votre psychovision du soir

[mallox]

Je l'ai pas vu Chronicle par contre plus je regarde l'histoire et son traitement plus ça me fait penser à la série britannique The Misfits...

http://fr.wikipedia.org/wiki/Misfits_%28s%C3%A9rie_t%C3%A9l%C3%A9vis%C3%A9e%29

Sinon, celui qu'il faut voir absolument c'est Defendor !



Vraiment un beau film...

Et puis 1 point pour Harpoon en effet, agréable version maritime de massacre à la tronço... et meilleur il est vrai que le surestimé Triangle (dont j'ai quasi tout oublié). Sinon j'ai toujours une préférence pour le type qui se barre seul avec le canoë de sauvetage.
Et bonjour aussi aux 3 ménopausées, ça fait un bien pas possible de les voir se faire harponner.

Tombé sur ce visuel ce matin, plus aguicheur que l'autre à mon humble avis...


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[Valor]

[flint]

Et plus fun que "La bouche de Jean-Pierre", alors ?

[Throma]

'xcellent





Boarf !
Oui, voilà : boarf !

C'est nettement plus défendable que les derniers Argento et Romero, après, ça s'oublie instantanément.

Globalement bien mis en scène, oui, impersonnel ça c'est certain.
La musique est à chier, les nanas sont pas crédibles une seconde. A l'exception de l'espèce de Depardieu blondasse, elles sont toutes proprettes, magnifiques, pas un poil d'avant-bras qui dépasse.
Après le twist, j'avoue ne pas l'avoir vu venir... peut-être parce que je n'ai pas vu les films usant des mêmes ressorts. et puis c'est plutôt sanglant pour du Carpenter.

La scène d'évasion est quand même un modèle de paresse intellectuelle : "tiens, si on s'échappait par cet immense conduit d'aération à peine vissé dans les toilettes pour minette et qui nous fait déboucher devant la sortie gardée par un seul gus qui feuillette un magazine derrière son comptoir"




Facile le pire Fulci. Le pire post-apocalypse. Le pire Fred Williamson. Le pire toutcequevousvoulez.

La croûte du futur de 2001 (mais avec 71 années de plus au compteur dans le titre) qui parvient à réhabiliter Murderock, Conquest et Les fantomes de Sodome à lui tout seul.

Sérieusement, c'est abominable de bout en bout, une espèce d'ambiance crypto-gay claustro filmée dans la chaufferie des Studio De Paolis. Al Cliver qui simule le décès et la souffrance en louchant, la langue tirée et qui libère des "Ouyouyouille" pendant que Williamson, visiblement embarassé par une absence de cigare, tire une gueule de 4 mètres comme jamais.
Epouvantable !
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http://www.vhs-survivors.com/myvhs.php?alias=Throma

[Lorenzordure]

Je m'étais déjà farcis les quatre premiers épisodes en me souvenant vraiment que du premier, alors pourquoi pas continuer sur ma lancée vu que j'avais cet exemplaire sous la main.

L'avantage de cette "saga" c'est que l'on sait dés le départ qu'on va pas se prendre la tête vu que l'histoire est sensiblement toujours la même à quelques variantes près et que le but du film est d’alléger le casting à l'aide d'accidents plus originaux et saugrenus les uns que les autres.

Le début est toujours le même. Galerie de personnage plus ou moins liés entres eux (lycéens,collègues,séminaristes,...) devant se rendre ensemble à un point précis. Manque de pot, c'est justement le jour ou madame La Mort décide d'inscrire quelques uns de nos participants dans son livre de comptes. Sauf que si on la laisse dégommer tout le casting d'entrée, le film tiendra pas la demie heure.

Heureusement, nous sommes en plein visionnage de Destination Finale 5 et comme l'histoire se répète depuis déjà quatre épisodes, il y en a toujours un ou une pour avoir une bonne vieille prémonition des emmerdements à venir et qui va ainsi sauver la mise à tout le monde, in extremis! Provisoirement en tout cas, parce que la mort qui est réglo dans ses comptes, compte pas en rester là et va s'atteler à faire disparaitre un à un les personnages dans un ordre bien établit.

Comme prévu, histoire semblable, mais pas mal d'originalité dans les "accidents" que subissent de façon fatale les héros du film. Me suis bien marré quand même.
Mention spéciale à la scène du gymnase

Et un clin d’œil douloureux à la scène de l'ophtalmo


Et petit rôle de coroner pour Tony Todd

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"Et ça ? C'est des timbres retraite pour tuberculeux ?"

[mallox]

POURSUITE MORTELLE
(A lonely Place to Die)

Julian Gilbey
Avec Melissa George, Sean Harris, des rochers, des serbes mééééchants

Une agréable surprise. Bien filmé, on croit partir pour une partie d'escalade genre "Vertige" pour tomber brutalement dans une seconde partie elle aussi très Survival mais en total virage en épingle à cheveux par rapport à la première. ça surprend mais on s'y fait vite et bien, et les acteurs son convaincants. Pas mortel mais plutôt pas mal.



L'affiche ne donne pas envie, mais...

LE SKYLAB - 2011

Julie Delpy
Avec Eric Elmosnino, Aure Atika, Noémie Lvovsky, Bernadette Lafont, Emmanuelle Riva, Vincent Lacoste, etc.

Film de famille ou film chorale comme on dit, pas fan du genre en général et c'est peut-être une accumulation de clichés comme certains le disent, mais pour ma part je me suis bien marré. J'ai retrouvé tous les trucs de quand j'étais gosse et que je partais en Bretagne ou à Montalivet. En plus je me souviens très bien de ce satellite censé tomber sur notre Terre et qui n'avait fait au final qu'une victime, morte d'une crise cardiaque.
Donc je ne le trouve finalement si caricatural même si un peu inégal. Mention spéciale à la scène de la plage de nudiste et Elmosnino qui y rencontre une amie dotée d'une "touffe qu'on ne peut pas rater !" pendant que sa fille est hypnotisée par la teub du fils de cette amie. Complètement barré aussi le passage où l'ancien d'Algérie traumatisé, habitué au viol, se hisse dans la chambre de son beau-frère, rampe comme à la guerre en pleine nuit las couilles à l'air, pour violer sa femme.
Sans compter l'autre qui dit "se faire prendre 20 fois par nuit" tandis qu'on lui demande si e"lle n'a pas la chatte qui la brûle". J'y ai retrouvé également les mêmes discussions dégénérant en engueulades "familiales" gauche/droite auxquelles on pouvait assister à l'époque ; mention spéciale à cet égard aux propos à l'égard de la femme du facho, traitée de bougnoule Corse ce qui ne manque pas de le faire disjoncter.

Bref, très sympa pour ma part. ça m'a rappelé certaines comédies de Pascal Thomas durant les années 70 comme "Le chaud lapin" dont je remets l'extrait de la crotte de Bernard Menez, passage dont je ne me lasse pas...

http://www.dailymotion.com/video/xbtkw3_le-chaud-lapin-bernard-menez-1974_fun
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[mallox]

J'ai bien aimé !
(mallox blogspot)



Si toi aussi tu t'es fait chier comme un rat mort à la série des Ocean Sodenbeurk et que tu veux t'achever, ce film est pour toi. N'envisage même pas de passer un moment de cinéma pop-corn regardable. à chier total.
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[princesse.rosebonbon]

[mallox]

[sigtuna]

[princesse.rosebonbon]

The River
série US démarrée fin 2011
de Oren Peli & Michael Perry

Si je vous dis qu'une expédition est envoyée au milieu de la jungle sur les traces d'une précédente équipe portée disparue, qu'on retrouve leurs enregistrements, prétexte à filmer des trucs inquiétants en caméra subjective qui remue, vous me répondez naturellement Cannibal Holocaust.

Evidemment The River pompe allègrement chez Deodato, mais comme on est dans les années 2010 et que c'est le branquignole de Paranormal Activity aux manettes, la violence crue et immorale de l'original et son questionnement de l'image sont troqués pour du fantastique pétocheux.

J'ai regardé les 4 premiers épisodes et la série commence déjà à patauger dans une certaine routine. L'équipe est sur son bateau au milieu de la foret amazonienne (et au milieu coule une rivière), sans itinéraire en tête, quelqu'un lance une cassette du Nicolas Hulot/Bear Grylls perdu de vue qui leur fournit un semblant de piste sur lequel ils s'engouffrent tête baissée, or, comme chacun le sait, dès qu'on écarte 3 branches de cette région du monde qui n'existe sur aucune carte (sic), un esprit malveillant vous saute à la gueule. Et pourtant la mexicaine de service (oui, au sud du texas, tout le monde est mexicain) les avait encore prévenus de cette vieille légende indienne...

Le sur-montage et l'aspect webcam finissent par donner l'impression qu'on regarde une bande-annonce en mauvais streaming, plus qu'une véritable histoire.

C'est une série, ça ressemble à youtube et ça remake un classique sans l'avouer : l'horreur 2.0

[Bigbonn]

splice, de Vincenzo Natali.
Bon, ben, c'était pas fameux, je m'y suis bien emmerdé pendant un bon moment et j'ai trouvé les deux personnages principaux (les scientifiques) vraiment pas crédibles pour un sou ni même intéressants.
La créature prend sa place progressivement et est plutôt réussie, elle, mais au final, c'est quand même pas bien terrible ce splice...

[mallox]

Mouais, ni bon ni mauvais pour moi. Vu à l'époque avec plaisir mais sans plus, puis totalement oublié depuis. Finalement du réalisateur je retiens surtout "Cypher" que j'avais trouvé pas mal. "Cube" aussi ceci dit, une fois enjambé ses séquelles et Cube like de bas étage...
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[Stegg]

Mon "Natali" serait plutôt "Nothing", peut-être parce que c'est celui qui se prend le moins aux sérieux.

En tous cas, la créature de "Splice" est superbe et j'avais bien aimé ce mélange de complexe d’Œdipeet de Frankenstein.


Et j'avais bien aimé "Mélancholia" et l'interview cannoise est pas forcément vaine quand on voit que le sujet du film est l'apparence en société.

[igorfx]

Vu ce week-end un film d'Alain Jessua que je ne connaissais pas, coécrit par André Ruellan (Les chiens) avec Patrick Dewaere dans un de ses derniers rôles, Philippe Léotard, Jacques Dutronc,....

Un très bon moment de cinéma, avec toujours une touche un peu fantastique que sait donner Jessua à ses films...