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Walter Paisley 99 % irradié


Inscrit le: 27 Nov 2004 Messages: 1332 Localisation: Place du Colonel Fabien
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Posté le: Sam Aoû 11, 2007 11:12 pm Sujet du message: [M] [Critique] Le Dernier jour de la colère |
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I Giorni dell'Ira. 1967.
Origine : Italie / R.F.A.
Genre : Western
Réalisation : Tonino Valerii
Avec : Giuliano Gemma, Lee Van Cleef, Walter Rilla, Christa Linder...
Scott (Giuliano Gemma) est le garçon à tout faire du village de Clifton, au Texas. De père inconnu, il est considéré comme un bâtard et est méprisé de tout le monde, à l'exception d'un vieux gardien d'écurie, d'un borgne et des prostituées. Mais son destin va croiser celui de Frank Talby (Lee Van Cleef), un pistolero qui va le prendre sous son aile pour lui apprendre son art. Scott assistera ainsi à la vengeance à laquelle se livre Talby, une vengeance qui l'amènera justement à chercher noises aux autorités de Clifton, pour la plupart des pourris... Mais Talby lui-même fera preuve d'un penchant fort prononcé pour la violence et pour l'injustice. Il prendra peu à peu le contrôle du village, avec l'aide d'un Scott devenu lui-même pistolero, et qui semble être sur la mauvaise pente.
Excellent film si il en est, Le Dernier Jour de la Colère est désormais avant tout connu pour s'être fait "emprunté" son excellent thème musical signé Riz Ortolani par Quentin Tarantino pour Kill Bill. Mais le film de Tonino Valerii (et de Ernesto Gastaldi pour le scénario) n'est pas qu'une musique remarquable, c'est aussi un casting dominé brillament par un Giuliano Gemma en petit jeune naïf et par un Lee Van Cleef manipulateur et très ambigu. Deux personnages qui se complètent, et à travers lesquels Valerii nous livre une sorte de mini fresque que l'on aurait apprécié voir plus longue mais qui en l'état reste très prenante. Ne cédant jamais au manichéisme souvent de mise dans le western, le réalisateur nous montre des personnages et des situations orientant le spectateur dans tous les sens. De l'affection qu'il éprouve pour le Talby libérateur à l'aversion pour un même Talby manipulateur et parvenant même à nous faire prendre en pitié les salopards de Clifton, le spectateur ne saura pas véritablement de quel côté se placer. Scott, le héros, se retrouvera un peu dans la même position et naviguera du statut de pauvre souffre douleur à celui de pourri complet, à la fois en quête de vengeance par rapport à ceux qui le considéraient comme un bâtard et cherchant également à asseoir sa puissance via les leçons qui lui furent inculquées par Talby. Et, poussant bien plus loin que les simples combats armés (même si il y en a, et pas des des plus moches), Valerii montre aussi les coulisses de la politique, de la justice et des milieux financiers, tout ça se complétant pour dresser un portrait très sombre des arcanes du pouvoir et des perversions morales qui s'offrent à un personnage, Scott, ayant complétement révolutionné sa vie sous l'impulsion d'un mentor douteux.
C'est donc dans ce climat étrange, où des crapules présumées sont combattues par un bienfaiteur trop interessé et trop omniprésent pour être honnête, que le film se déroulera, se concentrant sur les choix auxquels Scott doit faire face. Sachant tout de ce qui se passe, l'ex-tête de turc sera miné à la fois par des considérations personnelles et par les conseils de son entourrage, de Talby à Murph, le fameux garçon d'écurie, que l'on apprend être un ancien shérif brave et glorieux. Plusieurs années avant Mon Nom est Personne, Valerii affiche déjà une belle maîtrise des codes du western, Talby apparaissant comme un pistolero à la fois bon, brute et truand, et Murph comme un shériff à l'américaine façon John Wayne. Ce sera à Scott de choisir et d'orienter le futur de Clifton, et encore plus loin celui de l'avenir du western. Le côté moralisateur sur la tolérance est bel et bien présent, mais ce sera à Scott (et au spectateur) de le retrouver au milieu des nombreux faits dont il dispose, et de l'analyse qu'il est invité à en faire. Seule la fin, présentant une situation clarifiée, viendra apporter les clefs à toute cette prenante intrigue. Un peu facile, certes, mais le duel réservé pour l'occasion par Valerii n'a pas à pâlir des duels leoniens, énormes sources d'influence dans la mise en scène.
Le Dernier Jour de la Colère est véritablement le dessus du panier dans le genre western spaghetti, ne cédant jamais à l'iconisation facile de ses personnages malgré la présence d'un Giuliano Gemma au physique de jeune homme complètement adapté au rôle Scott et celle d'un Lee Van Cleef comme d'habitude impeccable et mystérieux. Un film très dense, même parfois trop (la transition entre le Scott opprimé et le Scott pistolero est un peu très rapide, pour citer l'un des tirages de cheveux les plus prononcés), avec de nombreux morceaux de bravoures formels (un duel à cheval au milieu du désert, très efficace) et venant apporter une belle pierre à un genre qui a énormément fait pour la renomée du cinéma d'exploitation italien. Rarement les coulisses du pouvoir, pourtant plusieurs fois illustrées à l'écran dans les westerns, n'auront été aussi bien rendues et auront connues un traitement aussi fascinant, à la fois violent et réflexif, marriant des notions comme la démagogie, la corruption, l'amitié, dans le but d'y placer des personnages face à leurs propres responsabilités, à la fois personnelles et citoyennes. Enormément d'enjeux pour un film que l'amateur de westerns spaghetti (et de cinéma en général) se doit d'avoir vu !
8/10
Accroche : Le spaghetti psychologue |
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mallox Super héros Toxic


Inscrit le: 10 Sep 2006 Messages: 13982 Localisation: Vendée franco-française
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Posté le: Dim Aoû 12, 2007 6:18 am Sujet du message: |
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On se demande bien ce qu'il reste à prendre au gros Quentin comme compo de film. Pour ma part il s'agit sans problème du meilleur western et même film que j'ai vu de Tonino Valerii et comme tu l'as précisé on pourra même le trouver "trop dense" ou "trop court" pour ce qu'il brasse. Le duel à cheval est un excellent moment et les personnages sont bien écrits et incarnés. un dessus de panier en effet... un poil trop classique par moment peut-être. peut-être.  _________________
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Bigbonn Psycho-cop


Inscrit le: 13 Déc 2004 Messages: 4107
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Posté le: Dim Aoû 12, 2007 8:36 am Sujet du message: |
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Pour ma part, j'avais été un peu déçu à la première vision, le trouvant peut-être un poil trop classique en effet. Revu quelques mois plus tard, je l'ai trouvé beaucoup mieux que la première fois, beaucoup plus intéressant et prenant.
Faudra que je le re-regarde encore une fois pour me forger une opinion claire et définitive à son sujet!  |
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flint Super héros Toxic


Inscrit le: 13 Mar 2007 Messages: 7606 Localisation: cusset-plage
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Posté le: Dim Aoû 12, 2007 3:13 pm Sujet du message: |
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Un très bon western, sans aucun doute. Un scénario lorgnant vers la tragédie cornélienne, et un duo Gemma/Van Cleef impeccable. Avec ce "Dernier Jour de la Colère" et "Folie Meutrière", Valerii a prouvé qu'il n'était pas uniquement l'homme d'un seul film ("Mon nom est Personne").
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mallox Super héros Toxic


Inscrit le: 10 Sep 2006 Messages: 13982 Localisation: Vendée franco-française
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Posté le: Dim Aoû 12, 2007 4:20 pm Sujet du message: |
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flint a écrit: | Un très bon western, sans aucun doute. Un scénario lorgnant vers la tragédie cornélienne, et un duo Gemma/Van Cleef impeccable. Avec ce "Dernier Jour de la Colère" et "Folie Meutrière", Valerii a prouvé qu'il n'était pas uniquement l'homme d'un seul film ("Mon nom est Personne").
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Je vais peut-être en faire hurler plus d'un, mais "Mon nom est personne" ne m'a jamais paru terrible terrible. Assez lourd, sinon balourd, les acteurs y surjouent, ça dure plus de 2 h, enlevez la zik de Morricone et ma foi, reste quoi, 3 ou 4 bonnes scènes ... très surestimé.
Son Folie meutrière est également assez classique, quand bien même réussi. J'ai également un très bon souvenir de "Texas" du même cinéaste engagé Valerii ricard festin, et chroniqué ici par le même Walter Paisleyros.
Par contre, j'aimerai assez avoir des avis sur "Une raison pour vivre, une raison pour mourir" si certains l'ont vu. _________________
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flint Super héros Toxic


Inscrit le: 13 Mar 2007 Messages: 7606 Localisation: cusset-plage
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Posté le: Dim Aoû 12, 2007 4:38 pm Sujet du message: |
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mallox a écrit: |
Par contre, j'aimerai assez avoir des avis sur "Une raison pour vivre, une raison pour mourir" si certains l'ont vu. |
En ce qui me concerne, je l'ai trouvé assez moyen. Trouvé en K7 sous le titre "La Horde des Salopards", l'histoire m'a assez peu emballée, malgré de bons acteurs. En fait, j'ai trouvé que le film hésitait entre le "spaghetti" et le western traditionnel, sans trouver sa véritable identité, ce qui le rend un peu "bancale". |
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Walter Paisley 99 % irradié


Inscrit le: 27 Nov 2004 Messages: 1332 Localisation: Place du Colonel Fabien
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Posté le: Dim Aoû 12, 2007 6:43 pm Sujet du message: |
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Mais en fait Valerii semble être un vrai admirateur de westerns à l'ancienne, à l'américaine, et c'est vrai qu'on retrouve toujours une certaine dose de classicisme chez lui. D'ailleurs c'est de la passation de pouvoirs entre l'ancienne génération américaine (Fonda) et la nouvelle italienne (Hill) que parle Mon Nom est Personne (que j'aime bien).
Plus tard, Eastwood continuera un peu cette thématique avec ses personnages de vieux pistoleros passés de mode (Impitoyable, que je trouve génial). |
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mallox Super héros Toxic


Inscrit le: 10 Sep 2006 Messages: 13982 Localisation: Vendée franco-française
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Posté le: Dim Aoû 12, 2007 9:50 pm Sujet du message: |
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Walter Paisley a écrit: | D'ailleurs c'est de la passation de pouvoirs entre l'ancienne génération américaine (Fonda) et la nouvelle italienne (Hill) que parle Mon Nom est Personne (que j'aime bien). |
'Mon nom est personne' date tout de même de 72 ou même 73, non? date du déclin du western italien également, qui finalement aura duré une douzaine d'années (sans compter les quelques sursauts fantaisistes tardifs, ou en comptant les petits retours de sauces lunatiques de 1975 ). En même temps, c'est peut-être personnel mais Terence Hill n'est à mes yeux absolument pas emblématique du western spaghetti.
J'y vois d'avantage dedans une déclinaison du cinéma de Ford et notamment "l'homme qui tua liberty valance" et sa réflexion sur l'histoire et la légende. Ce qui rejoins en revanche ce que tu dis sur le classicisme à l'américaine de son auteur. Je trouve d'ailleurs très intéressant ce que raconte "mon nom est personne", mais le traitement ma foi perso, sans détester pour autant, je le trouve à la fois lourd et léger, bref sans plus.
Mais j'aime bien la musique.  _________________
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Walter Paisley 99 % irradié


Inscrit le: 27 Nov 2004 Messages: 1332 Localisation: Place du Colonel Fabien
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Posté le: Dim Aoû 12, 2007 10:16 pm Sujet du message: |
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mallox a écrit: | Walter Paisley a écrit: | D'ailleurs c'est de la passation de pouvoirs entre l'ancienne génération américaine (Fonda) et la nouvelle italienne (Hill) que parle Mon Nom est Personne (que j'aime bien). |
'Mon nom est personne' date tout de même de 72 ou même 73, non? date du déclin du western italien également, qui finalement aura duré une douzaine d'années (sans compter les quelques sursauts fantaisistes tardifs, ou en comptant les petits retours de sauces lunatiques de 1975 ). |
Oui mais justement : en 73 le western spaghetti s'est défitivement substitué aux westerns de John Ford et compagnie. Avant, c'eut été peut-être anticipé de faire un film comme Mon nom est personne. Non ?
Sinon, j'y vois aussi un certain aspect Peckinpah dans le côté "fin d'une époque" (mais Ford peut-être une meilleure référence, je sais pas, je connais mal Ford... faut dire que ceux que j'ai vu, comme La Charge Héroïque et Prisonnière du désert, m'ont pas donné envie de continuer... pis merde, ils sont où les guerilleros mexicains dans ses films, à Ford ?!!!)
Les détracteurs de Leone (qui a beaucoup controlé le film) pourront aussi y voir un truc prétentieux se résumant genre "bon allez, tout le monde dehors, c'est moi le tenancier du western et je ferme boutique".
Mallox a écrit: | En même temps, c'est peut-être personnel mais Terence Hill n'est à mes yeux absolument pas emblématique du western spaghetti. |
C'est sur qu'il n'a pas tourné dans autant de chefs d'oeuvres qu'un Milian, un Van Cleef ou un Nero (j'oublie volontairement un gars comme Gemma, tiens, que je trouve assez à part), même quand il n'était pas avec le gros Bud (Lucky Luke, le dernier western spaghetti ?). Mais cela dit il a quand même une forte présence à l'écran et je pense que si il avait mieux géré ses choix de films, ou si on lui avait proposé de meilleurs films, il aurait pu taper dans la même catégorie que les autres. |
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mallox Super héros Toxic


Inscrit le: 10 Sep 2006 Messages: 13982 Localisation: Vendée franco-française
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Posté le: Lun Aoû 13, 2007 5:18 am Sujet du message: |
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Walter Paisley a écrit: | mallox a écrit: | Walter Paisley a écrit: | D'ailleurs c'est de la passation de pouvoirs entre l'ancienne génération américaine (Fonda) et la nouvelle italienne (Hill) que parle Mon Nom est Personne (que j'aime bien). |
'Mon nom est personne' date tout de même de 72 ou même 73, non? date du déclin du western italien également, qui finalement aura duré une douzaine d'années (sans compter les quelques sursauts fantaisistes tardifs, ou en comptant les petits retours de sauces lunatiques de 1975 ). |
Oui mais justement : en 73 le western spaghetti s'est défitivement substitué aux westerns de John Ford et compagnie. Avant, c'eut été peut-être anticipé de faire un film comme Mon nom est personne. Non ?
Sinon, j'y vois aussi un certain aspect Peckinpah dans le côté "fin d'une époque" (mais Ford peut-être une meilleure référence, je sais pas, je connais mal Ford... faut dire que ceux que j'ai vu, comme La Charge Héroïque et Prisonnière du désert, m'ont pas donné envie de continuer... pis merde, ils sont où les guerilleros mexicains dans ses films, à Ford ?!!!)
Les détracteurs de Leone (qui a beaucoup controlé le film) pourront aussi y voir un truc prétentieux se résumant genre "bon allez, tout le monde dehors, c'est moi le tenancier du western et je ferme boutique".
Mallox a écrit: | En même temps, c'est peut-être personnel mais Terence Hill n'est à mes yeux absolument pas emblématique du western spaghetti. |
C'est sur qu'il n'a pas tourné dans autant de chefs d'oeuvres qu'un Milian, un Van Cleef ou un Nero (j'oublie volontairement un gars comme Gemma, tiens, que je trouve assez à part), même quand il n'était pas avec le gros Bud (Lucky Luke, le dernier western spaghetti ?). Mais cela dit il a quand même une forte présence à l'écran et je pense que si il avait mieux géré ses choix de films, ou si on lui avait proposé de meilleurs films, il aurait pu taper dans la même catégorie que les autres. |
Oui il y a une référence à Peckinpah, mais je pense qu'elle tiens plus de l'ordre de l'hommage cinéphilique. "Il était une fois dans l'ouest" est aussi passé par là, avec sa transition des temps via le chemin de fer et des cow-boys fatigués qui aimeraient souffler (Jason Robards). Fonda n'a pas trop de dimension mélancolique là dessus, son personnage semble peu concerné par ça, il n'a même pas l'air usé, fatigué par ses combats, sa vie tumultueuse. Moi j'ai bien les peckinpah à cause de la mélancolie sous-jacente, et ses personnages pris entre le passé et un modernisme où ils ne se retrouvent pas, avec une justice institutionnalisée qui se sert des anciens bandits, les pires pour la mettre en pratique. (coup de feu dans la sierra/la horde sauvage). C'est assez réactionnaire mais très beau. Bref, j'y vois pas trop de profondeur à cet égard dans "mon nom est personne", ou alors ça manque singulièrement d'âme.
Non ce film là pour ma part est avant tout un brassage cinéphilique sur un thème Fordien avec des réminiscences d'un peu partout dont Peckinpah bien sûr, la horde sauvage - le film - étant littéralement cité.
Pour ma part, un western avec Terence Hill, c'est d'avantage un "Terence Hill" qu'un "Western"... assez vite, ils se sont caricaturés les deux lascars, et j'aurai même tendance à trouver en Terence un sous Franco Nero qui a quand même une autre envergure et de talent et de charisme. Nero est un acteur au panel quand même bien plus large, et Hill, c'est quoi? Trinita... bof quoi.
Sinon, j'aime bien Ford. On peut le trouver moraliste et chiant, le confronter éternellement à Hawks en arguant qu'il n'y a pas de personnages et d'études de caractères chez Ford contrairement à Hawks, dire qu'il parle plus de Nation dans leur globalité que d'êtres humains, mais je suis assez en désaccord avec ça. Beaucoup d'arguments en sa faveur me concernant, mais pas forcément en relation avec ce Topic...
Tiens, je t'envoie mon dvd de "L'homme qui tua liberty Valance" - excellent film , excellent John Wayne, on en recausera si tu veux _________________
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Bigbonn Psycho-cop


Inscrit le: 13 Déc 2004 Messages: 4107
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Posté le: Lun Aoû 13, 2007 6:12 am Sujet du message: |
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Ben moi j'aime bien Mon nom est Personne et le gars Terence Hill, en tout cas dans ce film (et je ne ressens pas le besoin de le justifier ).
Et j'aimerais bien revoir Un génie, deux associés, une cloche qui trône dans ma mémoire au rayon des bon souvenirs. |
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mallox Super héros Toxic


Inscrit le: 10 Sep 2006 Messages: 13982 Localisation: Vendée franco-française
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Posté le: Lun Aoû 13, 2007 6:25 am Sujet du message: |
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Bigbonn a écrit: | Ben moi j'aime bien Mon nom est Personne et le gars Terence Hill, en tout cas dans ce film (et je ne ressens pas le besoin de le justifier ).
Et j'aimerais bien revoir Un génie, deux associés, une cloche qui trône dans ma mémoire au rayon des bon souvenirs. |
bah on le droit d'aimer terence et philipp
par contre "un génie, 2 associés etc..."
Robert Charlebois + Miou Miou = ?
je me doutais bien que je ferai pas l'unanimité sur le valerii... qui me semble une pure distraction cinéphilique, ce qui ne me paraît pas critiquable en soi . Franchement, enlevez sa géniale musique et le résultat serait bien terne... avis perso.
(tiens, il a pas sa critique!)
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