isolée au bord de l’Océan Pacifique, et paraît très tourmenté, à la lecture de ce courrier. Après s’être arrêtée dans une station-service perdue au milieu de la nature, et assisté à une scène étrange où le gérant de la station vidait le chargeur de son revolver sur une cible invisible, Arletty arrive enfin au domicile de son père. La maison est déserte, elle s’y installe, avant de partir à la recherche de son père, le lendemain.



Elle va finir par rencontrer des personnages pour le moins curieux, comme la directrice aveugle d’une galerie d’arts, Charlie, un vieil alcoolique racontant des histoires étonnantes, et enfin un certain Thom, sorte de dandy tiré à quatre épingles dans son costume blanc. Thom a débarqué à Point Dune, en compagnie de ses maîtresses Laura et Toni, afin de découvrir les secrets de cette petite ville. Le jeune homme prétend être un collectionneur de vieilles légendes. Sans le moindre complexe, il investit avec son « harem » la demeure de Joseph Long, le père d’Arletty. Celle-ci finit par accepter leur intrusion. Personne ne semble savoir en ville ce qu’est devenu le peintre. Toutefois, Arletty découvre le journal de son père. Ce qu’il y raconte est effrayant…



« Messiah of Evil » fait partie de ces films dont la poésie macabre conserve une beauté autant fascinante que terrifiante au fil du temps. C’est une œuvre intemporelle, filmée au début des seventies, mais qui pourrait très bien se dérouler bien avant, ou bien après, sans que cela ne change quoi que ce soit à son atmosphère si particulière. Atmosphère ! Voilà le mot qui résume « Messiah of Evil », car on tient là un véritable film d’atmosphère, et par la plus incroyable des coïncidences, son personnage principal s’appelle Arletty ! Mais point d’ «Hôtel du Nord » ici, seulement une étrange maison située dans une non moins inquiétante bourgade perdue au milieu de nulle part. La demeure de Joseph Long est un lieu « hors du temps », dont les murs sont recouverts de fresques à la fois belles et inquiétantes. Des tableaux semblant cacher un message, le peintre a-t-il voulu témoigner par ce biais d’un mal qui rongerait Point Dune ?

Avec ses étranges habitants au regard vide qui se rassemblent à la nuit tombée au bord de la plage, allument des feux, observant la lune et semblant attendre la venue de quelqu’un depuis l’océan, Point Dune n’est effectivement pas une ville comme les autres. Il y a aussi cet albinos géant transportant des « zombies » dans son camion, et puis les confessions de Joseph, évoquant sa transformation physique et mentale, se traduisant par des larmes de sang, une baisse de la température, et une attirance accrue pour la chair.
Avec des phrases comme « le village cachait une peur sombre » ou encore « un monde qui suit les anciens dieux », « Messiah of Evil » rappelle évidemment les écrits de Howard Phillips Lovecraft, mais également certains romans de William Hope Hodgson. D’ailleurs, d’une certaine manière, la demeure de Long apparaît comme « La maison au bord du monde », ultime refuge face à la menace indicible semblant avoir contaminé tous les habitants de Point Dune.



Le thème développé dans « Messiah of Evil », et son atmosphère donc, évoquent aussi des films comme « Carnival of Souls » (Herk Harvey, 1962), « Let’s Scare Jessica to Death » (John D. Hancock, 1971) et « Dead & Buried » (Gary Sherman, 1981). Toutes ces œuvres ont su intégrer avec grâce et subtilité un mélange d’ambiances faites de poésie, d’onirisme, de mystère et d’horreur. Le dénominateur commun de ces films est le personnage central confronté à l’inexplicable dans une cité retirée des Etats-Unis.
Encore faut-il être en mesure d’exploiter une base qui, somme toute, fut utilisée en maintes occasions dans le cinéma fantastique. Assurément, le réalisateur Willard Huyck et sa compagne Gloria Katz ont rempli cette tâche à la perfection, avec d’autant plus de mérite que le couple ne disposait que d’un budget très restreint. Ce qui est frappant à la vision de « Messiah of Evil », c’est qu’il n’a rien d’un film « fauché ». Mais la grande force de l’équipe de tournage est d’avoir su éviter certains obstacles en utilisant au mieux le matériel, les lieux, et bien sûr les acteurs mis à leur disposition. En l’absence d’effets spéciaux qui, après coup, se seraient avérés parfaitement inutiles, l’équipe a pu profiter de la demeure d’un ami artiste peintre, dont les fresques géantes peintes sur les murs n’auront pas manqué de retenir l’attention des spectateurs. L’utilisation de filtres de couleurs, et l’importance des scènes nocturnes ne font qu’accroître la tension qui se crée au fil de l’histoire ; et l’angoisse est habilement entretenue par l’emploi de la narration, qu’il s’agisse de la voix off d’Arletty qui raconte en fait son histoire depuis le début du film, ou de celle du père lorsqu’Arletty procède à la lecture du fameux journal. Les errances dans les rues désertes font également leur petit effet, entrecoupées de séquences marquantes comme celles du supermarché et du cinéma, fatales aux deux compagnes de Thom.



Dès son teaser, qui voit un homme apeuré et épuisé (Walter Hill, encore inconnu à cette époque) chercher désespérément un refuge, et dont le destin sera malheureusement funeste, « Messiah of Evil » part sur des bases solides, avec un cadre (Point Dune) marquant d’entrée les esprits malgré son aspect presque irréel, et des personnages concrets même si leur existence pourrait être remise en question. Le spectateur est ainsi transporté, « trimballé » entre le rêve et la réalité, dans une ville baignée dans une sorte de torpeur, figée dans le temps, comme dans certains de nos cauchemars. L’ambiance est amplifiée par la manière dont Huyck et sa femme ont développé le mal rongeant la ville, une menace sourde au départ, et se concrétisant au fur et à mesure par un détail, une observation, puis une évidence. Le casting est exploité à merveille, depuis les figurants jusqu’aux personnages principaux, en passant par les seconds rôles. Parmi ces derniers, citons deux gloires du cinéma américain dans ce registre : Elisha Cook Jr (« La nuit de tous les mystères », « Electra Glide in Blue ») et Royal Dano (« Electra Glide in Blue » encore, mais aussi plein de westerns et de séries TV), impeccables dans leurs rôles respectifs d’alcoolique visionnaire et de père maudit. Joy Bang, la petite blonde jouant l’une des copines de Thom, n’a pas connu une grande carrière au cinéma, même si on a pu la voir dans « Cisco Pike ». Par contre, les amateurs de cinéma-bis ne manqueront pas de reconnaître l’autre copine de l’homme en blanc, interprétée par la superbe Anitra Ford, dont on avait pu s’émerveiller de la silhouette dans « The Big Bird Cage » de Jack Hill, et dans « L’invasion des femmes abeilles ».



Enfin, Michael Greer compose un personnage ambigu entretenant un certain mystère, son costume blanc symbolisant à première vue le Bien, mais son affiliation à la légende du « cavalier noir » à l’origine de la malédiction pouvant aussi laisser penser le contraire. Quant à l’héroïne, elle est incarnée avec justesse par Marianna Hill, vue dans bon nombre de séries télé, et dans quelques films notables tels « El Condor » de John Guillermin, « The Traveling Executioner » de Jack Smight, au côté de Stacy Keach, et « L’homme des hautes plaines », de et avec Clint Eastwood.
« Messiah of Evil » tient presque du miracle, dans la mesure où il s’agit d’un film de commande confié à un homme qui était avant tout scénariste et n’était ni spécialiste, ni fan de cinéma d’horreur. Pourtant, le résultat est un chef d’œuvre, sans aucun doute le film phare du couple Huyck/Katz, à qui l’on doit pourtant l’écriture de « American Graffiti » et « Indiana Jones et le temple maudit ». Malheureusement, l’aventure du duo en tant que réalisateurs s’achèvera en « eau de boudin », avec ce qui reste aujourd’hui l’un des plus grands bides de l’histoire du cinéma, « Howard the Duck » !



Avec sa musique flippante sans être envahissante (signée Phillan Bishop), son style en marge des films d’horreur habituels, axé sur une relative lenteur, son climat onirique quasi envoutant, et une photographie absolument magnifique, « Messiah of Evil » mérite bien plus qu’une estime sympathique, car il s’agit là d’une œuvre emblématique du cinéma horrifique, d’une véritable perle comme on en voit que trop rarement.

Note : 9/10


Fiche dvd



Messiah of Evil – Artus films

Région : Zone 2 PAL

Editeur : Artus films
Pays : France

Sortie film : 1973 (inédit en France)
Sortie dvd : 5 octobre 2010

Durée : 86 minutes
Image : 2.35 cinémascope original respecté – 16/9e compatible 4/3
Audio : mono

Langue : Anglais
Sous-titres : Français (optionnels)

Bonus :
- « Le messie du mal», par Alain Petit (34 minutes)
- bandes-annonces de l’éditeur
- « Maximiliani ultima nox », court-métrage (18 minutes)



Commentaire : Quelle claque ! En plus de découvrir un film magnifique jusque là inédit en France, Artus est allé récupérer un transfert (celui de Code Red ?) de toute beauté, dans son format d’origine. Les contrastes ont un formidable rendu, et toute la magie des décors, notamment la maison, est restituée à la perfection. L’unique piste en anglais est tout à fait satisfaisante, et l’apport des sous-titres français s’avère très précieux, même si le film n’est pas très « bavard ».



Niveau bonus, l’éditeur nous propose un court métrage de Thierry Lopez, un auteur dont on avait pu voir « Symphonia horroris » dans un précédent titre d’Artus Films (« Des filles pour un vampire »). Il s’agit encore une fois d’un court ayant pour thème les vampires, mais cette fois traité d’une manière particulièrement « bourrine », en tout cas aux antipodes de « Messiah of Evil ». En guise de complément idéal au film de Willard Huyck et Gloria Katz, on se rabattra plus volontiers sur la longue analyse d’Alain Petit, abondamment fournie en anecdotes et informations diverses. On apprend notamment que « Messiah of Evil » fut en fait tourné en 1971, mais distribué seulement deux ans plus tard, et que l’homme qui se fait égorger dans le teaser n’est autre que le futur réalisateur Walter Hill ! En conclusion, il va sans dire que la sortie de « Messiah of Evil » en dvd, et dans les meilleures conditions possibles, est un événement que tout amateur de cinéma fantastique se doit de ne pas manquer.



Note : 9/10


Dernière édition par flint le Dim Oct 03, 2010 6:34 pm; édité 1 fois
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mallox
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MessagePosté le: Ven Oct 01, 2010 12:58 pm    Sujet du message: Répondre en citant

enaccord8

Moi aussi je le trouve assez proche de "Carnival of Souls" de par son atmosphère. Et puis la réussite de Messiah c'est non seulement une ambiance délétère assez unique en son genre, mais également un traitement pictural hors-norme, original comme pas un, avec ces "Dead People" qui finalement tapissent même les murs.
Même la chanson je la trouve chouette, c'est dire à quel point j'estime ce film !
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flint
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MessagePosté le: Ven Oct 01, 2010 4:10 pm    Sujet du message: Répondre en citant

J'en profite pour faire un peu de pub à l'ami Bastien :

http://leroyaumedesavis.over-blog.com/article-21468742.html

Et le taquiner au passage ( ) :

La jeune dame en question, très mignonne et élancée, ressemble quelque peu à...Carla Bruni !

My God ! Oser comparer Anitra Ford à la pouffe du nabot ! affraid



frank_PDT_10
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mallox
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MessagePosté le: Ven Oct 01, 2010 4:36 pm    Sujet du message: Répondre en citant

P'têtre qu'il a confondu avec la mère maquerelle de cette pouffe de Carla. :ele:

Bastien : Elle a l'air bonne la beuh par chez toi, peux-tu m'en avoir stp ?
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Camif
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MessagePosté le: Ven Oct 01, 2010 5:09 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Belle critique encore une fois. Un film savoureux, vraiment bon à tous points de vue. Etonnant qu'il soit si peu connu d'ailleurs.
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Sangore
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MessagePosté le: Sam Oct 02, 2010 3:27 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Intéressant, tout ça !
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sigtuna
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MessagePosté le: Lun Oct 04, 2010 9:03 am    Sujet du message: Répondre en citant

Un très bon film d'atmosphère (Arlety oblige ico_mrgreen) qui n'est pas exempt de quelques défauts du à certaine lacunes dans le scenario, comme le manque de caractérisation des zombies/vampires/sectateurs de Chtulu/Canibales/infestés/maudits, mais comme ils ont une bonne tête (mention spéciale au noir albinos) ce n'est pas trop grave.
Et puis comme la dit Flint dans son excellente critique quelques scene d'anthologie compense tous ça (le supermarché, le cinéma, la scene très "lovecraftienne" avec Elisha Cook, la confrontation entre Royal Dano et l'héroïne).
8/10
non 7,75/10 j'enlève 0,25 pour l'immonde chanson du générique que l'on doit se payer 2 fois icon_confused
(pour le reste je suis aussi d'accord avec les remarques de Mallox) icon_cool
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flint
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MessagePosté le: Lun Oct 04, 2010 9:09 am    Sujet du message: Répondre en citant

sigtuna a écrit:

le manque de caractérisation des zombies/vampires/sectateurs de Chtulu/Canibales/infestés/maudits


C'est vrai que le réalisateur ne donne aucune explication quant au "statut" exact des habitants de Point Dune atteints par la malédiction. Dans le bonus, Alain Petit penche pour des goules, et je les classifierais également dans cette catégorie de morts-vivants.
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Camif
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MessagePosté le: Lun Oct 04, 2010 2:57 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Oui le terme de goules semble le plus approprié ( ou le moins mauvais choix possible ).
Juste, je me demande si ce film ne serait pas mieux dans la catégorie fantastique...

Et c'est moi ou Michael Greer a de faux airs de Dario Argento jeune ( pourvu que ça ne fasse pas revenir joolz frank_PDT_16 )
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MessagePosté le: Mar Oct 05, 2010 6:46 am    Sujet du message: Répondre en citant

oui enfin goule ça ne veut pas dire grand chose non plus frank_PDT_01 c'est surtout leur façon d'agir qui n'est pas cohérente, zombie décérébrés dans certaine scene, sectateur du messie du mal dans d'autre, etc.
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mallox
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MessagePosté le: Mar Oct 05, 2010 6:56 am    Sujet du message: Répondre en citant

sigtuna a écrit:
zombie décérébrés


frank_PDT_16

Ouais, enfin, on n'a jamais trop vu non plus des zombies ayant toute leur raison ou toutes leurs facultés mentales.
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MessagePosté le: Mar Oct 05, 2010 7:07 am    Sujet du message: Répondre en citant

Disons que, là où je classe les gens de Point Dune comme des goules, c'est un peu en rapport avec leur origine. A la base, les goules sont des créatures issues du folklore oriental (Arabie, Perse...) engendrées par le Diable, Iblis (l'équivalent de Satan chez nous).
Et dans "Messiah of Evil", le cavalier noir, à l'origine de tous les maux, est soit le Diable, soit son envoyé.
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princesse.rosebonbon
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MessagePosté le: Mar Oct 05, 2010 8:37 am    Sujet du message: Répondre en citant

c pa mal mé sa vo pa la orde

un film très atmosphérique, un tantinet trop pour moi qui ai fini par trouver le temps long par moments, même si je reconnais son statut de perle de l'horreur indé
disons que les lovecrafteries, c'est pas vraiment mon truc
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sigtuna
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MessagePosté le: Mar Oct 05, 2010 9:22 am    Sujet du message: Répondre en citant

Bah moi c'est le coté films de zombi dont je ne suis pas trop client.
Ok pour pour les goules sinon

mallox a écrit:
Ouais, enfin, on n'a jamais trop vu non plus des zombies ayant toute leur raison ou toutes leurs facultés mentales.

ico_mrgreen
Le pléonasme n'est qu'apparent car il me semble que les morts vivants peuvent discourir philosophie, faire l'amour ou des claquettes suivant les films

Camif a écrit:
Et c'est moi ou Michael Greer a de faux airs de Dario Argento jeune ( pourvu que ça ne fasse pas revenir joolz frank_PDT_16 )
Perso j'ai trouvé qu'il ressemblait à JP Cassel
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MessagePosté le: Mar Oct 05, 2010 1:00 pm    Sujet du message: yep ! Répondre en citant

Un bon film, presque ou peut-être un classique qui ne mérite que votre reconnaissance.

Certes, le film a une structure parfois flottante, un peu éthérée mais il recèle d'un concept, d'idées et de séquences de folie.
Il s'agit donc d'une oeuvre assez peu commune, très orginale et une excellente sortie pour Arthus films !

A titre personnel, je le classe définitivement dans la cuvée des grands petits films : production méconnues, dures à visionner mais qui rallument notre ferveur de cinéphile !

Bon article et bonne activité de publiciste, Flint ! icon_wink
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