[M] [Critique] Judex - 1916

 
Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet    Psychovision.net Index du Forum :: Aventure / Péplum / Cape et épée
Voir le sujet précédent :: Voir le sujet suivant  
Auteur Message
mallox
Super héros Toxic
Super héros Toxic


Inscrit le: 10 Sep 2006
Messages: 13982
Localisation: Vendée franco-française

MessagePosté le: Jeu Mar 31, 2011 11:00 am    Sujet du message: [M] [Critique] Judex - 1916 Répondre en citant



Judex - 1916

Origine : France
Genre : Serial / Aventures / Policier / Vigilante

Réalisé par Louis Feuillade
Avec René Cresté, Edouard Mathé, Yvonne Dario, Louis Leubas, Yvette Andreyor, Musidora, Bout-de-Zan...


Judex est l'un des tous premiers serials de l'histoire du cinéma. On le doit à l'illustre Louis Feuillade, qui en avait déjà réalisé deux auparavant : "Fantômas" (entre 1913 et 1914) et "Les Vampires" (entre 1915 et 1916).
Celui-ci se compose de douze épisodes, ou plus précisément d'un prologue et de onze épisodes :
Dans l'ordre : L'ombre mystérieuse, L'expiation, La meute fantastique, Le secret de la tombe, Le moulin tragique, Le môme réglisse, La femme en noir, Les souterrains du Château-Rouge, Lorsque l'enfant parut, Le cœur de Jacqueline, L'ondine, Le pardon d'amour



En compactant les histoires en une seule, on peut la résumer ainsi...
Ruiné par le banquier Favraux, le comte de Trémeuse s'est suicidé, laissant une veuve et deux fils, Henri et Roger. Poussés par leur mère, ils décident de venger le défunt. Henri gagne la confiance du banquier qui ignore qu'il a affaire à Judex, le justicier qui, dissimulé sous un large feutre et une cape noire, lui adresse des messages de mort. Favraux engage le détective Cocantin pour démasquer Judex. Au cours d'une grande réception, et à l'heure annoncée, ce dernier blesse grièvement Favraux et l'enlève pour le jeter dans les oubliettes. Alors que tout le monde le croit mort, Favraux est contraint par Judex et Roger de téléphoner à sa fille, la jeune veuve Jacqueline, terrorisée par cette voix d'outre-tombe.
Judex est tombé amoureux de la jeune fille et la sait menacée par les manigances de la maîtresse de Favraux, Marie Verdier ; il envoie à Jacqueline une cage de pigeons, lesquels lui serviront de messagers en cas de péril. Judex tape sa sentence qui s'inscrit en lettres de feu sur les murs du cachot de Favraux. Pendant ce temps, Marie Verdier, qui se cache maintenant sous le nom de Maria Monti, fomente un plan afin de se débarrasser de la jeune femme, ce, avec l'aide de son complice Moralès, et sans se douter que Cocantin les espionne pour le compte de notre justicier...

Telle est donc l'intrigue de base de ce serial dans lequel Louis Feuillade brode d'innombrables variations et digressions, dont il est aisé, à la lecture des titres des épisodes annoncés en générique, de se faire une idée.
Comme dit en préambule, c'est donc après "Fantômas" et "Les Vampires" que notre feuilletoniste s'attèle à ce nouveau projet. Feuillade fit en sorte, alors, de maintenir un équilibre quasi funambule, entre exigences morales et impératifs commerciaux, lorsqu'il entreprit d'écrire "Judex" en collaboration avec le romancier Arthur Bernède. La raison de ce choix ou de changement de cap par rapport à ses deux feuilletons précédents est simple : Après la sortie de ses deux précédents serials, on lui fit le procès de glorifier le crime en même temps que de glorifier la police. Notre nouvel héros, Judex, sera donc à la fois un vengeur, mais surtout un défenseur de la loi renonçant au final à faire couler le sang.



On rappellera, avant de tomber dans les louanges pures et simples, qu'une introduction fut écrite à l'époque par Feuillade et Bernède eux-mêmes, en guise de mise au point quant à l'état du cinéma français de la grande guerre, ainsi que le rôle que celui-ci attribuait à leur film.
Feuillade rappelait que, à la suite de la guerre, l'industrie cinématographique traversait une crise inéluctable avec des résultats déplorables en termes de fréquentation. Il rappelait aussi que les Américains en avaient profité pour lancer sur les marchés français un stock conséquent de films plutôt habiles dans leur ensemble, notamment d'un point de vue technique. Ceux-ci étaient merveilleusement servis, à la fois par les circonstances mais aussi par un ensemble d'outillages de premier ordre. Loin de se faire pour autant nationaliste, le cinéaste appelait à rendre hommage à la hardiesse d'invention technique dont faisaient preuve alors les Américains. Ainsi, les intentions profondes de Feuillade étaient de redonner de la vigueur à une industrie cinématographique française qu'il considérait comme étant réduite à la remorque d'autres pays. Il s'agissait alors quasiment d'un devoir de conserver aux manifestations artistiques de la France un caractère autant du domaine de l'identité nationale que de l'humanité. Selon Feuillade encore, nulle par ailleurs qu'en France les auteurs n'avaient un tel sens de l'action, du mouvement et même du pittoresque, des qualités essentielles pour l'élaboration d’un scénario original et de qualité. Pour conclure à propos des croyances et des intentions de l'auteur, il convient de rajouter que selon lui, nulle part ailleurs qu'en France on ne trouvait des acteurs jouant avec un sens plus exact de la vie, un soin minutieux de la vérité, et qu'en même temps le pays était source abondante de décors naturels ne demandant qu'à être exploités. C'est ainsi que "Judex" fut présenté au public avant même d'être projeté.



Avant le film, et pour chauffer le public en deux temps - trois mouvements, il y eut douze épisodes paraissant chaque semaine dans Le Petit Parisien sous la forme d'un roman. Celui-ci était d'entrée destiné à retenir l'attention des trois ou quatre millions de fidèles lecteurs du plus grand quotidien mondial d'alors. Des lecteurs destinés à devenir eux aussi de fidèles habitués des salles obscures pour des feuilletons qui ne le sont non moins, en tout cas dans ce que recèle de machiavélique leurs intrigues. Une fois le projet filmique achevé, celui-ci fut logiquement accueilli avec enthousiasme, quoique rétrospectivement, on puisse dire que l'exercice de la vertu lui apparaissait moins excitant que celui du vice.
C'est pourtant la même capacité d'invention et d'inventivité, le même sens de la surprise et du suspense que l'on retrouve dans les aventures de notre justicier vengeur, mais tout compte fait "légaliste". Les aventures de Judex et de son adversaire, le banquier Favraux, permirent à Feuillade de faire intervenir certains de ses comédiens favoris : Marcel Lévesque ("Les Vampires", ici dans le rôle de Cocantin le détective, et que l'on retrouvera dans "La nouvelle mission de Judex", toujours par Feuillade en 1917), ou Musidora (ici dans le double rôle de Marie Verdier et de Maria Monti, après avoir campé la Irma Vep des "Vampires").
Là où "Judex" se montre particulièrement exemplaire, encore aujourd'hui, c'est par l'exploitation d'une trouvaille de génie de la part de son auteur : des événements rocambolesques prennent une force nouvelle lorsqu'ils se déroulent dans un environnement autant moderne que familier. Des événements qui, disons-le (et c'est un vrai tour de force), parviennent même à en saisir puis à en révéler les beautés cachées. Ainsi, vis à vis d'un paysage, Louis Feuillade se conduit-il comme un sourcier en décelant, par exemple, l'inquiétude tapie derrière une simple voie de chemin de fer, des volets clos d'une villa, la façade austère d'une propriété ou même d'un immeuble à l'aspect trop lisse pour ne pas cacher quelque chose de suspicieux.
Par conséquent, au fil des épisodes, "les secrets derrière les portes" sont dévoilés de façon abrupte après avoir longtemps suscité la crainte chez le spectateur ; en témoigne pour exemple une scène marquante de "Judex" où, dans une maison abandonnée de prime abord, a lieu une assemblée nocturne de bandits ressemblant à un sabbat.



Au-delà de ces folles ingéniosités, Feuillade parvient à mettre en scène un véritable spectacle populaire, dans l'acception la plus large, à savoir un feuilleton familial (les sentiments y restent nobles dans le fond). Ailleurs, il réussit aussi à faire cohabiter la littérature traditionnelle (Alexandre Dumas pour le plus évident) avec le singulier et le novateur, pour accoucher d'un étonnant mélange d'émotion, de joie et d'art.
Il est à noter que dès avant sa mort en 1925, critiques sérieux et cinéphiles boudaient ses séries à épisodes, qu'ils jugeaient médiocres et démodées. Ce fut grâce à l'ardente admiration que les surréalistes leur vouèrent, que les serials de Feuillade furent sauvés du mépris puis réhabilités ensuite, en mettant en exergue leur richesse et leur beauté. Le temps semble leur avoir donné petit à petit raison, puisque "Judex" fit même l'objet de plusieurs remakes, dont une version en 1933 tournée par Maurice Champreux, le gendre de Feuillade, puis, plus tard en 1963, par George Franju qui demanda à son petit fils, Jacques Champreux, d'en écrire le scénario.


_________________


Dernière édition par mallox le Jeu Jan 12, 2012 9:26 am; édité 4 fois
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
sigtuna
Super héros Toxic
Super héros Toxic


Inscrit le: 08 Jan 2010
Messages: 3818

MessagePosté le: Jeu Mar 31, 2011 11:20 am    Sujet du message: Re: [Critique] Judex - 1916 Répondre en citant

mallox a écrit:
Bout-de-Zan...
On ne ma l'a fait pas, il s'agit d'un poisson d'avril, personne ne porte un pareil pseudonyme.

Plus sérieusement ne serait ce pas l'œuvre la plus ancienne critiquée en ces lieux. icon_cool
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Lynch971
40 % irradié
40 % irradié


Inscrit le: 16 Juin 2009
Messages: 390
Localisation: In Uranus

MessagePosté le: Jeu Mar 31, 2011 12:44 pm    Sujet du message: Re: [Critique] Judex - 1916 Répondre en citant

mallox a écrit:
Il est à noter que dès avant sa mort en 1925, critiques sérieux et cinéphiles boudaient ses séries à épisodes, qu'ils jugeaient médiocres et démodées.


Le terme de "critique" au sens où on l'entend aujourd'hui n'existe pas encore à cette époque-là, il faut attendre les années 20 pour voir les premières théories sur le cinéma (Dulac, Epstein, Eisenstein et toute la clique). Tu dois sans doute parler des gens de la SCAGL (Société Cinématographique des Auteurs et Gens de Lettres... tout un programme ). Dans les journaux de l'époque on se contentait d'annoncer un programme cinématographique, uniquement pour attirer les gens. Il faut voir les "critiques" de l'époque comme des personnes de lettres/de théâtre (plus noble à l'époque) parlant finalement d'une chose qu'ils ne connaissent pas encore, le cinéma n'a pas encore atteint le statut de "septième art" (R.Canudo, années 20). Voilà, la cinéphilie n'est pas encore naît aussi (pareil, elle apparaît que dans les années 20), on sous-estime encore très largement ses capacités artistiques (contrairement par exemple à Feuillade, Louis Delluc, Marcel L'Herbier, Perret et Jasset, qui font figures d'avant-gardistes). Des termes à prendre avec beaucoup de légèreté donc... surtout en ce qui concerne une pré-figure du premier véritable courant cinématographique - L'impressionnisme -

Une autre œuvre littéraire qui a été tourné en Serial dans les années 20 (par Epstein) et qui, à mon sens, est encore plus intéressante (surtout pour l'image, l'ambiance qui en ressort...), est "Les aventures de Robert Macaire" (tirée d'une pièce de théâtre du début des années 1820, il me semble, et qui sera aussi un personnage de la "Comédie humaine" de Balzac). Un personnage haut en couleurs (un mix entre Robin des bois et d'Artagnan ico_mrgreen ). Bon le gros problème c'est qu'il est quasi invisible, aux dernières nouvelles il ne reste qu'une copie à la Cinémathèque française, et il n'est jamais sorti en VHS ou DVD nulle part... On peut trouver la première partie (sur 5 ou 6 je crois) en fouinant bien, et c'est bien dommage. La dernière fois qu'ils l'ont projeté, c'était en 1995 ou 1996...
_________________
"La vie est une chienne avec un god-ceinture de 30 cm de long" V.Masuka, Dexter
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Lynch971
40 % irradié
40 % irradié


Inscrit le: 16 Juin 2009
Messages: 390
Localisation: In Uranus

MessagePosté le: Jeu Mar 31, 2011 1:02 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Toujours est-il que je n'aurais pas fait mieux sur Judex. C'est toujours compliqué de critiquer des films aussi vieux (ça a presque 100 ans tudieux!)... Le Serial françouillard réhabilité, enfin icon_cool vivement les prochains :happy:
_________________
"La vie est une chienne avec un god-ceinture de 30 cm de long" V.Masuka, Dexter
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
mallox
Super héros Toxic
Super héros Toxic


Inscrit le: 10 Sep 2006
Messages: 13982
Localisation: Vendée franco-française

MessagePosté le: Jeu Mar 31, 2011 1:18 pm    Sujet du message: Re: [Critique] Judex - 1916 Répondre en citant

Lynch971 a écrit:
mallox a écrit:
Il est à noter que dès avant sa mort en 1925, critiques sérieux et cinéphiles boudaient ses séries à épisodes, qu'ils jugeaient médiocres et démodées.


Le terme de "critique" au sens où on l'entend aujourd'hui n'existe pas encore à cette époque-là, il faut attendre les années 20 pour voir les premières théories sur le cinéma (Dulac, Epstein, Eisenstein et toute la clique). Tu dois sans doute parler des gens de la SCAGL (Société Cinématographique des Auteurs et Gens de Lettres... tout un programme ).


Ben non, c'est bien ce que j'ai voulu dire. Les critiques d'art existent d'ailleurs depuis des siècles, quant au cinéma, tu oublies par exemple Ricciotto Canudo, qui oeuvrait dans la revue L'epoca, avec même des manifestes POUR le cinéma dès 1920. Après, bon, ça se recoupe puisque je parle "dès avant sa mort en 1925". Disons que c'est surtout ce Canudo qui l'a en premier qualifié de 7ème art alors qu'il était jusque lors, la plupart du temps considéré comme purement industriel.
A noter que l'idée que le cinéma puisse être considéré comme un art, date de 1908, suite à la projection de "L'Assassinat du Duc de Guise" et "Le Baiser de Judas", produits tous deux par une nouvelle firme répondant au doux nom de "Le Film d'Art".
La SCAGL a été fondée pour imiter Le Film d'Art, lequel reste le véritable initiateur.
Et c'est en 1919 que les frères Lafitte fondent les éditions de la Sirène qui publieront ensuite, les gens renommés que tu cites : Cendrars, Epstein, Delluc...


mallox a écrit:
Bout-de-Zan...

Sigtuna a écrit:
On ne ma l'a fait pas, il s'agit d'un poisson d'avril, personne ne porte un pareil pseudonyme.



http://fr.wikipedia.org/wiki/Bout-de-Zan
Ce qu'oublie de dire wikipedia, c'est que René Poyen, après avoir tourné une flopée de courts pour Feuillade, était tellement connu sous ce nom, qu'il l'a gardé comme nom de comédien. Bout-de-Zan interprète d'ailleurs dans "Judex" le rôle du môme réglisse !
_________________
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Lynch971
40 % irradié
40 % irradié


Inscrit le: 16 Juin 2009
Messages: 390
Localisation: In Uranus

MessagePosté le: Jeu Mar 31, 2011 2:44 pm    Sujet du message: Re: [Critique] Judex - 1916 Répondre en citant

Oui, ça se recoupe comme tu disais, puisque (non je ne l'ai pas oubié) Canudo évoque le terme de "septième art" en 1922 - 1919 on a déjà des brides -. C'est juste que malgré cela, ces "critiques"-là, d'avant cette période-là - les épisodes sont parus courant 1917 sans doute - (à part peut-être Jasset qui y voyait en ces images quelque chose de bien plus "profond", dès 1911, mais ils n'étaient pas très nombreux...), ne prenaient pas le cinéma tel quel, comme un art à part entière, ils légitimaient bien souvent une œuvre cinématographique en fonction de son rapport au théâtre (le plus souvent) ou à la littérature (la pédanterie de l'époque n'est plus à démontrer ) ou encore à son approche historique - d'où le "film d'art". Bref, c'était juste une nuance que je voulais amener.
_________________
"La vie est une chienne avec un god-ceinture de 30 cm de long" V.Masuka, Dexter
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Bastien
40 % irradié
40 % irradié


Inscrit le: 19 Mar 2008
Messages: 364

MessagePosté le: Sam Avr 02, 2011 10:02 am    Sujet du message: Re: [Critique] Judex - 1916 Répondre en citant

Lynch971 a écrit:
Oui, ça se recoupe comme tu disais, puisque (non je ne l'ai pas oubié) Canudo évoque le terme de "septième art" en 1922 - 1919 on a déjà des brides -. C'est juste que malgré cela, ces "critiques"-là, d'avant cette période-là - les épisodes sont parus courant 1917 sans doute - (à part peut-être Jasset qui y voyait en ces images quelque chose de bien plus "profond", dès 1911, mais ils n'étaient pas très nombreux...), ne prenaient pas le cinéma tel quel, comme un art à part entière, ils légitimaient bien souvent une œuvre cinématographique en fonction de son rapport au théâtre (le plus souvent) ou à la littérature (la pédanterie de l'époque n'est plus à démontrer ) ou encore à son approche historique - d'où le "film d'art". Bref, c'était juste une nuance que je voulais amener.


Là ! j'apprends et je dis merci !
C'est une excellente chose que de remettre les choses en perspective, dans le contexte de l'époque.

Merci messieurs.
_________________
http://leroyaumedesavis.over-blog.com/
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Visiter le site web de l'utilisateur
Bigbonn
Psycho-cop
Psycho-cop


Inscrit le: 13 Déc 2004
Messages: 4107

MessagePosté le: Mar Juil 12, 2011 5:07 pm    Sujet du message: Répondre en citant

cette critique m'avait échappé, et je la rattrape donc à l'instant et je dis enaccord8
Très intéressant, cette plongée dans le passé et sur une oeuvre relevant du serial (utilisait-on d'ailleurs déjà ce terme en France? Ou est-ce une importation plus tardive d'un terme propre aux Etats-Unis?)

Une question quand même: s'agissant de cinéma muet, n'est-ce pas un peu trop long à suivre? Y a-t-il des cartons d'explication, de dialogue?
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
sigtuna
Super héros Toxic
Super héros Toxic


Inscrit le: 08 Jan 2010
Messages: 3818

MessagePosté le: Mar Juil 12, 2011 6:32 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bigbonn a écrit:
une oeuvre relevant du serial (utilisait-on d'ailleurs déjà ce terme en France? Ou est-ce une importation plus tardive d'un terme propre aux Etats-Unis?)
Si j'en juge par les affiches d'époque on utilisait le terme "roman-ciné", donc c'est ta 2eme proposition qui doit être la bonne.
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Montrer les messages depuis:   
Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet    Psychovision.net Index du Forum :: Aventure / Péplum / Cape et épée Toutes les heures sont au format GMT
Page 1 sur 1

 
Sauter vers:  
Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas éditer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas supprimer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas voter dans les sondages de ce forum




Powered by phpBB © 2001, 2002 phpBB Group
Traduction par : phpBB-fr.com Charcoal2 Theme © Zarron Media