
Toujours écrit avec humour, richement illustré, ce trimestriel offre aussi la possibilité à celui qui n'a vu aucun film du maestro de se faire une petite idée de l'esprit qui préside à leur réalisation.
La voie du maître (de l'absurde), numéro 6, est en ligne (et il était temps qu'on le dise puisqu'il s'agit du numéro de juin-juillet-août !).

Au sommaire de cette édition :
- le courrier des lecteurs : panorama des abonnés. Toujours aussi bidonné, ce courrier farfelu nous apprend que d'illustres personnages autour du monde suivent la carrière de Jean-Jacques Rousseau. Un exemple, parmi d'autres : un certain V. P., de Moscou aurait fort apprécié Karminsky-Grad (on le comprend !) et souhaiterait le projeter à travers toute la Sainte Russie ! (sic)
- le léonstonisme Néologisme attribuable à tout acteur acceptant de tourner nu pour Jean-Jacques Rousseau, à l'image de Léon Stone (vu notamment dans Irkutz 88), sur laquelle Eveline Scrève revient.
- l'éditoréal : les cadreurs-pitres Retour signé JJ Rousseau sur de drôles d'oiseaux au travail sur la trilogie du Docteur Loiseau : "[Le cadreur] fait le pitre sur le plateau. Quand on a besoin de lui, il est ailleurs (il fait des courses au magasin)" ou encore "On ne m'écoute plus, on fait ce qu'on a envie quand on a envie, et quand on n'est pas trop fatigué de la guindaille de la veille", une guindaille (belgicisme) étant une fiesta arrosée de moult bières ou autres boissons alcoolisées, d'où des lendemains qui déchantent et des tournages qui risquent de partir à vau-l'eau...

- le chant du GAGB.
- l'homme-canon.
- les micronouvelles du cinéma
- la citation du trimestre : "le cinéma, c'est du rêve". A retrouver, en intégralité, cette véritable profession de foi de Jean-Jacques Rousseau, tombé dans le cinéma comme d'autres dans des marmites de potion magique ou des tonneaux de bière.
- abécédaire : B, comme Budget. Réduit, forcément, et toujours difficile à boucler, malheureusement...
- actualités cinématographiques et nouveaux projets. Voilà une partie qui vaut son pesant de cacahuètes ! Entre un Jim Branle (sic) promis en 3D autour d'une catastrophe nucléaire à la frontière luxembourgeoise, le super-soldat atomique du Règne de la terreur ou le peintre éventreur d'On m'appelait Baby, ce ne sont pas les projets qui manquent ! Tremblez, apôtres du bon goût et du cinéma à la sauce Hollywoodienne !
- appel au mécénat Eh oui, l'argent manque dans les caisses et ni la bonne volonté ni le bénévolat ne suffisent à tourner, encore et encore, contre vents et marées, des films rousseauistes... A vot' bon cœur, m'sieurs dames !

La voie du maître (de l'absurde) est mise en ligne et donc entièrement gratuite. On peut éventuellement, si on le souhaite, en recevoir une version papier moyennant une participation + les frais de port. Pour toute information complémentaire, pour faire un legs à JJR ou un don, on peut écrire à :
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La voie du maître (de l'absurde) 46, rue Monnoyer 6180 Courcelles Belgique Tél : 0032 (0)71.45.66.87 L'adresse du site : www.infojjr.be Courriel :
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