Sur la planète Santal souffle des ouragans et des tempêtes qui détruisent et ravagent, les habitants essaient de survivre sur ce monde hostile où arrive trois voyageurs. Le premier, qui s'appelle David, vient essayer de voir si il est possible d'installer un club de vacance spécialisé dans les sports extrêmes utilisant le vent. La seconde, Judi, est représentante en cosmétique et vient vendre des produits qui aideront les habitants de Santà¤l à grossir. La dernière est une cythonienne venu faire apparaître un tatouage racontant sa vie qui a été écrit à l'aide d'une encre invisible qui ne se révèle que dans une zone précise de Santà¤l. Leur voyage va leur faire découvrir un monde hostile et ravagé. Ce premier volume de La planète des ouragans ne raconte pas une histoire précise mais offre la visite d'un univers inattendus. On découvre les habitants plutôt étrange qui lutte comme ils peuvent contre le vent. Certains cherchent à s'alourdir grâce à des vêtements lourd, d'autres cherchent à grossir le plus possible et d'autre ont décidé de vivre sous terre. Au fur et à mesure du périple, ils vont croiser plusieurs personnages originaux qui sont parfois sympathiques, parfois antipathiques. C'est plus la présentation de Santà¤l et de ses habitants qui domine dans ce livre même si la quête des trois personnages principaux n'est pas forcément inintéressante. Les héros vont se retrouver à leur insu à explorer cette étrange planète et à découvrir l'origine des vents. La plume de Brussolo propose autant de passages poétiques que grotesques. Si certains éléments peuvent prêter à rire, d'autre passage sont plutôt émouvant. L'écrivain n'utilise d'ailleurs pas un langage tarabiscotée et possède un style plus direct et parfois un peu faible comme certaines métaphores qui peuvent sembler déplacées. En tout cas, Le rempart des naufrageurs propose un moment de lecture plutôt agréable et intéressant, une histoire qui se lit très vite et aurait gagnée à être un peu plus exploitée. Ce premier volume propose un conte cruel, baroque et poétique. Ce livre plus fantastique que véritablement SF ne restera pas dans les annales mais comblera les fans d'univers étranges et marginaux si ils arrivent à oublier les nombreux défauts. Stegg A propos de ce livre : - Rempart des naufrageurs a été également publié dans la célèbre collection Anticipation de Fleuve Noir où il avait le numéro 1399. La trilogie à été réédité en un seul volume dans la collection Folio SF de Gallimard sous le titre de La planète des ouragans.
Sur la planète Santal souffle des ouragans et des tempêtes qui détruisent et ravagent, les habitants essaient de survivre sur ce monde hostile où arrive trois voyageurs. Le premier, qui s'appelle David, vient essayer de voir si il est possible d'installer un club de vacance spécialisé dans les sports extrêmes utilisant le vent. La seconde, Judi, est représentante en cosmétique et vient vendre des produits qui aideront les habitants de Santà¤l à grossir. La dernière est une cythonienne venu faire apparaître un tatouage racontant sa vie qui a été écrit à l'aide d'une encre invisible qui ne se révèle que dans une zone précise de Santà¤l. Leur voyage va leur faire découvrir un monde hostile et ravagé. Ce premier volume de La planète des ouragans ne raconte pas une histoire précise mais offre la visite d'un univers inattendus. On découvre les habitants plutôt étrange qui lutte comme ils peuvent contre le vent. Certains cherchent à s'alourdir grâce à des vêtements lourd, d'autres cherchent à grossir le plus possible et d'autre ont décidé de vivre sous terre. Au fur et à mesure du périple, ils vont croiser plusieurs personnages originaux qui sont parfois sympathiques, parfois antipathiques. C'est plus la présentation de Santà¤l et de ses habitants qui domine dans ce livre même si la quête des trois personnages principaux n'est pas forcément inintéressante. Les héros vont se retrouver à leur insu à explorer cette étrange planète et à découvrir l'origine des vents. La plume de Brussolo propose autant de passages poétiques que grotesques. Si certains éléments peuvent prêter à rire, d'autre passage sont plutôt émouvant. L'écrivain n'utilise d'ailleurs pas un langage tarabiscotée et possède un style plus direct et parfois un peu faible comme certaines métaphores qui peuvent sembler déplacées. En tout cas, Le rempart des naufrageurs propose un moment de lecture plutôt agréable et intéressant, une histoire qui se lit très vite et aurait gagnée à être un peu plus exploitée. Ce premier volume propose un conte cruel, baroque et poétique. Ce livre plus fantastique que véritablement SF ne restera pas dans les annales mais comblera les fans d'univers étranges et marginaux si ils arrivent à oublier les nombreux défauts.
Stegg
