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The Omega Man 99 % irradié


Inscrit le: 25 Juil 2006 Messages: 1155 Localisation: Belgique
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Posté le: Ven Juil 13, 2007 2:54 pm Sujet du message: [M] [Critique] Dracula 73 & Dracula vit toujours à Londr |
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Dracula 73 / Dracula A.D. 1972
Dracula '72 / Dracula Chases the Mini / Dracula Chelsea '72
Dracula Today
Hammer - 1972 - Grande Bretagne
Producteur : Josephine Douglas
Réalisateur : Alan Gibson
Scénario : Don Houghton
Musique : Mike Vickers
Image : Dick Bush
Accroche : Dracula et la fièvre du samedi soir
Avec:
Christopher Lee (Dracula), Peter Cushing (Lorimer Van Helsing), Stephanie Beacham (Jessica Van Helsing), Christopher Neame (Johnny Alucard), Michael Coles (Inspector Murray), Carolyn Munro (Laura Bellows) et la participation du groupe « Stoneground »
Résumé:
Un siècle après la destruction de Dracula par Van Helsing, le prince des ténèbres est de retour ressuscité par l’un de ces disciples, Johnny Alucard. En effet celui-ci profitant de son ascendant sur un petit groupe de jeune, va organiser une messe noire et ressusciter son maître. Parmi les participants se trouve justement Jessica , la nièce d’un descendant de Van Helsing.
En 1968 alors que Charlton Heston s’écrase sur la planète des singes, Rosemary donne naissance à un bébé plutôt diabolique et les morts en profitent pour sortir de leurs tombes. Trois films très différents mais qui marquent une date dans le cinéma fantastique contemporain. Le vent tourne les grands studios commencent à s’intéresser au fantastique et en même temps des indépendants réalisent avec trois fois rien de petit film particulièrement novateur et effrayant qui de plus rapporte beaucoup. Le gothisme flamboyant et sensuel des productions Hammer est entrain de s’éteindre laissant la place a une violence plus réaliste et un érotisme plus démonstratif ( le hardcore pointe le bout de son…). En 1970 sort sur les écrans américains un petit film intitulé « Count Yorga Vampire » réalisé par Robert Kelljan, c’est une tentative (ratée) de transposition du mythe vampirique dans un contexte contemporain fortement inspiré par le film de Romero, le film fut un tel succès qui entraîna une suite. Face a ces changements le firme anglaise, sous la pression de son distributeur américain la Warner, va essayer de rajeunir sa série « Dracula ».
Si l’idée d’une nouvelle interprétation plus contemporaine du roman est intéressante, il est très peu probable que la Hammer fut capable (ou aie l’envie) de modifier et de revisiter entièrement le concept de base. La démarche de la firme anglaise était avant tout de contenter leur distributeur américain et de retrouver les faveurs d’un public partit voir ailleurs, n’oublions pas qu’a l’époque la Hammer avait beaucoup de mal de distribuer ces films sur le territoire américain
Pour mener à bien le projet la firme anglaise recrute deux téléastes le réalisateur Alan Gibson dont la réalisation terne, impersonnelle et sans imagination ne fera jamais une seconde illusion et le scénariste Don Houghton qui travailla notamment sur la série « Dr Who ». Certes la télévision anglaise est riche en réalisateurs et scénaristes de talent, encore fallait il tomber sur les bons.
Le scénario de Houghton n’est qu’une pale photocopie de celui d’ « Une Messe pour Dracula » et ne fait que greffer maladroitement les deux personnages centraux du « Cauchemar de Dracula », Van Helsing /Cushing et Dracula / Lee dans un environnement contemporain des plus stéréotypé. En effet l’action du film se situe en Angleterre en 1972 dates de réalisation du film, la jeunesse Londonienne de l’époque est montrée comme une bande de hippies désœuvrés et bohêmes à la recherche d’émotions fortes.
Reconduire le duo mythique Cushing / Lee , une quinzaine d’années après leur premier affrontement, était en soi une des rares bonnes idées (plus commercial qu’artistique) du projet. A condition d’être située dans le cadre d’une éventuelle passation de pouvoir de Van Helsing vers sa nièce et Dracula vers son disciple (Alucard étant l‘anagramme de Dracula). Au lieu de cela devant l’incapacité (ou l’incompétence) de leur successeur les deux stars reprennent (mollement) le combat entamé auparavant.
Heureusement comme dans toutes productions Hammer qui se respecte le film nous réserve son lot de jolie fille. L’actrice anglaise née à Casablanca Stéphanie Beacham est l’une des dernière pin-up de la hammer, future vedette de la série « The Colbys » cross over de « Dynasty », elle se fit remarquée l’année précédente dans le sulfureux « Corrupteur » au côté de Marlon Brando ou l’on pouvait à loisir admirer sa splendide plastique. Elle tourna dans quelques autres productions fantastiques telles que « House of mortal Sin » , «And Now the screaming Starts »,« Inseminoid » ou « Shizo ».http://www.simplystephaniebeacham.com/.
L’autre atout de charme du film est Carolyn Munro dans un rôle bien trop court, elle sera en effet la première victime du conte. L’actrice qui incarnera le rôle de Stella Star dans « Starcrash » et la fameuse Naomi pilote d’hélicoptère qui mitraille la Lotus Esprit de Roger Moore dans « L’espion qui m’Aimait ». L’actrice se frottera de nouveau au vampire dans l’intéressant « Capitaine Kronos, Tueur de Vampires » de Brian Clemens.
Le film se voudrait un Dracula neuf et moderne pourtant ce dernier n’affrontera jamais le monde moderne, puisqu’il restera confiné dans une église en ruine pendant tout le film. Dire qu’à l’origine le big boss de la Hammer voulait que le film se passe entièrement dans un cimetière !. C’est d’autant plus dommage que le personnage dans le roman montre un réel sens de l’adaptation et une curiosité envers tout ce qui est nouveau et moderne. Van Helsing (en fait l’ancêtre de celui du « Cauchemar de Dracula ») n’est guerre mieux loti, il est présenté comme un anachronisme ambulant qui semble vivre dans le passé attendant le retour de son ennemis. Véritable antithèse de son ancêtre présenté dans le chef d’œuvre de Fisher comme un savant érudit au fait des dernières inventions de son époque. Ce qui fit dire à l’époque à certain critique que le film était une apologie du puritanisme castrateur et bourgeois représenté par le personnage de Cushing / Van Helsing contre l’anarchie et l’amour libre incarné par Lee / Dracula et les jeunes hippies, diantre !
Paradoxalement ce qui à l’époque paraissait particulièrement caricatural prend à l’heure actuelle un petit cachet rétro pas désagréable qui sauve le film de la négation total. En effet a part le décolleté de la pulpeuse Stéphanie Beacham (rien avoir avec le joueur), les affrontements entre Cushing et Lee et la belle Carolyn Munro se faisant éclabousser de sang lors d’une messe noire, il n’y a guerre de quoi se pavoiser. Reste une vision caricaturale du Chelseas londonien des années septante, une sorte d’Austin Power version Dracula avant l’heure.
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Dracula vit toujours à Londres / The Satanic rites of Dracula
Count Dracula and His Vampire Bride (USA)
Dracula Is Alive and Well and Living in London
Dracula Is Dead... and Well and Living in London
Rites of Dracula
Hammer - 1974 - Grande Bretagne
Producteur : Roy Skeggs
Réalisateur : Alan Gibson
Scénario : Don Houghton
Musique : John Cacavas
Image : Brian Probyn
Accroche: Un dernier pour la route ?
Avec:
Christopher Lee (Dracula / D. D. Deham), Peter Cushing (Lorimer Van Helsing), Joanna Lumley (Jessica Van Helsing), Freddie Jones (Professeur Julian Keeley), Michael Coles (Inspector Murray), Barbara Yu Ling (Chin Yang), Valerie Ost (Jane), Richard Vernon (Colonel Matthews), Patrick Barr (Lord Carradine)
Résumé:
De grandes personnalités assistent à des réunions dans un mystérieux manoir. Cela inquiète Scotland Yard. Un policier mourant apporte des photos compromettantes pour ces personnalités et pour un ministre du gouvernement au commissaire. Comprenant que cette histoire est explosive, le commissaire fait appel à l'inspecteur Murray de Scotland Yard qui lui contacte aussitôt Van Helsing, professeur spécialisé dans les sciences occultes.
L’année suivante la même équipe Gibson / Houghton récidive en signant ce que l’on peut considérer comme le dernier films de la série avec Christopher Lee et légerement plus réussit que son prédécesseur. Pour une fois le script plein de rebondissements réservait son lot de bonnes idées dont la plus ironique était de transformer le prince des ténèbres en prince de la finance. Infiltrant, grâce à son pouvoir hypnotique les hautes sphères du pouvoir (politique, militaire et religieux), il peut a loisir préparer son projet d’anéantissement de l’humanité via la propagation d’une souche très virulente de la peste bubonique. Une sorte de suicide qui serait l’écho d’après certains de la décision de Lee de ne plus reprendre son rôle. Malheureusement une fois de plus la réalisation médiocre de Gibson et des fautes de goûts torpille le projet pourtant prometteur. Si ce curieux mélange d’action, d’espionnage et d’horreur a bien du mal à convaincre, il donne lieu à quelques séquences particulièrement intéressantes. On notera parmi celles ci une cave peuplée de femmes vampire enchaînées à leur cercueil (on dirait du Rollin) et qui seront détruites grâce au système d’incendie ou le rôle. La secrétaire kidnappée, transformée en femmes vampire et attaché dans la même cave ou la garde personnelle de Dracula composée non plus de gitan, mais d’homme de main se déplaçant en moto et revêtu de très saillant gilet afghan. Paradoxalement ce sont les passages ou apparaît Dracula / Lee qui sont les plus faibles, pourquoi diable son personnage est il obligé, même au vingtième siècle, de porter une cape. Ce qui nous fait penser que ce « Dracula » aurait put être un excellent film s’il n’avait justement pas été un « Dracula ».
Le personnage de Van Helsing, toujours aussi anachronique, participe beaucoup moins à l’action pure (fusillades, poursuites,…). Laissant enfin ce privilège aux « jeunes » sa nièce Jessica et l’inspecteur Coles (rescapé de l’épisode précédent). Mais son incontestable expérience dans le domaine de l’occultisme lui permet de prodiguer de précieux conseil. Il mènera d’ailleurs sa propre enquête parallèlement ce qui l’amènera sur la piste du mystérieux D.D.Dehan et évidement dans les griffes de son ennemi. Pendant que l’inspecteur Coles sauvera Jessica, le duo Van Helsing / Dracula se retrouve pour un dernier face à face qui fait bien pâle figure face à leur affrontement épique dans « Le Cauchemar de Dracula ».
Notons l’arrivée dans la série d’un érotisme plus démonstratif, fini les décolletés qui laissaient imaginer d’opulentes poitrines, les chemises de nuit tombent et dévoilent leurs trésors cachés (n’oublions pas que la censure anglaise est l’une des plus stricte). Hélas en ces temps de récession et de crise pétrolière les plantureuses créatures de la nuit ont laissé la place à des squelettes décharnés. Ainsi la blonde et généreuse Stéphanie Beacham à céder sa place à la maigriotte Joanna Lumley. James Bond Girl entre aperçue dans « Au Service Secret de sa Majesté » et interprète de Purdey dans la dernière série des « Chapeaux Melons / The New Avenger ». La pauvre a bien du mal à remplir la robe blanche que portait sa devancière.
Triste baroude d’honneur pour le Prince des vampires, alors que la firme anglaise avait réussit quelques variations intéressantes notamment avec sa trilogie inspirée de la « Carmilla » de Sheridan le Fanu, « The Vampire Lovers / Lust For a Vampire / Twins of Evill ». Des films qui connurent leur petit succès malgré (à cause) leur démêlée avec la censure et une très mauvaise distribution aux états unis. Inspiré des méfaits de la fameuse comtesse sanglante les films ne lésinèrent pas sur l’érotisme à base de vampire saphique (Ingrid Pitt fut l’une des révélations de la série) et une violence graphique des plus démonstrative. Une trilogie à laquelle on peut ajouter « Countess Dracula, Les 7 Vampires d’or, Le Cirque des Vampires et le fameux Capitaine Kronos». Preuve que l’on pouvait encore innover sinon surprendre dans le domaine du vampirisme, encore fallait-il que le cœur y soit.
La Hammer a inventé un style propre très reconnaissable qui marque encore aujourd’hui des générations de cinéphiles, un style qu’illustrait parfaitement la série des Dracula. Malheureusement les producteurs pour de mauvaises raisons et de discutables choix artistique finirent par enlever tout l’intérêt attractif (voir sexuel) du mythe et faire du comte un simple séide du mal. Christopher Lee dégoûté et perplexe par l’orientation que prenait son rôle décida d’abandonner le personnage et de partir aux états unis. Son départ atterra la fin de la série, le personnage apparaissant une dernière fois sous les traits de John Forbes-Robertson dans « Les 7 Vampires d’Or ».
Anecdote: la même année sortait « L’Exorciste » !
Dernière édition par The Omega Man le Sam Juil 14, 2007 2:58 pm; édité 1 fois |
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mallox Super héros Toxic


Inscrit le: 10 Sep 2006 Messages: 13982 Localisation: Vendée franco-française
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Posté le: Ven Juil 13, 2007 3:04 pm Sujet du message: |
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'Tain si Omega se met à pondre des doubles programmes comme au bon vieux temps des Maxeville, Brady et Hollywood Boulevard, avec deux films (critiques) de choix et ce, sans qu'on paye en sus... chapeau ! (même si pour ma part, 2 films pas mal poussifs qui sentent vraiment la fin). _________________
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Valor Psycho-cop


Inscrit le: 22 Fév 2007 Messages: 4497 Localisation: Vanves
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Posté le: Ven Juil 13, 2007 10:42 pm Sujet du message: Re: [Critique] Dracula 72 & Dracula vit toujours à Londr |
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Si tu mets les titres en VB (version belge) dans l'intitulé du sujet tu devrais mettre "Dracula septante-trois", hein ?
A ne pas confondre avec celui-ci qui nous vient aussi d'Outre-Quiévrain :
Purdey ! Oh my God !
Grand souvenir de jeunesse ! dans "Chapeau melon et bottes de cuir" / The New Avengers" et dernièrement dans "Absolutely Fabulous".

Dernière édition par Valor le Jeu Juil 26, 2007 7:31 am; édité 2 fois |
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mallox Super héros Toxic


Inscrit le: 10 Sep 2006 Messages: 13982 Localisation: Vendée franco-française
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Posté le: Sam Juil 14, 2007 4:22 am Sujet du message: Re: [Critique] Dracula 72 & Dracula vit toujours à Londr |
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Valor a écrit: |
Purdey ! Oh my God !
Grand souvenir de jeunesse ! dans "Chapeau melon et bottes de cuir" / The New Avengers" et dernièrement dans "Absolutely Fabulous".
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l'épisode dans le monastère Nazi m'avait fait forte impression. Jamais oublié, faut dire qu'il y avait l'indispensable Gambit, comme celui avec le rat géant.
Pour absolutely fabulous ... l'épisode vacances dans le sud de la France, dans une ferme isolée, j'en ris encore, je sais pas si tu te souviens.
(et Father Ted, tu connais? - peux-être pas le bon topic, m'enfin pour dire 2 lignes...). _________________
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flint Super héros Toxic


Inscrit le: 13 Mar 2007 Messages: 7606 Localisation: cusset-plage
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Posté le: Sam Juil 14, 2007 4:44 am Sujet du message: Re: [Critique] Dracula 72 & Dracula vit toujours à Londr |
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mallox a écrit: |
l'épisode dans le monastère Nazi m'avait fait forte impression. Jamais oublié, faut dire qu'il y avait l'indispensable Gambit, comme celui avec le rat géant.
(et Father Ted, tu connais? - peux-être pas le bon topic, m'enfin pour dire 2 lignes...). |
L'épisode devait s'appeler "Le Repaire des Aigles", si ma mémoire est bonne, avec un Adolf Hitler conservé en cryogénisation. L'un des meilleurs épisodes de l'ère post Tara King.
Et "Father Ted", quel régal (remember "L'Eurovision )
Pour en revenir au double programme de Omega Man (bravo pour la double chronique), je me rends compte que je n'ai vu que Dracula 73. C'était il y a longtemps, et je me souviens seulement que ce n'était pas terrible en effet. D'Alan Gibson, j'ai de meilleurs souvenirs d'un thriller réalisé en 1970 : "Crescendo", sorti en France en VHS chez Warner sous le titre "Le Mannequin Défiguré". Un huis-clos bien ficelé, j'avais trouvé.
Comme l'a souligné Omega Man, le déclin de la Hammer est un peu triste, tellement la firme a apporté au genre fantastique. Mais même dans les dernières années, elle a sorti de très bon films, comme justement ce "Capitaine Kronos Tueur de Vampires". |
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mallox Super héros Toxic


Inscrit le: 10 Sep 2006 Messages: 13982 Localisation: Vendée franco-française
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Posté le: Sam Juil 14, 2007 4:53 am Sujet du message: Re: [Critique] Dracula 72 & Dracula vit toujours à Londr |
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flint a écrit: | mallox a écrit: |
l'épisode dans le monastère Nazi m'avait fait forte impression. Jamais oublié, faut dire qu'il y avait l'indispensable Gambit, comme celui avec le rat géant.
(et Father Ted, tu connais? - peux-être pas le bon topic, m'enfin pour dire 2 lignes...). |
L'épisode devait s'appeler "Le Repaire des Aigles", si ma mémoire est bonne, avec un Adolf Hitler conservé en cryogénisation. L'un des meilleurs épisodes de l'ère post Tara King.
Et "Father Ted", quel régal (remember "L'Eurovision )
Pour en revenir au double programme de Omega Man (bravo pour la double chronique), je me rends compte que je n'ai vu que Dracula 73. C'était il y a longtemps, et je me souviens seulement que ce n'était pas terrible en effet. D'Alan Gibson, j'ai de meilleurs souvenirs d'un thriller réalisé en 1970 : "Crescendo", sorti en France en VHS chez Warner sous le titre "Le Mannequin Défiguré". Un huis-clos bien ficelé, j'avais trouvé.
Comme l'a souligné Omega Man, le déclin de la Hammer est un peu triste, tellement la firme a apporté au genre fantastique. Mais même dans les dernières années, elle a sorti de très bon films, comme justement ce "Capitaine Kronos Tueur de Vampires". |
Pour ma part, découvert ces films, il y a une dizaine d'années. Cinécinéma avait eu la bonne idée de faire un cycle dracula hammer allant du meilleur au pire. quoique le pire étant ceux-ci justement, c'était tout de même assez regardable, ou délectable selon.... je crois avoir préfré dracula vit toujours à Londres. dans mon souvenir dracula 73 (de 1972 donc) était assez laid et baveux esthétiquement. un Dracula de vide-grenier en fait avec rien d'harmonieux.
OUi Captain Kronos manque de peps, mais c'est un bon film. plus encore même. Brian Clemens justement. comme quoi, on fait le tour du melon.
Pour l'épisode de melon de cuir donc, c'est plutôt l'air Purdey. avec un monastère qui est en fait une secte nazie et point d'Hithler surgelé. Celui-ci est bien un Tara King en effet. _________________
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Valor Psycho-cop


Inscrit le: 22 Fév 2007 Messages: 4497 Localisation: Vanves
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Posté le: Sam Juil 14, 2007 10:05 am Sujet du message: |
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mallox a écrit: | Pour l'épisode de melon de cuir donc, c'est plutôt l'air Purdey. avec un monastère qui est en fait une secte nazie et point d'Hithler surgelé. Celui-ci est bien un Tara King en effet. |
Pardon? J'ai pas compris ce que tu veux dire ...
L'épisode dont parle flint c'est: "Le repaire de l'aigle"
avec Peter Cushing dans le rôle de ... Von Claus !
http://theavengers.free.fr/guide_episodes/saison_1976_1977/162_le%20repaire_de_l_aigle.htm
Je ne vois aucun épisode "Tara King" avec des nazis ...
On retrouve aussi Caroline Munro dans un épisode :
http://theavengers.free.fr/guide_episodes/saison_1976_1977/179_les_anges_de_la_mort.htm
mallox a écrit: |
Pour absolutely fabulous ... l'épisode vacances dans le sud de la France, dans une ferme isolée, j'en ris encore, je sais pas si tu te souviens.
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Ah ça ! J'y pensais justement quand tu parlais de tes vacances en Vendée! J'espère qu'on ne t'a pas volé le volant de ta voiture !
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mallox Super héros Toxic


Inscrit le: 10 Sep 2006 Messages: 13982 Localisation: Vendée franco-française
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Posté le: Sam Juil 14, 2007 10:46 am Sujet du message: |
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autant pour moi, mallox est insomniaque et surtout roi du bug.
J'avais pas vu "post" Tara King" et donc je pensais que Flint avait commis une erreur...
C'est bien du même épisode dont on parle donc... où si je me souviens bien à la fin nos 3 compères repartent en sifflotant un air connu (mais lequel? le soleil brille brille brille ?! ).
Suis certain que vous vous souvenez de ça.
Et l'épisode avec un gros rat, y en avait pas deux en revanche? _________________
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Valor Psycho-cop


Inscrit le: 22 Fév 2007 Messages: 4497 Localisation: Vanves
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The Omega Man 99 % irradié


Inscrit le: 25 Juil 2006 Messages: 1155 Localisation: Belgique
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Posté le: Sam Juil 14, 2007 2:57 pm Sujet du message: |
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Allez un petit coups de Purdey qui semble en avoir traumatisé plus d'un

Pour les autres Faites vos jeux !

Pour ma part j'ai toujours eu un petit faible pour Linda
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Valor Psycho-cop


Inscrit le: 22 Fév 2007 Messages: 4497 Localisation: Vanves
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Posté le: Jeu Juil 19, 2007 5:21 pm Sujet du message: |
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Sans oublier Honor Blackman a.k.a Cathy Gale ... et Pussy Galore !
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Valor Psycho-cop


Inscrit le: 22 Fév 2007 Messages: 4497 Localisation: Vanves
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Posté le: Sam Juil 21, 2007 5:09 pm Sujet du message: |
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Je me demande bien pourquoi certains titres, même chez des majors, sortent en France plusieurs années après avoir été édités Outre-Quiévrain ou ne sortent pas du tout !
Ce fut le cas avec Exotica, Cujo, Témoin muet, Terreur aveugle (avec Mia Farrow), etc... et maintenant ce Dracula 73, même pas annoncé chez Warner France, alors qu'ils ont déjà édité trois Dracula de la Hammer ! Il finira bien par sortir mais vu que ce sera probablement le même et au même prix ...
Fiche technique:
Editeur : Warner Bros
Pays : Belgique
Sortie dvd : 11 / 01 / 2006

Durée : 91 mn 51
Image : 1.78:1 - 16:9 - couleur
Audio : Mono d'origine 1.0
Langues : anglais, français, italien
Sous-titres : anglais, français, italien, néerlandais, arabe + anglais, italien pour malentendants
Région: Zone 2 PAL
Bonus: Bande-annonce
Prix conseillé : 9,99 euros
Accroche de la jaquette : "Le comte est de retour, tombé sous le charme des hot pants londoniens... Et avec une faim insatiable."








L'édition Zone 1 est disponible depuis 2005 sous le titre "Dracula A.D. 1972".
C'est la même mais elle ne propose que deux pistes audio : français, anglais et trois sous-titrages : français, anglais et espagnol. |
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Valor Psycho-cop


Inscrit le: 22 Fév 2007 Messages: 4497 Localisation: Vanves
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Posté le: Sam Juil 21, 2007 8:45 pm Sujet du message: |
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Bon allez, encore une belle image comme on aimerait en voir plus souvent ...
Je confirme que Carolyn est ... craquante !  |
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