[MAJ] [Critique] Metal Beast

[gregore]

Metal beast (Project : Metalbeast) - 1995

Origine : Etats-Unis
Genre : Science-fiction / Horreur

Réalisé par Alessandro De Gaetano
Avec Barry Bostwick, Brian Brophy, Mario Burgos, T.J. Castronovo, William G. Clark

Jamais la science n'a engendré pareil monstre. Celui qui était jadis un des agents les plus efficaces de la CIA devient, après un sommeil de vingt ans dans un container cryogénique, le cobaye d'une expérience inédite. Déjà contaminé par les gènes d'un loup-garou, Donald Butler subit la greffe d'une peau d'acier qui le recouvre intégralement, qui le rend invulnérable. Mais, poussé par des instincts sauvages et sanguinaires, Butler ne vit plus que pour faire payer le prix fort aux scientifiques la rançon de leur audace. Le prix de sa peau contre leur sang.

Avec un tel sujet, un monstre loup-garou cyborg et la tronche du monstre sur la vhs, on pouvait s’attendre à un film d’une débilité profonde et donc à un moment de pure détente.
Malheureusement mise à part cette idée extravagante, il ne reste pas grand chose à se mettre sous la dent, Gaetano livre un scénario moyen, sans rebondissement et sans grosse bourde non plus qui auraientt pu éveiller le spectateur.
Dommage le film commençait bien avec une attaque de loup-garou ridicule de par la démarche mais aussi grâce au costume, une intro d’ailleurs un peu gore et qui mettait bien en bouche mais le reste ne suit pas, le loupborg (qui fait un peu penser a Predator) n’étant pas à la hauteur de sa carrure, ils s’amusent le plus souvent à tuer tout le monde hors-champ, même pas drôle !
Seule la solution d’éradication vaut le détour avec son bazooka (y en a toujours un dans les centres de recherche au cas où) muni d’une ogive en argent (y a aussi toujours une fonderie avec des moules à ogive), il faut bien ça pour tuer un cygarou.
Une petite déception pour un film bien fade.

4/10

Quand la folie des hommes engendre le monstre...
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"La guerre c'est la paix", "La liberté c'est l'esclavage", "L'ignorance c’est la force"

[John Yebs]

je le confesse: j'ai pas trop mal aimé ce film.

[gregore]

Je n'ai pas detesté mais j'ai trouvé ça bien sobre par rapport à l'histoire prometteuse et a ce que je m'attendais du film





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