Le chat qui fume (Horreur / Gore / Trash)

[Toxic_avenger]

[gregore]

Une excellente nouvelle d'autant plus que le chat qui fume fait des dvds soignés (d'ailleurs on parle du film ici : http://www.psychovision.net/forum/viewtopic.php?t=200&start=0), bien meilleure que l'annonce de la nouvelle adaptation du roman
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"La guerre c'est la paix", "La liberté c'est l'esclavage", "L'ignorance c’est la force"

[mallox]

Sortie de "La nuit de tous les mystères" et du "Sadique" le 17 février.



Le Sadique (The Sadist, 1963) de James Landis avec Arch Hall Jr., Richard Alden et Marilyn Manning


John Tibbs est un sadique. Un tueur implacable. Il aime torturer, humilier et tuer tous ceux qui croisent son chemin. Accompagné de sa petite amie Judy, il prend en otage trois personnes dans une casse de voitures. Un huit clos morbide commence…


Le Sadique sera présenté dans un transfert 16/9 au format 1.66 respecté accompagné d'une piste Mono anglaise et de sous-titres français.
Les bonus :
- Bande-annonce d’origine
- Bandes-annonces éditeur




La Nuit de tous les Mystères (House on Haunted Hill, 1959) de William Castle avec Vincent Price


Frédérick Lorren, un excentrique milliardaire, organise un jeu où il offrira 10000 $ à chaque participants sélectionné qui acceptera de passer la nuit dans sa maison hantée célèbre pour les meurtres qui y ont été commis. Les invités à peine arrivés, d'étranges phénomènes se produisent.



La Nuit de tous les Mystères sera présenté dans un transfert 16/9 au format 1.85 respecté accompagné d'une piste Mono anglaise et de sous-titres français.
Les bonus :
- Bande-annonce d’origine
- Bandes-annonces éditeur
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[Throma]

Une petite review de "The sadist", pondue il y a 3 ans pour un fanzine ami (qui ne paraitra jamais j'ai l'impression et c'est fort dommage) :


The sadist

Etats-Unis / 1963
Genre : Thriller / Survival
Un film de James Landis
Produit par L. Steven Snyder
Scénario de James Landis
Photo de Vilmos Szismond
Musique de Paul Sawtell et Bert Shefter
Avec Arch Hall Jr., Helen Hovey, Richard Alden, Marilyn Manning, Don Russell...

Séquence d'introduction des plus prometteuses : Charlie Tibbs le psychopathe, plongé dans l'obscurité et dont seul le regard de dément filtre à travers un puissant rayon de lumière se présente à son audience (le spectateur en l'occurence) avant d'annoncer qu'il va faire souffrir ses victimes comme lui a souffert. Puis une mystérieuse voix-off de nous livrer la définition d'un "sadique" et des traits psychologiques qui caractérisent ce type d'individu, à savoir un goût prononcé pour la violence, la cruauté, la souffrance, le tricot, etc. Brusque zoom sur les yeux de Charlie. Générique de début.
Tandis que la pression redescend, on enchaîne par l'arrivée d'une voiture visiblement défaillante dans ce qui s'apparente à l'arrière-cour d'une station-service perdue en plein Texas. Le lieu est pour le moins atypique, parsemé ça et là de carcasses de voitures et de pièces mécaniques rouillées. Trois personnes descendent du véhicule : la jeune et belle Doris (Helen Hovey), Ed au faciès ingrat (Richard Alden) et Carl (Don Russell) un quinquagénaire coincé. Tous trois enseignants, ils étaient en route pour assister à un match de base-ball avant cette panne embarassante. Bien vite, ils s'aperçoivent que la station semble déserte. Déserte, pas tant que ça puisque voilà que surgit de nulle part un couple de jeunes gens. Elle, c'est Judy (Marilyn Manning). Lui, c'est Charles (Arch Hall Jr.), alias "Charlie", alias "The Sadist" ! Nos malheureux profs ont à peine le temps de prononcer une seule parole que déjà, Charlie braque un revolver sur eux. Si ils ne coopérent pas (en clair, si ils refusent de se séparer de leur véhicule après réparation) ils subiront le même sort que les tenanciers de la pompe à essence, exécutés froidement d'une balle en pleine tête. Et c'est parti pour une éprouvante confrontation entre trois honnêtes gens bien propres sur eux livrés en pâture à deux "mauvaises graines" en pleine cavale meurtrière, tout cela sous un écrasant soleil ardent.
Plus qu'un huit-clos, "The sadist" est un authentique survival pré-"Délivrance". Tous les ingrédients indissociables au genre s'y affichent de manière anticipatoire : un ou plusieurs individus prisonniers en plein coeur d'un environnement hostile et/ou peu fréquenté (voire pas du tout) ; face à eux, des éléments perturbateurs, psychopathes et généralement dégénérés pathologiques ; une volonté décuplée à survivre par tous les moyens, se traduisant par de vaines tentatives répétées de fuite ou bien d'auto-défense. Contre toute attente, l'extrême violence répond également présente, qu'elle soit morale, démonstrative ou bien les deux en même temps lors de cette séquence impensable pour l'époque où Carl, défiguré au préalable par les coups de crosse dévastateurs de Charlie, supplie à genoux ses bourreaux de l' épargner au nom de ses propres enfants mais Charlie n'en a cure puisqu'il lui "clouera définitivement le bec" d'une balle ajustée entre les deux yeux. Terrible !
Niveau interprétation, tout ce beau monde assure mais la palme revient sans conteste aux deux tourtereaux infernaux. Marilyn Manning se révèle très convaincante dans son rôle de garce vicieuse et au comportement encore enfantin malgré les atrocités dans lesquelles elle se retrouve impliquée. Arch Hall Jr. (à l'affiche l'année précédente du déraisonnable "Eegah" signé par Arch Hall Senior en personne), quant à lui, même si on peut lui reprocher un jeu parfois outrancier campe avec brio le parfait psychopathe pervers et irrécupérable . Il faut dire que son physique si particulier joue beaucoup en sa faveur. C'est bien simple : il suffit d'imaginer David Douillet en blond et au visage sans cesse déformé par des rictus de débile léger (ça nous changera pas tellement du modèle me direz-vous).
Ce duo de choc n'est pas sans rappeler celui du "Natural Born Killers" d'Oliver Stone. Affiliation normale puisque les deux films s'inspirent des personnages réels de Charles Starkweather et Caril Fugate, couple de serial-killers juvéniles ayant ensanglanté les routes des Etats-Unis à la fin des années 50.
James Landis livre une mise en scène singulière, aux multiples effets de caméra inspirés (image "floûtée" pour exprimer l'aveuglement provisoire d'un personnage, vue subjective avec arme pointée vers l'avant à la "Doom", etc.). Décidément, "The Sadist" accumule les bons points. Aucune raison particulière donc pour bouder cet excellent film, si ce n'est la difficulté de se le procurer (inédit en France).
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http://www.vhs-survivors.com/myvhs.php?alias=Throma

[pazuzu]

"La nuit de tous les mystères" et "Le Sadique" seront miens!

[mallox]

en plus c'est 10 zoros, je trouve ça plutôt très correct.
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[Valor]

Alors c'est lui le fameux "Chat qui fume" ?





Au fait, il fume quoi ? De l'herbe à chat ?

[Kidam]

Bonjour l'éditeur !

[mallox]

t'en veux?

merci, j'ai mon compte.
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[Valor]

Flint en a déjà parlé ailleurs, Le Chat qui Fume annonce sa collection Jean-Marie Pallardy ... :happy:

A voir sur leur site : la B.A américaine de "Le journal érotique d'une Thaïlandaise " et une vidéo de Pallardy qui fouille sa cave "A la recherche du meilleur matériel"

http://www.lechatquifume.com/index.php?Les-news




A voir également : la B.A de "Hardcore" de Richard Kern ...
...et pour ceux qui ne connaissent pas le terrific killer hit "Death Valley 69" de Sonic Youth avec Lydia Lunch : PLAY VERY LOUD !!!!

Version complète : ICI

[Le Chat qui Fume]

j'adore ton avatar :-) :-)

[mallox]