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Kuro 10% irradié

Inscrit le: 10 Mai 2011 Messages: 86
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Posté le: Sam Aoû 06, 2011 2:54 pm Sujet du message: Suicide Club |
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Attention je révèle probablement des clefs potentielles d'une intrigue douteuse !
Je ne suis pas convaincu que ce soit si grave que ça pour ceux qui n'ont pas encore vu le film mais je préfère prévenir :)
Il y a une suite : Suicide Club 0 fait par le même réalisateur !
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Jisatsu sâkuru (Japon)
Suicide Club (International)
Réalisateur : Shion Sono
Année : 2001
Origine : Japon
Genre : Horreur / Épouvante / Thriller / Gore /
Avec dans les rôles des inspecteurs :
-Ryo Ishibashi
-Masatoshi Nagase
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Si Kiyoshi Kurosawa a fait "Kairo" en 2001, c'était pour réanimer une dernière fois, la deuxième vague d'horreur japonaise. Si Sadako hantait une cassette vidéo, les fantômes de "Kairo", eux, complotaient sur Internet et détruisaient l’humanité dans un enfer proche des bombes nucléaires. Cette recherche de renouvellement pour les fantômes japonais était un besoin pour les réalisateur de l’archipel comme de leurs spectateurs pour continuer de vivre avec les défunts. La même année, un autre réalisateur, qui n'a pas d'aussi fort rapport avec le monde spirituel que Kioyshi Kurosawa mais qui traite d’un possible virus traînant sur le net, fait son apparition dans le monde occidental (il fait des films depuis 1985, pourtant ce n'est qu'avec "Suicide Club" que nous autres le découvrons). Shion Sono, est un cinéaste qui n'a rien à envier aux réalisateurs de gore grand public comme Takashi Miike ou encore Takeshi Kitano et sa tendance à montrer des scènes violentes simplistes qui les rendent plus réalistes (la scène chez le dentiste dans "Outrage" par exemple).
En 2010 il nous avait réalisé ”Cold Fish”, un film gore sur un gérant d’un magasin de poison qui devient l’esclave d’un couple obsédé par le sexe et par le meurtre. Shion Sono nous avait montré sa capacité de monteur en plus de ses litres d’hémoglobine et de ses kilo de chaires qui finissent par nourrir les poissons. Et ce, dans le même esprit que son ”Suicide Club”.
Comme ”Kairo”, "Suicide Club" aborde le thème d’une vague de mort inexpliqué sinon par une entité vivant sur la toile de la communication. Mais là où Kiyoshi se limite aux films de fantômes, Shion Sono embrasse plusieurs genres. Allant du grand guignol à la comédie musicale façon "Rocky Horror Picture Show" en passant lui aussi par le film de fantôme. Cette façon de se balader de genre en genre sans le moindre soucis est la force de ce réalisateur prometteur. Même s’il a une tendance à réutiliser les mêmes principes de mise en scène, ces films ce laissent regarder, apprécier et arrivent toujours à marquer les esprits par une ou plusieurs scènes.
Mais Shion Sono ne se limite pas qu’à être un bon réalisateur de film gore, il est aussi un fin analyste de la société moderne japonaise. Il touche un public à la fois particulier mais aussi très vaste car il questionne l’attitude des adultes mais aussi celle des enfants. C’est une des forces de ”Suicide Club”, s’inscrire dans un genre pour en ressortir les maux de la société.
L’histoire du film est simple, une vague de suicide touche Tokyo, une cellule d’enquête va être ouverte mais n’aboutira qu’à arrêter les mauvais suspects.
Nous allons voyager dans l’univers de Shinjuku, quartier de la capitale japonaise, sur les quais de la gare, dans un hôpital, dans une salle de concert et chez l’un des inspecteurs en charge de l’enquête. Des lieux où les morts s’entassent.
Les premières minutes du film démontre les talents du réalisateur, un train qui arrive, des écolières qui parlent, puis se mettent sur le bord du quais, se prennent la main et sautent devant le train. Sang qui gicle à foison, membres coupés et têtes broyées. Voici comment nous entrons dans ce film et qui donne le « la » au 90 autres minutes. C’est à la fois une presque banale scène de gore, mais aussi c’est bien plus que cela. En effet, si la scène est impressionnante c’est du à la quantité de fille et d’hémoglobine qui gicle sur les passant, sur les vitres et les détails grossiers des corps déchirés. Mais toutes scènes de gore bien faites se doit de répondre à certains critères. Mais il y a bien trop de sang giclant, de membres volant pour que la scène soit réaliste (du moins, pour nous occidentaux). Et c’est là que le côté décalé de Shion Sono apparaît, puisque tout le film sera entre la frontière du réalisme et d’un genre s’attachant presque à la parodie. Nous verront les filles s’avancer naturellement vers le bord. Se prendre par la main, chanter une ritournelle pour se donner de l’éland et sauter, comme si cela était un acte normal et naturel.
Pourtant la finalité de l’acte de suicide sera toujours mis en confrontation avec la légèreté de la prise de décision de ses centaines d’écoliers qui sauteront devant nos yeux durant le film. D’ailleurs le suicide est montré comme étant irrationnel, deux étudiantes qui s’occupent des poubelles et qui en ont assez de cette corvée arrivent sur le toit de l’école, là où d’autres étudiants parlent d’un club de suicide pour dépasser le record des 54 écolières du début. D’un coup une des élèves qui s’occupent des poubelles demande avec le sourire que tout le monde la regarde car elle va se suicider. Au bord du toit elle sera rejoint par d’autres camarades et sauteront, comme ça. Le spectateur mais aussi d’autres étudiants pensaient que c’était pour rigoler alors qu’ils l’ont vraiment fait. Et c’est justement sur cette ambiguïté que le réalisateur va jouer. Inventant même une fausse alerte au suicide dans la même gare pour que les inspecteurs deviennent parano et surveillent chaque lycéen et lycéenne. Ce côté léger et limite comique de cet acte qui n’est pas drôle du tout renforce le côté grand guignol qui hante le film. Ce décalage est renforcé par les pastiches que l’on voit dans le film, en plus des morceaux de cadavres nous verront une femme couper un radis blanc et s’entamer – toujours avec le même sourire robotique – les doigts et finalement la main entière. Ou encore par cette scène lourde de sens, vis à vis de la jeunesse nipponne, qui sans se cacher parodie le film de Jim Sharman le ”Rocky Horror Picture Show” où l’on voit non pas un transsexuel mais un espèce d’androgyne à la David Bowie qui recherche à se faire passer pour le « suicide club » pour passer à la télévision.
Pour Shion Sono le problème se trouve justement sur ce petit écran. Ce n’est pas le premier film ni le dernier à parler de la volonté de passer à la télévision coûte que coûte, Takashi Miike mettait en scène un reporter filmant sa propre famille qui tombait peu à peu dans la déchéance la plus totale dans ”Visitor Q”. Mais il y a une autre dimension que n’a pas le film de Miike par exemple, celle de l’effet de la petite lucarne sur les spectateurs. Très vite dans le film on se rend compte que les spectateurs de ce petit écran sont comme hypnotisés par celui-ci. Leur désir de devenir des stars de télévision dès le plus jeune âge les formates pour se tuer. Parce que justement cette vague de suicide est engendré par un club d’enfant avec pour leader le groupe en vogue du moment : les « Dessert » et leur single « Mail Me ». Le titre de la chanson n’est pas anodine et symbolise le problème de la jeunesse. Il n’y a plus de vraies communications et de vraies relations. La société est de plus en plus informatisée. L’inspecteur voulant une réunion familiale ne pourra pas la faire et se verra obliger de s’intéresser au clip télévisuel de « Mail Me » pour avoir une conversation avec ses enfants. La consommation est aussi gérer par la télévision et ses stars mortes nées (puisqu’elles ne durent généralement pas très longtemps) sont juste un support de publicité pour les grandes firmes industrielles. Même les sonneries de téléphone portable – soit dit en passant tout les lycéens ont un portable – sont une monophonie du single des « Dessert ». Tout ces éléments transforment les habitants de Tokyo – mais une autre ville aurai très bien pu être touchée – en une sorte de zombie qui ne vit et ne meurt que pour le caprice des stars et bien entendu de leurs producteurs.
La seule chose qui peut venir à bout de cette vague de suicide semble être l’amour. Incarné dans le personnage d’une lycéenne dont le petit ami blesse en lui tombant dessus lors de son suicide. Coïncidence ou destin, cette élève va alors tout faire pour trouver la source de cette vague de suicide. Et lorsque tout est prêt pour le suicide final, Shion Sono la sauve en une sorte de faux twist final. Finissant son film par le nouveau single des « Dessert ».
Le seul problème de ce film serait le montage. Certaines scènes, misent dans ce film juste pour flâner avec certains genres, comme le film surnaturel et les séquences se déroulant dans l’hôpital ainsi que les nombreux codes comme les spirales, en référence à "Ringu" de Hideo Nakata ou encore "Uzumaki / Spirale" de Higuchinsky ou bien les scènes chez la Chauve-Souris (sorte d’Otoku tyrannisant son père) où le « suicide club » la kidnappe. Mais la globalité du film est bien menée jusqu’au bout dans un humeur décalée et joyeuse avec un fond terriblement sérieux.
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Note : 9/10
Dernière édition par Kuro le Dim Aoû 07, 2011 10:07 pm; édité 1 fois |
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Bastien 40 % irradié


Inscrit le: 19 Mar 2008 Messages: 364
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Posté le: Sam Aoû 06, 2011 3:58 pm Sujet du message: |
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Bonjour Kuro et bonne critique !
C'est amusant que tu fasses celle de Suicide club car on avait peu d'avis argumenté sur ce film...au sujet quand même tabou !! Le ton, la distance que tu en extraits ont l'air de donner une "couleur" assez particulière au sujet...
Donc, bravo pour cette critique constructive qui traite bien de ce film sulfureux (à mon sens !). _________________ http://leroyaumedesavis.over-blog.com/ |
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mallox Super héros Toxic


Inscrit le: 10 Sep 2006 Messages: 13982 Localisation: Vendée franco-française
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Posté le: Sam Aoû 06, 2011 6:37 pm Sujet du message: |
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J'ai le souvenir d'avoir été très attentif la première demi-heure puis d'avoir décroché petit à petit à cause d'une certaine confusion dans le déroulement de l'histoire. J'ai même laissé tomber avant la fin au temps que je me souvienne. J'ai peut-être eu tort. Faut dire que les films d'horreur japonais de l'époque, j'en ai eu aussi, à un moment,, un peu marre. Surtout à force de tomber sur des films surestimés because Made in Japan. Après, on se méfie... à tort ou à raison. Pour celui-ci, j'en sais rien. _________________
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Kuro 10% irradié

Inscrit le: 10 Mai 2011 Messages: 86
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Posté le: Sam Aoû 06, 2011 11:01 pm Sujet du message: |
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attention ce n'est pas un film d'horreur ! c'est un film gore ! il flirte avec l'horreur (surnaturel avec des fantômes méchants) mais c'est tout ! |
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mallox Super héros Toxic


Inscrit le: 10 Sep 2006 Messages: 13982 Localisation: Vendée franco-française
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Posté le: Dim Aoû 07, 2011 6:52 am Sujet du message: |
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Comprends rien. Horreur, en fait, c'est connoté fantastique (les fantômes, le surnaturel) et le gore, c'est pas horrifique ?
Kuro, le film est plus horrifique que gore (il l'est aussi, mais bien moins qu'un catégorie 3). Y a même du thriller et du drame dedans. Bref, "Suicide Circle" c'est un putain de thriller horrifique mâtiné de Gore et pis c'est tout.  _________________

Dernière édition par mallox le Dim Aoû 07, 2011 7:42 am; édité 1 fois |
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Kuro 10% irradié

Inscrit le: 10 Mai 2011 Messages: 86
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Posté le: Dim Aoû 07, 2011 7:23 am Sujet du message: |
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en faite
si j'ai tout compris à tout ce que j'ai lu et vu.
J-Horror (Japan Horror) tout comme la K-Horror (Korean Horror) induit nécessairement des fantômes et une histoire axée sur eux. Dans "Suicide Club" l'histoire est axée sur une "mode" de la société : le suicide collectif. Il y a deux scènes où il y a peut-être des fantômes mais ne font rien de particulier. Donc pour moi c'est juste pour utiliser à fond le bâtiment même de l'hôpital.
10 secondes de fantôme ne classe pas un film dans la J-Horror !
Je sais que certain classe "Tokyo Sonata" dans la J-Horror mais pour moi c'est ouvrir vers un champ plus grand un terme qui symbolise très bien un type de film et je suis pas sur que ce soit une bonne chose :P
ps : J-Horror est le terme employé par les occidentaux. Je crois que les japonais disent simplement horror (mais je dois vérifier) ! |
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mallox Super héros Toxic


Inscrit le: 10 Sep 2006 Messages: 13982 Localisation: Vendée franco-française
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Posté le: Dim Aoû 07, 2011 7:42 am Sujet du message: |
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Putain c'est quoi ce délire ? Moi je suis sur un forum francophone de films de genre et Bis, et te je dis que c'est un film d'horreur. POINT. On n'est pas ici dans les classifications asiatiques (d'ailleurs, les threads à cet effet, n'existent pas).
Après, faudra m'expliquer pourquoi les mêmes coréens classent eux-même un thriller comme "J'ai rencontré le diable" dans le genre horrifique. Y a pas de fantômes dedans, hein ?! C'est une histoire de pure vengeance.
Quelqu'un qui a vu "Suicide Club" (alias Suicide Circle) voudrait-il expliquer la chose à Kuro ? Rosebonbon ?  _________________
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Kuro 10% irradié

Inscrit le: 10 Mai 2011 Messages: 86
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Posté le: Dim Aoû 07, 2011 8:10 am Sujet du message: |
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bah après je suis pas buter au point de ne pas te croire ^^ ! je suis jeune et imparfait (pour le moment ) !
Pour j'ai rencontré le diable ça m'étonne un peu. Je sais qu'il a été interdit, aux -16 ou 18 je sais plus, en Corée mais pas qu'il faisait partie de la K-Horror !
Fin bref, juste pour dire que c'est plus un film qui cherche l'effet du gore que l'effet horrifique (dans le sens : "waaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa y'a un fantôme")
Mais ça serait bien (enfin ça à peut-être déjà été fait mais pas eu le temps de chercher) de faire un petit poste pour bien définir les genres (dans les grandes lignes du moins, je sais que c'est pas facile voir impossible tant les genres évolues).
Je change le genre dans l'entête ? |
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mallox Super héros Toxic


Inscrit le: 10 Sep 2006 Messages: 13982 Localisation: Vendée franco-française
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Posté le: Dim Aoû 07, 2011 8:49 am Sujet du message: |
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Kuro a écrit: | Mais ça serait bien (enfin ça à peut-être déjà été fait mais pas eu le temps de chercher) de faire un petit poste pour bien définir les genres (dans les grandes lignes du moins, je sais que c'est pas facile voir impossible tant les genres évolues).
Je change le genre dans l'entête ? |
T'es presque aussi chiant que ton pote de fac !
C'est pas à nous de redéfinir les genres. On trouve tout disséqué sur le net. t'as qu'à taper "films d'horreur" sur wikipedia et là, t'es sûr d'être informé comme il faut !
Perso, dans l'en-tête, je mettrais : Horreur / épouvante / Thriller / Gore / (Drame).
Après, tu fais ce que tu veux, bien entendu ! ( y avait pas le suicide d'un poisson rouge dedans ? Auquel cas, tu rajoutes CarcharothAttack dans les genres)
edit : remarque, on a bien eu le cas d'un Sound of Noise non taxé de comédie musicale juste parce qu'il n'y avait pas de numéros de claquettes dedans.  _________________
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flint Super héros Toxic


Inscrit le: 13 Mar 2007 Messages: 7606 Localisation: cusset-plage
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Posté le: Dim Aoû 07, 2011 9:49 am Sujet du message: |
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mallox a écrit: |
remarque, on a bien eu le cas d'un Sound of Noise non taxé de comédie musicale juste parce qu'il n'y avait pas de numéros de claquettes dedans.  |
Sinon, je confirme, il n'y a pas un poil d'horreur dans "Virgin Suicides". |
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Kuro 10% irradié

Inscrit le: 10 Mai 2011 Messages: 86
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Posté le: Dim Aoû 07, 2011 10:06 pm Sujet du message: |
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mallox a écrit: |
T'es presque aussi chiant que ton pote de fac ! |
haha oui ! mais je devrais m'adoucir durant les prochaines années, maintenant que je suis plus dans le circuit étudiant de cinéma !
mais je devrais être plus chiant pour les choses concernant le Japon
mallox a écrit: | C'est pas à nous de redéfinir les genres. On trouve tout disséqué sur le net. t'as qu'à taper "films d'horreur" sur wikipedia et là, t'es sûr d'être informé comme il faut ! |
Je n'avais plus de lecture ces temps-ci ! merci :) et oui je n'y avais même pas pensé ! -__-'
mallox a écrit: |
edit : remarque, on a bien eu le cas d'un Sound of Noise non taxé de comédie musicale juste parce qu'il n'y avait pas de numéros de claquettes dedans.  |
remarque il y a des parties chantées aussi !
flint a écrit: | Sinon, je confirme, il n'y a pas un poil d'horreur dans "Virgin Suicides" |
hmm c'est moi ou l'on ne parle pas du même film ? ou j'ai raté la blague ? oui je découvre le changement de taille du texte ! |
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flint Super héros Toxic


Inscrit le: 13 Mar 2007 Messages: 7606 Localisation: cusset-plage
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Posté le: Lun Aoû 08, 2011 9:09 am Sujet du message: |
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Kuro a écrit: |
hmm c'est moi ou l'on ne parle pas du même film ? ou j'ai raté la blague ? oui je découvre le changement de taille du texte ! |
Oui, t'as raté la blague.
(certes nulle, je l'accorde) |
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Kuro 10% irradié

Inscrit le: 10 Mai 2011 Messages: 86
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Posté le: Lun Aoû 08, 2011 9:31 am Sujet du message: |
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poil... virgin... ?
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mallox Super héros Toxic


Inscrit le: 10 Sep 2006 Messages: 13982 Localisation: Vendée franco-française
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Posté le: Lun Aoû 08, 2011 9:37 am Sujet du message: |
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Ou le Suicide Club Fnac.
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Camif 99 % irradié


Inscrit le: 16 Mai 2008 Messages: 1560 Localisation: Délocalisation
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Posté le: Lun Aoû 08, 2011 11:36 am Sujet du message: |
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Suicide Club c'est un thriller horrifique à tendance dramatico-social + un peu de gore, de trash inside, de film musical et de philosophie de comptoir.
La première partie travaille les synapses, la seconde travaille peut-être mais je ne sais pas trop quoi. Peut-être la conjonction ontologique du joueurs de bowling :ange: _________________ "Du 2 au 22 mai, y avait pas loin" Mallox |
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