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Camif 99 % irradié


Inscrit le: 16 Mai 2008 Messages: 1560 Localisation: Délocalisation
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Posté le: Sam Mai 07, 2011 4:08 pm Sujet du message: [M] [Critique] - Dream Home - 2010 |
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Dream Home / Wai dor lei ah yut ho - 2010
Réalisateur : Ho-Cheung Pang
Scénariste : Ho-Cheung Pang
Musique : Gabriele Roberto
Photographie : Nelson Yu Lik-wai
Genre : Slasher des villes
Pays : Hong Kong
Avec : Josie Ho, Eason Chan, Michelle Ye, Juno Mak, Norman Chu
Accroche : Hongkong fou fou contre les prévaricateurs
Hong Kong, de nos jours - Une jeune femme s’introduit nuitamment chez un gardien d’un immeuble moderne. Ce dernier pique un roupillon devant les écrans de contrôle. Ce manque de conscience professionnelle aura des conséquences dramatiques, puisque la demoiselle va l’assassiner à l’aide d’un collier de serrage qu’elle serre (forcément) autour de son cou. L’asphyxie prendra un bon moment, le temps que le garde tente, avec un cutter, de desserrer (toujours forcément) le lien, quitte à s’ouvrir la trachée. Pas de bol, le cutter coupe apparemment mal, ce qui prouve le manque de soin apporté par ce dernier à ses outils de travail. La conséquence sera la mort.
Générique.
On retrouve la jolie demoiselle en train de travailler (par le biais du téléphone) pour une banque de la mégalopole ; elle enchaîne les petits boulots, travaillant sans relâche afin de s’offrir son rêve : un appartement avec vue sur la mer. Elle l’a promis à ses parents, et à ses grands-parents lorsqu’elle était jeune.
Hélas, même avec toute sa volonté, la flambée des prix immobiliers va l’empêcher pendant des années de réaliser ce rêve. Elle va alors s’y prendre autrement, en massacrant les habitants d’un certain immeuble, afin de faire baisser les prix.

Ce qui saute immédiatement aux yeux, à la vision de ce « Dream Home », c’est sa filiation avec les débordements outranciers de la catégorie 3 hongkongaise. Du moins, celle ayant précédé la rétrocession de la ville à la mère patrie chinoise en 1997. Depuis lors, entre censure plus ou moins officielle, autocensure et perte d’une certaine créativité, les productions estampillées catégorie 3 se révèlent être mollassonnes et soft, du moins lorsqu’elles sont visibles dans nos contrées.
En effet, « Dream Home » reprend, d’une façon roublarde et «moderne», les ingrédients de cette catégorie pas comme les autres. Du sexe frelaté et perverti, du sang, de l’hypocrisie dans les rapports humains, de la sauvagerie dans les meurtres et en arrière plan (en creux, dit-on dans les milieux éduqués, et donc autorisés), une vision sociale et politique de la vie dans cette folle mégalopole.
Toutes proportions gardées, « Dream Home » se rapproche des films de la quadrilogie urbaine d’un certain fou furieux dénommé Billy Tang : « Dr Lamb », « Run and Kill », « Brother of Darkness » et « Red to Kill », où un individu soumis au stress d’une société malade devient fou et se met à tuer brutalement ses congénères.

Malin comme un dragon de papier lors du nouvel an chinois, le réalisateur prend appui sur la situation actuelle, et en particulier la spéculation immobilière qui permet aux riches de toujours plus s’enrichir, et aux autres de ramer pour pouvoir se payer un logement décent.
Que ceux qui n’ont pas galéré pour louer ou acheter un appartement dans une grande ville, et qui n’ont dû qu’à leur bonne éducation de ne pas avoir recours à la sodomie artisanale ou à la violence physique pour déloger de leurs vastes duplex les rentiers de tous poils ; et bien que ceux là lancent la première pierre à Cheng Lai-sheung qui, elle, va passer aux actes !
Certes, on pourra toujours faire la moue devant une intrigue que d’aucuns trouveront légère, racoleuse (ou même carrément débile), et qui n’est finalement qu’un prétexte à un déchaînement de violence, façon slasher des villes.
Formellement, le film de Pang Ho-cheung se démarque du tout venant « slasherisant » par une mise en scène pleine de panache. Un montage efficace dans les scènes de meurtres, un soin tout particulier apporté aux éclairages, et surtout une mise en abîme de la ville en tant que personnage principal, « l’étroitesse » des appartements n’ayant comme corollaire que les gigantesques entassements d’immeubles, tous plus moches, laids et anxiogènes les uns que les autres (voir l’imparable générique d’ouverture).
La multiplicité des flashsback brouille parfois la compréhension de l’intrigue, mais ils permettent aussi de se faire quelques idées sur la situation sociale des Hongkongais. A travers trois ou quatre tranches de vie de la future « sino-Jason Vorhees », on apprend que la spéculation immobilière se fait au détriment du bas peuple, avec l’aide des triades recourant à la violence, ou que les Hongkongais sont d’impénitents racistes (redondance classique des catégories 3) ; ici, envers les Coréens présentés comme de gros machistes alcooliques qui tabassent tout ce qui est de sexe vaguement féminin. C’est beau la fraternité entre frères et sœurs asiatiques.
Etonnant, enfin, de voir combien un réalisateur primé au festival de Berlin (pour un certain « Isabella ») puisse se vautrer dans le gore, le glauque, la souffrance, sans le moindre état d’âme. Peu de chance qu’il revoit Berlin avec un tel type de long-métrage.

Car pour ce qui est du plat de résistance, on ne peut que rester pantois devant un tel ouragan de férocité, la mignonnette Josie Ho n’y allant pas avec le dos de son marteau de combat pour mettre à mort les vilains prévaricateurs.
On y apprendra donc, avec profit, comment se servir (de manière enfin utile) d’un collier de serrage en plastique, d’un aspirateur, d’une latte de sommier, d’une cuvette de toilette et autres accessoires de la vie courante. Si on aime la suggestion du hors-champ, on fuira le spectacle tel un lapin de garenne chinois se cachant dans un terrier. Tripes à l’air, éventration, castration, sodomie sauvage, éjaculation sanglante, on en passe et des meilleures. Un maelström de violence qui devient cataclysme dans une longue séquence de sextuple meurtre, mettant aux prises notre ravissante vengeresse avec des trafiquants de drogue, des filles faciles et des policiers. Ebouriffant de bruit, de fureur, de sang et de sexe…
Ironique dans l’ensemble, souvent radical, implacablement cynique, peu subtil aussi, mais totalement jouissif, « Dream Home » fera sans doute plaisir à l’amateur de catégorie 3 old-school et/ou de slasher-movie. Comme quoi, même une tragédie immobilière a ses vertus...

THE DVD
Région : Zone 2 PAL
Editeur : Wild Side
Pays : France
Sortie film : 13 Mai 2010 (Hong Kong)
Sortie dvd : 6 Avril 2011
Durée : 90 minutes
Format Image : 2.35, 16/9 compatible 4/3, MPEG2
Audio: Français Dolby Digital 2.0 Stéréo, Français DTS 5.1 Surround, Cantonais Dolby Digital 5.1 Surround
Sous-titres : Français
Bonus :
- Comment construire la maison de vos rêves : « Dream Home », le making-of (36 min)
- Bande-annonce
- Liens internet
Commentaire : Comme d'habitude chez Wild Side, le travail est de qualité. La photographie est superbe, les couleurs ressortent à merveille. Le son, très important dans ce film, est plus que bien rendu, surtout en DTS 5.1 Surround. Evidemment, on préférera la VO à la VF
Au niveau des bonus, outre les inévitables liens internet et la bande-annonce du film, on a droit à un making-of classique, où tout le monde a été, apparemment, bien content de jouer, réaliser, filmer, décorer, "cascader"... (rayer la mention inutile).
Bref, gentillet et pas franchement intéressant, surtout si l'on en a déjà vu des tonnes dans le même genre.
 _________________ "Du 2 au 22 mai, y avait pas loin" Mallox |
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mallox Super héros Toxic


Inscrit le: 10 Sep 2006 Messages: 13982 Localisation: Vendée franco-française
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Posté le: Sam Mai 07, 2011 4:54 pm Sujet du message: Re: [Critique] - Dream Home - 2010 |
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Camif a écrit: |
La multiplicité des flash-back brouille parfois la compréhension de l’intrigue |
C'est aussi le principal reproche que je ferai au film, plutôt réussi par ailleurs, original (et amusant aussi) par son propos social.
Par contre, désolé, mais faudrait des captures au bon format, un peu comme celle-ci :
 _________________
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flint Super héros Toxic


Inscrit le: 13 Mar 2007 Messages: 7606 Localisation: cusset-plage
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Posté le: Sam Mai 07, 2011 5:54 pm Sujet du message: |
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Pas convaincu, en ce qui me concerne. J'ai eu le sentiment de voir deux films en un, déjà, à cause du nombre important de flashbacks dans le film (comme souligné par Camif). Tous ces flashbacks, une fois réunis, forment presque un film à part entière, une chronique sociale, un drame mélancolique, qui tranche singulièrement avec "l'autre film" : le présent, gore et outrancier du début à la fin.
Personnellement, j'ai trouvé l'intrigue inepte, et les meurtres sont tellement "hénaurmes" qu'on a presque l'impression d'être dans un cartoon ou, tout du moins, dans une comédie déjantée.
Bref, je ne me suis pas ennuyé, mais je n'ai pas été emballé non plus. |
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flint Super héros Toxic


Inscrit le: 13 Mar 2007 Messages: 7606 Localisation: cusset-plage
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Posté le: Dim Mai 08, 2011 4:17 pm Sujet du message: |
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Valor Psycho-cop


Inscrit le: 22 Fév 2007 Messages: 4497 Localisation: Vanves
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Posté le: Dim Mai 08, 2011 4:55 pm Sujet du message: |
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Personne n'a dit que ce DVD était inclus dans le Mad Movies d'avril ?
Ben, c'est fait !
Je trouve cette capture très sexy ... C'est grave docteur ?  |
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flint Super héros Toxic


Inscrit le: 13 Mar 2007 Messages: 7606 Localisation: cusset-plage
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Posté le: Dim Mai 08, 2011 5:07 pm Sujet du message: |
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Valor a écrit: | Je trouve cette capture très sexy ... C'est grave docteur ? [/size]  |
Non, non, c'est normal !
Qui trouvera la bonne légende à cette capture, d'ailleurs :
- Quelqu'un pourrait m'aider à enlever cette écharde ?
- Je savais bien que je me ferais planter un jour où l'autre.
- Moi qui rêvait de brûler les planches !
- Ouahh, plus fort que la négresse à plateau... |
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The Omega Man 99 % irradié


Inscrit le: 25 Juil 2006 Messages: 1155 Localisation: Belgique
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Posté le: Dim Mai 08, 2011 5:48 pm Sujet du message: |
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Premièrement il est bon de remettre la boucherie au milieu du village, pour moi « Dream Home » n’est pas un film d’horreur au sens classique du genre, encore moins un slasher ou un revival de la catégorie III. C’est une étude sociale et un drame qui utilise les oripeaux du film d’horreur pour choquer et appuyer son propos, plus proche de Pasolini que de Tobe Hooper. Le film utilise la trame basique du slasher mais remplace le taré congénitale par une jeune fille traumatisée (parce qu'elle veut à tout prix un appartement avec vue sur la baie), petit détail notre « serial killer » en devenir à plutôt le gabarit poids plume d’Audrey Tatout (à qui l’actrice chinoise ressemble beaucoup) que de Jason Voorhees, conclusion tuer ne va pas être aussi facile qu’il y parait, même quand on a des idées (voir le meurtre à « l’aspirateur »).
Le film me fait plutôt penser à un certain « American Psycho », avec cette déshumanisation et un culte du paraitre poussé à l’extrême, encore plus flagrant à Hong Kong ou le statut social semble lié à ce qu’il ya de plus rare dans la péninsule c'est-à-dire la place. La richesse se calcul non plus en monnaye mais bien au mètre carré qui sont d’ailleurs les plus cher au monde, dans sa recherche de l’appartement idéale l’héroïne qui à perdu tout forme de moralité (elle vend des informations à la concurrence) va donner un coup de pouce sanglant au destin en précipitant la fin des locataires actuels.
Bref je sais pas pourquoi mais j'ai du mal avec ce film que je trouve trop équivoque pour être honnête ! |
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mallox Super héros Toxic


Inscrit le: 10 Sep 2006 Messages: 13982 Localisation: Vendée franco-française
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Posté le: Dim Mai 08, 2011 6:16 pm Sujet du message: |
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The Omega Man a écrit: | Premièrement il est bon de remettre la boucherie au milieu du village, pour moi « Dream Home » n’est pas un film d’horreur au sens classique du genre, encore moins un slasher ou un revival de la catégorie III. C’est une étude sociale et un drame qui utilise les oripeaux du film d’horreur pour choquer et appuyer son propos, plus proche de Pasolini que de Tobe Hooper. |
Tiens, c'est marrant, c'est à peu près ce que j'avais dit d'un autre drame horrifique du moment : bedeviled, qui lui est Sud-coréen.
tu l'as vu Omega ? _________________
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Camif 99 % irradié


Inscrit le: 16 Mai 2008 Messages: 1560 Localisation: Délocalisation
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Posté le: Dim Mai 08, 2011 6:53 pm Sujet du message: |
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Alors merci à Mallox pour les captures ( un jour j'y arriverai, peut-être )
Ensuite pour ce qui dit Oméga, j'imagine que c'est une question de perception. Comparer, même de loin, Dream Home à du Pasolini, c'est pour le moins osé.
Ensuite le fait que le film remplace un taré par une tarée ne change pas, à mon sens, le fait que l'on soit en présence d'un slasher et ce même si, effectivement, les meurtes ne sont pas faciles à executer pour la demoiselle. Ou alors, la définition même du slasher n'est pas la même pour tout le monde ( ce qui est possible ).
Enfin pas d'accord du tout, mais alors pas du tout, sur le fait que ce film ne soit pas, "un revival de la catégorie 3". Ca en a les ingrédients, la saveur, l'impact et la forme. D'ailleurs le fait qu'il soit justement équivoque le place de plein pied dans la catégorie, qui a toujours été équivoque et pas qu'un peu.
Voilà, voilà. _________________ "Du 2 au 22 mai, y avait pas loin" Mallox |
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flint Super héros Toxic


Inscrit le: 13 Mar 2007 Messages: 7606 Localisation: cusset-plage
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Posté le: Dim Mai 08, 2011 9:06 pm Sujet du message: |
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Camif a écrit: | Alors merci à Mallox pour les captures |
Y'a pas de quoi !  |
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Camif 99 % irradié


Inscrit le: 16 Mai 2008 Messages: 1560 Localisation: Délocalisation
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Posté le: Lun Mai 09, 2011 6:13 am Sujet du message: |
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Mince, pardon Flint.
Merci au grand, à l'immense, au merveilleux Flint  _________________ "Du 2 au 22 mai, y avait pas loin" Mallox |
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mallox Super héros Toxic


Inscrit le: 10 Sep 2006 Messages: 13982 Localisation: Vendée franco-française
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Posté le: Lun Mai 09, 2011 7:04 am Sujet du message: |
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Désolé d'interférer, et ce n'est pas non plus pour "catégoriser" à outrance les genres, mais dans la mesure où l'on sait dès le début du film qui est l'assassin, est-ce vraiment un slasher ? j'aurais tendance à le mettre dans les "tueurs en série" et même "Psycho-Killer" vu le contexte social et l'aliénation immobilière qui conduit aux meurtres. Non ?
Sinon, le début du film ne vous a pas fait penser au dernier Sam Raimi ? (la scène de la banque au début, j'ai cru que c'était un remake ! Je m'attendais à voir la vieille se transformer en sorcière gitane).  _________________
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Camif 99 % irradié


Inscrit le: 16 Mai 2008 Messages: 1560 Localisation: Délocalisation
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Posté le: Lun Mai 09, 2011 7:09 am Sujet du message: |
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Dans ces conditions, les Vendredi 13 qui suivent le premier, ne sont pas des slashers. Mais en fait peu importe, du moment qu'il y a une banque.
Sur le site, c'est classé en psycho-killer et le site ne peut se tromper. _________________ "Du 2 au 22 mai, y avait pas loin" Mallox |
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mallox Super héros Toxic


Inscrit le: 10 Sep 2006 Messages: 13982 Localisation: Vendée franco-française
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Posté le: Lun Mai 09, 2011 7:21 am Sujet du message: |
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Camif a écrit: | Dans ces conditions, les Vendredi 13 qui suivent le premier, ne sont pas des slashers. |
Tu ne penses pas si bien dire...
Citation: | Le script de Vendredi 13 a été écrit par Victor Miller. Miller crée un tueur en série qui s'est avéré être la mère de quelqu'un, un assassin dont la seule motivation était son amour pour son enfant. « J'ai transformé la maternité et je crois que c'était très amusant. Mme Voorhees a été la mère que j'avais toujours voulue - une mère qui aurait tué de ses enfants. »
Miller fut mécontent que d'autres réalisateurs décident de faire de Jason Voorhees un tueur dans les épisodes suivants : « Jason était mort depuis le début. C'était une victime, et non un méchant ». L'idée de l'apparition de Jason lors du coup de théâtre final figurait dans le script original ; elle avait été suggérée par le maquilleur Tom Savini. |
pour moi les Vendredi 13 (hormis le 1er) ne sont pas vraiment des slashers.
D'ailleurs y a qu'à regarder la liste des films de "tueurs en série" et la comparer à celle des "slashers" pour voir que la première absorbe l'autre.
On dit couramment que Psycho est initiateur du Slasher à venir en le classant toutefois dans les serial killer ou Psycho-Killer.
Perso je trouve que Dream Home est plus en mode Psychose qu'en mode Vendredi 13 1er.
Enfin, ceci étant, je posais juste une question... justement parce que je viens d'en faire la mise en ligne et que ça peut se modifier.
En tout cas pour moi, ça revient à dire que le genre psycho-killer ou serial killer n'existe pas si l'on classe tous les films de meurtres en série perpétués par une même personne dans les slashers. Et l'on peut même y fourrer Les Tueurs de la lune de miel, Badlands, etc. Enfin, ce que j'en dis... _________________
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The Omega Man 99 % irradié


Inscrit le: 25 Juil 2006 Messages: 1155 Localisation: Belgique
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Posté le: Lun Mai 09, 2011 5:49 pm Sujet du message: |
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mallox a écrit: |
Tiens, c'est marrant, c'est à peu près ce que j'avais dit d'un autre drame horrifique du moment : bedeviled, qui lui est Sud-coréen.
tu l'as vu Omega ? |
Pas du tout mais je m'y attèle ! |
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