[M] [Critique] Angoisse - 1987
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gregore
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MessagePosté le: Mer Oct 01, 2008 12:21 pm    Sujet du message: [M] [Critique] Angoisse - 1987 Répondre en citant

Juste une question sur cet excellent film de Bigas Luna, existe-t-il des éditions dvd autres que celles d'Anchor Bay & Blue Underground ?





Et puis tant qu'on y est, ma chronique est à refaire si y a des amateurs new_noel
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MessagePosté le: Mer Oct 01, 2008 12:33 pm    Sujet du message: Re: Angoisse Répondre en citant

gregore a écrit:
Juste une question sur cette excellent film de Bigas Luna, existe-t-il une édition dvd autre que celle d'Anchor Bay ?

Et puis tant qu'on y est, ma chronique est à refaire si y a des amateurs new_noel


Faut demander à Xawa ! frank_PDT_10

Je crois bien que non. Juste Anchor bay & Blue Underground sans sous-titres du reste...

(très beau film, le meilleur du festival de paris en 88 ! )
avec Bad taste ! frank_PDT_10
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MessagePosté le: Mer Oct 01, 2008 12:39 pm    Sujet du message: Répondre en citant

J'aimerais bien le voir celui-ci. Mais j'ai la copie fox et elle est, parait-il, ignoble frank_PDT_10
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MessagePosté le: Mer Oct 01, 2008 12:43 pm    Sujet du message: Répondre en citant

xawa a écrit:
J'aimerais bien le voir celui-ci. Mais j'ai la copie fox et elle est, parait-il, ignoble frank_PDT_10


La copie VHS CBS FOX était en effet pourrie. Surtout ayant découvert le film en vo au rex, et l'ayant donc revu en vf pan & scanné de mémoire, ça l'a pas fait du tout. Limite pas le même film... icon_confused
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MessagePosté le: Mer Oct 01, 2008 12:46 pm    Sujet du message: Répondre en citant

mallox a écrit:
Surtout ayant découvert le film en vo au rex



'foiré ! icon_cool
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MessagePosté le: Jeu Oct 02, 2008 12:51 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Tiens encore un film dont tout le monde dit du bien et que l'on ne peut pas voir ou presque.
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MessagePosté le: Mar Mar 06, 2012 11:35 am    Sujet du message: [C] [Critique + Fiche dvd] Répondre en citant



Angoisse - 1987
(Angustia)

Origine : Espagne
Genre : Horreur / Thriller / Psycho-Killer

Réalisé par Bigas Luna
Avec Zelda Rubinstein, Michael Lerner, Talia Paul, Angel Jove, Clara Pastor, Isabel Garcia Lorca...

Autre titre : Anguish





"Angoisse"… ou un entrelacs complexe entre cauchemar et réalité, vécu et fiction, fantasmes ou réalité terre-à-terre... Nous, spectateurs, voyons des spectateurs regarder "The Mommy" : l'histoire d'un ophtalmologiste (Michael Lerner) qui, sous le joug d'une maman déglinguée (Zelda Rubinstein), assassine à qui-mieux-mieux des yeux pour les collectionner. L'angoisse monte dans la salle et le spectateur est peu à peu pris de tension ciné-mimétique, tandis que le psychopathe est quant à lui hypnotisé par sa folle de mère. Sa psyché tourmentée lui fait croire qu'en collectionnant des yeux, la cécité progressive de son fils sera ralentie sinon stoppée. Certains spectateurs, les plus sensibles, n'en croient pas leurs yeux. D'autres sont hypnotisés. Le collectionneur d'yeux s'en va maintenant perpétuer des meurtres dans un cinéma projetant "Le monde perdu" pendant que, perdus, les spectateurs commenceront à vivre ce que jusqu'à présent ils vivaient par procuration. La salle de cinéma semble progressivement plongée dans une angoissante torpeur qui va petit à petit se faire le révélateur des tourments et fantasmes de chacun...




... Pendant ce temps, dans un canevas quasi-expérimental allant crescendo, tournons une fois encore en rond pour redire que nous spectateurs, voyons des spectateurs regarder un spectacle dans lequel un meurtrier est à la fois acteur et spectateur de sa propre condition, tandis que le voyeur qui sommeille en nous est lui-même scruté sous la houlette malicieusement tourmentée d'un Bigas Luna plutôt inspiré. Quoique...

Difficile en tout cas de parler de "Angustia", qui est le parfait exemple de film qui ne se raconte pas. Un film qui, non seulement ne se raconte pas, mais dont le réalisateur a toujours demandé à ce que rien ou presque ne soit dévoilé. Pas commode non plus d'analyser une spirale sans fin, conçue elle-même pour être projetée dans un cinéma et non pas dans un salon. A partir de là, comment juger, voire apprécier à sa juste valeur un spectacle de la sorte, ce après avoir enfourné le dvd qui sert à cette chronique tandis qu'à l'époque, notamment lors de sa projection en 1988 au Festival Fantastique du Grand Rex, Bigas Luna lui-même demanda pour une interactivité accrue qu'un personnage soit présent devant l'écran panoramique de la salle afin de répondre au film et lui-même camper le rôle de spectateur. On rappellera que, dans une ambiance très agitée et pour l'une des dernières années dudit festival, Bigas Luna était reparti avec le prix du meilleur scénario ainsi que le prix très spécial.




Prix généreusement accordé pour un film quelque peu surestimé ? Cela n'est pas impossible. "Angustia" fait partie de ces films qui déboulent en criant leur originalité au haut-parleur à la manière des vendeurs de chouchous sur les plages. Résultat : la déception peut s'avérer cruelle et le chouchou trop sucré, obligeant ensuite l'acheteur à se désaltérer. Une bobine en spirale sans fin, soit, mais qui forcément s'avèrera incomplète dans la mesure où le cinéaste,même derrière la caméra, entend boucler son film. C'est là qu'est le paradoxe de "Angoisse", qui se veut donc labyrinthique mais dans lequel non seulement il restera toujours une échappatoire (contrairement aux portes du cinéma projetant le classique de Harry O. Hoyt, fermées de façon autoritaire par Michael Lerner pour perpétuer ses crimes) ; mais également dans lequel l'interactivité sera, et le sujet, et la condition optimum, pour apprécier de façon optimale ledit spectacle. A ce titre, certains films ont déjà traité du même thème, touchant au plus profond le code sensible du spectateur, sans pour autant annoncer la couleur. C'est le cas par exemple de "Peeping Tom", du grand Michael Powell, qui choqua au point d'empêcher dès lors le réalisateur de tourner. Que dire de certaines images du "Chien andalou", sinon qu'elles ne demandent encore aujourd'hui aucune justification ni interprétation supplémentaires. A partir de là, le spectacle ici donné à voir s'impose des limites qui n'ont pas lieu d'être, et qui en décrédibilisent le côté volontairement abyssal.
L'autre gros défaut de "Angustia", c'est l'un des personnage censé servir de liant mais qui, tout compte fait, se révèle être trop vite le maillon faible : difficile d'éprouver le moindre sentiment d'identification pour le malaise grandissant de cette adolescente qui vit la bobine horrifique se déroulant devant ses yeux jusqu'à la suffocation et le traumatisme. Dans une optique d'interactivité le spectateur, même moyen et non rompu au thriller horrifique, aura du mal à se reconnaître. Quant à la peur, ou même la terreur censée se propager, elle en est de par ce même personnage (on peut évoquer également la femme se rapprochant de son mari afin d'être rassurée) quelque peu atténuée, le spectateur prenant alors un recul trop grand par rapport à ce qui lui est donné de voir.




Néanmoins, "Anguish" se reprend parfaitement ensuite. S'il échoue quelque peu dans sa volonté hypnotique à cause d'un personnage trop grossièrement croqué, ainsi que d'un cran de pellicule dans sa méditation sur le thème du voyeur/voyant/vu, il fonctionne parfaitement en tant que pur film de terreur, doté d'un pitch plus original que la moyenne, en tout cas dans un genre qui a même vu passer des "Démons" trollesques dans ces mêmes fauteuils cinématographiques capitonnés. Autant dire que les deux opus de Lamberto Bava sont purement et simplement renvoyés dans leurs cordes, tandis que du même côté transalpin Michele Soavi et son "Bloody Bird", tourné l'année précédente, n'est finalement pas bien loin.
On rappellera également que deux ans auparavant était sortie sur nos écrans "La rose pourpre du Caire" qui, sur un mode comique, abordait avec réussite les mêmes thèmes. On put croire du reste, à l'époque de sa projection au regretté Festival Fantastique du Rex, à une relecture façon thriller de la brillante comédie de Woody Allen, à la différence notable que la transmission des émotions se fait ici de façon plus télépathique et mimétique, sans que les personnages aient à sortir de l'écran pour que le rêve (le cauchemar ici) et la réalité ne se mélangent.



Point trop en dire il faut... Terminons ici toutefois pour simplement mentionner la joyeuse succession de morceaux d'anthologie à laquelle on assiste, en plus de la dimension finalement plus ludique qu'interactive que propose à ce jour le film. Commençant comme un Psycho-Killer, "Anguish" se transforme peu à peu en thriller à la fois mental et épidermique pour culminer en Reality Show au sein duquel le spectateur se regardera même se lever de son siège pour quitter la salle. Giallo pour les quelques beaux coups de couteaux tranchant des jugulaires, des scalpels exorbitant des yeux façon "Eyeball" de Lenzi, des meurtres dans un cinéma à la manière de "Qui l'a vu mourir ?" d'Aldo Lado… Un hommage au père, Alfred Hitchcock bien entendu, avec "Les Oiseaux", puis "Psychose", ainsi qu'à tout un pan du cinéma horrifique où le tueur en série est à la fois un prédateur mais aussi la victime d'un cordon ombilical mal coupé. (A cet égard, vient s'insérer de manière symbolique - peut-être trop - le fœtus de Michael Lerner, lequel, adulte, se blottit encore dans le giron d'une mère sur-protectrice et de fait excessivement possessive). Prise d'otage sensationnaliste dans un final s'insérant dans une tradition toute hollywoodienne, et objet filmique servant de "révélateur" aux conditions de réalisateur et de spectateur ainsi qu'à une sorte de mise en abyme des années slashers, "Anguish" est avant tout un exercice ludique brillamment mis en scène, avec un statut culte programmé de façon un brin roublarde et mégalo, plus qu'une réussite absolue. Disons qu'il offre, tout compte fait, un chouette thriller quasi expérimental ; mais qu'au niveau folie ou originalité, il n'est pas interdit de lui préférer l'excellent "Jambon, Jambon", peut-être plus allumé de l'intérieur, et en tout cas plus iconoclaste.






En rapport avec le film :


# La fiche dvd Filmedia de "Angoisse"




Angoisse - Filmedia


Région : Zone 2 PAL


Editeur : Filmedia
Pays : France

Sortie film : 19 avril 1989 (France)
Sortie dvd : 7 mars 2012

NOUVEAU MASTER HD

Durée : 81 mn
Image : 2.35 – 16/9 compatible 4/3
Audio : stéréo

Langues : français, anglais
sous-titres : français


Bonus :
- Présentation du film par Fausto Fassulo (Rédacteur en chef de "Les mains ont la parole")
- Interview de Bigas Luna
- Films annonces






Commentaire : Fort d'un nouveau master, l'éditeur Filmedia offre ici un dvd attendu depuis longtemps en France. Si le résultat n'atteint pas la perfection (piste française un brin étouffée), image parfois légèrement saturée tandis qu'ailleurs on passe d'un grain volontaire à un autre qui l'est un peu moins, l'ensemble s'avère techniquement très satisfaisant (format 2:35 respecté, son dynamique) et ce ne sont pas quelques réserves qui doivent empêcher les amateurs du film de l'acquérir, ni ceux qui ne le connaissent pas de le découvrir.



L'une des réserves principales à faire tiendrait presque du paradoxe, "Angoisse" étant de par son concept un film à découvrir au cinéma. A partir de là, aucun dvd ne pourrait lui rendre entièrement hommage.
La présentation du film est quant à elle plaisante et en tout cas plutôt alléchante, même si un sentiment d'interactivité persistante domine ; le sieur fasulo, sans doute un grand nerveux, jouant sans cesse aux essuie-glaces avec ses mains.




Passons cette broutille pour dire combien l'interview du réalisateur est un régal. Remplie d'anecdotes, le metteur en scène n'est pas avare en détails en tout genre et ne rechigne pas à livrer ses intentions, ses contentements, ses difficultés et désillusions. Il convient de ne pas trop en dire afin de laisser, tout comme pour le film, le spectateur découvrir une facette de Bigas Luna que peut-être il ne connaît pas. Soit, sur vingt minutes c'est un peu court, mais ce sont vingt minutes plutôt bien remplies.




Reste, pour finir, une flopée de bandes annonces et de spots TV américains et canadiens d'époque qui offrent un rab non négligeable, et finissent de contribuer à en faire un dvd (et blu-ray) fortement conseillé.





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Dernière édition par mallox le Lun Sep 24, 2012 12:04 pm; édité 5 fois
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Bigbonn
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MessagePosté le: Mar Mar 06, 2012 2:28 pm    Sujet du message: Répondre en citant

mallox a écrit:
dans un canevas quasi-expérimental allant crescendo, tournons une fois encore en rond pour redire que nous spectateurs, regardons des spectateurs regarder un spectacle dans lequel un meurtrier est à la fois acteur et spectateur de sa propre condition, tandis que le voyeur qui sommeille en nous est lui-même scruté sous la houlette malicieusement tourmentée d'un Bigas Luna plutôt inspiré.

c'est une mise en abyme de mise en abyme mise en abyme, quoi!
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Citation:
objet filmique servant de "révélateur" aux conditions de réalisateur et de spectateur ainsi qu'à une mise en abyme des années slashers, lesquels "sévissaient" en pagaille à l'époque, "Anguish" est avant tout un exercice ludique brillamment mis en scène

je comprends moins le sens de la "mise en abyme des slashers", là... new_help

Bon souvenir en tout cas que cet Angoisse pas revu depuis et pour quelqu'un qui ne voulait pas en dire trop, bravo! tu y arrives tout en développant ton propos, c'était pas évident du tout. enaccord8
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MessagePosté le: Mar Mar 06, 2012 2:44 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bigbonn a écrit:

Citation:
objet filmique servant de "révélateur" aux conditions de réalisateur et de spectateur ainsi qu'à une mise en abyme des années slashers, lesquels "sévissaient" en pagaille à l'époque, "Anguish" est avant tout un exercice ludique brillamment mis en scène

je comprends moins le sens de la "mise en abyme des slashers", là... new_help


Tu m'obliges là !

Pulpeur



Disons que les gens dans le cinéma représente un groupe. Parmi ce groupe sévit un tueur en série, tout comme dans le film regardé où le tueur s'en va assassiner dans une salle de cinéma. Ce sont là les bases du slasher, un groupe quelque part se faisant décaniller les uns après les autres. Si j'ai pas répertorié le film dans les slashers, j'aurais pu tout aussi bien le faire. Disons, qu'il est à la lisière. Mais bon, j'avais pas envie d'être trop catégorisant. Quelque par, je trouve qu'il a aussi à sa manières, des accointances avec Bloody Bird de Soavi, qui lui est un slasher se passant dans un théâtre avec ce que cela sous-tend de mise en scène, aussi bien leur spectacle que les meurtres.
J'espère avoir répondu à ta question. Pas sûr.
:timide:

Fin Pulpeuse.

Citation:
Bon souvenir en tout cas que cet Angoisse pas revu depuis et pour quelqu'un qui ne voulait pas en dire trop, bravo! tu y arrives tout en développant ton propos, c'était pas évident du tout. enaccord8


Disons que je le connaissais pas mal déjà et que j'avais déjà ma petite idée sur le film. L'ayant revu hier soir, ça n'a fait que glisser tout seul ce matin. Me suis mis les bonus après.
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Dernière édition par mallox le Mar Mar 06, 2012 2:48 pm; édité 1 fois
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MessagePosté le: Mar Mar 06, 2012 2:48 pm    Sujet du message: Répondre en citant

y a des gens qui regardent un slasher dans lequel se déroule un slasher ou se passe un slasher, quoi! frank_PDT_10
ou un psycho-killer de slasher victime d'un serial-killer à la woody allen! frank_PDT_16

enfin, je crois que j'ai compris. ico_mrgreen
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MessagePosté le: Mer Mar 07, 2012 7:40 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Punaise, je déteste que l'on me casse mes attentes.
Ayant un souvenir mémorable de ce film, Mallox me fait donc de la peine. Surestimé tant que ça ? icon_confused
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MessagePosté le: Sam Mar 10, 2012 5:37 pm    Sujet du message: Répondre en citant

L'intervention de fasulo, elle est dans les bonus ou les malus ?
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MessagePosté le: Dim Mar 11, 2012 5:30 am    Sujet du message: Répondre en citant

Hé hé ico_mrgreen le bonhomme est drôle mais semble avoir capté canal+ avec ses oreilles de Dumbo au début des années 90... Dionnet sort de ce corps !!
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MessagePosté le: Jeu Mai 31, 2012 4:58 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Mouais, alors d'accord dans l'ensemble avec la critique de Mallox, mais je serais encore plus réservé, en même temps j'ai toujours trouvé les Shlasher ennuyeux, celui là ayant le mérite de sortir du lot.
Le problème étant le film dans le film ("pas le monde perdu" hein), franchement pas terrible avant que ne commence la mise en abime (et une Zelda Rubinstein insupportable). icon_confused
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MessagePosté le: Lun Sep 24, 2012 8:20 am    Sujet du message: Répondre en citant

c'est bien sévère comme critique!
c'est parce que fasulo a adoré que tu fais la fine bouche ? ico_mrgreen

moi je pensais me retrouver devant un psychokiller qui parlerait de fesse, connaissant le père luna, et ce fut une très belle surprise.
il maintient un petit moment l'ambiguïté entre les différentes couches de films et réussit des imbrications assez virtuoses.
ceci dit, ce genre d'exercice de style peut laisser froid.

le saviez-vous ? le film a été remaké par un français en 2010, ça s'appelle Rubber
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