votre psychovision du soir

[mallox]

[Stegg]

Moi aussi.
L'un des meilleurs sitcoms des années 2000.

Il faut dire que la sacro-sainte famille en prend pour son grade ^^

[Camif]

[Candyman]

[mallox]

Perso je trouve que tous les personnages vivent à l'écran, et perso, j'aurais plutôt une préférence pour la mère hystérique (Jane Kaczmarek) qui ressemble à ma femme. (même hystérie, même intolérance, même régime de la terreur)
Antipathiques, pas tant que ça, plutôt moyens, dépassés et de fait pathétiques, des parents immatures, des enfants ingrats, Malcolm y compris n'est pas épargné puisque le jugement qui revient inéluctablement à son encontre est qu'il est hautain et sarcastique avec les autres.
J'aime bien le petit dernier également, qui n'est pas le moins diabolique, loin s'en faut.
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[mallox]

True Legend - 2011

Origine du film : Chine / Hong-Kong / U.S.A.
Réalisateur : Woo-Ping Yuen
Acteurs : Vincent Zhao, Zhou Xun, Michelle Yeoh, Xiaogang Feng, Andy On
Genre : Historique, Action

Général réputé de la dynastie Qing, Su Chan met fin à sa carrière militaire pour réaliser son rêve : fonder une famille et sa propre école d'arts martiaux. Mais sa paisible existence est réduite à néant quand Yuan Lie, son frère adoptif qui cherche depuis toujours à venger son père naturel, exécute le père de Su Chan provoquant ce dernier en duel. Grâce à sa maîtrise des cinq venins mortels et à une armure le rendant quasiment invulnérable, Yuan Lie triomphe de Su Chan et enlève son fils Feng...

Une petite pensée pour "5 Venins mortels" justement pour un film ma foi distrayant. ça bouge, ça a l'odeur et le goût de l'aventure, on est pas très loin de "Ip Man" ou de "Detective Dee", avec même des airs de Ronny Yu et son "Maître d'arme", notamment dans son dernier segment avec combats contre catcheurs ; du coup, bien que ressemblant à un best of, bien qu'accusant un sérieux coup de pompe (au cul) à l'heure de film où s'étalent des affres un peu forcés du héros, bien qu'abusant de câbles dans quelques parties kung-fu-Panda-ballet, ben, on passe un moment agréable. Conseillé à tous les Bigbonn du monde (et même d'ailleurs !).




Love - 2011

Réalisé par William Eubank
Avec Gunner Wright, Corey Richardson...

Une tentative de science-fiction "sensorielle" produit par le groupe Angels & Airwaves dans lequel un astronaute en orbite se rend compte de la solitude humaine et du besoin d'amour. Autant dire que si le résultat est relativement réussi dans son registre planant, il verse dans le pensum cul-cul en empruntant qui plus est à de trop évidentes et écrasantes références, Solaris, 2001 et Silent Running, pour finalement ressembler davantage à du Danny Boyle et son "Sunshine" qui lui aussi prenait aux mêmes sources. Mouais...




La Dame en noir - 2011

Réalisé par James Watkins
Avec Daniel Radcliffe, Ciarán Hinds...

Arthur Kipps, jeune notaire à Londres, est obligé de se rendre dans le petit village perdu de Crythin Gifford pour régler la succession d’une cliente récemment décédée. Dans l’impressionnant manoir de la défunte, il ne va pas tarder à découvrir d’étranges signes qui semblent renvoyer à de très sombres secrets. Face au passé enfoui des villageois, face à la mystérieuse femme en noir qui hante les lieux et s’approche chaque jour davantage, Arthur va basculer dans le plus épouvantable des cauchemars…

Toute la panoplie des films d'épouvante de la Hammer dans un seul film. Tous les effets visuels déjà vus dans le genre spectres, et un calvaire sonore où même les battements d'ailes d'un corbeau font mal au crâne. Insipide et indigeste mélange de vieux gothique et d'effets numériques 1000 fois vus. Comme Throma aime les films de fantôme et les Harry Potter, je ne peux que lui conseiller !
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[princesse.rosebonbon]

Sacrifices (The Laughing Dead)
UK - 1989 (que fait-il dans la zombie liste 90-99 ? )

alors c'est l'histoire d'un prêtre qui organise une excursion archéologique au mexique pour un petit groupe hétéroclite qui a l'air de se contrefoutre à la fois de la religion, de l'archéologie et du mexique. jusque-là c'est logique, c'est après que ça se complique avec un dieu du mal qui possède le prêtre pour qu'il commette un sacrifice censé plonger le monde dans les ténèbres, mais en fait c'est une illusion dans la réalité dans un rêve dans la vraie vie ou l'inverse, on hésite.

j'ai passé une bonne partie du film à me demander si somtow suchariktul n'était pas un pseudonyme pour ngai kai lam tellement il lui emprunte ce style frappadingue, rempli de débordements grand-guignol mémorables et traversé de (quelques) passages inspirés.
aztèques, mayas, incas, il en a rien à battre, il est pas venu pour faire dans la dentelle culturelle et si ça lui fait plaisir il y met une couche de gamelan indonésien par dessus. ses personnages sont proprement insupportables, son scénario est idiot et confus, suffisamment en tout cas pour créer la surprise à chaque scène et maintenir le spectateur eberlué d'un bout à l'autre.

merci bbjane

[Throma]

je me souviens du moins, je CROIS me souvenir de...










































...DINOSAURES qui JOUENT au BASKET ?

Sinon, j'avais aimé malgré les Fossile Globe Trotters.
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http://www.vhs-survivors.com/myvhs.php?alias=Throma

[Bigbonn]

Coups de feu dans la Sierra, de Sam Peckinpah. 1961.
Les affres existentielles de deux vieux oubliés de l'histoire de l'ouest, l'un essayant de continuer à vivre droit dans ses bottes et en accord avec sa conscience à défaut de biffetons et de reconnaissance, l'autre légèrement décidé à faire un pas de côté avec l'aide d'un petit jeune.
Le parcours des deux papys le colt à la ceinture est un peu long au début sans être désagréable, avant de s'accélérer avec l'arrivée dans un camp de mineurs accompagnés d'une jeune fille venue chercher un mari.

tiens, d'ailleurs, l'affiche ci-dessus est bien mensongère puisqu'elle semble opposer cowboys et indiens (sur la droite, me semble bien que ça en est), alors qu'on ne voit pas l'ombre d'une plume dans le film.



Johnny Guitar, de Nicholas Ray. 1954.
Excellent!
Je ne m'en souvenais plus, l'ayant vu gosse et peu passionné à l'époque par cette histoire opposant deux femmes de tête, Vienna d'un côté, Emma de l'autre, chacune s'entourant d'hommes qu'elles dirigent voire manipulent.
Quant à Johnny Guitar, il jouera relativement peu de son instrument à cordes, en tout cas pas plus que de son instrument à balles auquel il semble encore plus virtuose.
Si je devais n'émettre qu'une petite réserve, ce serait celle-ci: j'ai trouvé que Joan Crawford était un peu vieille pour le rôle, ou ses partenaires un peu jeunes par rapport à elle.
Mais sinon, c'était pour moi une vraie redécouverte.

[mallox]

[Stegg]

[Bigbonn]

L'étrange incident, de William Wellman, 1943.

Pas terrible ce titre, assez peu approprié en fait à l'histoire racontée, tournant autour d'une justice expéditive et d'une meute avide de lynchage.

Excellent film par contre qui, sur un temps assez court, convainc et impressionne.
Je vous recommande la critique de Tortillafilms, signée d'un certain Gilles V., à condition que vous sautiez le deuxième petit paragraphe qui en dit juste un peu trop (ce Gilles V. est un affreux spoileur! qu'on lui passe la corde autour du cou!)

Même si le film n'est pas bâti autour du fait de savoir si le lynchage aura effectivement lieu ou pas, il faut reconnaître que ne pas savoir, ou ne pas être certain, de ce qui va vraiment se passer fait naître une tension d'autant plus palpable qu'on la partage avec les accusés et leurs rares défenseurs. Content, donc, pour ma part, de ne pas avoir lu la critique avant d'avoir vu le film. Et pas mécontent de l'avoir lue après.

Très content aussi d'avoir pu découvrir ce film grâce aux conseils plus qu'avisés du Mallox.

[sigtuna]

C'est ta période Western US.

C'est scandaleux ce Gilles V. qui résume tout le film, j’espère que Mallox lui interdira toute intervention sur Psycho

Sinon le meilleur role d'Anthony Quinn, qui ne sera jamais aussi bon (voir même souvent mauvais) par la suite et qui là dans un petit role eclipse presque Fonda et Dana Andrews (lui aussi debutant).
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[mallox]

Il est impossible de parler de ce film sans en dévoiler l'issue.
J'ai vu ce film 5 fois et ça ne change rien, au contraire, il y rôde une atmosphère de fatalité et de mort encore plus marquée. (Ceci dit, si tu lis bien, le reste de la critique spoile aussi).

[Bigbonn]