[M] [Critique] Blanche-Neige, le Prince Noir et les 7 nains

 
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flint
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MessagePosté le: Ven Déc 24, 2010 11:05 am    Sujet du message: [M] [Critique] Blanche-Neige, le Prince Noir et les 7 nains Répondre en citant



Blanche-Neige, le Prince Noir et les 7 nains

Titre original : I sette nani alla riscossa

Genre : Aventures, Comédie, Conte fantastique, Dwarfsploitation

Année : 1951

Pays d’origine : Italie

Réalisateur : Paolo William Tamburella

Casting : Rossana Podesta, Georges Marchal, Roberto Risco, Salvatore Furnari, Ave Ninchi, Rossana Martini…

Aka : Seven Dwarves to the Rescue


Il y a quelque chose de pourri dans le royaume du Danemark, disait Shakespeare dans Hamlet. C’est un peu le cas, aussi, dans l’Italie médiévale, où deux seigneurs sont en conflit pour la simple raison que l’un, Caldiero (alias le Prince Noir), convoite les terres de l’autre, Biondello (gentiment appelé Prince Azur). Est-ce parce qu’il arbore une coiffure ridicule que le Prince Noir est si méchant, ou est-ce juste sa nature que de vouloir posséder les biens d’autrui ? Toujours est-il que Caldiero compte bien agrandir son territoire, mais il veut aussi le château et tout ce qu’il contient, c’est-à-dire la Porsche 911 de son rival (quoique… cela reste à vérifier), mais surtout la jeune, belle et innocente (toujours vierge ?) Blanche-Neige, la fiancée d’Azur, pour qui elle en prince… elle en pince, pardon.



Arrive donc ce que Blanche-Neige (qu’on appellera du diminutif de BN) redoutait : le départ du prince charmant pour la guerre. La séparation de BN avec Prince de Lu est un déchirement pour tout le monde, y compris la grosse gouvernante qui se retrouve seule à consoler sa maîtresse. La seule ? Pas tout à fait, car un peu plus loin, dans les bois avoisinants, vivent les sept nains. Les nains mènent une existence paisible dans la forêt, passant le plus clair de leur temps à leur activité favorite : glander ! Les malheureux ignorent que pendant qu’ils ne foutent rien, le Prince Noir a tendu un piège à Blanche-Neige, lui faisant croire, par l’entremise d’un émissaire à la solde du félon, qu’Azur avait été fait prisonnier.
N’écoutant que son courage, la jeune femme part dans l’espoir de le délivrer. Mais le fourbe Prince Noir parvient sans mal à la capturer, et à la conduire dans son repaire sinistre au cœur des montagnes. La gouvernante, témoin de l’enlèvement, n’a plus qu’une solution : trouver les nains et compter sur leur aide pour libérer Blanche-Neige avant que le Prince Noir ne la sacre Reine des Ténèbres.



Avant d’avoir été immortalisée par les studios Walt Disney, Blanche-Neige était à l’origine un personnage issu du folklore germanique (Schneewittchen), repris par les frères Grimm qui en feront, en 1812, l'un de leurs célèbres contes. Et comme beaucoup de contes, l’histoire de Blanche-Neige ne manquera pas d’être adaptée au cinéma, et ce à toutes les sauces, comme par exemple avec Mario Bianchi (« Blanche-Neige et les 7 sadiques ») ou encore Jean-Claude Sussfeld (« Elle voit des nains partout ! », d’après la pièce de Philippe Bruno), sans oublier la version très osée de Luca Damiano (ex-assistant de Vittorio de Sica qui, en se tournant vers le porno, prouva que l’on pouvait passer sans problèmes de l’art au cochon).



Le film de Paolo William Tamburella (obscur cinéaste italo-américain qui ne réalisera que trois films, avant sa mort prématurée à 41 ans) est beaucoup plus sobre, évidemment, mais ce n’est pourtant pas un chef d’œuvre. On serait d’ailleurs tenté de dire qu’on en est très loin, à tel point que l’on en vient à se demander, après avoir vu ce « Blanche-Neige, le Prince Noir et les 7 nains », quel public visait Tamburella avec ce film. Tout le côté merveilleux d’un conte, susceptible de captiver les enfants, est ici pauvrement restitué ; et les décors vides, autant du château de Blanche-Neige que de l’antre du Prince Noir, témoignent de la misère de l’ensemble. La scène la mieux réussie, celle où les nains sont prisonniers des sirènes, fait néanmoins pâle figure si on la compare avec le travail réalisé à la même époque par les cinéastes soviétiques, comme Alexandr Ptushko (« Le tour du monde de Sadko », « Le Géant de la steppe »). Quant aux adultes, ils pourront rester dubitatifs devant la platitude de l’ensemble, dans un film où le personnage principal n’est pas celui qu’on croit.



Car, et on aurait pu s’en douter à la lecture du titre original, le conte de Tamburella met en avant les fameux sept nains, au point que tous les autres personnages du récit se retrouvent rétrogradés au second plan, Blanche-Neige comprise. Une héroïne presque sacrifiée, un héros transparent… seul le méchant de l’histoire parvient à trouver sa place dans un récit qui fait la part belle à « sept authentiques et sympathiques nains » (dixit la bande-annonce d’époque). Pourquoi pas, après tout, ne faisons pas de l’ostracisme envers les gens de petite taille, eux aussi ont le droit de briller devant les caméras, ce qu'ils feront d'ailleurs en maintes occasions, grâce à des gens comme Werner Herzog avec « Les nains aussi ont commencé petits », par exemple.

Malheureusement, dans le film de Tamburella, les exploits de nos amis les nains se résument essentiellement à des pitreries aussi navrantes qu’éculées. De plus, en s’attardant sur les péripéties pseudo-comiques des nains, le réalisateur, non content de mettre au rancart (ou presque) les autres protagonistes, bâcle on ne peut mieux un récit rendu elliptique, à cause de choix scénaristiques discutables. Par conséquent, on regrettera que certains personnages n’aient pas été plus creusés, comme la servante du Prince Noir, entre autres. On pourra aussi déplorer la mauvaise exploitation du laboratoire secret du Prince Noir, particulièrement expédiée à la fin du métrage. Pourtant, l’idée de mêler science et sorcellerie afin d'expliquer la puissance du « méchant » de l’histoire n’était pas mauvaise en soi, mais elle aurait mérité un meilleur traitement.
Reste le casting, dans lequel on retrouve trois acteurs emblématiques du péplum : Georges Marchal, Rossana Podesta et Salvatore Furnari. Honneur aux dames, Rossana Podesta, qui entama sa carrière en 1950, était donc presque une débutante au moment du tournage de « Blanche-Neige, le Prince Noir et les 7 nains ». Dès 1954, elle sera la vedette de « Ulysse » aux côtés de Kirk Douglas et Anthony Quinn. On la verra par la suite la belle italienne dans « L’esclave de Rome », « Seul contre Rome », mais aussi dans « Sept hommes en or ».



Le français Georges Marchal restera quant à lui une figure marquante du cinéma d’aventures, et en tant que jeune premier il fut l’égal d’un Jean Marais, à travers des œuvres telles « Les trois mousquetaires » et « Le vicomte de Bragelonne ». Durant les années 1960, il apparaîtra dans plusieurs péplums, donc (« Les légions de Cléopâtre », « Le colosse de Rhodes », « Ulysse contre Hercule »), avant de devenir l’un des acteurs fétiches de Luis Buñuel (« Belle de jour », « La voie lactée »). La suite de sa carrière sera marquée par des prestations remarquables dans des séries télévisées, comme « Les Rois maudits » et « L’île aux trente cercueils ». Dans « Les légions de Cléopâtre », et aussi « La révolte des gladiateurs », il aura eu l’occasion de retrouver Salvatore Furnari (qui aura tourné dans pas mal d’autres péplums, comme « Le Géant de Thessalie », par exemple). Furnari, des sept nains du film de Tamburella, est le seul à avoir percé dans le cinéma, le plus souvent dans des rôles burlesques.

Pour en finir avec les protagonistes de ce film, notons la présence d’Ave Ninchi, qui incarne la gouvernante de Blanche-Neige. Cette actrice aura connu une longue carrière, entrecoupée de quelques films français importants comme « Plein Soleil » et « Lacombe Lucien ».
En dépit de quelques acteurs de qualité, « Blanche-Neige, le Prince Noir et les 7 nains » n’évite pas le naufrage. Malgré tout, exceptée la composition satisfaisante de Georges Marchal, qui parvient à être inquiétant malgré sa moumoute au-delà du réel, on pourra se consoler (à peine) sur l’étrange partition musicale d’Alessandro Cicognini. Le compositeur, à qui l’on doit les musiques de « La couronne de fer », « Le chevalier mystérieux », et de classiques tels « Le voleur de bicyclette », « Pain, amour et fantaisie », sans oublier les cinq Don Camillo avec Fernandel, parvient en effet à instaurer par moments un climat, dans un film qui manque singulièrement de magie, malgré son sujet.
« Blanche-Neige, le Prince Noir et les 7 nains » est un film conçu et réalisé pour divertir les personnes âgées de six à quatre-vingt six ans, prétendait à l’époque la bande-annonce française. Cela reste à prouver, le film de Tamburella étant plutôt raté sur tous les plans, à l’exception peut-être de sa chute qui parviendra à esquisser un sourire chez les spectateurs les plus indulgents.

Note : 4/10
Accroche : un Grimm de lèse-majesté


Fiche DVD –



Blanche-Neige, le Prince Noir et les 7 nains – Artus Films

Région : Zone 2 PAL

Editeur : Artus Films
Pays : France

Sortie film : 1951 (Italie)
Sortie DVD France : 2 décembre 2010

Durée : 84 min

Format vidéo : 1.37 original respecté
Format audio : Mono

Langues : Français
Sous-titres : non

Bonus :
- "Le mythe de Blanche-Neige", par Pierre Dubois (45 min)
- Bandes-annonces de l’éditeur
- Diaporama (1 min 30)



Commentaire : C’est dur de dire cela, parce que l’on apprécie beaucoup le travail d’Artus et ses efforts pour proposer des films originaux et rares, mais ce détournement du personnage de Blanche-Neige ne s’imposait pas vraiment. Le film en lui-même n’est déjà pas terrible, mais que dire de la copie proposée, alternant le bon (jolis contrastes du noir et blanc) et le très mauvais (image tremblante, scories, artefacts, rayures, lignes noires…). On notera par exemple un passage vers la 63e minute comportant une succession de coupures, entraînant une saute de mots assez désagréable.



En bonus, en dehors de huit bandes-annonces tirées du catalogue d’Artus, et d’un diaporama satisfaisant alternant affiches et photos d’exploitation, on retiendra un entretien avec le conteur Pierre Dubois, qui revient (en long, en large et en travers) sur le mythe de Blanche-Neige. Sans contester les évidentes qualités de conteur du personnage, l’entretien aurait mérité un peu plus de concision. 45 minutes, c’est long, très long, un peu trop pour disserter de Blanche-Neige, même si Pierre Dubois connaît le sujet à la perfection.



Note : 4/10


Dernière édition par flint le Dim Déc 26, 2010 9:33 am; édité 1 fois
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Bigbonn
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MessagePosté le: Ven Déc 24, 2010 1:08 pm    Sujet du message: Répondre en citant

bravo et encore merci de t'y être collé (j'avoue avoir réessayé de le voir en entier mais c'est au-dessus de mes forces!)
en plus, j'ai bien ri en lisant ta critique!
enaccord8
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mallox
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MessagePosté le: Ven Déc 24, 2010 1:39 pm    Sujet du message: Re: [Critique] Blanche-Neige, le Prince Noir et les 7 nains Répondre en citant

flint a écrit:

« Blanche-Neige, le Prince Noir et les 7 nains » est un film conçu et réalisé pour divertir les personnes âgées de six à quatre-vingt six ans, prétendait à l’époque la bande-annonce française.


Moi j'avais lu ceci dans la bande-annonce (ce qui explique peut-être cela) :
un film conçu et réalisé pour divertir les gens de petite taille âgés de six à quatre-vingt six ans

flint a écrit:
’est dur de dire cela, parce que l’on apprécie beaucoup le travail d’Artus et ses efforts pour proposer des films originaux et rares, ce détournement du mythe de Blanche-Neige ne s’imposait pas vraiment.

Ouais mais alors, comment sait-on qu'il ne faut pas voir le film si aucun éditeur ne le rend accessible permettant ainsi qu'on puisse en juger ? Hein ? ico_mrgreen
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flint
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MessagePosté le: Ven Déc 24, 2010 3:37 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bigbonn a écrit:
(j'avoue avoir réessayé de le voir en entier mais c'est au-dessus de mes forces!)


ico_mrgreen
Bigbonn vaincu par la loi du nombre (un nain vaut mieux que sept tu l'auras !) Eh bien, dans la mesure où je suis venu à bout du film, c'était aussi bien que je m'y colle.



mallox a écrit:

Ouais mais alors, comment sait-on qu'il ne faut pas voir le film si aucun éditeur ne le rend accessible permettant ainsi qu'on puisse en juger ? Hein ? ico_mrgreen


Question pertinente, effectivement. Bon, j'espère au moins qu'Artus profitera des fêtes de Noël pour en écouler le plus possible.

(et qu'en 2011, ils sortiront des films olé-olé)
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John Pipo
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MessagePosté le: Sam Déc 25, 2010 4:11 pm    Sujet du message: Répondre en citant

C'est marrant, car au-delà du fait que la critique soit mauvaise, je trouve les captures très attractives, très expressionnistes dans la forme. Elles me donneraient presque envie de voir le film malgré tout.
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flint
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MessagePosté le: Sam Déc 25, 2010 4:22 pm    Sujet du message: Répondre en citant

C'est vrai qu'il y a probablement, à la base, une recherche d'esthétisme de la part du réalisateur, peut-être le souhait de ressembler à des gens comme Cocteau, "La Belle et la Bête" par exemple... Sauf qu'ici, ce serait plutôt "La Belle et les sept bêtas". frank_PDT_10
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sigtuna
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MessagePosté le: Lun Déc 27, 2010 9:26 am    Sujet du message: Répondre en citant

enaccord8 (pour la critique, parce que le film frank_PDT_08 )
flint a écrit:
C'est vrai qu'il y a probablement, à la base, une recherche d'esthétisme de la part du réalisateur

Oui mais à ce niveau de ratage ce n'est plus de l'incompétence, c'est du crime. icon_rambo
Ceci dit c'est un exploit aussi de la part du défunt réalisateur que d'avoir réalisé le seul film de nains que Bigbonn n'a pu supporter. icon_cool
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mallox
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MessagePosté le: Mer Déc 28, 2011 4:45 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Il est très bien ce film ! ico_mrgreen
D'ailleurs l'authenticité des nains est annoncée dans le générique de début ! Et y a pas tromperie sur la marchandise, y en a bien 7. 7 aussi cons les uns que les autres, s'agitant dans de pitoyables grimaces, contorsions débiles, mis dans des situations qui se font de plus en surréalistes au fur à mesure que ça déroule. On a même droit à un passage avec des nymphes et le film qui se transforme alors en comédie musicale genre Busby Berkeley foncedé au psilo de la forêt avec déformation aquatique d'image, danseuses qui regardent la caméra et des nains qui se font dorloter ! A ce propos, la plus grande force du film, c'est qu'à chaque plan et à chaque gag sur un nain (mention spéciale à celui qui pêche, coince son hameçon derrière sa chaise et s'envoie dans l'eau - Megalol copyright ! ico_mrgreen ), on se tape 6 autres plans identiques ensuite sur les autres (genre l'un se réveille et se frotte les yeux, pof, t'as 6 autres plans idem avec même l'un qui se réveille avec les cheveux sur les yeux, histoire de conclure dans le plus franc fendage de poire). Reste qu'on les préfère perdus en forêt à braver une tempête (elle aussi complètement surréaliste - le vent va de bas en haut comme surgissant de dessous terre et j'ai cru voir passer une chaise). Même la neige fait carbonique.
Et que dire de cette Blanche-neige et du prince Azur qu'on a envie de donner à bouffer aux chacals devant tant de sirop pour les 4-6 ans ?!
"Attention mon amour !" s'exclame t-elle à plusieurs reprise lorsqu'Azur est en danger.
"Ta gueule, hé connasse !" répondit l'écho dans mon salon.

Réservé aux tout petits ! (Mais petits hein ! frank_PDT_10 )
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flint
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MessagePosté le: Mer Déc 28, 2011 5:02 pm    Sujet du message: Répondre en citant

T'avais vraiment rien d'autre à voir ! frank_PDT_10
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mallox
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MessagePosté le: Mer Déc 28, 2011 5:12 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Franchement, le côté extrême dont fut reçu ici-même ce beau film ne pouvait que m'inciter !
Et je n'ai pas été déçu.
Outre des passages hautement hallucinogènes j'avoue m'être par moments marré. Par contre je ne sais pas si c'est à cause de l'énormité du film ou bien parce que j'ai pensé à vos tronches devant.
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MessagePosté le: Mer Déc 28, 2011 5:26 pm    Sujet du message: Répondre en citant

mallox a écrit:
Par contre je ne sais pas si c'est à cause de l'énormité du film ou bien parce que j'ai pensé à vos tronches devant.


Un peu des deux, je suppose. ico_mrgreen
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