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Throma Super héros Toxic


Inscrit le: 25 Nov 2004 Messages: 3335 Localisation: Masse à chaussettes
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Posté le: Jeu Mar 12, 2015 3:27 pm Sujet du message: |
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Excellent film et en parlant de consécration avortée, incompréhensible que John Heard n'ait plus fait parler de lui après sa prestation géniale.
Hormis les "Maman, j'ai rasé le navion" (qui au passage sont loin d'être de mauvais films) mais on ne peut pas dire qu'il s'en distingue particulièrement. _________________ http://www.vhs-survivors.com/myvhs.php?alias=Throma |
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mallox Super héros Toxic


Inscrit le: 10 Sep 2006 Messages: 13982 Localisation: Vendée franco-française
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Posté le: Dim Mar 22, 2015 8:48 am Sujet du message: |
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Le film, dès sa sortie, a été traité de façon très confidentielle, même par les magazines mainstream de l'époque. Et vu ce qu'on en disait (caricatural, arrive trop tard etc. enfin des conneries que des gratte-papiers reprenaient d'autres gratte-papiers américains), je ne l'ai découvert qu'ensuite, à sa sortie en location vidéo, stupéfait de voir que non seulement c'était excellent, mais que, comme par hasard, ça touchait à l'histoire sale des Etats-Unis (plus désillusionné que "Cutter's Way", c'est difficile) et que du coup, on le laissait dans la confidentialité. Enfin...
Big Eyes - Tim Burton
L'histoire est sympa, les acteurs sont bons, mais alors se retrouver devant un film aussi académique, c'est-à-dire on ne peut plus "normaliste" pour un réalisateur dont le cinéma est censé répandre son amour des Freaks, le refus de la normalité érigée en modèle, c'est quand même très très étonnant. Et pas dans le bon sens.
D'abord, c'est simple, malgré d'indéniables qualités (dire que le film est mauvais serait mentir d'autant qu'il se regarde très plaisamment), ce ne serait pas signé Tim Burton, je reste persuadé que quasi personne ne se dirait que ces l'un de ses films.
Enfin, c'est tout de même plus sympa et moins barbant que ses derniers loukoums désincarnés et indigestes où aucune émotion n'émergeait et où l'ode au mauvais goût se retrouvait au stade de simple mauvais goût.
Ici, on est ni plus ni moins dans la sage illustration...
Cub - 2014
Réalisé par Jonas Govaerts
Avec Jean-Michel Balthazar, Gill Eeckelaert, Evelien Bosmans...
Une sorte de Slasher/Survival forestier Wallon, plutôt de bonne augure quoiqu'inégal, parfois vraiment inspiré et doté d'une vraie empathie pour ses personnages, d'autres fois, les ficelles sont grosses et les personnages mal dessinés.
En l'état, grâce à 2, 3 scènes au-dessus de l'ensemble, on en sort avec sentiment plutôt positif, d'autant que la fin n'est pas mal... _________________
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Bigbonn Psycho-cop


Inscrit le: 13 Déc 2004 Messages: 4107
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Posté le: Lun Mar 23, 2015 5:36 pm Sujet du message: |
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Pas vu ça mais je trouve que l'affiche est pas mal. |
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mallox Super héros Toxic


Inscrit le: 10 Sep 2006 Messages: 13982 Localisation: Vendée franco-française
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Posté le: Ven Mar 27, 2015 10:34 am Sujet du message: |
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Entièrement d'accord (meilleure que le film - - qui n'est pas mal, donc ! Comme d'hab et comme un con, je me demande ce qu'en pense ou en pensera Throma, mon mentor ! )
Bon, kek nouveautés sans lien entre eux, aperçus ou regardés récemment...
La Prochaine fois je viserai le coeur
De Cédric Anger
Avec Guillaume Canet, Ana Girardot, Jean-Yves Berteloot...
Entre 1978 et 1979, les habitants de l'Oise sont dans l'angoisse d'un maniaque, qui tue plusieurs auto-stoppeuses et qui échappe à la police. Celui qu'on surnomme alors « le tueur de l'Oise » est en fait un jeune gendarme timide qui va enquêter sur ses propres meurtres, jusqu'à perdre le contrôle de la situation…
Franchement pas bon, étiré, long, assez ennuyeux par instants aussi. Y a une surcharge dans la dramatique, tout le film durant, pour marquer les tourments, tristesses et menaces du personnage dont on a tôt fait de faire le tour. Une partition peu originale d'ailleurs, tout comme Guillaume Canet fait pièce composée avec son léger grimage et ses cheveux aplatis. Le film charrie tous les clichés, hésite puis oscille entre empathie envers ce personnage pourtant présenté comme insondable et froideur de traitement, ce qui donne en toute logique un film bâtard. ça commence d'ailleurs par un message sensationnaliste : "L'un des faits divers les plus troublants des années 70 en France"... bref, ça racole direct, ça se trouve un bouc émissaire pour balancer ensuite du serial-killer psychologique (rayon invraisemblable, on sent qe les trous scénaristiques comblés n'ont pas effrayé les auteurs qui ne se sont pas tant embarrassé à rendre le tout crédible - quid d'une attirance de cette jeune femme pour ce type imbuvable, pas du tout sympathique, pas sociable, renfermé, souvent très con).
Y a que dalle d'excitant ici, même pas la prestation de Guillaume Canet transformé de Saint-Bernard en Yorkshire à moumoute pseudo-inexpressif mais qui multiplie les moues de plouc renfermé pour donner tout ce que dégage la psyché du type : pas grand chose. Rien n'est exploré, tout est superficiel et toc ici. Je ne sais ce qu'on a donné comme drogue aux critiques lors des projos mais purée, y a une différence entre être blasé et valider, voire porter aux louanges un film sans vie. Pas étonnant d'ailleurs de le voir apprécié chez Mad Movies qui ne doit voir bcp de drames français dont celui-ci ne sort pourtant pas du lot, nivelant même le thriller psycho-killer vers le bas. Bref, pas terrible, assez vulgaire dans l'ensemble, surfait, avec un accueil critique complaisant qui plus est.
Snow Therapy - 2014
Réalisé par Ruben Östlund
Avec Johannes Bah Kuhnke, Lisa Loven Kongsli, Clara Wettergren...
ça, c'est vraiment très sympa. A partir d'une avalanche soudaine qui s'avère moins dangereuse et un mari-père de 2 enfants qui se sauvent de peur, de la terasse, on assiste à une véritable prise de tête (souvent drôle) sur le rôle du mâle dans un couple, mais pas seulement.
C'est assez désarmant parfois car un brin formaliste, mais l'on passe deux heures d'avalanches psychotiques de gens se remettant en question, ça alterne farce féroce et scènes carrément gênantes, et le couple en question parvient même à en contaminer un autre. A la fois drôle, malaimable parfois, on ne voit paradoxalement pas le temps passer.
La Dune - 2014
De Yossi Aviram
Avec Niels Arestrup, Lior Ashkenazi, Guy Marchand...
Hanoch est seul face à la mer, il a parcouru une longue route à vélo, à travers la France. Au loin : Israël, son pays, qu’il a quitté pour une raison mystérieuse. Quelques jours plus tard, une jeune femme le retrouve sans connaissance sur le rivage. Personne ne parvient à savoir qui il est. L’inspecteur Ruben Vardi est sur le point de prendre sa retraite : pas question de se charger de cette affaire. Mais des faits étranges le décident à changer d’avis…
"La Dune", c'est pas si mal du tout. Absence totale d'effets, qu'ils soient dramatiques ou stylistiques. Il y a beaucoup de non-dits, son histoire est orignale, pourtant il y a indéniablement une singularité de traitement, voire une vraie simplicté de traitement (du dépouillement, en gros). Ce qui permet finalement aux acteurs (excellents à l'unanimité) et aux personnages qu'ils campent de nous la conter sans surplus ou surcharge. Content d'avoir vu Guy Marchand donc, pas aperçu sur un écran pour ma part depuis des lustres, la dernière fois que je l'ai vu, c'était pour le tournage d'un épisode de Nestor Burma, soit en 2003, rue Levert, Paris 20ème. ça passe vite ! _________________
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sigtuna Super héros Toxic


Inscrit le: 08 Jan 2010 Messages: 3818
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Posté le: Lun Mar 30, 2015 7:17 pm Sujet du message: |
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Hop week end Péplum (enfin façon de parler) récent (enfin façon de parler) avec :
Où on nous explique comment Xerses s'est transformé en drag-queen géante.
Bon, 300 premier du nom malgré tout ses défauts et ses abdominaux en image de synthèse avait un coté (involontairement) sympathique dans son aspect politiquement incorrect à la fois crypto gay et très droitier (limite fascisant même).
Ben là c'est là même chose mais en politiquement correct du coup aucun intérêt, c'est répétitif et moche, sauf Eva Green qui est vachement bien foutu (même si je ne suis pas persuadé que sa poitrine n'ai pas été corrigé en image de synthèse )
Adaptation d'un roman anglais pour ados, inspiré par le désastre de Teutoburg, hélas transplanté en Écosse et au moyen empire.
Un gros bœuf, ressemblant vaguement à un Vincenzo Nibali (ce qui me l'a rendu sympathique au début) qui aurait abusé des anabolisants, cherche à laver l'honneur familial.
Que dire ? la première partie "sur le lime" se laisse regarder, mais une fois celui ci franchit aïe aïe aïe, surtout en Vf avec sa tribu des phoques.
allez je dirait que c'est très très moyen, mais à un moment les légionnaires font la tortue donc ça fait passer le reste.
Astier revisite Gosciny et... c'est pas mal du tout, l'humour potache des deux se mariant bien. Pour tout dire le D. A. me semble supérieur à la B.D.
Graphiquement le coté "patatoïdesque" de l'animation 3D n'est pas si éloigné du style d'Uderzo donc ça choque moins que pour Tintin par exemple
Seul bémol les voix des doubleur pas très différencié hormis celle d'origine du vétéran et génial Roger Carel et celle du dauphinois et tous aussi génial Serge Papagalli (Abraracourcis avec l'accent des Chambarans c'est le top ).
Pas mal du tout donc (comme écrit plus haut). _________________
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Bigbonn Psycho-cop


Inscrit le: 13 Déc 2004 Messages: 4107
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Posté le: Mar Mar 31, 2015 5:10 pm Sujet du message: |
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surprenant pour l'astérix mais qui confirme ce que j'avais entendu un peu au moment de sa sortie.
moi j'ai vu ça :
Underworld 3
De Rastapopoulos
Avec et aussi enfin sais plus.
Bon ben n'ayant pas regardé de film récent de ce type depuis perpète (peut-être depuis le calamiteux Van Helsing dont je me souviens juste qu'il était calamiteux), et ne voulant pas me prendre la tête, j'ai regardé ça qui passait sur une chaine belge.
Je dirais pas que j'aurais pas du mais... j'aurais pas du.
enfin, si, pour voir, mais qu'y a-t-il à voir finalement ? Une histoire simpliste qui, au final, reprend les codes de moult film (le méchant roi, la fille plus sympa, amoureuse d'un gars qu'est pas de sa classe, une population qui se débat sous le joug du méchant roi) avec en plus des vampires (enfin il parait, on les voit jamais à l'oeuvre) et des loups-garous (ou lycans) qu'on voit par contre beaucoup trop quand on les voit...
trop content de ses supers effets numériques, le réalisateur (qui vient des sfx et les a réalisés si j'ai bien compris le générique) se complait lors des attaques à les montrer sous toutes les coutures et même coupés en deux par les sabreurs vampires... oui, sauf que c'est là que le bât blesse (plus que le sabre finalement), car les effets plus que médiocres rendent l'ensemble assez piteux...
déjà que l'histoire ne passionnait guère, les effets spéciaux désolent... et les combats sont à chier (faudrait compter le nombre de plans différents en quelques secondes sur la plupart d'entre eux, c'est beaucoup plus stroboscopique que lisible).
Finalement, tous les atouts possibles du film : des personnages légendaires et... des moyens (35 millions de dollars apparemment) sont réduits à un néant survitaminé et soporifique. Merde, c'est vraiment de l'argent gâché !
PS : dans un très très vague cousinage, quoique, ça m'a plutôt donné envie de revoir le très beau et très réussi Vampire Hunter D : Bloodlust, l'animé de Yoshiaki Kawajiri qui, pour le coup, fourmillait d'idées visuelles, de personnages consistants et d'une trame qui tenait la route et sous laquelle perçait un romantisme noir qui arrivait à captiver...
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Krapulax 3 % irradié

Inscrit le: 18 Mar 2015 Messages: 42 Localisation: Besançon 25666
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Posté le: Sam Avr 04, 2015 2:44 pm Sujet du message: |
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ah, je ne l'avais pas encore trouvé ce sujet, cool
faut que je voie Zombeavers
dernier film vu l'autre soir sur la chaîne Paramount :
c'était super
à un moment y'a le méchant, Rostov, dans une pièce avec deux types et une meuf, et là le type perd les pédales, ça se passe en dix secondes à peine :
il éclate la tête de la meuf contre la table sur laquelle elle sniffe de la coke
il sort son gun et tire une balle direct dans la tête du type derrière le bureau
il se retourne et enfile son gun dans le pantalon du deuxième type, lui tire deux balles dans les couilles
il chope la meuf qui est en train de pleurer et de saigner de la face et il la jète par la fenêtre, y'a l'air d'y avoir quelques étages
putain, d'une violence inouïe  _________________ www.triademontieuse.eu |
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princesse.rosebonbon Stade de décomposition


Inscrit le: 22 Aoû 2005 Messages: 2027 Localisation: variable
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Posté le: Mer Avr 08, 2015 7:12 pm Sujet du message: |
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From Inside
Grande-Bretagne - 2008
Genre : animation, post-apo, arty
Une femme enceinte à bord d'un train, ses pensées en voix off alors qu'elle traverse des étendues désertes et désolées, le chaos et des mers de sang où flottent des cadavres, des ruines, de la fumées, des débris, du gris, des flammes, des gens monstrueux, des nappes de synthé pesantes,... bref vous l'aurez compris, From Inside c'est pas la joie, plutôt un tunnel sans lumière au bout.
C'est pas que ce soit désagréable ou hermétique, c'est peut-être même moins austère que L'Oeuf de l'Ange de Mamoru Oshii dans un registre assez similaire, mais ça tire quand même vers le trip d'ado dépressif.
Enfin techniquement, comme on peut s'y attendre pour de l'animation indé, c'est très peu animé et des l'utilisation d'images de synthèse s'intègre assez mal dans l'ensemble.
Dead Sushi
Japon - 2012
Genre : Z gore nippon rigolo
Une apprentie sushi-girl/karatéka lasse de l'enseignement trop dur de son père décide de voler de ses propres ailes et de se faire embaucher comme larbin dans un auberge où a lieu un séminaire d'une boîte de chimie. Un mystérieux personnage épris de vengeance débarque à son tour et sème le chaos en contaminant les sushis avec une substance digne d'Herbert West.
Parfois on se dit qu'après tout les japonais sont aussi des être humains et qu'ils vont bien finir par se lasser ou tomber à court d'idées à la con, mais non ce sont définitivement des cyborgs. En tout cas pour Noboru Iguchi, nul doute n'est permis : après Machine Girl, Robo Geisha et Zombie Ass, pour ne citer que la part de son oeuvre prolifique destinée à l'export, il continue à aligner les idées toujours plus stupides, vulgaires et farfelues pour laisser son spectateur pantois. Au hasard ? un duos de sushis (thon et saumon) en train de s'accoupler frénétiquement contre un arbre et dont l'orgasme fait jaillir un essaim de bébé-sushis volants avides de sang frais
bigbonn, fais-toi plaisir
Le Démon dans l'Ile
France - 1983
Genre : suspense, horreur
Anny Duperey est une femme médecin qui vient installer son cabinet sur une petite île où semble régner une atmosphère étrange. Plus embêtant, les appareils ménagers décident un à un de blesser leur propriétaire...
Je m'étonne que ce sympathique petit film d'horreur bien de chez nous et sans prétention, qui plus est du pornographe Francis Leroi, n'ait pas encore sa petite critique sur le site. Au-delà de l'enquête somme toute classique, le fantastique s'insère progressivement et naturellement. Et comme les effets spéciaux, sans être en rien spectaculaires ou révolutionnaires sont suffisamment efficaces, on finit par se laisser entrainer dans cette petite moulinexophobie. Une scène ordinaire où papa bricole sa télé pendant que maman et fifille cuisinent, devient alors un moment de tension où on ne sait d'où le coup va partir. Bien vu. |
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Valor Psycho-cop


Inscrit le: 22 Fév 2007 Messages: 4497 Localisation: Vanves
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Posté le: Mer Avr 08, 2015 7:37 pm Sujet du message: |
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princesse.rosebonbon a écrit: |
Dead Sushi
Japon - 2012
Genre : Z gore nippon rigolo
(...) les idées toujours plus stupides, vulgaires et farfelues pour laisser son spectateur pantois. |
Ça peut pas être pire que "Zombie Ass" ? Si ?
Au fait, on a pas annoncé que ces deux là + "Dead Ball", "Samurai Princess" et "Tomie Unlimited" viennent de sortir chez Elephant Films en DVD et eb Blu-ray... |
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Bigbonn Psycho-cop


Inscrit le: 13 Déc 2004 Messages: 4107
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Posté le: Mer Avr 08, 2015 9:19 pm Sujet du message: |
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Valor a écrit: | princesse.rosebonbon a écrit: |
Dead Sushi
Japon - 2012
Genre : Z gore nippon rigolo
(...) les idées toujours plus stupides, vulgaires et farfelues pour laisser son spectateur pantois. |
Ça peut pas être pire que "Zombie Ass" ? Si ?
Au fait, on a pas annoncé que ces deux là + "Dead Ball", "Samurai Princess" et "Tomie Unlimited" viennent de sortir chez Elephant Films en DVD et eb Blu-ray... |
ce Dead Ball me semble être un retitrage du Battlefield Baseball chroniqué en ces lieux (et apprécié) et sorti en son temps chez WE Productions.
sinon, Princesse, quand j'ai lu ça :
Citation: | bigbonn, fais-toi plaisir icon_wink | , j'étais justement en train de me dire en te lisant : tiens, un film pour moi !
(mais en fait dans le genre japonais barré je préfère jusqu'à présent, et de loin, Yoshihiro Nishimura à Noburo Iguchi ! ) |
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Valor Psycho-cop


Inscrit le: 22 Fév 2007 Messages: 4497 Localisation: Vanves
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Posté le: Mer Avr 08, 2015 9:32 pm Sujet du message: |
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Bigbonn a écrit: | ce Dead Ball me semble être un retitrage du Battlefield Baseball chroniqué en ces lieux (et apprécié) et sorti en son temps chez WE Productions. |
Pas un retitrage mais probablement un remake : Battlefield Baseball (Jigoku Kôshien) est le premier film de Yudai Yamaguchi (2003), Deadball (Deddoboru) est sorti en 2011...
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Bigbonn Psycho-cop


Inscrit le: 13 Déc 2004 Messages: 4107
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Posté le: Jeu Avr 09, 2015 4:55 am Sujet du message: |
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eh bé la période entre un film et son remake se réduit de plus en plus !
si ça continue, les remakes finiront par sortir avant les originaux !!!  |
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mallox Super héros Toxic


Inscrit le: 10 Sep 2006 Messages: 13982 Localisation: Vendée franco-française
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Posté le: Jeu Avr 09, 2015 6:12 am Sujet du message: |
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Valor a écrit: | princesse.rosebonbon a écrit: | Au fait, on a pas annoncé que ces deux là + "Dead Ball", "Samurai Princess" et "Tomie Unlimited" viennent de sortir chez Elephant Films en DVD et eb Blu-ray... |
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Bah, ne vous gênez pas, même un mois après, pas grave... , je mettrai la news avec plaisir sur le site si quelqu'un se décide à la faire. _________________
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princesse.rosebonbon Stade de décomposition


Inscrit le: 22 Aoû 2005 Messages: 2027 Localisation: variable
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Posté le: Jeu Avr 09, 2015 9:36 am Sujet du message: |
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Dead Sushi n'a pas toute la dimension scato (malgré quelques flatulences de bon aloi) de Zombie Ass, mais il est aussi plus digeste car une idée débile sortie de nulle part en chasse une autre, on patauge moins dans le purin.
il est clair qu'Iguchi est un gros tacheron à côté de Nishimura : zéro prétention artistique. mais une bonne grosse comédie ronge-neurones, ça ne fait pas de mal de temps en temps |
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mallox Super héros Toxic


Inscrit le: 10 Sep 2006 Messages: 13982 Localisation: Vendée franco-française
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Posté le: Mar Avr 14, 2015 7:08 am Sujet du message: |
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Mystery Road - 2014
Réalisé par Ivan Sen
Avec Aaron Pedersen, Hugo Weaving, Ryan Kwanten...
Est un très bon polar se déroulant dans le bush Australien.
Certains passages pourront paraître longs et le film frôle une lenteur rédhibitoire à un moment, mais tout compte fait, on en ressort avec une excellente impression. Il n'y a aucune fioriture à l'Hollywodienne, ni dans le récit, ni dans le parti-pris d'une enquête policière, laquelle choisit en toute simplicité de suivre un personnage au corps. Du coup, celui-ci passe de voisins en voisins, avant de tomber sur un trafic plus gros avec, en point de mire, un réseau de drogue et de prostitution.
On est non loin par moments de certaines bobines italiennes à base de corruption et de réseaux (Les Dallamano par exemple), mais le traitement et le cadre en font un tout autre spectacle.
Dans Mystery Road, vu l'immensité désertique, même un tir au fusil longue portée met une bonne seconde avant d'atteindre (ou non) sa cible. D'où un règlement de comptes final assez inédit. Entre autres bonnes surprises...
'71 - 2014
Réalisé par Yann Demange
Avec Jack O'Connell, Sam Reid, Paul Anderson (XVIII)...
Là, au moins, pas de patriotisme chauvin à la Eastwood façon révisionnisme au ras-des-paquerettes, ni de de spectacle hypocrite con-putassier à la "Fury", chacun est renvoyé dans ses cordes et au film d'aller plus loin que le simple conflit en Irlande du Nord. Finalement, on évolue davantage dans un thriller, lequel serait venu piocher allègrement en se réappropriant les idées, chez Carol Reed (impossible qu'Yann Demange n'ait pas vu "Huit heures de sursis") ainsi que dans "Requiem pour un massacre (Va et regarde)" pour la longue séquence post-explosion assourdissante.
C'est prenant et bien au-dessus (cinématographiquement tout comme politiquement et humainement) de films largement surestimés comme les deux perlinpimpins cités au-dessus. _________________
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