Mad Movies (uniquement sur le mag)

[gregore]

bon on a loupé quelques numeros

je reviens pour parler d'un HS

[jack deth]

meme en n' étant pas top fan de leur hors serie qui sont fait avant tout pour se faire de la thune (creatures et createurs, hors serie séries TV... ) celui la je pense quant meme le prendre car les jeux old school j ' adore réelement certain étant bien meilleure que les trucs qui sortent actuelement quoi de mieux qu' un bon vieux ghosts n goblins...

[tomfincher]

[gregore]

je n'ai pas encore lu le mag mais il y a quelques sujets qui peuvent etre interressant...

comme Another World, Alone in the dark, DOTT, etc... l'historique aussi...

Par contre Resident Evil et FF... ça me dit vraiment rien... je pense que les sujets ont deja dut etre mainte fois developpé dans des mags de JV
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"La guerre c'est la paix", "La liberté c'est l'esclavage", "L'ignorance c’est la force"

[flint]

Sorti ce matin chez votre buraliste préféré :

[]

Ce hors-série est une sacrée bonne surprise, ma foi. Profitant de la sortie du "Grindhouse" du duo Tarantino/Rodriguez, ce hors-série de 130 pages ne consacre en fait que huit pages à ce double programme prometteur, tout le reste étant un "Best Of" du cinéma bis.

Au programme :

Sexploitation (WIP, nunsploitation, nazisploitation...)
Shock & Horror (mondos, cannibales, rape & revenge, postnuke...)
Blaxploitation
Kungfuxploitation

Et en vrac : Friedman, Russ Meyer, Franco, D'Amato, Lewis, Mattei, Ted V. Mikels, Z. Arkoff, Milligan, Fred Williamson, Pam Grier, Jim Kelly, Godfrey Ho, etc...

Et plein d'autres choses. Ce numéro spécial m'a l'air très intéressant, un sacré tour d'horizon des films qui ont fait le bonheur des bisseux que nous sommes. A première vue, il paraît encore meilleur que le H.S. sur le cinéma de genre italien.

Une bonne nouvelle, donc...

[/]

[pascalum]

j'ai commencé a lire le hors série Grindhouse. il est excellent, du niveau de celui du bis Italien. mais ç'est sur qu'il mériterait une centaine de pages en plus, car certains articles ne sont qu'une énumération de film. bon ça reste pratique pour ensuite faire des recherches plus précises sur le net.
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[Walter Paisley]

Je serai pour ma part bien moins enthousiaste. Déjà ce qui manque beaucoup, ce sont des interviews, choses qui faisaient du HS italien un très bon mag.
Ensuite, il y a ce côté un peu trop catalogue dont parle le camarade Pascalum : ils font des historiques, c'est très bien, certes, mais ils font quand même beaucoup d'impasses et j'aurais préféré qu'ils aillent plus dans l'analyse en détails pour certains films.
Reste les portraits de personnalités, pas mal même si là aussi ça aurait été bien d'aller plus dans les détails sur les films mentionnés.

[mallox]

c'est vrai que le HS Italien était très bon. D'ailleurs lorsque j'ai chroniqué "le lézard à la peau de femme", j'avais oublié qu'il y avait un dossier dessus, auquel cas j'aurai été la pomper// après être retomber dessus, j'ai bien compis que Mad m'avait pompé en remontant le temps...

J'ai acheté l'autre ce matin. en feuilletant , ça ne m'a a priori pas enthousiasmé plus que ça... un peu comme le Tarentino, un peu trop succédané pour être vraiment conséquent ...

qui qu'a acheté son "CUJO" sinon?
(pas moi)
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[Throma]

Un assez bon numéro pour ma part, qui doit surtout aux textes passionnants de Christophe Bier, Patrice Verry et FX Tabony.
L'hommage aux salles de quartier de Christophe Lemaire est enthousiasmant, dommage qu'il nous rabache un peu tout le temps les mêmes films.
Dans les points noirs maintenant ; les termes djeuns rébarbatifs et les formules à l'anglicisme branchouille absolument agaçants qu'on doit à la "Mad team" pour "speaker" comme eux : les "porno-flick", "cheap", les "pur" films, "barrés", "mainstream" "cultes", etc.
Sans compter les erreurs, à titre d'exemple : "Camp special N°7" de Lee Frost date de 69 et non 74, Fred Lincoln n'etait pas hardeur pro avant "La derniere maison sur la gauche", la chronique de "Waterpower" ou on assiste à un vrai festival : le film est américain et non italien, est attribué à Damiano (j'avais commis la même erreur sur le site mais à ma décharge, la critique datait de 2004, avant que Costello confirme publiquement sa paternité sur imdb) et la cassette francaise "Videorama" semble avoir été totalement occultée puisqu'à en croire le responsable de la chronique, le film demeurait inédit chez nous avant sa sortie en dvd chez Alpha en double programme l'annee derniere.
Et puis surtout, une erreur assez incompréhensible, qui tient de l'oubli et non pas de la syntaxe : qu'Harry Novak ne possede pas son portrait au chapitre sexploitation, je trouve ça incroyable. On prefere plutot nous rebattre les oreilles une fois de plus sur Russ Meyer ou bien nous parler d'un japonais aux oeuvres inaccessibles pour respecter le quotat "jap", "Mad touch" oblige, mais Novak, nada.
Peut etre le personnage le plus emblematique de la sexploitation mais pas grave...

Malgré tout, je l'ai lu avec beaucoup de passion ce hors serie, beaucoup de films méconnus y sont traités. Et puis il faut aussi souligner le prix de vente attractif.
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http://www.vhs-survivors.com/myvhs.php?alias=Throma

[flint]

D'accord avec Throma, l'absence de Harry Novak est très surprenante, d'autant plus que ce personnage effectivement majeur de la "sexploitation" n'avait pas été oublié dans le numéro 142 de Mad "spécial 30 ans". Il faut dire qu'à l'époque, Damien Granger était encore le rédac'chef du magazine.

[Bigbonn]

[Throma]

Je savais que mon japonais inaccessible allait susciter des reactions. Pari reussi
Entendons-nous bien : je ne remets pas en cause le fait que les films soient introuvables (ceux qui me connaissent un tant soit peu savent pertinemment depuis le temps que je prefererais toujours discutailler d'un Z obscur plutot qu'un classique du cinema (classique ou horrifique).
Ce qui me gêne là, c'est que LE personnage incontournable de la sexploitation (Bigbonn, Novak est un producteur américain au nez creux et au moins aussi important que Meyer qui des années 60 à 70 a produit une bonne tripotée d'oeuvres érotiques et horrifiques calibrées pour les drive-in et "grindhouse" justement, et pas surnommé dans le milieu "sultan de la sexploitation" pour rien) soit ecarté au profit d'un realisateur japonais dont les oeuvres ne parleront qu'aux fanas de cinema japonais et là, vous allez me dire que je pense en personnage sectaire, vous aurez un peu raison.
Seulement, et même si je sais reconnaitre parfois des bons films en provenance du Pays du soleil levant comme "Hausu", certains films de Fukasaku et une bonne paltanquée de Chiba, je ne comprendrais jamais vraiment l'engouement récent autour du cinéma nippon. Chaque production de la-bas que des connaisseurs me présentent comme des chefs-d'oeuvre m'apparaissent plutot apres decouverte comme des petards mouillés mal gonflés et dont l'hermétisme ne semble etre déchiffré que par les fans. Peut etre s'agit-il d'un probleme de perspective, comme la peinture par exemple : là ou je vois sur une toile quelconque de Monet un simple pot de fleur, d'autres y verront une oeuvre d'art à la beauté renversante.
Je dois etre con certainement
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[mallox]

Tu shématises quand même beaucoup là non?
Déjà, ce que je ne comprend pas c'est le terme "écarté au profit de "...
Ce n'est pas ce que j'y vois. En quoi le fait que Novak ne soit pas représenté soit forcément au profit d'un autre? Selon moi, c'est juste à ses dépends ni plus ni moins.

L'engouement pour le cinéma Nippon n'a rien de récent, et celui-ci a toujours eu ses défenseurs. Je ne vois pas pour quelle raison, et égard à l'industrie qu'il représente, pour quelle raison dès lors qu'on s'y intéresserait, ce serait singulier au point de le montrer du doigt.
Dans quelle mesure, cet engouement récent dont tu parles ne serait-il pas que retard que l'on rattrape enfin face à un cinéma justement que trop souvent ignoré chez nous et un peu partout ailleurs et dont peut-être à les découvrir on s'aperçoit enfin des qualités.

Le cinéma Asiatique de tout temps a apporté quelque chose. L'exemple le plus flagrant étant son apport au western spaghetti. Je ne pense pas qu'à ce jour on ai rendu autant hommage aux chambaras qu'aux spaghettis. Peut-être certaines injustices se réparent enfin. L'accès à ce cinéma là se démocratise, il me semble donc logique qu'une certaine reconnaissance aille de paire. (parfois outrée ça je l'admet, mais ça me semble être un défaut qui va de paire avec cette reconnaissance trop tardive - et combien encense t-on à outrance de simples films corrects Européens ou américains, vieux ou récents, et dès lors qu'ils sortent un peu du lot, se voient immédiatement estampillés chef-d'oeuvres sans que personne ne disent, "y en a marre des européens et des américains surestimés car méconnus, parlons enfin des asiatiques"... ).

Ensuite pour revenir au début, en quoi cette reconnaissance là et autant qu'elle transparaisse dans ce numéro, serait à l'encontre de Novak.
Je pense pour ma part et à te lire (et te sachant plus expert que moi) que ledit numéro n'est tout simplement pas assez étoffé.

Pour ma part heureusement que le cinoche Japonais ne se résume pas à Fukasaku et Chiba, auquel cas en effet, je le trouverai bien triste.
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[Throma]

Pour faire court et aussi parce que les débats enflammés virtuels ça me fatigue à la longue : Novak a plus sa place dans ce chapitre que Koji Wakamatsu puisqu'il s'agit du nom de l'incriminé.
Novak est l'instigateur de la sexploitation (je ne parle pas ici des quelques productions clandestines des années 20 et 30), au même niveau que David Friedman, j'y peux rien, c'est comme ça lorsqu'on consulte l'historique du genre.
Wakamatsu, c'est différent. Il a oeuvré aussi dans le film érotique mais dans un circuit différent de celui de la sexploitation traditionnelle, c'est à dire celle qui était projetée dans les salles de quartier d'Europe ou les "grindhouse" des USA. D'où la notion mal perçue par certains d'inaccessibilité.
Novak aurait été "portraitisé", la présence de Wakamatsu ne m'aurait posée aucun problême.
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[xawa]

Camarade , tu gueules sur Lemaire parcequ'il rabache selon toi les trucs connus et tu gueules parcequ'on parle d'un obscur nippon plutot que de Novak .

Cela dit t'as entierement raison