[M] [Critique] La Rose Ecorchée
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flint
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MessagePosté le: Mer Nov 21, 2007 1:01 pm    Sujet du message: [M] [Critique] La Rose Ecorchée Répondre en citant



La Rose Ecorchée/The Blood Rose/Ravaged/Devil’s Maniac
genre : horreur
origine : France
année : 1969
réalisateur : Claude Mulot
interprètes : Philippe Lemaire, Annie Duperey, Howard Vernon, Elizabeth Teissier, Olivia Robin, Michèle Perello, Valérie Boisgel, les nains Johnny Cacao et Roberto

Frédéric Lansac est un peintre talentueux, et très en vogue, qui expose ses toiles dans la galerie que possède son ami Wilfried. C’est là qu’il rencontre Moira, une jolie bourgeoise ambitieuse, toujours attirée par les célébrités. Elle met le grappin sur Lansac. Mais deux mois plus tard, à l’occasion d’un bal costumé organisé par Moira, le peintre fait la connaissance d’Anne, dont il tombe instantanément amoureux. Un coup de foudre réciproque, si bien que les deux amants, lassés des mondanités, partent se mettre au vert, dans le château provincial dont Frédéric a hérité de ses parents. En cet endroit isolé, Anne et Frédéric filent le parfait amour, avec pour seule compagnie la présence de deux serviteurs nains, Igor et Olaf, recueillis autrefois par la famille du peintre.



Le couple décide de se marier, et pour fêter l’événement, invite ses amis pour une réception grandiose dans la cour du château. Moira se joint à la fête, et vient provoquer Anne. Apeurée, cette dernière perd l’équilibre et tombe en plein milieu du feu de camp. Sa robe s’enflamme immédiatement, transformant la jeune femme en torche vivante. Lorsque Frédéric parvient à maîtriser les flammes, il est malheureusement trop tard.
Grièvement brûlée, défigurée, paralysée et la vision amoindrie, Anne est désormais condamnée à porter durant toute sa vie les stigmates de cet horrible drame, tout espoir de guérison étant vain. Anne est devenue un monstre confiné dans un fauteuil roulant, à la respiration rauque et la vue trouble.
Réalisant qu’elle ne guérira jamais, Anne supplie Frédéric de la faire passer pour morte. Le château de Lansac sera sa tombe, plus rien n’existe. Effondré, le peintre se replie également sur lui-même, et ne quitte plus le château. Pourtant, lorsque son ami et associé Wilfried lui demande de le remplacer dans l’institut de beauté qu’ils possèdent à Paris, Frédéric accepte à contrecoeur. L’Institut « Wilfried et Lansac » possède une annexe botanique, constituée d’une immense serre expérimentale dans laquelle officie le Docteur Romer.



Pour tenir compagnie à Anne durant son absence, Lansac loue les services d’une infirmière, Agnès. Celle-ci est une jolie femme, une beauté qui déplaît très vite à Anne, emportée inexorablement par une folie destructrice. Alors qu’Anne s’arrange pour provoquer la mort de l’infirmière, Frédéric apprend par hasard que Romer était autrefois un brillant chirurgien esthétique, spécialisé dans la reconstruction des visages.
Le peintre conduit Romer au château afin qu’il examine sa femme. Mais le constat du chirurgien est sans appel. Pour réussir une telle greffe, il faudrait prélever des tissus vivants sur le donneur, qui conduiraient à la mort du sujet. Un tel projet est inconcevable, mais Frédéric est prêt à tout pour redonner un visage à sa bien-aimée.

Le cinéma d’horreur a rarement été une marque de fabrique française. Contrairement à ses voisins italiens, espagnols et surtout anglais, la France a toujours été mal à l’aise dans ce créneau, et il a fallu que Georges Franju livre un chef-d’œuvre, « Les Yeux sans Visage », pour que certains cinéastes français réalisent que réussir dans le fantastique était possible.
Ainsi Claude Mulot, jeune metteur en scène qui ne compte alors qu’un seul film à son actif, un « nudie » (« Sexyrella », 1968), s’inspire ouvertement de Franju, mais aussi des films de Jess Franco (« L’Horrible Docteur Orlof », lui-même inspiré des « Yeux sans Visage », « Le Diabolique Docteur Z ») pour faire « La Rose Ecorchée". Les premiers rôles sont confiés à des comédiens chevronnés : Philippe Lemaire, acteur depuis l’après-guerre, et vu dans de nombreux films à costumes comme « Cartouche », « Le Chevalier de Pardaillan » ou encore « Le Masque de Fer » ; et Annie Duperey, alors toute jeune (22 ans) mais déjà expérimentée grâce au théâtre, et qui a tourné au cinéma pour Jean-Luc Godard deux ans auparavant. A leurs côtés, on trouve essentiellement des acteurs spécialisés dans le cinéma de genre, comme Howard Vernon, l’homme à tout faire de Jess Franco ; et un trio d’actrices qui ont comme point commun d’avoir toutes jouées pour le trublion José Bénazéraf : Elizabeth Teissier (« Frustration »), Michèle Perello (« Les Deux Gouines ») et Valérie Boisgel (« Le Sexe Nu »). Quant aux nains Johnny Cacao et Roberto, on les retrouvera réunis au cinéma en d’autres occasions, notamment dans le « San Antonio ne pense qu’à ça » de Joël Séria. Malgré ce casting pour le moins hétéroclite, la sauce prend, l’alchimie fonctionne à merveille. Si bien que « La Rose Ecorchée » est l’une des réussites majeures du cinéma fantastique français, mêlant avec bonheur la rigueur de Franju et les délires à venir d’un Michel Lemoine avec « Les Week-Ends Maléfiques du Comte Zaroff ».



« La Rose Ecorchée » est une superbe histoire d’amour, contenant non seulement des ressorts dramatiques, comme le thème du Pygmalion, le créateur annihilé par sa propre créature (un sujet que Mulot reprendra pour « La Femme Objet »), mais aussi des ingrédients d’horreur pure qui reflètent à merveille la folie destructrice du personnage d’Anne. Tout est réuni dans ce film pour qu’on puisse le considérer comme une référence en la matière. Une photographie superbe, un sens du cadrage inné chez le réalisateur, et des trouvailles comme les filtres déformants qui permettent au spectateur de voir ce qu’est la réalité avec les yeux d’Anne. Les décors sont aussi particulièrement bien trouvés, avec comme points forts le château de Lansac aux forts accents gothiques ; et l’incroyable institut de beauté, doté d’une architecture démentielle, proche de la ruche, des escaliers et des structures évoquant Escher, sans oublier le jardin des plantes pourvu d’allées labyrinthiques, et transformé en terrain de chasse où le gibier est choisi parmi les jolies clientes de l’établissement. Le film bascule habilement du rationnel à la folie, afin de symboliser la beauté détruite, et la naissance d’un « monstre » tant sur le plan physique que mental. Si les images sont particulièrement léchées, il en va de même pour la musique, le compositeur Jean-Pierre Dorsay proposant une partition de grande classe, en totale adéquation avec les images, et qui accentue un peu plus la charge émotionnelle qui se dégage du film. Le final est d’un pessimisme, d’une logique et d’une beauté incroyables, avec des tragédies venant se succéder à un rythme effréné, et pour se conclure sur une touche poétique indéniable, lorsque Frédéric Lansac, qui n’était plus capable de peindre, reprend les pinceaux une dernière fois, pour achever autant un portrait d’Anne que sa propre histoire.
Oui, « La Rose Ecorchée » frôle parfois le génie, et c’est en tous cas un film parfaitement maîtrisé que Claude Mulot a réalisé. Une œuvre qui l’aura forcément marqué, au point de reprendre le nom de son héros pour signer ses futurs films, à partir de 1975, lorsque le porno connaîtra son âge d’or. Un genre auquel Mulot aura participé brillamment, signant des œuvres originales dans un milieu réputé pour sa banalité, apportant sa passion pour le fantastique, et que l’on retrouvera donc dans « Le Sexe qui Parle », « Shocking » et « La Femme Objet ».



Presque quatre décennies plus tard, « La Rose Ecorchée » demeure une pierre angulaire du cinéma d’horreur français, une œuvre classieuse bien qu’intégrant gore et érotisme, plus des nains en peaux de bête, ce qui constitue une performance !

note : 8,5/10
accroche : la rose ne s’est point flétrie

Fiche DVD

La Rose Ecorchée/The Blood Rose/Deranged/Devil’s Maniac
region : zone 0 (multizones)
éditeur : Mondo Macabro
origine : U.S.A.

sortie cinéma : 1970 (France)
sortie DVD : 2007
durée : 94 minutes
image : 1.66:1
audio : mono

langues : français, anglais
sous-titres : anglais (optionnels)



bonus :
- interview de Didier Philippe-Gérard, assistant de Claude Mulot (23 minutes)
- galerie de photos et d’affiches
- filmographies
- à propos du film
- bandes-annonces du catalogue de l’éditeur

commentaires :

C’est un plaisir de redécouvrir cet excellent film, restauré d’après le négatif original, et présenté dans sa version intégrale. Ce qui permet de voir certaines scènes non présentes dans certaines éditions VHS (celle de l’éditeur Initial, par exemple) qui concernent le début du film : le bal masqué chez Moira, la première rencontre avec Anne, etc…
Le son est satisfaisant, l’image quasi-parfaite. Au niveau des bonus, le principal attrait est l’interview de Didier Philippe-Gérard, qui fut non seulement l’assistant de Claude Mulot, mais aussi son ami, et son beau-frère. Les anecdotes à propos du réalisateur sont nombreuses et intéressantes. On apprend notamment que Claude Mulot était un fan du cinéma fantastique, qui souhaitait être plus réaliste dans l’horreur, par rapport à la poésie et l’onirisme de Jean Rollin, par exemple. Mulot aimait choquer, c’était un provocateur qui ne manquait pas une occasion d’épingler la bourgeoisie (à l’instar d’un Chabrol) et son conformisme affligeant (voir la scène du début dans la galerie d'arts).
En 1982, Claude Mulot projetait de mettre en scène un film intitulé « Vidéo Maniaque », inspiré du « Peeping Tom » de Michael Powell. Mais après trois ans d’efforts infructueux, il finira par jeter l’éponge, affecté par le manque d’intérêt des producteurs. Il finira sa carrière avec le médiocre « Couteau sous la Gorge », avant de se noyer bêtement en octobre 1986, au large de Saint-Tropez.























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Throma
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MessagePosté le: Mer Nov 21, 2007 1:49 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Merci flint pour cette excellente critique. Un film que je trouve également très réussi, découvert hélas par le biais des charcutiers de chez Initial. Image assombrie, scènes coupées, échos au niveau du son (les pionniers de la piste superposée ces fils de chienne). Inutile de préciser que je suis pressé de le revoir sous un meilleur traitement. La k7 éditée par "Les miroirs de l'etrange" est parait-il davantage soignée et complète. Au pire, on se rabattra sur le disque Mondo Macabro, éditeur très pro au demeurant.
Et Gloire à Claude Mulot d'avoir permis au cinema français de se décoincer un peu, à l'instar de Rollin, Davy, Pierson et les autres...
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MessagePosté le: Mer Nov 21, 2007 4:55 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Je n'ai jamais eu la version éditée par "Les Miroirs de l'Etrange" sous la main, mais seulement celle de ces .... d'Initial, comme tu le dis si bien. Le DVD de Mondo Macabro vaut le détour, et puis son prix est raisonnable.
Tu as raison de rendre hommage à Claude Mulot, car ce type avait vraiment du talent, quels que soient les genres qu'il ait abordé. Après "La Rose Ecorchée", il a réalisé une sorte de polar rural qui sort aussi des sentiers battus : "La Saignée", et mérite d'être vu. Un film sombre, pessimiste, dans lequel Mulot a offert à Gabriele Tinti l'un de ses plus beaux rôles.

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MessagePosté le: Mer Nov 21, 2007 6:45 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Avec le charismatique Charles Southwood qu'on retrouvera aux côtés de Nathalie Delon et André Pousse dans un autre film de Mulot : Profession aventuriers. Un très sympathique film d'aventures divertissant et trépidant juste comme il faut, que je conseille vivement. A condition de le trouver (il n'a jamais eu les faveurs du petit écran à priori).
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MessagePosté le: Mer Nov 21, 2007 11:14 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Très belle fleur que cette Rose Ecorchée, ta critique et surtout tes captures d'écran m'ont donné envie d'investire dans le DVD. En tous cas, je garde un souvenir ému de la perversité ambiante du métrage et des nains en peau de bête!
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MessagePosté le: Mer Déc 19, 2007 12:04 pm    Sujet du message: Répondre en citant

frank_PDT_16 Je viens de visionné la chose alléché par les captures et la critique de Flintou. Et le bougre avait raison c’est une merveille !
Deux nains lubriques essayent de violer new_lang une pauvre jeune fille dans la paille, une autre jeune fille (mini jupe et botte de cuir) lassèrent le visage d’un nain au scalpel, sans parler du rêve onirique d’Annie Duperrey,…
le film est plein de séquence de ce type, un must à découvrir et en plus c'est en français que demander de plus ! enaccord8
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MessagePosté le: Mer Déc 19, 2007 3:10 pm    Sujet du message: Répondre en citant

"The first sex-horror ever made"

vraiment?
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flint
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MessagePosté le: Mer Déc 19, 2007 9:54 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ghidorah a écrit:
"The first sex-horror ever made"

vraiment?



frank_PDT_10 Non, vraiment pas. Le genre d'accroche qui rappelle ce que l'on pouvait voir sur les affiches de cinéma à l'époque. Cela dit, même si les Américains avaient déjà donné bien avant (voir notamment certains films du catalogue "Something Weird"), Claude Mulot peut être considéré comme un cinéaste novateur en France.
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Valor
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MessagePosté le: Mer Déc 19, 2007 10:17 pm    Sujet du message: Répondre en citant

"The second sex-horror film ever made" :





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killy kill
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MessagePosté le: Jeu Déc 20, 2007 8:18 am    Sujet du message: Répondre en citant

Je me disait bien "ce visage me rappele quelqu'un, c'est celui Annie Duperey.
Ce film me donne envie, il faut juste que je le déniche.
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flint
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MessagePosté le: Jeu Déc 20, 2007 6:32 pm    Sujet du message: Répondre en citant

killy kill a écrit:
Je me disait bien "ce visage me rappele quelqu'un, c'est celui Annie Duperey.
Ce film me donne envie, il faut juste que je le déniche.



Annie Duperey a également tourné dans un autre film d'horreur : "Le Démon dans l'Ile", de Francis Leroi. icon_wink
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MessagePosté le: Jeu Déc 20, 2007 8:15 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Merci pour l'info icon_wink
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mallox
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MessagePosté le: Ven Déc 21, 2007 7:37 am    Sujet du message: Répondre en citant

Avec Bernard Giraudeau dans le rôle de l'île. icon_cool
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MessagePosté le: Jeu Jan 10, 2008 3:18 pm    Sujet du message: Re: [M] [Critique] La Rose Ecorchée Répondre en citant

flint a écrit:
mais Frédéric est prêt à tout pour redonner un visage à sa bien-aimée.


Sa femme aussi la vache ! frank_PDT_10

Bon mon lecteur DVD capricieux m'a enfin laisser le voir sans s'arrêter et même si je reste peut-être un cran au dessous de flint quant à la qualité (bonne) de cette Rose écorchée, je dois dire que c'est un film tout à fait estimable, avec beaucoup d'idée et une volonté de rigueur. Le parfait croisement (mais flint l'a dit icon_confused ) entre "Les week-end maléfiques du comte Zaroff", "Les yeux sans visage" et "diabolique docteur Z", pas les pires références qui soient. La photo est belle mais qui a composée cette jolie musique?
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flint
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MessagePosté le: Jeu Jan 10, 2008 6:26 pm    Sujet du message: Re: [M] [Critique] La Rose Ecorchée Répondre en citant

mallox a écrit:


La photo est belle mais qui a composée cette jolie musique?



Jean-Pierre Dorsay... comme c'est précisé dans la chronique... ico_mrgreen

(bonne B.O., la grande classe)
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