[M] [Critique] Il lungo, il corto, il gatto - 1967

 
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mallox
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MessagePosté le: Mer Mai 16, 2012 9:23 am    Sujet du message: [M] [Critique] Il lungo, il corto, il gatto - 1967 Répondre en citant



Il lungo, il corto, il gatto - 1967

Origine : Italie
Genre : Comédie, parodie, policier, esprits, agression animale

Réalisé par Lucio Fulci
Avec Franco Franchi, Ciccio Ingrassia, Ivy Holzer, Ivano Staccioli, Daniele Vargas, Giusi Raspani Dandolo, Tano Cimarosa...




Deux domestiques au service d'une vieille veuve sont contraints à considérer que son chat siamois, répondant au nom d'Archibald, est la réincarnation vivante du mari défunt (à sa décharge, celle-ci l'a trouvé un jour dans la chapelle ardente de celui-ci). Depuis, elle oblige les deux hommes, de même que Gina la boniche, à le servir ainsi qu'à l'appeler "son commandeur". L'animal a l'habitude de faire parler de lui lors de ses escapades. La légende de la réincarnation du félin est devenue tant célèbre que lors de ses escapades, et alors que Franco et Ciccio le cherchent sous peine d'être congédiés par la mégère furieuse, les vendeurs ont une légère tendance à lui mettre quelques dégâts sur le dos pour faire payer la casse aux deux valets. La donne change totalement pour nos deux larbins le jour où la comtesse trouve une portée dont son chat serait le père. N'en croyant pas ses yeux que son mari ait pu la tromper avec une autre chatte, elle tombe raide morte.




A la lecture du testament, Franco et Ciccio apprennent qu'ils vont hériter d'une grande partie de sa fortune, à la seule et unique condition qu'ils prennent soin de sa majesté le chat. Ils toucheront alors chacun une rente de un million de lires par mois. En revanche, s'il arrivait malheur au matou, les versements cesseraient. Peu après, nos deux larrons ont l'idée géniale de refiler Archibald et de le substituer par un autre chat pour feinter le notaire. Manque de bol, celui-ci dispose d'un dossier complet, agrémenté de diapositives et de tous les signalements possibles et inimaginables. La course pour retrouver Archibald s'engage alors !
Moins que sur ce dernier, c'est surtout sur une énorme équivoque que tombent les deux hommes. En effet, l'animal qu'ils traquent porte le même pseudonyme qu'un criminel recherché par le F.B.I. : un criminel en train de fomenter un assassinat contre un chef d'Etat en visite à Rome. Ce dernier est protégé par le F.B.I. dans sa propre ambassade jusqu'à ce que "son commandeur" y pénètre, en grimpant de nuit par dessus le mur. C'est en tentant de le rattraper que les deux domestiques se font prendre. De quiproquo en quiproquo, les policiers finissent par croire que Franco et Ciccio ont un rapport avec le criminel, que d'ailleurs nos lascars "prétendent" chercher. On les accoutre donc de micro-espions avant de les relâcher. Dès lors, tous ceux qui connaissent "le chat" se font arrêter, sont questionnés, puis soupçonnés d'appartenir à l'organisation guidant le tueur à gages homonyme, lequel rentre alors réellement en jeu...




Empruntant, pour quelques situations ainsi que pour une atmosphère, au Chat noir de Poe, et ce bien avant son Chat Noir de 1981, il s'agit de la dernière collaboration entre Lucio Fulci et nos deux acolytes, maîtres es pitreries et grimaces grotesques. Autant le dire d'emblée, il s'agit aussi d'une de leurs meilleures. Délestés des bavardages jusque là obligés entre les deux zouaves, qui trop souvent plombaient des bobines par ailleurs inventives et vivaces (I due evasi di Sing Sing, Come inguaiammo l'esercito, Come svaligiammo la banca d'Italia, 002 Opération Lune, Come rubammo la bomba atomica), Il lungo, il corto, il gatto fait place au comique de situations - parfois saupoudré de running gags - lesquelles s'enchaînent ici à vive allure. Comme à l'usuel, le ton est ironique, assez irrévérencieux, et pratique régulièrement la parodie des genres pour atteindre son but. Le résultat est ici autant maitrisé qu'affuté, solidement charpenté, et il sera difficile de trouver un artisan ayant su utiliser avec grâce, et un sens de la dérision, le potentiel comique a priori très restreint de Franco et Ciccio. La mise en scène est élégante, les cadres élaborés, l'histoire anecdotique mais fluide et remplie de ramifications qui en font sa saveur. Comme dans son Young Dracula à venir, Fulci distille (de façon également parodique ici) de la démystification à tout va, censée démontrer l'inconsistance des fausses gloires de son temps, des faux mythes, tout en se gaussant une fois de plus des institutions puis de sa propre culture. Les militaires sont couards, les politiciens fourbes et paranoïaques, les nobles hautains, les policiers un brin crétins. La question reste posée : le pouvoir est peut-être entre les mains de gens pas plus futés que nos deux Siciliens, ni même qu'un simple chat. Si l'égratignure reste néanmoins superficielle (Béatrice Cenci arrive à grands pas), elle n'en demeure pas moins une constante chez le réalisateur, tout comme l'espoir qu'il porte à l'écran dans une lutte des classes qui chamboulerait la donne.




Il Lungo, il corto, il gatto, dont le titre emprunte alors au récent hit de Sergio Léone, demeure une comédie avant tout extrêmement distrayante en plus d'être flatteuse pour les sens. Une scène de dîner mondain tourne carrément au jeu de massacre, voyant Ciccio aller et venir entre la tables des convives et la cuisine ; une comtesse tyrannique (excellente Giusi Raspani Dandolo) et haute en couleurs qui finit médusée devant un panier de chatons ; une bombe rondelette qu'un Franco ligoté tente d'éloigner de lui en soufflant dessus ; des gens inoffensifs constamment espionnés ; un assassin aguerri, dandy de pacotille qui devient le dindon de la farce ; et surtout un paquet de dommages collatéraux qui pimentent des aventures déjà pas mal épicées, ce au rythme d'un emballant leitmotiv musical signé Coriolano Gori (pas moins de quatre Franco, Ciccio et Lucio ainsi que Le temps du massacre).

Superbement photographié par Guglielmo Mancori, avec lequel il avait déjà travaillé à ses débuts (Les faux jetons, Uno strano tipo) et maître lui aussi des ambiances fumetti baignées de culture pop, Il Lungo, il corto, il gatto n'oublie pas de soigner ses seconds rôles et offre ainsi une galerie de personnages assez délectable. Outre la bien jolie Ivy Holzer qui s'en ira ensuite rejoindre Edwige Fenech pour "Samoa, fille sauvage" et qui, en attendant, pratique la lutte ouvrière aux côtés de nos deux écervelés Siciliens, on remarque facilement la très rare Julie Menard, déjà présente l'année d'avant dans Come rubammo la bomba atomica, ainsi que l'excellent Daniele Vargas dans le rôle de l'inspecteur de police, lequel joue son rôle avec un sérieux imperturbable. Pourtant, ce sont les deux chats du film qui remportent également une place sur le podium : le premier, avec un naturel confondant, aime à jouer avec les bombes et les clés de voitures, tandis que le second évolue à l'instar des espions d'opérettes présents dans Come rubammo la bomba atomica avec la vanité de celui qui se croit invincible, avant de se faire avoir par son homonyme félin.




Finalement Il Lungo, il corto, il gatto est le témoignage flagrant de la solidité de son réalisateur dans le registre de la comédie, genre qu'il a peu à peu peaufiné jusqu'à parfaitement le maîtriser. Il est aussi le témoin d'un état d'esprit bien trop répandu : celui qui consiste à considérer systématiquement comme mineure la comédie, tandis qu'à l'aune du sérieux on se prosterne de façon outrancière sur des œuvres plus graves ou austères. A ce titre, signalons que cette comédie possède déjà la grâce qu'on retrouvera pour le générique du Chat noir en 1981 ; à la différence que celle-ci reste ici à l'écran après le générique et ce 85 minutes durant. Au petit jeu des comparaisons, on constate également que la structure ici présente sera reprise plus tard par Fulci dans ses réussites horrifiques telles L'Au-delà, tout comme une scène d'enterrement annonce Frayeurs.

Coïncidence ou pas, il y a également dans Il lungo, il corto, il gatto un ton qui ressemble par moments à une balade tournant à la guerre lasse. Un petit peu comme le fera plus tard Sergio Corbucci avec Mais qu'est ce que je viens foutre au milieu de cette révolution ? et sa trilogie de la révolution. A cet égard, la musique de Lalo Gori joue une fois de plus un rôle primordial, comme si Lucio Fulci ironisait sur la sempiternelle mécanique comique de Franco et Ciccio avant de leur faire ses adieux. Ce sera chose faite l'année suivante. Après avoir parfaitement utilisé la vitalité d'Adriano Celentano (Urlatori alla sbarra, Un type étrange), puis phagocyté l'énergie mongoloïde de Franco et Ciccio, il emploiera de nouveau avec talent un comique de seconde zone en la personne de Lando Buzzanca, ce avec trois films : Au diable les anges (Operazione San Pietro) la même année, puis Obsédé malgré lui et Young Dracula, pour lequel il retrouvera le sous-estimé et tout compte fait très attachant Ciccio Ingrassia. Quoi qu'il en soit, Fulci se montre manifestement prêt à livrer son meilleur travail avec notamment Béatrice Cenci, qui lui vaudra l'incompréhension, puis trois superbes gialli, Perversion Story, Le venin de la peur, et peut-être ce qui reste son meilleur film ou tout du moins le plus symptomatique de son œuvre : La longue nuit de l'exorcisme.



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sigtuna
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MessagePosté le: Mer Mai 16, 2012 9:22 pm    Sujet du message: Re: [Critique] Il lungo, il corto, il gatto - 1967 (Lucio Fu Répondre en citant

mallox a écrit:
entre les deux zouaves qui trop souvent plombaient des bobines par ailleurs inventives et vivaces ("I due evasi di Sing Sing", "Come inguaiammo l'esercito", "Come svaligiammo la banca d'Italia", "002 Opération Lune", "Come svaligiammo la banca d'Italia", "Come rubammo la bomba atomica"), "Il lungo, il corto, il gatto"
7, il n'y en a plus d'autres ? icon_cool



mallox a écrit:
un comique de seconde zone en la personne de Lando Buzzanca, ce avec trois films : "Au diable les anges" (Operazione San Pietro) la même année, puis "Obsédé malgré lui" et "Young Dracula"
Ah zut new_diable

Excellente critique quoi qu'il en soit. icon_wink
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Pierre
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MessagePosté le: Mer Mai 16, 2012 10:15 pm    Sujet du message: Re: [Critique] Il lungo, il corto, il gatto - 1967 (Lucio Fu Répondre en citant

Très bonne critique qui poursuit l'exploration méthodique de l'oeuvre du grand maître dans ses aspect les plus méconnus. Je dis chapeau !

mallox a écrit:
Outre la bien jolie Ivy Holzer qui s'en ira ensuite rejoindre Edwige Fenech pour "Samoa, fille sauvage" ...


Hasard du calendrier, je viens justement de poster la critique de ce chef d'oeuvre.

Citation:
et peut-être ce qui reste son meilleur film ou tout du moins le plus symptomatique de son oeuvre : "La longue nuit de l'exorcisme"


Je suis un peu hors sujet mais pour ma part j'ai toujours trouvé dommage l'image finale du mannequin sanguinolent qui s'écrabouille sur la falaise. Ça produit un effet grand-guignolesque qui nuit à l'intention du réalisateur.
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mallox
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MessagePosté le: Jeu Mai 17, 2012 10:55 am    Sujet du message: Re: [Critique] Il lungo, il corto, il gatto - 1967 (Lucio Fu Répondre en citant

sigtuna a écrit:
mallox a écrit:
entre les deux zouaves qui trop souvent plombaient des bobines par ailleurs inventives et vivaces ("I due evasi di Sing Sing", "Come inguaiammo l'esercito", "Come svaligiammo la banca d'Italia", "002 Opération Lune", "Come svaligiammo la banca d'Italia", "Come rubammo la bomba atomica"), "Il lungo, il corto, il gatto"
7, il n'y en a plus d'autres ? icon_cool


Bah, ils apparaissent en sketches dans Gli Imbrogini et I Maniaci, mais de toutes façons, je ne comptais pas tous les faire. Juste une poignée pour la petite plongée dans sa période Franco et Ciccio. Ceci dit, y en je crois 3 ou 4 autres : "I due della legione straniera", "I due pericoli pubblici" , "002 agenti segretissimi" et "I due parà".
Comme je te sens hautement intéressé, je peux remonter le temps à nouveau une fois que je serais arrivé en 1990 et refaire les Franco, Ciccio et Lucio qu'il manque. new_diable



sigtuna a écrit:
mallox a écrit:
un comique de seconde zone en la personne de Lando Buzzanca, ce avec trois films : "Au diable les anges" (Operazione San Pietro) la même année, puis "Obsédé malgré lui" et "Young Dracula"
Ah zut new_diable


ça va, celles d'"Obsédé malgré lui" et de "Young Dracula" sont faites depuis belle lurettes.
Vivement "Juge et Pétasse" ! frank_PDT_10

Pierre a écrit:
Je suis un peu hors sujet mais pour ma part j'ai toujours trouvé dommage l'image finale du mannequin sanguinolent qui s'écrabouille sur la falaise. Ça produit un effet grand-guignolesque qui nuit à l'intention du réalisateur.


D'autant qu'en ressayant la même chose dans "l'emmurée vivante", il se plante de la même façon... à moins que ce ne soit un clin-d'oeil complètement tordu à cette scène qui hélas a toujours détonné par rapport à l'ensemble du film, plutôt ténu. icon_confused
Je crois qu'il y a aussi un peu de paresse parfois chez Fulci. Aucun de ses films n'est techniquement parfait. Tous ont des défauts de ce type, comme s'il ne s'intéressait pas au même degré à tous les aspects du film ou bien qu'il démissionnait par intermittences.
Le paradoxe qui ne cesse de m'étonner, c'est qu'on le surnomme couramment le pape du gore alors que c'est justement dans ces scènes qu'il échoue. Depuis 30/40 ans, on parle de ce mannequin, de la scène ratée des araignées, etc. avec raison d'ailleurs.

En tout cas, me concernant, y a un véritable auteur, une véritable manière de faire dans ses comédies, et je les trouve injustement occultées. En nombre de films, c'est juste la moitié de sa carrière, mais bon... soit, il est desservi par le manque de dvd à ce niveau, m'enfin, ça semble plus intéresser la populace de le ranger purement et simplement dans l'horreur, de l'étiqueter pape du gore, que d'aller voir ce que valent ses comédies. Je le vois bien car mes critiques de cette période ne font jamais un carton ; loin s'en faut !
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Bigbonn
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MessagePosté le: Jeu Mai 17, 2012 3:48 pm    Sujet du message: Re: [Critique] Il lungo, il corto, il gatto - 1967 (Lucio Fu Répondre en citant

mallox a écrit:
soit, il est desservi par le manque de dvd à ce niveau, m'enfin, ça semble plus intéresser la populace de le ranger purement et simplement dans l'horreur, de l'étiqueter pape du gore, que d'aller voir ce que valent ses comédies. Je le vois bien car mes critiques de cette période ne font jamais un carton ; loin s'en faut !

c'est vrai mais c'est quand même très lié à l'aspect méconnu de ces films et à leur invisibilité.
Tu vas parler de l'au-delà, de Frayeurs ou autres, tous les gens qui participent ici les ont vus probablement et ont donc un avis dessus, même tranché, même sans intérêt.
tu parles des comédies, qui les a vu à part toi et donc que dire?
qui plus est, les captures ont parfois tendance à nous faire penser: ouh la la! ça m'a quand même l'air branquignolesque! (ce qui peut repousser certains... comme en attirer d'autres) ico_mrgreen
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mallox
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MessagePosté le: Jeu Mai 17, 2012 4:10 pm    Sujet du message: Répondre en citant

j'ai oublié de préciser que je voulais parler du nombre de lecteurs sur le site. Pas des interventions ici, bien entendu, c'est logique qu'il y ait personne ou peu de monde, et ça ne me dérange pas. Au contraire, j'ai pas de pression comme ça.
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Bigbonn
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MessagePosté le: Jeu Mai 17, 2012 4:20 pm    Sujet du message: Répondre en citant

sur le site, une critique qui reste deux semaines tourne autour des 200 vues en général me semble-t-il.
Certaines plafonnent assez vite (les serials, les films ex-pays de l'est, les films de sabres asiatiques, les péplums, les comédies de fulci, ... frank_PDT_10 ), d'autres décollent un peu plus.
pression ou pas, sur la durée, ce sont de toutes façons les films de boules qui attirent le plus (suffit de voir la rubrique Les plus regardés).
T'as pas un Ciccio et Franco avec des inserts hards et une ou deux scènes gores pour réconcilier tout le monde??? frank_PDT_10
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mallox
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MessagePosté le: Jeu Mai 17, 2012 4:26 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bigbonn a écrit:
sur le site, une critique qui reste deux semaines tourne autour des 200 vues en général me semble-t-il.


Je vois que tu suis parfaitement !

Dans pas loin ça va baisser, tout le monde sera à Cannes !

Bigbonn a écrit:
T'as pas un Ciccio et Franco avec des inserts hards et une ou deux scènes gores pour réconcilier tout le monde??? frank_PDT_10


Il me faudrait un Franco et Cicciolina dans ce cas. ico_mrgreen
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Bigbonn
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MessagePosté le: Jeu Mai 17, 2012 4:37 pm    Sujet du message: Répondre en citant

il y en a un?!?
(si oui, il pourrait sortir le 1er avril prochain avec de jolis montages photos)
ico_mrgreen
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flint
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MessagePosté le: Sam Mai 26, 2012 6:30 pm    Sujet du message: Re: [C] [Critique] Il lungo, il corto, il gatto - 1967 Répondre en citant

mallox a écrit:

Pourtant, ce sont les deux chats du film qui remportent également une place sur le podium


Pas étonnant, n'importe quel chat joue mieux que Ciccio et Franco réunis ! new_diable

Quand je pense que ces deux gugusses ont joué avec Vincent Price ! new_pleur
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