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Saludos Hombre
Titre original: Corri, Uomo, Corri
Genre: Western spaghetti
Année: 1968
Pays d'origine: Italie
Réalisateur: Sergio Sollima
Casting:
Tomas Milian, Donald O'Brien, John Ireland, Rick Boyd (Federico Boido) , Linda Veras, Chelo Alonso, Jose Torres, Edwin G. Ross (Luciano Rossi), Nello Pazzafini..
 

Cuchillo, un pauvre voleur expert en lancer de couteau, est chargé par un révolutionnaire mexicain - sur le point d'être exécuté - d'aller récupérer au Texas le trésor caché de Juarez. Mais bien des intérêts s'y opposent : tortures, meurtres, exécutions sommaires seront les compagnons de route de Cuchillo. Il est heureusement aidé de deux femmes ravissantes, aux motivations bien différentes...
Voici donc les aventures de Cuchillo au Mexique, à la frontière duquel nous l'avions laissé au sein du somptueux (et sous-estimé) "Colorado" tourné deux ans auparavant, et nous retrouvons là ce qui fut malheureusement le dernier western de Sergio Sollima après un magnifique "Dernier face à face" sur lequel je reviendrai plus tard. Contrairement à ses deux films précédents, produit par Alberto Grimaldi et dotés d'un budget conséquent, celui-ci fut selon son réalisateur tourné d'avantage avec les bouts de ficelles et autres restes de pelliculas. Il n'en demeure pas moins que ce "Corri, Uomo, corri" (Sollima n'aime pas le titre français absolument non représentatif selon lui de son film), est une très belle réussite. De celle en tout cas qui le temps d'un plan final, emporte tout sur son passage dans un souffle libertaire sans égal et revitalise son spectateur longtemps après la vision du film, déjà que celui-ci n'est pas en reste tout du long.

 

 

Sollima n'aime pas les suites, ou ce qu'on nomme séquelles, et il convient de dire également avant de commencer la "Saludad révolution", qu'il s'agit d'avantage d'une déclinaison que d'une suite à proprement parler. En grand humaniste, ce grand Sergio là, offre un cinéma encore différent, où finalement ce qui l'intéresse avant tout, c'est de capter les changements qui peuvent s'opérer chez l'être humain. Du reste son "Dernier face à face" aurait pu se lire comme une seconde variation de Cuchillo où ce dernier serait pour le coup, beaucoup plus désabusé, tombant alors de l'autre côté du miroir, faisant en quelques secondes des choix contraires. Il faut bien se dire que chez Sollima, chaque personnage possède une chance de rédemption, comme il peut également en deux secondes révéler un aspect plus sombre de sa personnalité. Personne n'est fait d'un bloc, et au diable le manichéisme sommaire au profit d'une étude de caractère s'étoffant même de film en film. On peut d'ailleurs facilement y voir là, le reflet des propres doutes du cinéaste.

J'espère que l'on ne m'en voudra pas trop pour mon enthousiasme que j'essaie à nouveau de faire partager, mais mince, que ces oeuvres de Corbucci et Sollima (pourtant réputées) sont sous représentées par rapport à leur valeur bien qu'elles évoluent pourtant dans le cadre d'un cinéma populaire de quartier. Il faudra bien qu'un jour cesse ce "complexe du Leone" pour que puissent enfin respirer à pleins poumons ces films là ! (Et là, je vais éviter la colère en ne développant pas tout ce que je pense à ce sujet, pour ne pas plomber la chronique en plus de risquer la rupture d'anévrisme...). Alors que vaut ce "Corri, Uomo, corri" ? Et bien c'est assez simple. Celui-ci est moins bon que son prédécesseur, mais ça se joue à peu de choses, je dirai même en fait, à quelques détails purement cinématographiques. D'un pur point de vue de spectateur, on aura le droit même de le préférer à "Colorado". Pour la simple raison que si le film est moins ténu, il n'en demeure pas moins, plus libre, et c'est bien un esprit libertaire qui habite tout le film, avec un traitement donc un tant soit peu plus débridé, mais qui lui va donc très bien.

 

 

En effet, "Corri, uomo, corri" est plus ouvertement engagé, à la fois humainement et politiquement, ce qui nous vaut les hautes envolées lyriques évoquées ci-dessus qui en font une oeuvre plus proche de l'ode à l'anarchie que du récit initiatique à double sens présent dans "Colorado". Autant dire que le spectateur n'y perd pas au change à ce niveau, et que le spectacle y est tout aussi grandiose et chatoyant, et même pour tout dire plus Latin. Rappelons du reste que si Sergio Sollima a choisi l'ami Tomas Milian à l'origine, c'est que celui-ci était d'origine Cubaine et les résonances Che Guevarresque s'y font autant sentir que dans le fabuleux "Companeros" tourné deux ans plus tard par Corbucci. Ce n'est pas un hasard également qu'on retrouve dans le film la très chaude (de sang) et sensuelle Chelo Alonso ici dans l'un de ses derniers grands rôles après avoir oeuvrer une grande partie de sa carrière au sein du péplum, et ce de façon magnifique ("La reine des Barbares, "Masciste contre les Cyclopes"). De sang chaud en sang chaud, elle joue ici la prétendante femme mexicaine de Cuchillo et c'est cette dernière qui offrira la plus grande résistance à ce dernier dans son extrême jalousie et possessivité. Pour abréger, je dirai simplement qu'on ne lui pique pas "son homme" comme ça !
L'une des qualités remarquables du film, c'est sa perfection formelle. Dès le générique les plans magnifiques sont légions, l'utilisation des espaces saute aux yeux de par son intelligence rare. La profondeur des champs et les immensités désertiques soulignent la solitude de ces personnages qui semblent eux-mêmes perdus en quête d'une chose qui leur échappe constamment. Les morts sont souvent au premier plan tandis que le chaos dictatorial et révolutionnaire sert de toile de fond aussi bien littéralement que graphiquement. La scène où Cuchillo se retrouve attaché à un moulin à vent, se prenant des baffes à chaque tour afin qu'il crache le secret de confiance dont il est porteur - à savoir le lieu ou se cache l'or destiné à la révolution - est splendide. De même lors de l'un des premier duel au sein du désert où l'inégalable lanceur de couteaux déploie lentement son pancho délabré, ressemblant alors (avec un humour graphique à l'appui) à un épouvantail de la mort. C'est très beau, tout comme ce duel quasi-final qui il faut bien l'avouer ressemble d'un peu trop près à celui des aventures 'number one' de Cuchillo, mais Sollima arrive à dépasser le simple transfert, car il ne s'arrêtera pas là...

 

 

Le scénario est tout aussi remarquable et l'on peut aussi penser à "El Chuncho" de Damiano Damiani, dans sa volonté de s'inscrire dans l'actualité de l'époque. Ce n'est bien sur pas un hasard que Sollima est cherché des acteurs Cubains. Ceux-ci ne sont que les portes paroles des convictions de son auteur, notamment vis-à-vis de se qui se passait à l'époque, au sein de certains pays d'Amérique latine, et si le refrain ici joué semblera plus idéaliste que jamais, elle ne va pas sans une certaine rage et amertume, emmenant et ses personnages et le spectateur aux abords de la désillusion et de la mélancolie qui va de paire. Corbucci ira encore plus loin dans cette mélancolie, un coup faussement "happy" ("Le Mercenaire"), histoire de se faire croire à soi-même qu'on a malgré tout gagné quelque chose à l'issue du combat, un coup plus amer ("Companeros") où l'issue n'existera pas, et carrément désespéré avec "Le Grand Silence" qui même s'il ne s'inscrit pas dans les westerns "Mexicains" reste tout comme "Saludos Hombre" plus largement dans le thème de la liberté, celle de l'opposition de l'individu à toute structure oppressive. Ici Sergio Sollima que l'on sent pourtant désillusionné veut encore y croire, et c'est avec une fougue et un enthousiasme presque sans égal qu'il nous le communique.
Ce qu'il manque peut-être à "Corri, Uomo, Corri" par rapport à "Collorado", c'est Lee Van Cleef. Si Tomas Milian est remarquable d'évidence, il semble quand même que le reste de la distribution soit un petit cran en dessous. Donald O'Brien ("Keoma", "4 de l'apocalypse", "Le Retour de Croc-blanc", "Zombi Holocaust") pose un problème simple. Il n'a pas le charisme de l'acteur cité ci-avant. On ne peut pas lui en vouloir d'avoir cette gueule là, avec les sourcils constamment froncés et qui se rejoignent, car il livre pourtant une étonnante prestation et malgré son "handicap physique" (très relatif), celui-ci fait très bien ressortir les pensées, motivations et mutations de son personnages. Disons pour résumer, que s'il gêne au début, on s'y habitue plutôt bien.

 

 

Pour terminer et puisque je parle des acteurs, il en est un qui m'est proche du coeur, soit il n'a pas un très grand rôle dans le film, il s'agit de John Ireland ("Perversion Story", "L'Etrangleur de Vienne", "Salon Kitty"). Cet homme là est l'un de mes héros de mon enfance. Chef Barbare dans "La chute de l'empire Romain", Homme de main qui attaque les femmes au vitriol dans le magnifique "Traquenard" de Nicholas ray, Il s'agit d'un second couteau épatant et dont je me réjouis de savoir qu'il fit une double carrière, tournant en Italie pléthore de films après avoir tourner chez les plus grands metteurs en scène classiques (Lang, Kubrick, Ray, Sturges, Losey... bouh, la liste est longue !). Bref, le retrouver dans "Saludos Hombre" est, je dois l'avouer, ma petite cerise sur la gâteau...
Ah oui, j'allais oublier... Excellent score de Bruno Nicolaï ce qui ne gâche pas la fête vous vous en doutez bien. Et puis pas mal d'humour aussi. Humour très latin justement.

 

Note : 8/10

 

Mallox
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