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mallox
Super héros Toxic
Inscrit le: 10 Sep 2006
Messages: 13982
Localisation: Vendée franco-française
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 Posté le: Ven Aoû 02, 2013 1:54 pm Sujet du message: |
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C'est surtout l'écran fantastique qui l'a mis au premier plan à l'époque. 
| Citation: | | surtout qu'il fait partie du public qui l'a plutôt bien reçu comme "Pacific Rim" |
C'est quoi ce public ? Tu peux me le définir ? Parce que d'un côté t'as capturemag (geek) et de l'autre L'E.F. (pas du tout geek, plutôt grand public).
Et entre les deux des gens qui ne comprennent rien. 
P.S. : ceci dit, c'était pas tant pour parler geeks que capital sympathie et le fait de décréter que parce c'est signé untel, c'est extraordinaire à foison et sur les bases de bandes-annonces. 
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Stegg
20 % irradié
Inscrit le: 26 Fév 2011
Messages: 110
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| Posté le: Ven Aoû 02, 2013 2:04 pm Sujet du message: |
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| mallox a écrit: | C'est surtout l'écran fantastique qui l'a mis au premier plan à l'époque.
| Citation: | | surtout qu'il fait partie du public qui l'a plutôt bien reçu comme "Pacific Rim" |
C'est quoi ce public ? Tu peux me le définir ? Parce que d'un côté t'as capturemag (geek) et de l'autre L'E.F. (pas du tout geek, plutôt grand public).
Et entre les deux des gens qui ne comprennent rien. |
Argh, je pensais plutôt blog que presse papier ^^ ;)
La blogo Geek l'avait pas mal reçu et les site ciné l'avait assez bien reçu (pas aussi dithyrambique que pour PR pour être honnête)
Après, ça a été aussi reproché à Disney de ne pas avoir assez communiqué dessus, pas fait assez de pub.
| Citation: | | P.S. : ceci dit, c'était pas tant pour parler geeks que capital sympathie et le fait de décréter que parce c'est signé untel, c'est extraordinaire à foison et sur les bases de bandes-annonces. |
Que des réalisateurs aient plus de capital sympathie que d'autre, c'est normal. Ils ont un passif qui fait qu'on les apprécies ou pas, d'où des attentes plus grandes pour certains que pour d'autres. Après, le capital, il peut aussi baisser au fur et à mesure des films (comme pour Ridley Scott ^^) |
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sigtuna
Super héros Toxic
Inscrit le: 08 Jan 2010
Messages: 3818
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| Posté le: Ven Aoû 02, 2013 8:53 pm Sujet du message: |
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| Bigbonn a écrit: | 
John Carter - 2012 |
Bizarre il me semblait en avoir parler ici même à l'epoque mais je ne retrouve plus rien.
Bon bah en gros (et sans rentrer dans le débat sur la geekitude des choses) je disais que l'histoire présentait un air de déjà vu et que les protagonistes (tous d'illustres inconnus pour moi) manquaient cruellement de charisme.
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mallox
Super héros Toxic
Inscrit le: 10 Sep 2006
Messages: 13982
Localisation: Vendée franco-française
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| Posté le: Sam Aoû 03, 2013 5:07 am Sujet du message: |
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| sigtuna a écrit: | | Bizarre il me semblait en avoir parler ici même à l'epoque mais je ne retrouve plus rien. |
Je me suis dit la même chose me concernant.
Et sinon j'étais déjà fin pété hier à cette heure à casser les couilles avec les geeks dont je me contrefiche ? Putain de moi-même tiens !  
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Candyman
20 % irradié
Inscrit le: 13 Nov 2005
Messages: 122
Localisation: Partout où l'on ne m'oublie pas.
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| Posté le: Sam Aoû 03, 2013 11:08 am Sujet du message: |
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| sigtuna a écrit: | | Bigbonn a écrit: |
John Carter - 2012 |
Bizarre il me semblait en avoir parler ici même à l'epoque mais je ne retrouve plus rien.
Bon bah en gros (et sans rentrer dans le débat sur la geekitude des choses) je disais que l'histoire présentait un air de déjà vu et que les protagonistes (tous d'illustres inconnus pour moi) manquaient cruellement de charisme. |
Ça, c'est parce qu'ils ont préféré faire jouer un personnage virtuel à Willem Dafoe !
Sinon, outre son aspect best-of, John Carter repose sur intrigue laborieuse qui multiplie les allers et retours sur une planète Mars sans grand caractère à seule fin de meubler les deux heures de métrage. Et puis le gag récurrent qui consiste à voir le chef Taras Bulaba (?) demander à John de montrer ses talents bondissants alors qu'il passe son temps à sauter aux quatre coins de l'écran m'a vite fatigué...
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Un site cinématographiquement bien |
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mallox
Super héros Toxic
Inscrit le: 10 Sep 2006
Messages: 13982
Localisation: Vendée franco-française
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| Posté le: Mer Aoû 07, 2013 8:13 am Sujet du message: |
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Headshot - 2011
Réalisé par Pen-ek Ratanaruang
Avec Nopachai Chaiyanam, Chanokporn Sayoung, Birdynamnam PingPong...
Dans la Thailande d’aujourd’hui, la corruption fait rage. Tul, un flic intègre, subit le chantage d’un politicien influent et se retrouve accusé d’un crime qu’il n’a pas commis. Désabusé, mu par un puissant désir de vengeance, il est rapidement recruté comme tueur à gages par un groupe mystérieux dont le but est d’éliminer ceux qui se croient au-dessus des lois. Mais lors d’une mission, Tul recoit une balle dans la tête. À son réveil, après trois mois de coma, il découvre qu’il voit le monde à l’envers, littéralement. Ignorant si son état est purement médical ou la conséquence d’un mauvais karma, Tul commence à se poser des questions sur sa profession. Mais lorsqu’il essaye de démissionner, les rôles s’inversent, et le chasseur devient la proie. C’est alors qu’il rencontre une fille qui va achever de chambouler sa vie...
Ce Heashot est un sacrée bonne surprise, un thriller hypnotique, entre contemplatif et film d'action. A ce sujet, c'est tout de même reposant d'entendre des armes à feu faisant des bruits d'armes à feu, et qui ne défoncent pas vos enceintes pour que dalle. ça semble bordélique et fragmenté, on se dit que le fait que le héros voit à l'envers est une chichiterie dont on aurait pu se dispenser mais à rebours ça légitimise toute la construction du film.
Ce film sent la mort, avec une atmosphère funeste omniprésente, une photographie, notamment en extérieurs, splendide, et à certains moments on pense à Mellville, et dans l'exploitation des extérieurs, et dans la sourde mélancolie qui plane toute la bobine durant.
Un film innovant (bien que déjà vu à certains endroits aussi) et envoûtant. Bien aimé, j'en redemande du polar thaïlandais de ce niveau !
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princesse.rosebonbon
Stade de décomposition
Inscrit le: 22 Aoû 2005
Messages: 2027
Localisation: variable
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| Posté le: Mer Aoû 07, 2013 9:24 am Sujet du message: |
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La Vallée
France - 1972
De Barbant Schroeder
Une femme de diplomate qui s'ennuie en Nouvelle-Guinée, sous prétexte de faire du négoce des plumes rares et pour vivre une idylle avec son nouvel amant, s'embarque avec un groupe de hippies dans un périple à la recherche d'une mythique vallée perdue, ultime paradis terrestre.
Ah, la nouvelle vague! Des acteurs incompétents (mention spéciale à Bulle Ogier et à l'incontournable JP Kalfon) qui ânonnent des dialogues inintéressants au gré d'un scénario inconsistant, filmés de manière insipide : La Vallée, plus qu'un concept baba-cool stérile, c'est un in-film
je laisse le mot de la fin à Johnny :
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mallox
Super héros Toxic
Inscrit le: 10 Sep 2006
Messages: 13982
Localisation: Vendée franco-française
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| Posté le: Mer Aoû 07, 2013 9:37 am Sujet du message: |
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Touche pas à Kalfon, il est dans mes "amis", je l'adore.
Sinon je ne crois pas avoir jamais vu celui-ci. j'ai vu plusieurs fois "More", c'était pas trop hippie dans l'âme vu les ravages que la drogue y faisait.
Perso j'aime surtout "Maîtresse" du même Schroeder. (là, tu vas me dire "Général Idi Amin Dada" !  )
Par contre je ne comprends pas grand chose à l'orientation de son cinéma. 
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Valor
Psycho-cop
Inscrit le: 22 Fév 2007
Messages: 4497
Localisation: Vanves
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mallox
Super héros Toxic
Inscrit le: 10 Sep 2006
Messages: 13982
Localisation: Vendée franco-française
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| Posté le: Mer Aoû 07, 2013 9:54 am Sujet du message: |
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Arf ! Faut vraiment que je le vois ! (en double programme avec "La motocyclette" !)
C'est pas Philippe Bruneau qu'on voit autour de la piste ?
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Valor
Psycho-cop
Inscrit le: 22 Fév 2007
Messages: 4497
Localisation: Vanves
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| Posté le: Mer Aoû 07, 2013 10:04 am Sujet du message: |
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Philippe "Cocoboy" Bruneau, oui ! Y'a aussi Valérie Lagrange, Bernadette Lafont, Francis Girod, Henry Chapier, Etienne O'Leary et André Téchiné !
Produit par Henri Zaphiratos, le boss de Vidéo Marketing ! 
http://youtu.be/3rrLDRZg2Hk |
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princesse.rosebonbon
Stade de décomposition
Inscrit le: 22 Aoû 2005
Messages: 2027
Localisation: variable
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| Posté le: Mer Aoû 07, 2013 1:16 pm Sujet du message: |
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| mallox a écrit: | Touche pas à Kalfon, il est dans mes "amis", je l'adore.
Perso j'aime surtout "Maîtresse" du même Schroeder. |
Ne touche pas à "Maîtresse" :ele:
More je l'ai vu il y a 10-15 ans et je n'en ai pas le moindre souvenir. |
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mallox
Super héros Toxic
Inscrit le: 10 Sep 2006
Messages: 13982
Localisation: Vendée franco-française
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| Posté le: Mer Aoû 07, 2013 1:25 pm Sujet du message: |
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Punaise, je les avais oublié ceux-là. C'est immonde !
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Bigbonn
Psycho-cop
Inscrit le: 13 Déc 2004
Messages: 4107
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| Posté le: Mer Aoû 07, 2013 8:32 pm Sujet du message: |
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| mallox a écrit: | 
Ne ratez pas l'occaz de revoir cet excellent film, 3ème de la trilogie new-yorkaise de Sidney Lumet, entre chronique amère et désillusionnée, destins fatals, corruption généralisée faisant partie des moeurs et des murs, empathie grandissante pour le personnage du "truand" joué avec génie par Armando Assante (aussi bon que Nick Nolte ici monstrueux). 1990, ça ne paraît pas loin et pourtant ce n'est pas sûr qu'aujourd'hui les dialogues du film, dans lequel le racisme est ancré depuis loin, devenu ordinaire, où chacun traite l'autre de nègre, de métèque, de youpin, de pédé, etc. passerait sans se voir faire procès de seconde, voire de 3ème zone. A voir et même à revoir !
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En effet, très bon film, porté par des interprètes souvent au top : Nick Nolte, Assante, mais aussi celui qui joue le vieux Blumenfeld, le juriste désabusé par exemple. Les seconds rôles ont leur importance et les dialogues sonnent souvent juste dans leur brutalité.
Communautarisme et racisme très ancrés dans une société brutale et corrompue de plus ou moins bon gré (parce que finalement, comme dit l'autre : "bon débarras").
Qui plus est, on peut imaginer que la réalité est assez bien dépeinte puisque le film est tiré d'un livre d'Edwin Torres, qui a été assistant district attorney et criminal district attorney, bref, si je ne m'abuse, le rôle qu'occupe Timothy Hutton dans le film, avant de terminer juge à la cour suprême (si on suit un peu le principe du film, on peut se demander quels cadavres il a cachés sous son tapis pour arriver là !).
Moins emballé par l'histoire avec la fille, inutile, sauf à vouloir respecter un quota de personnages féminins (parce que sinon, c'est que du mâle ou du travelo), même s'il était dans le livre et même si la raison de sa rupture avec Reilly (Hutton) est totalement en phase avec le climat général du film et les relations inter-raciales (comme on disait fut un temps, ou communautaires, comme on voudra). |
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mallox
Super héros Toxic
Inscrit le: 10 Sep 2006
Messages: 13982
Localisation: Vendée franco-française
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| Posté le: Ven Aoû 09, 2013 6:15 am Sujet du message: |
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disons que la fin sur le bateau entérine l'empathie grandissante qu'on a eu pour Assante, mais c'est vrai que c'est pas le plus intéressant dedans finalement.
J'adore le passage entre Assante et Luis Guzmán dans le commissariat, là où ils se traitent comme du poisson pourri avant une accolade fraternelle intracommunautaire.
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Rosy la bourrasque - 1980
Réalisé par Mario Monicelli
Avec Gérard Depardieu, Faith Minton, Roland Bock, Gianrico Tedeschi
Un boxeur, Raoul dit "le cerveau du ring" vient de gagner un match. En faisant un pari avec un karatéka fort-en-gueule, celui de casser la porte des chiottes du club à main nue et d'un coup unique, il se casse les phallanges. Sa carrière est alors fichue. Il se retrouve dans une troupe de catch féminin et tombe amoureux de la grande Rosy et l'épouse. Tandis que sa femme connait la gloire, lui subit l'oubli.
Entre "Deux filles au tapi" d'Aldrich, "Drame de la jalousie" et "Affreux, sales et méchants" de Scola, "Rosy la bourrasque" est un film d'amour hors normes. Pensez : un demi-poids lourd tendance gorille alias Raoul et une catcheuse de 2mètres de haut accusant plus de 80 kilos au compteur, autant dire que lors des étreintes, c'est la jeune femme qui porte notre Gégé (affublé le plus souvent ici d'un marcel à rayure, d'une veste à carreaux et d'un béret en skaï) dans ses bras ! Signalons également que durant les ébats, il n'est pas rare qu'une prise de jambes bien sentie immobilise le boxeur-bête lequel se réveille avec quelque torticolis. Les scènes de ménage ne tournent pas plus à son avantage, il se fait la plupart du temps rétamer la gueule par Rosy qui a un caractère de truie.
Alors ok, Monicelli a peut-être fait mieux ("Mes chers amis", "Brancaleone aux croisades", "La Grande guerre"), toujours est-il qu'il se dégage un fort parfum de comédie populaire, hommage aux "freaks", véritable expulsoire de tout ostracime, tout ceci teinté d'une fantaisie débridée, presque poétique. Quant à voir Depardieu se prendre branlée sur branlée par sa femme, c'est quelque chose. La musique aussi est réussie, comme une musique de foire ou de fête foraine, donc totalement dans la tonalité et dans l'esprit de ce film ultrafantaisiste ainsi qu'une ode à la différence légèrement mélancolique mais tapie sous une comédie aux allures bouffonnes.
Quant à Faith Minton, on la reverra justement dans "Deux filles au tapi" mais aussi dans "Quand faut y aller, faut y aller" et "Mort Subite" avec Jean-Claude Van Damme... Bref, Rosy la bourrasque championne du monde, universellement connue dans son quartier !
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